Durant les quinze jours qui ont suivi ma deuxième rencontre avec Nathalie j’ai revécu comme dans un rêve les moments merveilleux passés entre les cuisses de Nathalie et sous ses fesses je me suis remémoré son odeur, le goût de sa mouille, de son urine et… de sa crème rectale.
J’ai eu plusieurs fois l’envi de l’appeler mais me suis retenu me souvenant du délai fixé.
Lors de mon appel elle me félicita de ma ponctualité me disant qu’elle attendait cet appel, qu’elle était prête à me recevoir à nouveau, qu’elle avait durant ces quinze jours concocté un programme qui, elle l’espérait me permettrais de lui procurer du plaisir.
Je lui confirmais ma disponibilité pour la servir docilement afin de lui donner entièrement satisfaction afin de mériter une éventuelle récompense.
Je lui avouais que depuis notre première rencontre je vivais dans l’extase, que les moments passés, mon visage dans son intimité m’avait comblé au-delà de toutes mes espérances que je n’avais cessé de revivre en pensée chacun de ses instants.
Je lui confirmais que mon souhait de lui donner du plaisir passait avant toute espérance de ma propre jouissance que mon plaisir était de ressentir le sien que de ce fait elle n’avait aucune limite que j’étais certain d’apprécier tout ce qui pourrait lui procurer plaisir et jouissance.
Nous avons convenu d’une rencontre le lendemain neuf heures (Nathalie me précisa qu’elle souhaitait que je me présente en ayant faim et soif)
Lorsque je pénétrais dans sa chambre Nathalie alluma immédiatement la lumière me disant :
– Vite ce matin ça urge je ne peux plus me retenir.
Elle me fit mettre à genoux au pied du lit le torse incliné en arrière de façon à ce que ma bouche soit à peu prés à la hauteur d’une cuvette de wc. Nathalie me déclara :
– On commence par l’apéritif !
Nathalie m’enjamba et se soulagea en moi comme elle l’aura fait dans une cuvette réglant cependant son débit afin de me permettre de n’en pas perdre une goutte.
Nous regardions avec délectation ce merveilleux spectacle échangeant des regards entre chaque rasade pendant que je déglutissais.
Nathalie me dit aimer voir son liquide pénétrer dans ma bouche je lui avouais apprécier aussi de voir le jet sortir de sa vulve elle me gratifia d’une vision exceptionnelle en écartant ses lèvres vaginales afin de me permettre de voir son nectar sortir vraiment de sa source.
Je compris pourquoi elle m’avait dis d’avoir soif car elle me gratifia d’une quantité exceptionnelle que je bus avec un plaisir infini, d’autant plus qu’elle fit durer la séance, multipliants les petits jets.
J’eus la confirmation de son coté voyeur en constatant que plusieurs miroirs judicieusement positionnés avait été installée depuis notre dernière rencontre.
Nathalie se recoucha afin que j’effectue avec ma langue sa toilette intime ce que je fis avec soin terminant par son petit trou auquel je trouvai un certain goût que je reconnu (elle m’avoua ne s’être que légèrement essuyée la veille en pensant à ma visite du lendemain)
Son cul bien lubrifié Nathalie me dit devoir se soulager mais m’annonça vouloir le faire dans l’intimité (je regrettais me souvenant du saladier lors de notre dernière rencontre mais elle se retira)
Son absence dura un certain temps puis j’entendis tirer la chasse d’eau.
Nathalie pénétra dans la chambre arborant son merveilleux sourire mais avec un air pervers ; je compris vite pourquoi.
Nathalie me fit me coucher sur le dos, m’enjamba et commença à s’accroupir doucement sur moi et horreur son fessier était complètement souillé. Nathalie me dit
– Le repas commence. Lèche (j’étais effrayé et regrettais lui avoir dis la veille qu’elle n’avait aucune limite à respecter)
Elle continua à s’accroupir avec une vitesse calculée mais inexorablement.
Je ne savais quoi faire, pétrifié; mais comme ses fesses approchaient je finis par tirer la langue pour faire un essai et surprise, elle s’était tartinée de Nutella. (Je poussais un soupire et Nathalie éclata de rire)
Je léchais sans retenu la nettoyant complètement et pu constater que vers le centre le goût était un peu plus acre elle ne s’était donc pas essuyé. J’exécutais ma mission m’attardant dans ce cul que j’appréciais de plus en plus si bien que Nathalie explosa dans ma bouche me gratifiant d’un jet de foutre.
– J’espère que c’est bien propre (me dit-elle)
…et me tendant une saucisse de Strasbourg me demanda de lui introduire dans l’anus et de la déguster sans me servir de mes doigts. (Je compris d’après ses commentaires l’utilité des miroirs savamment positionnés)
Je crois que je ne pourrai plus manger une saucisse sans penser au cul de Nathalie ; mais je ne sais pas si je les apprécierai autant.
Nathalie me dit que le spectacle l’excitait beaucoup et me tendis une deuxième saucisse que je dégustais lentement et avec délice, tout en lui faisant effectuer quelques vas et viens qu’elle sembla apprécier.
Elle me proposa de boire et de changer de breuvage n’étant pas encore en mesure de me servir son cru intime. Se saisissant d’une bouteille de bordeaux et la tâtant me dis
– Elle n’est pas assez chambrée je vais arranger ça
Et s’en versant une rasade au goulot elle vint me le déverser directement dans la bouche. Hummm j’appréciais ce chambrage original.
Se positionnant sur le ventre elle me dit en me tendant la bouteille.
– Pose ta bouche sur mon cul et chambre le toi-même en le faisant couler lentement dans ma raie fessière.
Le vin de très bonne qualité fut magnifié par ce flacon de chair. Nathalie se saisi ensuite d’une banane de bonne dimension qu’elle éplucha délicatement.
Elle me la mit dans la bouche, puis s’accroupissant au-dessus de moi s’empala sur ce sexe végétal. J’avais quelques difficultés à maintenir la banane en bonne position mais cette vision de sa chatte pénétrée au-dessus de moi fut merveilleuse et surtout très érotique.
Nathalie s’activa lentement faisant durer le plaisir dans un va-et-vient de plus en plus profond m’enfonçant par moment la banane au fond de ma gorge puis posant sa vulve sur ma bouche explosa avec un long râle de plaisir qui se termina par !
-…Maaaaaannnge.
Je dégustais ce fruit légèrement enduit de sa liqueur par petites tranches prenant le temps d’admirer ce tableau (ce fruit jaune dans son écrin de chaires roses et de poils noirs) magnifique et très excitant.
Je crois que désormais j’apprécierai différemment les bananes.
– Je veux maintenant une très longue séance de léchage mais au lieu de parler je vais t’indiquer le parcours de ta langue avec de la crème chantilly.
Ma langue eu droit à un parcours complet de son corps parfait qui se terminât en apothéose les cuisses largement écartées enduites de crème avec un monticule au centre.
C’est dans cette position de quasi grand écart qu’elle eu un nouvel orgasme. J’eu ensuite droit à un très long face-sitting ponctué par sa jouissance et la dégustation de son nectar.
Ma récompense vint ensuite (mais peut-on parler de récompense quant elle annonce aussi la fin de la rencontre) dans un 69 ou j’explosais dans la bouche de Nathalie au moment ou elle me gratifia de sa dernière rasade de son cru intime.
Nathalie me congédia avec la promesse d’une nouvelle rencontre à son initiative. J’attends dans l’extase.
Une petit récit à la romaine qui fonctionne parfaitement
Pourquoi « à la romaine » ?
Référence aux Romains de l’antiquité qui mélangeaient sexe et bouffe dans leurs orgies 😉
C’et plein de bonnes idées, ce récit
Bananes et saucisses, ce sera le repas de ma copine demain soir ♥