Les aventures uro de Virginie 2ème série par Virginie01

Les aventures uro de Virginie
2ème série
par Virginie

Chapitre 8
Bonjour Helena !

Pardon pour ce long silence, mais mon père avait un problème avec l’ordinateur. La bonne nouvelle, c’est que j’ai aujourd’hui un ordi pour moi toute seule dans ma chambre !

Je profite de mon retour en ligne pour vous raconter mon pont du 8 mai. Mon père ayant pris congé le vendredi, il est parti en week-end prolongé avec une amie, et m’a confié l’appartement pendant les 5 jours. Vous imaginez ma joie !

Mardi soir, dès son départ, je me change et enfile les vêtements que j’avais préparés depuis un moment : une brassière Dim sport blanche, culotte blanche assortie, superbe collant blanc opaque satiné sans démarcations ( acheté 17 euros en boutique ! ), jupe courte blanche et chemisier blanc.

Je m’installe devant la télé pour un gigantesque plateau télé, avec notamment des asperges ( pour la couleur et l’odeur du pipi !).

Vers 11 H 30, direction la chambre et au lit, toute habillée, bien évidemment. Me retenant depuis le matin, l’envie est importante ;je laisse échapper quelques gouttes ; puis d’avantage.

Au bout d’un moment, mon lit est trempé, et je m’endors dans une sensation de bonheur.

Le lendemain, réveille vers 9 H 30… le lit est encore mouillé. Je me dirige vers la cuisine. Assise sur un tabouret, je mange mes tartines, tout en me relâchant… L’urine coule dans mon collant, formant une flaque sur le carrelage.

Le reste de la journée se passe, régulièrement ponctuée de petits pipis.

Le lendemain matin, j’aère mon lit, l’odeur de pisse devenant très présente dans l’appartement.

Mon collant est couvert de traînées jaunâtres, et dégage une odeur prononcée. Ma jupe comporte aussi quelques tâches jaunâtres.

Je décide d’aller m’amuser à l’extérieur : je monte dans ma voiture ( Ah oui au fait : j’ai maintenant une voiture !!!! une petite Twingo verte, certes d’occasion, mais toute mignonne ! ) ; et direction le supermarché.

En sortant de la voiture sur le parking, je me demande les gens vont remarquer l’état de mon collant… On verra bien !

Je me promène dans les allées, et fais mes emplettes tout en m’amusant du regard que me porte certaines personnes…

A la caisse, la caissière, qui devait avoir à peu près mon age, ne peut s’empêcher de regarder sans cesse ma jupe et le haut de mes jambes. Croisant son regard, je lui fais un grand sourire, ce qui la fait rougir comme une tomate…

Je remonte dans ma voiture et me rends au bord d’un petit étang que je connais, à l’écart et au calme…

Une vaste place couverte d’herbes basses, juste au bord de l’étang me semble l’endroit parfait : je déballe donc mes courses : une boîte de 12 oeufs frais, une bouteille de sauce tomate, de la crème chocolat et vanille, et enfin un gros pot de fromage blanc.

Après un dernier pipi, je prends 2 oeufs que je pace dans ma culotte, au niveau des fesses. et je me lance dans une chorégraphie de danse moderne… que je termine assise sur le sol, les jambes écartées… Je sens les oeufs se casser, puis dégouliner à l’intérieur du collant. J’ouvre ensuite la crème chocolat, et, ouvrant légèrement le haut de mon chemisier, renverse la moitié de la boîte… la crème coule sur ma brassière, puis la jupe  et le long de mes jambes…. Je verse ensuite le reste de la boîte dans mon collant, au niveau des fesses. Idem pour la bouteille de sauce tomate…. La sensation est bizarre : mon collant est plein de chocolat et de sauce tomate qui suinte le long des jambes… Je continue ainsi jusqu’à épuisement de mes provisions…

Je suis couchée dans l’herbe, pataugeant dans un mélange gluant dont je suis couverte de la tête au pieds… et c’est vraiment le pied!!!! Le plaisir est intense… je déchire mon chemisier, puis ma brassière, libérant mes seins couverts d’un mélange de chocolat et sauce tomate. Après avoir déchirée la jupe, je me caresse à travers mon collant,… sentant l’orgasme venir, je transperce le gousset de celui-ci et le déchire complètement, ainsi que la culotte,….Le Plaisir… Total….

A très bientôt…
VIRGINIE

Chapitre 9
Bonjour Helena, c’est Virginie !
Il faut absolument que je vous raconte ma dernière sortie avec Delphine !
Nous sortons régulièrement ensembles, mais jamais je n’ai osé ( ni elle d’ailleurs… ) reparler du week-end au moto-cross, qui avait été assez chaud…
Un soir pourtant, elle y a fait allusion… et je me suis empressée de continuer, en disant que je m’excusais pour ce qui s’était passé, les fringues déchirées et le baiser… A ma grande surprise, elle me répondit qu’en fait elle avait particulièrement apprécié cette journée…

Quelques jours plus tard, un dimanche matin, Delphine me téléphone et m’invite à passer la journée avec elle.
A mon arrivée chez elle, elle me propose d’aller faire du roller sur la piste cyclable le long du canal, où elle va souvent.
Comme je portais une jupe, elle me propose de me prêter des vêtements plus adaptés…
Nous nous déshabillons, et Delphine propose de mettre un collant, un short de gym moulant, et un body…
Un peu surprise, j’accepte très volontiers cette idée…
Comme nos shorts et body sont très moulants, Delphine sort de son armoire deux slips et deux soutien-gorges – Sensation Nue de DIM- qui sont invisibles sous les fringues ; noirs pour moi et blancs pour elle. Nous terminons de nous habiller, Delphine prends un petit sac à dos avec quelques affaires et nous nous rendons au départ de la piste cyclable. Delphine était superbe, portant un body jaune, un short gris et des collants opaques blancs. Pour ma part, je portais un haut et un short noir, et de superbes collants opaques bleus clairs, que Delphine porte pour ces cours de modern-jazz.

Au bout d’une demi-heure, je me lance, et dit à Delphine :

– J’ai une énorme envie de faire pipi, mais je doute de trouver des toilettes par ici ; pourtant, si ça continue, je vais faire dans ma culotte…

Delphine me retarde un moment, puis un grand sourire illumine son visage et elle répond : – Moi aussi, j’ai envie, mais il n’y a effectivement pas de W.C. par ici, ni de coin à l’écart… tu as une idée ?

– Alors, il faut continuer et prendre le risque de mouiller nos culottes…
– OK, mais je ne vais pas tenir bien longtemps…
– Alors, laissons-nous aller, en continuant à patiner, cela ne se verra pas trop,… et puis d’ailleurs, on s’en fout des autres !

Avec un large sourire, Delphine me regarde et dit

– ça y est. trop tard pour sauver les meubles…

Je la regarde et constate effectivement que son short devient trempé, puis un flux dégouline le long de ses jambes. Je me laisse également allée, et sens l’urine remplire ma culottes, puis couler dans mon collant le long de mes jambes….
Tout en continuant à patiner, nous nous regardons avec des sourires complices…
Nos shorts st nos collants sont trempés d’urine, et le moins que l’ont puisse dire, c’est qu’il va être difficile de passer inaperçue…
Nous arrivons à un croisement de la piste avec une route sur laquelle des voitures se suivent, nous obligeant à nous arrêter à côté d’un groupe de deux mecs et deux nanas, de notre age. L’une des filles détourne son regard vers nous et écarquille les yeux…
Elle parle à l’oreille de sa copine, et les deux nous regardent en essayant de se retenir pour ne pas rigoler, en parlant à voix basse… Je leur lance, un grand sourire aux lèvres : – Vous devriez essayer, pisser en patinant, c’est génial !
Puis nous continuons, laissant le groupe médusé… Après avoir croisé pas mal de monde qui se retournaient tous à notre passage, Delphine me dit

– A la prochaine écluse, on peut traverser, et il y a un petit chemin tranquille de l’autre côté…

Me demandant quelle était son idée, je la suivais… Le chemin longeait le canal de l’autre côté, abrité par des arbustes.

– Il faut enlever nos rollers pour pouvoir continuer – dit Delphine ; ce que nous faisons, et nous nous retrouvons marchant en collants…
– Dis – donc, tu sais que nos collants risquent de ne pas aimer ça ? , Lui dis-je.

Elle répondit avec un sourire coquin

– il n’y a pas que ça qu’ils ne vont pas aimer…

Au bout de quelques minutes, je découvre un espace en béton servant de déversoir au canal, et qui est recouvert d’une couche d’au moins dix centimètres de boue…

– Voilà ma surprise ! – s’exclama Delphine… – A moins que tu n’ais peur de te salir, Virginie ?
– Absolument pas, mais tu m’avais bien dit que tu tenais beaucoup aux fringues que tu m’a prêtée ?

Sa réponse fut un grand sourire, juste avant qu’elle ne me fasse tomber dans la boue…

Comme nous attendions toutes deux ce moment depuis longtemps, nous nous sommes livrées à un combat amical mémorable ! Après que Delphine m’est déchirée le body ( avec pas mal de difficulté car il était résistant )et le soutien -gorge, libérant mes seins, je fis de même. Puis ce fût le tour de nos shorts et enfin des collants que nous nous sommes arraché lambeaux par lambeaux, jusqu’à nous retrouvées complètement nues, les slips ayant été arraché avec les collants…
Delphine commença alors à me caresser les seins, et nos bouches se rencontrèrent pour une étreinte fougueuse…

Après un nettoyage sommaire avec l’eau du canal, Delphine sortis de son sac des fringues de rechange, et nous avons rebroussé chemin, avec le souvenir d’un moment inoubliable…
Bisous…

Chapitre 10
Salut à tous et à toutes, c’est Virginie !

Je profite de ces vacances bien méritées pour vous donner de mes nouvelles…
C’était lundi dernier, Delphine me téléphone vers neuf heures du matin :

– Veux-tu que nous allions faire un tour dans les magasins ?

A 48 H du réveillon de Noël, il y aura sûrement beaucoup de monde, mais l’idée de passer une journée avec Delphine était loin de me déplaire, et j’accepte bien volontiers…
Je suis seule à l’appartement, et Delphine arrive vers 9 H, comme prévu, et nous partons nous balader en ville.

– Nous pourrions en profiter pour faire quelques emplettes vestimentaires… Me dit-elle avec un petit sourire. auquel je répond par un sourire entendu …

Nous rentrons vers 11 H, et je propose à Delphine de passer le reste de la journée avec moi, étant seule jusqu’au soir vers 20 H
Elle accepte et me propose :

– J’ai envie d’essayer quelques fringues, et nous pourrions retourner nous balader…  »

Devinant ses intensions, je m’empresse d’accepter et nous commençons à nous changer…
J’enfile un collant Dim brun à opaque à motifs losanges, une jupe beige courte de et un chemisier beige, tous deux achetés chez M….. ( vu le prix payé, je ne vais pas encore faire de la pub ! ); Delphine quant à elle porte une petite robe blanche hyper courte ( style sportive, comme les joueuses de tennis ) sur un superbe collant blanc opaque qu’elle a payé près de 20 euros…

Nous retournons en ville et, lorsque nous nous trouvons sur un escalier roulant dans un grand magasin, Delphine me dit un sourire aux lèvres

– J’ai oublié d’aller aux toilettes chez toi…,

Ce à quoi je réponds

– Moi aussi, mais je n’ai pas envie de perdre du temps à chercher les toilettes, et toi ? ».
– Moi non plus, d’ailleurs il me semble qu’il est trop tard… .

Delphine est juste devant moi sur l’escalier roulant, et je porte mon regard sur ses jambes pour constater qu’elle avait effectivement  » des fuites  » : un petit filet jaunâtre coule à l’intérieur de l’une de ses jambes…
Je m’empresse de l’imiter, et me laisse aller : je sens ma culotte se remplir, puis l’urine commence à couler le long de mes jambes…

– Petite cochonne ! , Tu essayes de me copier, alors allons-y ! Me dit Delphine, et au même moment elle se relâche complètement tout en marchant dans les allées : l’urine s’écoule généreusement le long de ses jambes jusque dans ses chaussures, son collant est largement mouillé…

Peu après, nous regagnons l’appartement après nous êtres amusés des nombreux regards interloqués des gens que nous croisions… ( il faut dire qu’il nous était difficile de passer inaperçues, surtout Delphine dont le collant blanc était complètement mouillé et couvert de traînées jaunâtres… )
De retour à l’appartement direction le frigo pour un repas sur le pouce.
Pour le dessert, je sors des crèmes au chocolat : Delphine me regarde avec un énorme sourire et dit :

– Ça, c’est très dangereux ! et j’aimerais quand même garder l’espoir de porter ces vêtements plus d’une journée… »
Sans répondre, je me place derrière elle, soulève sa robe, écarte son collant et sa culotte et verse un pot entier de crème au chocolat au niveau de ses fesses, puis remonte sa culotte et son collant, et lui donne une tape sur les fesses, faisant suinter le chocolat à travers le collant…

– Désolée, mais c’est trop de provocation de porter ces vêtements blancs avec moi ! Lui répondis-je…
– Alors c’est la guerre… Répondit Delphine en se jetant sur moi, un superbe sourire aux lèvres et les mains pleines de chocolat…

S’en suivit une mémorable bataille avec crème chocolat, oeufs et confiture de groseilles, au terme de laquelle nous nous retrouvons dégoulinantes d’un mélange brunâtre, Delphine ne portant plus qu’un lambeau de sa superbe robe et quelques petits morceaux de ce qui fus un collant à 20 euros ! , Quant à moi, il ne me restait plus qu’une manche de mon chemisier, et un morceau d’une jambe de mon collant…
Direction la salle de bains, pour une douche à deux, agrémentée de quelques câlins……..

Gros bisous et bonne année !

Virginie.

Chapitre 11
Coucou !
Bonjour Helena ! C’est avec plaisir que je partage ma dernière sortie avec Delphine…
C’était il y a 2 semaines, nous sommes allées en boîte le samedi soir . Nous avions passé l’après midi dans les boutiques de fringues, et nous avons découvert des trucs super sympa : c’est la gamme « body colors  » de DIM : un ensemble de t-shirt, brassières, collants, boxer, en mousse dans différentes teintes, hyper moulants et super sexy !
Delphine portait un collant rose taille basse, avec un collant noir résille sans pieds dessus, une jupe hyper courte noire,un t-shirt orange avec un petit top noir à fines bretelles . Quand à moi, je portais un collant noir, une jupe rouge et un t-shirt à manches mi-longues noir. Les collants et t-shirt étaient exactement de la même matière, et ces derniers moulaient parfaitement nos poitrines, d’autant que nous ne portions rien en dessous…
La soirée en boîte était géniale, et nous nous sommes beaucoup amusées des regards des mecs lorsque nous nous donnions la main ou nous faisions des câlins…
A un moment, nous dansions l’une contre l’autre, Delphine se trouvant derrière moi et caressant mes jambes tout en dansant… puis je sentais ses ongles faire des va-et-vient sur mes cuisses… je fermais les yeux en continuant à danser, sentant ses doigts traverser mon collant… puis nous avons inverser les rôles….
En retournant nous assoire, nous éprouvions un malin plaisir à voir les regards que jetaient les mecs à nos collants copieusement déchirés…
De retour chez Delphine dont les parents étaient en week-end et son frère à une sortie moto, nous nous sommes couchées toutes habillées, sans être passées par les toilettes depuis l’après-midi ! La nuit fut mémorable : Delphine fut la première à craquer : ne pouvant plus se retenir, elle se mit debout au-dessus de moi et se mit à uriner… puis je fis de même. Nous étions complètement trempées d’urine, tout comme le lit…
Au petit matin, direction la douche toujours habillées de nos vêtements imbibés d’urine… Sous la douche, pendant que nos bouches se rapprochaient pour des baisers fougueux, nos mains s’affairaient à retirer l’une à l’autre les vêtements sans aucun ménagement, les réduisant en lambeaux…
Quel week-end !
Bisous
Virginie

Chapitre 12
Bonsoir, Helena !

Cela fait bien longtemps…

En fait, mes études occupent la plus grande partie de mon temps.

Cependant, je m’adonne toujours à quelques petits jeux humides, surtout lorsque je retrouve Delphine …

J’en profite pour vous raconter une anecdote qui s’est passée l’automne dernier …

C’était en septembre un samedi matin. Delphine m’appelle au téléphone, et me propose d’aller faire les boutiques l’après midi, et de terminer la soirée chez une copine qui organisait une petite fête à l’occasion d’un anniversaire. J’accepte volontiers, d’autant que les occasions de passer un moment avec elle se font rares, du fait de mes études.

Nous nous ruinons donc l’après midi dans les boutiques de fringues, et nous rendons donc vers 19H à la soirée. La soirée était organisée sur le thème du blanc et du noir : les filles devaient s’habiller un blanc, et les mecs en noir.

Delphine portait un tailleur blanc composé d’une jupe courte, et d’une veste, avec un chemisier en soie et des collant blancs à couture. Quand à moi, je portais une robe en coton, avec des collants semi opaques, le tout blanc.

Durant la soirée, Delphine et moi étions assis avec deux mecs plutôt mignons …L’ambiance était vraiment décontractée …nous délirions sur toutes sortes de sujets …Tard dans la soirée (ou plutôt tôt le matin …), nous n’étions plus que 4 : la fille qui avait anniversaire, les deux mecs, Delphine et moi …

Je ne me souviens plus comment ni pourquoi, mais nous discutions des jeux à la TV , et plus particulièrement de Fort Boyard .L’un des mecs déclara que ce qu’il préférait , c’était le combat de boue entre deux femmes …Delphine lui répondit immédiatement que nous aussi …Ce à quoi il refusait de croire , et accepta de parier , avec son copain de nous laisser durant une journée entière faire ce que nous voulions avec eux , le jour ou il nous auraient vus nous battre dans la boue … ou réciproquement.

Delphine répondit : OK, dans quelques heures il fera jour, et vous verrez…

La soirée se prolongea donc jusqu’à l’aube … Vers 7 h, nous avons pris un café…L’un des garçons, Vincent, déclara :

« Alors les filles, je savais que ce n’était que du bluff ! Vous nous devez une journée ! »

Delphine et moi nous sommes regardées, puis nous leurs avons fait un grand sourire, en déclarant

 » Bien, il fait jour, préparez vous à êtres à notre disposition ! » …

Ils refusaient de croire que nous allions le faire, mais acceptaient de nous accompagner …Nous avons pris tous les cinq la voiture, après avoir emporté quelques vêtements prêtés par notre amie … Vincent connaissait à quelques kilomètres un petit étang de pêche à l’écart de la route, ou il y avait probablement une zone humide et boueuse.

Le soleil s’était levé, il faisait très bon. Arrivés à l’étang, nous prenons la petite route qui s’enfonce le long du bois jusqu’au bout de l’étang. Nous stoppons là, et sortons de la voiture. Nous éclatons tous de rire, très excités …Mais les deux mecs étaient certains que nous n’oserions en aucun cas franchise le pas …Et il faut avouer m’excitait beaucoup …je n’étais volontairement pas allée au toilettes …Je laissais quelques gouttes s’échapper tout en marchant …Nous arrivions à l’extrémité de l’étang …devant nous, une large étendue boueuse s’étendait sur plusieurs mètres, jusqu’à l’étang…L’excitation montait …Delphine me regardait avec un large sourire …

 » Vous n’allez pas le faire !  » S’exclama Vincent, en souriant …
 » Vous voulez vous avouer battus ?  » Demanda Delphine.
 » Vous rigolez !!! » répondit André, l’autre mec…
 » Mais vous allez vraiment le faire, dans cette tenue ?…C’est incroyable !  » …

Delphine retira ses chaussures et sa veste, et demanda à Vincent s’il pouvait les tenir…Je retirais également mes chaussures …Nous étions toutes deux follement excitées …Nous avancions doucement …je me lâchais complètement et laissais l’urine dégouliner …je constatais que Delphine n’était pas en reste : un filet grandissant d’urine coulait à l’intérieur de ses jambes …Nous entendions Vincent s’exclamer :

 » Ouahou !!! C’est Dingue, regarde, elles sont en train de se pisser dessus !!! »

Mais déjà, Delphine s’était jetée sur moi, nous projetant toutes deux dans la boue tiède… C’était délicieux !!!! Il y avait environ 10 centimètres de boue assez liquide…

Nous étions couvertes de boue, et nous battions comme deux gamines !!!! Nos vêtements viraient au brun, irrémédiablement foutus …Delphine m’arracha la première ma robe … Je lui déchirais son superbe chemisier en soie déjà couvert de boue, et constatais qu’elle portait dessous un splendide body en mousseline !… En quelques minutes, je n’avais plus que des lambeaux de mon collant, et Delphine également : son chemisier et sa jupe avaient disparus dans la boue, et de son body et son collant ne subsistaient que quelques morceaux qui pendaient … Mais c’était réellement l’extase !!!

Le fait de se sentir regardées par deux mecs qui étaient absolument certains qu’en aucun cas nous n’oserions abîmer nos vêtements (il faut quand même souligner que Delphine venait tout juste d’acheter les sous-vêtements – collant et body pour plus de 70 euros, sans compter la jupe du tailleur et le chemisier en soie !!!!!!!!!) a certainement augmenté le plaisir que nous avons ressentis ce jour là …sans compter la satisfaction d’avoir gagner le pari…

Gros Bisous

Virginie

Chapitre 13
 Bonjour, Helena, c’est Virginie !

Je suis en vacances ! ! !

J’en profite pour te raconter mon dernier week-end !

Le dimanche, nous sommes invités avec mon père à la première communion de ma petite nièce Carole. Je profite de l’occasion pour renouveler un peu ma garde robe aux frais de mon père , et je m’achète une petite jupe blanche courte , un superbe body Wolford blanc ( pas donné ! ) , et un collant Wolford blanc satiné .

La messe puis le repas se passent très bien, et dans l’après midi une envie d’aller au toilettes me prend. Je songe à Delphine et regrette qu’elle ne soit pas là, et décide de me retenir, si possible jusqu’au soir, avec l’idée de rester ainsi jusqu’au lendemain ! En effet, mon père devait partir tôt en déplacement le lundi matin, et je savais que Delphine serait chez elle !

Dimanche soir, nous quittons la fête vers 22 heures (il était plus que temps, car ma culotte ne pouvait plus en supporter d’avantage sans que cela ne devienne visible ! !).

Arrivés à l’appartement, j’embrasse mon père pour lui souhaiter bonne nuit et bon voyage pour le lendemain, et je fonce dans ma chambre, rentre dans mon lit et …je me relâche enfin ! Le lit est complètement trempé, mais je suis soulagée et heureuse, et je m’endors en pensant au lendemain !
Lundi matin, je me réveille dans un lit encore trempé, avec une forte odeur de pipi dans ma chambre. Mon père est déjà parti, je me lève et téléphone à Delphine pour lui proposer de passer la prendre !elle accepte bien sûr volontiers.
Je monte en voiture, et constate que ma jupe est bien auréolée de taches jaunâtres, ce qui me fais sourire !
Lorsque Delphine m’ouvre la porte, elle me regarde et lance, avec un grand sourire :

 » Ah d’accord ! Quel est le programme ?  » .

Je lui propose que nous allions le long du canal, sur la piste de roller, ou nous avions déjà passé un moment inoubliable. L’idée l’enchante , et elle part se changer , enfilant une petite jupe style Tennis grise à bandes noires , un petit top blanc sur une brassière blanche adidas coordonnée à son boxer , et un collant noir à bandes rouge et grise , de Golden Lady , il me semble . Elle me lance :

 » Tu as des affaires de rechange !au cas ou !  » avec un grand sourire !

C’est vrai que dans l’excitation, j’avais complètement oublié cela ! Delphine emporte donc des vêtements de rechange pour nous deux, et nous partons en voiture pour la piste de roller
Nous nous garons sur le parking près du canal, pas trop loin de l’écluse, enfilons nos patins, et commencions à avancer ! Heureusement, la piste n’est presque pas fréquentée en ce lundi matin, car, si Delphine porte une tenue plutôt sport, j’ai quand même un style bien particulier avec mes roller, ma jupe, mes collant et mon body blancs ! A mi chemin, je lance à Delphine :

– Zut, j’ai oublié d’aller aux toilettes chez toi !

Et elle me répond en souriant :

– C’est bien dommage, tu risques de faire dans ta culotte !

Je laisse l’urine couler le long de mes jambes, tout en patinant, et constate que Delphine fait de même !
Nous arrivons enfin près de l « endroit  » : le fameux déversoir du canal en béton .Il est recouvert d’une belle couche de boue épaisse ! Delphine me regarde avec un grand sourire et me lance

– Au fait, c’est chouette ce que tu portes, c’est neuf ?
– Oui « , je lui répond, en lui donnant le prix payé !
– Whaouw ! Je m’en doutais ! , Fait-elle, en me faisant remarquer qu’elle portait des sous vêtements tout neufs (le boxer et la brassière de la marque à trois bandes !) À plus de 50 euros, sans compter sa jupe tennis, le top et le collant !
– Alors, je pense que nous devrions faire très attention de ne pas tacher nos vêtements

Je lui répondais ! Puis dans un large sourire, elle s’approche de moi, me prends par la main, et m’emmène jusqu’au centre du déversoir. La boue fait au moins 20 centimètres d’épaisseur ! Je la regarde en lui disant :

– Tu sais que tu es une vilaine fille ! J’ai les pieds plains de boue, et mon collant est tout sale, je ne sais même pas si ça partira au lavage ! Tu mérites une punition !

Et nous nous jetons l’une sur l’autre, tombant dans la boue, ou nous nous livrons à une bataille féroce ! La sensation est magique ! La boue est très épaisse, un peu chaude ! Nous sommes complètement recouvertes de boue, et rions comme des folles !nos mains parcourent nos corps ! Delphine plonge sa main dans mon body, le déchire ainsi que mon soutien-gorge, libérant mes seins qu’elle caresse !je suis au septième ciel, et fais de même, lui arrachant son top et sa brassière ! Nous nous frottons l’une sur l’autre, nos seins se mélangent, alors que nos mains arrachent sans ménagement nos collants et sous vêtements, cherchant nos intimités ! Dans un plaisir absolu !

C’est sans aucun doute la plus belle expérience de ma vie, et je pense que Delphine partage cet avis !

Gros bisous
Virginie

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Une réponse à Les aventures uro de Virginie 2ème série par Virginie01

  1. Govard dit :

    Je ne vois pas quel plaisir on peut avoir a déchirer ses fringues, alors qu’il ya des gens qui ont du mal à s’en payer !

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