Les collines d’Odile 5 – Fringues de putes, baiseurs suisses et volupté par Bernard_le_photographe

Je reviens vers vous pour poursuivre mes souvenirs de photographe amateur, mais avant tout pour vous remercier, vous les inconnus qui m’appréciez. C’est la plus mauvaise place, mais cela me touche beaucoup d’y être arrivé, avec des commentaires qui me font énormément plaisir

Mes rendez-vous avec  » ma  » petite Odile… cette fille, cette femme maintenant qui me rendait fou, elle le disait souvent ce mot, furent facilités par le téléphone; et comme l’envie d’être ensemble était réciproque on se revit à chaque possibilité.

Le rendez-vous suivant eu lieu sous un soleil éclatant, dans un endroit discret, pour ranger la poussette dans le coffre, mais le petit ne dormait pas et elle resta derrière avec lui.

A nouveau, nos collines, un chaud soleil, un endroit de verdure, mais le petit avait décidé de rester éveillé, un peu gênant mais qu’importe, j’avais cette fois ma caméra et tandis qu’il jouait par terre sur une couverture, sa jolie maman, se déguisait pour me faire plaisir, en petite poupée coquine avec des bas résille, un petit porte-jarretelles et une culotte transparente… mais mon plaisir était partagé par elle qui prenait goût de plus en plus à m’exciter par ce genre de tenue que j’adorais

Elle était venue en pantalon très sage, mais avait apporté une petite jupe achetée exprès pour les photos et elle s’amusa assise sur le siège arrière à la faire se retrousser en se penchant, en s’asseyant de différentes manières pour que mon film soit vivant, tout ça avec un petit sourire pervers :
– C’est bien comme ça ? Je me place bien, Bernard ?
Je l’encourageais de la voix et du geste, arrangeant les jarretelles ou les plis de la jupe, ouvrant son corsage.

Et ce qui me surprenait toujours, c’est qu’elle oubliait du coup sa timidité pour utiliser des termes comme  » chatte  » :
– Tu veux que je te montre ma chatte ?
Et elle écartait sa culotte de côté, ou alors  » cul  » quand je lui fit baisser la culotte, en levrette sur le siège :
– Il te plait, mon cul, Bernard ?
Elle se faisait un devoir de dire ça comme quand elle me demande si elle me fait bander ! Pour prouver que son petit cul me plaisait, je l’embrassais tout de suite sans répondre, le caressais, le pétrissais, nous étions cachés de la vue du petit… Je me relève pour le surveiller et lui glisse un doigt le long de la fente :
– Tu es déjà toute mouillée, Odile ?
– Oh ! Tu sais depuis ce matin, je suis mouillée quand je sais qu’on doit se voir
– Tu te caresse en pensant à moi ? Tu me l’avais dis une fois ?
– Dès fois, mais il faut que je sois tranquille !
– Je voudrais que tu le fasses, Odile, ça m’excite beaucoup !
– Mais c’est meilleur quand c’est toi ou quand tu es dans moi
(Je ne garanti plus les paroles exactes, mais c’est l’esprit !)

C’est alors que je remarque que le petit s’est endormi et cette fois c’est nous qui sommes dans la voiture et lui dehors.

Très vite j’enlève tout, et je lui fais enlever juste la culotte. Elle regarde fixement mon sexe raide :
– J’aime bien voir ton sexe qui bande
– Mais celui de ton mari tu ne le vois pas ?
– Non, je ne le vois jamais, on fait l’amour au lit dans le noir, je le sens c’est tout, je ne le vois pas !
– Et bien regarde le mien alors, profites-en petite voyeuse, il bande pour toi, regarde, il est tout rouge !
Je l’exhibe, face à elle, ça l’amuse, en le décalottant, elle avance la main et me prend les bourses. On ne dit plus rien, je descends les bretelles de son balconnet, lui caresse les épaules, puis les seins et je sens ses tétons durcir, je les étire, les roule entre mes doigts tandis qu’elle joue avec mes testicules, une dans chaque main, c’est délicieux, et elle regarde toujours mon gland comme fascinée.

Je lui murmure :
– Caresse-toi, Odile !
Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d’un regard trouble, elle lâche une bourse et sa main droite vient sur son entre-cuisses ! Ses cuisses sont déjà écartées, je vois un doigt s’insinuer dans ses poils mouillés, ses lèvres sont d’un rouge très vif, luisantes :
– Oui vas-y branles-toi, Odile !
Elle le fait carrément sans honte, je suis vraiment surpris.
– Je voudrais que tu le fasses, ce soir dans ton lit !
Elle ne dit rien, elle est déjà trop excitée. Je suis aussi très excité, très troublé de voir ce petit bout de femme faire des trucs devant moi, pou moi aussi. J’ai envie d’éjaculer rien que de penser à tout ça.

Elle a déjà fermé les yeux, je lui roule les tétons et je la sens respirer de plus en plus vite, et d’un coup elle ouvre la bouche pour un long râle de plaisir, et moi sans réfléchir une seconde, je glisse mon sexe dans sa bouche offerte; trop tentante et je pars aussitôt !

J’avais peur qu’elle se recule, qu’elle se dérobe, mais non, elle me tient les hanches, mon sexe loin dans sa jolie bouche et je la sens qui avale ma semence ! Je n’en reviens pas et je savoure ce plaisir un long moment ! puis elle me relâche, on se regarde, on se sourit et je la remercie
– Je savais que tu voulais le faire, Bernard ! C’était bien fait ?
– Plus que bien, tu m’as tout pris, mais toi, c’était bon aussi ?
– Un peu salé, mais dis donc tu en as beaucoup, j’avais du mal à avaler tout ça !

Malheureusement le temps, toujours lui, nous obligea à arrêter tous ces plaisirs SAUF QUE ma perversité naturelle lui fit faire un truc fou : Qu’elle resta habillée sous son pantalon avec les bas résille et le porte-jarretelles que j’avais apporté !
A l’époque les femmes, certaines, en portaient encore, hostiles ou peu habituées aux vilains collants.

Elle accepta le défi, mais mit sa propre culotte de peur de mouiller son pantalon et testerait les réactions de son mari !

Ce fut la première chose que je lui demandais au téléphone pour reprendre rendez-vous et j’eus du mal à comprendre son mari. Elle m’expliqua :
– Je me déshabille dans la salle de bain après avoir couché le petit, il était dans un fauteuil, devant la télé, je suis passé devant lui avec encore un tricot en haut ; La première fois, il n’a rien dit, je suis repassée, il me demande : « – Qu’est ce que c’est que cette tenue ? On dirait une pute !  » « – Je te remercie, chérie, c’est une copine qui voulait jeter ça, c’est encore tout bon et je trouve ça joli, mais si ça ne te plait pas, je le jetterais »
Elle ajouta :
– Moi, ça me plait, Bernard et je serais ta petite pute à toi tout seul, tant pis pour lui !

C’est superbe d’entendre ça, mais quand même il y a des réactions de mecs impensables
Je m’en foutais car on eut un rendez-vous avant les vacances qui nous sépareraient encore.
Pour cette nouvelle rencontre, Odile me fit une jolie surprise, je la vis arriver,  » normale « , vêtue d’une robe de tunique blanche à dix centimètres au-dessus des genoux, poussant le gamin, on se serre la main, au cas ou il y aurait des regards indiscrets, on installe le petit, et juste avant de monter, elle déboutonne cette tunique et je vois apparaître une autre rangé de boutons : ceux d’une robe rose fuchia que je ne lui avais jamais vu, si courte que j’ai pensé d’abord à un ensemble avec short !

Elle pivote sur elle-même :
– Elle te plait, Bernard ?
– Hum ! Superbe ! La robe et toi dedans !
– Elle n’était pas si courte, je l’ai arrangée !
– Bravo, j’ai déjà envie de te violer !
On monte, elle derrière aussi, il y avait de la circulation, les vacances proches amenaient déjà les estivants, ce qui fit que le gamin s’endormit très vite et qu’à un feu rouge, elle vint s’asseoir devant sa robe si courte me laissa voir une autre surprise :
– Je rêve, Odile, tu n’as pas mis de culotte ?
Je revois encore son petit sourire en coin, elle pivote un peu, relève sa jambe gauche et je vois sa chatte nue !
– Je suis ta petite pute (elle appuya sur ce mot) pour toi tout seul, puisque mon mari, ça ne l’intéresse pas !
J’étais fou, je touchais ses cuisses, défit le bouton le plus bas, puis l’autre, la circulation se dégageait, je fis sauter un à un tous les boutons, elle me laissa faire, je pus écarter les deux pans de tissus, lui caresser les seins, le ventre.
– Je bande, Odile, cette fois, c’est toi qui est folle, c’est trop !
– Depuis que je sais que je dois te voir, je me suis caressé toute seule, tu sais, même hier soir, à côté de mon mari dans le lit ! Il m’a rempli la chatte et il s’est endormi, moi je me suis levé pour me laver, j’avais encore envie et je me suis caressé et j’ai JUI (avec son petit accent, c’est ainsi qu’elle le disait)
– Tu es une vraie petite vicieuse, ça me plait ça !
– C’est pour toi, petit chéri ! Elle corrigea :  » Mon grand chéri, plutôt !  »

Et d’un coup, elle s’approche de moi, tend la main et touche ma braguette !
– C’est vrai qu’il bande le cochon !
Elle eut le temps d’ouvrir cette braguette et de sortir mon sexe avant d’arriver dans un coin tranquille, jamais le même d’ailleurs.
Elle était en chaleur, le temps s’y prêtait peut-être ? L’endroit formait plusieurs  » restanques  » ou plates-formes, je me garais sur la plus haute, il y avait deux arbres et des arbustes en bordure au-dessus de la murette. Le petit dormait bien, on installa un grand plaid, elle totalement nue, c’était très rare et j’avais une excitation pas possible ! J’enlevais tout, on s’enlaça debout, mon sexe frôlant le sien, nos bouches soudées, puis elle se laissa glisser sur la couverture et je fus éberlué de la voir s’allonger d’abord, puis écarter ses jambes, les replier et se tenir les mollets, elle était ouverte comme je ne l’avais jamais vu, obscène presque, mais combien jolie dans cette offrande.

Sans rien dire, je touchais ses chairs les plus intimes, me mettant à genoux, je relevais son bassin, mon torse contre son dos, écartais sa fente, glissais deux doigts dedans, elle regardait sa chatte intérieurement, puis, je la suçais, enfonçant ma langue dans son trou béant, c’était sublime et elle commença à vibrer de plaisir, mais toujours en silence (sauf les cigales !)

Dans cette position très repliée, je pouvais lui malaxer les seins et j’eus l’idée de lui en donner un à sucer ! Comme ils étaient très souples, elle arriva à se téter carrément le bout et je vis qu’elle y prenait du plaisir également et elle se mit à jouir, tremblant de partout, c’était fantastique.

Moi j’avais une envie folle de la prendre dans cette position ; je me relevais en la soutenant, la fis basculer encore plus, elle était très souple !

J’approche mon sexe du sien, le frotte dessus, le tapote, elle regarde avidement ce que je fais, je pose mon gland sur le trou, pousse un peu, le ressort, c’est le paradis, et je m’y enfonce doucement, écartant ses chairs très rouges, elle pousse un gros soupir quand j’arrive à fond, c’est la première fois qu’on fait ça et qu’elle peut voir son sexe pénétré par le mien, c’est vraiment très bon et bien qu’ayant très envie, je fais durer le plaisir, mais d’elle-même elle bouge, me fait comprendre qu’elle a envie, j’accélère, je n’en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je sors mon sexe qui fuse loin, dans ses cheveux, sur son visage, ses seins, je n’en finis plus de me vider, c’est dingue ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu’elle a pris, je l’allonge car cette position doit la fatiguer… je me plaque sur elle, écrasant ma semence sur nos deux corps et on s’embrasse longtemps.

Et soudain on entend un moteur de voiture, pourtant on est loin de tout ! Je m’agenouille, une voiture suisse s’arrête à la restauque en dessous heureusement, mais ils ne peuvent nous voir,  » ils  » un couple dans les quarante ans à 10 mètres environ, on les voit à travers les arbustes, à peine arrêtés, ils s’embrassent, tiens, tiens ! Va-t-on faire les voyeurs ?

On se met à genoux, on voit le côté droit de cette voiture, vitres baissées, à l’ombre d’un arbre et on comprend très vite ce qui se passe : la femme se penche pour faire une fellation ! C’est du rapide ! Bientôt elle est à genoux, et en fait, on ne voit rien du tout, on devine, mais ça m’excite de voir ça !

Je caresse Odile qui reste très attentive, c’est la première fois qu’elle voit ça et on est encore excité de ce que l’on vient de vivre.

Je passe derrière elle, lui caresse son beau petit cul, sa fente en regardant par-dessus elle et d’un coup, le gars sort de la voiture, fait le tour, ouvre la portière droite, relève la jupe de la femme, et lui baisse la culotte ! Pour des suisses, ce sont des rapides, d’autant qu’il se contente de baisser son jean et aussitôt, ils baisent ! Et moi, je bande de voir ça et de voir Odile à quatre pattes, offerte à nouveau !

Je me reglisse dans cette chatte encore trempée qui ne demande que ça ! Aussitôt elle se pousse vers moi, je lui caresse le dos, tandis que les Suisses s’agitent de plus en plus. Je lui triture les tétons, elle se tortille, on entend un cri en contrebas et je suis sidéré de voir le gars se réajuster, la femme remonter sa culotte, la voiture partir tandis qu’on jouissait encore une fois Odile et moi.

Il s’en passe des choses dans les collines du midi !

Fin de cet épisode.
Bernard
Première publication sur Vassilia, le 21/04/2001

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