Les aventures d’Andry 2 – J’y retourne par Andry

Les aventures d’Andry
2 – J’y retourne
par Andry

C’était le samedi suivant et je me demandais si je retournerais chez celle que je n’appellerai pas mon amante mais ma Maîtresse avec un M majuscule parce que c’était une femme dominatrice et qu’il me fallait lui obéir.
Cela, il me fallait bien le reconnaître, faisait une fameuse différence.

La semaine s’était passée très vite, mais je n’arrêtais pas de songer à mon aventure du samedi précédent. Un incident cependant est survenu durant la semaine lorsque ma femme est entrée dans la salle de bain pendant que tout nu j’étais occupé à ma toilette. Elle remarqua les marques laissées par la cravache sur mes fesses. Je dus inventer une histoire pour m’expliquer, mais à voir la façon dont elle me regarda, je voyais bien qu’elle était très sceptique.

De la série de coups de cravache que j’avais reçu , les premiers ça pouvait aller , les marques s’étaient rapidement estompées mais quant aux derniers coups c’était tout autre chose, les marques se voyaient toujours et à chaque fois que je m’asseyais, je m’en rappelais. Je m’étais bien dit qu’il fallait cacher ça à ma femme mais son entrée inopinée me surpris.

Au boulot c’était tout autre chose .Quelle ne fut pas ma surprise lundi matin en arrivant au bureau de constater que toutes les femmes de mon service étaient vêtues de mini jupes ultra courtes. Je compris instantanément que le téléphone avait dû chauffer durant le week end et que la jeune dame qui m’avait vue en rue accompagné d’une jeune personne à l’allure provocante avait éventé l’histoire.

Je pris le parti d’en rire et les complimentais sur leur tenue, malgré les fous rires dont j’étais la victime. J’avais crains que mon autorité n’en prenne un coup et malgré que les filles me fassent ramper, c’était tout le contraire qui c’était passé.La tension du bureau était retombée, la bonne humeur s’était installée et tout le boulot s’exécutait comme par enchantement.

Les filles continuèrent à venir tous les jours courtes vêtues. Mon directeur me regardais d’abord avec suspicion, mais finalement vu les résultats me félicita. Tandis que mes collègues me firent quelques remarques désagréables trahissant leur jalousie.

Je ne pus m’empêcher de féliciter celle qui avait éventé l’histoire, sans le vouloir elle avait débloqué une situation tendue que je vivais avec mon personnel et loin de lui en vouloir je lui accordais son augmentation.

C’était devenu très agréable de les voir ainsi de bonne humeur, montrer leurs gambettes, déambulent en mini jupes qui emballaient si bien leur joli petit cul .J’avais bien de la chance et serais vraiment bête de me plaindre de vivre dans une telle ambiance pareille qui avait tout pour me plaire vu la tournure gentiment sexy de la situation.

Les filles me voyaient autrement. Elles savaient maintenant que je n’était pas l’homme froid et dur que je laissais paraître mais que j’étais bien plus humain et était vulnérable face au sexe soi disant faible.

J’avais pensé tout arrêter pourtant et ne pas retourner chez cette Maîtresse, mais vu la tournure positive des événements je me dis qu’il n y avait pas de raison d’arrêter et mes démons intérieurs me tenaillant m’aidèrent à prendre la décision d y retourner.

Je marchais dans la rue tout en pensant à la créature de rêve rencontrée la semaine avant, je pensais à sa douce foufoune que j’aimais lécher et rapidement je me retrouvais devant la porte de l’appartement de Maîtresse Catty et je sonnais. La porte s’ouvrit et un grand sourire m’accueillit.

– Bonjour Maîtresse, m’entendais je dire.
– Chouette, tu es revenu ! Ça me fais énormément plaisir, entre je t’en prie.

Devant un tel accueil et une telle gentillesse, comment ne pas fondre de plaisir. Pourtant je savais aussi qu’elle pouvait être très exigeante et punissait sévèrement mes manquements.

Encore une fois elle était habillée avec beaucoup de classe. Une joli short en cuir rouge, campées sur une paire de chaussures dorées à talons hauts de dix cm au moins, ses belles jambes gainées de bas résille noire, une petite veste en cuir rouge couvrant à peine le top scandaleux qui dissimilait difficilement sa paire de seins tout en les mettant en valeur.Sa belle chevelure noir geais s’étalait délicieusement sur ses épaules.
Toute en rouge et noir, elle était à croquer et je bandais déjà comme un imbécile. Pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas.

Je la complimentais sur sa tenue et lui dis qu’elle était sublime et qu’elle me plaisait.
Elle me remercia d’un large sourire franc et me dit.

-Tu sais je t’attendais, j’espérais que tu reviennes, je suis tellement contente que tu sois là, tu es donc d’accord de poursuivre notre relation ?
– Je m’en remets à vos décisions, j’ai aimé souffrir pour vous et ais envie de recommencer et même d’aller plus loin encore pour votre plaisir.
– Je dois reconnaître que tu me plais, tu es un bon petit esclave mais sois assuré que je te donnerai aussi du plaisir (rires), tu souffriras de plaisir, comprenons nous bien.
– Oui Maîtresse.

Ce qu’il y avait de particulier avec elle, c’est que tant que la relation de domination n’avait pas commencé tout semblait doux et gentil et on nous prendrait pour les meilleurs amis du monde vu notre complicité. Sauf qu’il fallait que je reste à ma place et la tutoyer serait certainement mal venu.

On s’installa au salon, elle avait pour toute éventualité mis une bouteille de champagne au frais. Elle fit le service et nous bûmes deux flûtes à la santé de notre relation. Elle me demanda comment ma semaine s’était passée et je lui racontai l’incident de la salle de bain et le regard inquisiteur de ma femme.

– Pourtant ce n’était pas grand chose à côté de ce que je t’ai réservé pour aujourd’hui, me dit-elle.

Mince alors me dis-je, si jamais je rentre encore avec les fesses toutes zébrées, il ne sera plus question de raconter une histoire idiote à ma femme si elle s’en aperçoit.

Je lui racontais ensuite ma surprise du lundi matin et la suite de ma semaine ravissante.

– Tu sais Andry, tout naturellement c’est souvent ceux qui dirigent des femmes qui sont les premiers à aimer se soumettre. Je trouve que tu as bien de la chance de savoir l’accepter et suis contente pour toi. Tu vois bien qu’il ne faut pas être coincé ainsi, tu en retirera beaucoup de satisfaction tu sais. Conclut elle.

-Viens devant moi maintenant, j’ai un petit cadeau pour toi, ajouta-t-elle.
Et elle me mit un collier en cuir muni d’anneaux autour de mon cou.

Tout d’un coup la sentence tomba.

– A poil maintenant !

Je me déshabillais prestement.

– A genoux !

Je m’exécutais aussitôt devant elle.

– Les mains derrière la tête !

Ce que je fis.

– Et maintenant qu’est ce qu’on dit à sa Maîtresse ?
– Je t’adore.
– Tu adores qui?
– Je t’adore Maîtresse.
– Ah ! Voila qui est mieux.

Elle pris deux bracelets munis d’anneaux qui se trouvaient à proximité et me les fixa aux poignets.

– Maintenant lève-toi et mets-toi face au mur en dessous de l’anneau là bas !

Elle pris une corde qu’elle attacha aux anneaux des poignets et puis passa la corde dans l’anneau qui était au dessus de ma tête, tira un coup sec et ordonna

– Sur la pointe des pieds !

Je m’étirais sur la pointe des pieds.

Elle profita d’un coup sec de sa cravache sur mes fesses qui me fit sauter pour tirer fermement sur la corde et la nouer à l’extrémité d’un autre anneau plus bas sur le coté. Je me sentais étiré sur la pointe des pieds, immobilisé et complètement à sa merci. Je bandais de plus belle. Elle commença à me torturer les tétons et je ne pus retenir un râle de douleur.

– Ainsi tu me manques de respect quand tu rentres chez moi, me dit elle.
– Comment Maîtresse ? Jamais je ne ferais cela.
– Ce n’est pas grossier de rentrer ici en bandant comme un mâle en rut sans doute ?
– Pardon Maîtresse ? Je n’ai pu m’empêcher.
– Soit, mais tu sera puni et d’une manière dont tu te souviendras.
– Oui Maîtresse, punissez moi, si vous pensez que je le mérite.
– Je dois m’absenter un moment pour aller chercher de quoi te punir ? Mais en m’attendant bien sagement tu porteras ces pinces sur les tétons.

Elle me fixa une paire de pinces reliées par une chaînette qu’elle tira vers le haut pour l’attacher au crochet juste devant moi. Ca pinçait et tirait ferme et comme je n’avait d’appui que sur la pointe des pieds je ne savait rien faire pour diminuer cette traction et me soulager un peu.

Je l’entendis partir. J’étais là immobile, à souffrir, impuissant, à attendre son bon vouloir de revenir.
Elle était partie chercher quelque chose, mais quoi ? Ne suis je déjà pas suffisamment puni ainsi avec ces pinces qui tirent sur mes mamelons ? N’a-t-elle donc pas tout ce qui lui faut ici, je vois la cravache qui traîne sur la table à côté et je me demande ce qu’elle est allée chercher.

Ou bien c’est un prétexte pour me laisser mijoter dans cette position peu confortable. Pourtant me sentir ainsi à la merci de ses fantaisies me fait bander de plus belle même si elle n’est pas là. Dire qu’il y a une semaine j’ignorais tout de ces pratiques et maintenant j’y prenais déjà plaisir !

Combien de temps suis-je resté là, suspendu sans savoir l’heure, je ne sais pas mais cela m’a paru une éternité. Le jour est en train de tomber et il se fait tard. Ma femme doit s’inquiéter.

Soudain je l’entend rentrer un bouquet d’orties à la main et suis surpris de l’entendre s’excuser car elle avait mis plus de temps qu’escompté pour trouver les orties qu’elle ramenait.

– Excuse-moi mon petit, mais il m’a fallu chercher quelque peu pour en trouver des biens fraîches me dit elle tout en me caressant les fesses avec son fameux bouquet. La sensation fut immédiate.

C’était donc ça. Elle voulait me punir avec des orties.

Gantée elle en prit une poignée et commença à m’en caresser les fesses, puis plus énergiquement à les frotter. J’avais le feu au cul, c’était une sensation bizarre qui n’était pas trop forte au début puis allait en s’amplifient et à brûler intensément. J’essayais de bouger le moins possible vu que les pinces reliées au mur tiraient douloureusement au moindre mouvement. Elle en reprit une poignée et commença à me fouetter avec sur les fesses, mais aussi sur le dos et enfin sur les jambes. Je n’en pouvais plus et lui dis

– Pitié, je n’en peux plus, arrêtez de grâce, je vous en supplie !

Elle fit comme si elle n’entendait pas.

– Ecarte tes jambes !

Tant bien que mal j’essayais d’écarter mes jambes tout en ressentant une douleur intense dans les tétons pincés et retenu par la chaînette au crochet du mur.

Elle reprit une troisième poignée d’orties et me masturba la queue et les couilles avec, je me mis à me tortiller, à gigoter et hurlais de douleur mais aussi de plaisir car je me laissais aller et éjaculais contre le mur.
Elle me retira les pinces rapidement, mais comme je jetais un coup d’œil sur le côté je lus quelque chose d’indescriptible dans son regard.

-Il ne manquait que ça, souiller le mur, tu es un vrai cochon, tu vas me le payer !

Elle s’empara de la cravache et m’annonça une série de dix coups. Le premier siffla et cingla mon fessier

Cette fois, le feu au cul et la queue pendouillante ça faisait vraiment mal et je hurlais ma peine.

– Compte les coups que je te donne au lieu de hurler ainsi !

Je n’avais pas envie de tergiverser et pour en finir le plus tôt possible j’obtempérais,

– Un.
– Non, c’est quand je reprendrai qu’il faudra compter.

J’en reçus un de nouveau

– Deux, dis je.
– Comment ça, deux ?
– Un, répétais je rapidement par crainte d’en recevoir davantage.
– Tu pourrais aussi me remercier, alors on recommence tout par le début.

Les coups se mirent à pleuvoir et à me faire horriblement mal, mais la craignant, appliqué, j’essayais de ne pas me tromper, je comptais et la remerciais docilement.

– Un, merci, Maîtresse,
– Deux, merci, Maîtresse,
-Trois, merci Maîtresse,

Je sentais que mon pic à nouveau était prêt à l’ascension et repris plaisir à sa cravache. Débarrassé des pinces, je sautillais sur la pointe des pieds glissant ma queue sur le mur.

Elle n’arriva pas aux dix promis que déjà je partis en giclées successives sur le mur.
Elle me détacha de la corde et me donna l’ordre de nettoyer.

– Qui souille, nettoie, alors dépêche toi !

Dégoûté, je m’exécutais et léchais le mur et le sol en avalant tout le foutre que j’avais projeté.

-Maintenant fais-moi une minette mieux que la semaine passée car tu t’étais laissé distraire quelque peu hein.

Le moment le plus délicieux arrivait et ça j’aimais vraiment, aussi je m’empressais à lui faire plaisir pour la remercier du supplice qu’elle avait bien voulu m’octroyer et qui m’avait procuré tant de jouissance.

Je mis tout mon savoir faire à son service. J’avais les mains libres cette fois, aussi je commençais par lui caresser les fesses avant de lui ôter son micro string rose tout mouillé de cyprine, l’embrassais partout et lui léchais le cul avant de brouter son minou et de fourrer ma langue dans son intimité. Elle était trempée à souhait, je lui procurais des baisers et des coups de langue comme jamais je ne l’avais fait encore à personne, tellement ma reconnaissance était grande de pouvoir la sucer et la boire.

Je titillais sa friandise, jouais avec les piercings, je mordillais, j’avalais sa mouille. Le résultat ne tarda pas, elle se tortillait dans tous les sens, un spasme violent lui traversa tout le corps, elle hurla de plaisir…

Je lisais sa gratitude dans ses yeux.

– Mais comment diable fais-tu ? Jamais personne ne m’a procuré autant de plaisir, j’aimerais te garder pour moi toute seule, tu serais mon esclave, j’inventerai de nouveaux jeux et on s’amusera comme des fous.

– Votre proposition me flatte, mais je suis marié et ce soir vu l’heure, je me demande ce que je vais raconter à ma femme.
– Tu peux toujours dormir ici, la nuit porte conseil et demain tu trouveras bien une solution.

J’avais si peu envie d’affronter ma femme que j’acceptais sa proposition. Nous avons encore bavardé longuement, de tout et de relation sadomasochiste aussi. Elle m’a expliquée comment elle en était arrivée là.

Avant, elle était mariée à un homme qui l’avait initiée à ces jeux.
Ils avaient aménagé le salon en donjon. Ils alternaient les rôles de Maître ou de Maîtresse, mais un jour il est allé trop loin et l’a traitée comme un vrai sadique qui ne comprenait rien à une vraie relation SM amoureuse.

– Ce jour là j’ai juré que l’on ne m’y reprendrait plus et que dorénavant, la Maîtresse ce serait moi. Lui, il a préféré partir.

Je ne pus m’empêcher de penser à sa cruauté de me fouetter parce que j’avais éjaculé sur le mur mais vu que j’avais jouis une seconde fois, c’était sûrement un plus qu’elle avait voulu m’octroyer. Moi qui rêvais de massages orientaux j’étais servi et à défaut je goûtais au plaisir de la flagellation.

Je lui racontais que jusqu’à il y a une semaine je n’avais jamais expérimenté une chose pareille et que même j’ignorais que cela puisse exister. Mais maintenant que je l’avais essayé ça me plaisait beaucoup et que je trouvais normal de me soumettre à une Maîtresse d’une telle classe.

Il fallait être fou pour lui dire des choses pareilles. Que sera ce la prochaine fois ?

-Tu peux me croire, je serai une très bonne Maîtresse pour toi. Ayant été soumise moi même, je sais ce que tu peux ressentir et par amour je te le donnes, tu n’as rien à craindre. Je t’aimes, me dit- elle.

Tendrement je la serrais dans mes bras.

– Moi aussi je vous aimes et suis même fou de vous, n’empêche que la cravache m’a bien fait mal.
– Tu n’as pas eut bon mon petit ? Il m’avait pourtant semblé que si.
– Oui j’ai eus bon, mais pas tout de suite. Quand vous avez entrepris de me fouetter alors que je ne bandais plus c’était très douloureux.
-Je suis vraiment désolée, mais te voir gigoter ainsi puis éjaculer contre le mur m’a excitée comme une folle, je mouillais comme pas possible et ne me contrôlais plus. Je te fais mes excuses et t’accorderai une gâterie supplémentaire ce soir pour me faire pardonner.-Tu reviendras quand même dis ?

Je me rendais bien compte que si elle me fustigeait ainsi en y prenant plaisir, elle était très attentive à m’en procurer aussi.

– Mais oui, répondis je.
– Oh ! Chouette, je m’en réjouis déjà, rétorqua t elle toute emballée.

Puis nous avons préparé et prit un petit dîner en amoureux. Ensuite mort de fatigue nous nous sommes rapidement mit au lit. Elle vint blottir ses fesses à l’intérieur de mes cuisses et prenant ma queue dans sa petite main, la masturba quelque peu, se l’enfila et s’endormi.

Bandant, je compris que s’était sa gratification, je restais un moment éveillé, caressant ses seins d’une main, tripotant ses cheveux de l’autre. Songeur, je méditais à l’amour que je lui portais et me sentis partir en spasmes délictueux et éjaculais pour la troisième fois aujourd’hui.

Dans l’âtre chaud de ma Maîtresse cette fois. M’en voudra elle ?

Vu que c’était ma récompense, tout au plus, demandera t elle de nettoyer, mais ça j’adorais.
Je songeais un instant lui rincer la chatte, mais à l’entendre ronronner, je n’en fis rien.

Exténué, je m’endormis.

J’étais si heureux

Andry

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Une réponse à Les aventures d’Andry 2 – J’y retourne par Andry

  1. Pulsar dit :

    En matère de domination on a lu mieux, mais j’ai bienaimé le passge avec les orties

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