Le couple alternatif par Venice

Le couple alternatif
par Venice

Pourquoi avais je accepté ce dernier verre ? Parce que j’étais dépité que la jolie brune qui m’avait allumé toute la soirée se soit tirée avec un autre en me tirant la langue. Qu’importe, le fait était que je me retrouvais chez ce type, la trentaine, pas vraiment beau.

A peine la porte de son appartement refermée, il s’est planté face à moi et a commencé à défaire un à un les boutons de ma chemise. Il finit par la sortir de mon jean et passer ses mains sur mon torse. Il commença également à déposer des baisers sur ma poitrine et à lécher mes tétons. Je bandais aussitôt comme un malade mais restais tétanisé, incapable du moindre geste.

Ses mains descendirent vers mon ventre et s’attaquèrent à défaire ma ceinture. Puis il descendit ma braguette et plongea la main entre le pantalon et le slip. C’était l’été, il faisait chaud et j’avais un tanga d’où ma queue essayait désespérément de jaillir.

– Quelle belle queue tu as, murmurait il, oh oui quelle belle queue, continuait il en la caressant a travers le tissu. Je restais sans réaction, excité, apeuré et honteux. Merde j’étais en train de devenir pédé ou quoi ?

Puis il s’agenouilla et fit glisser mon jean sur mes chevilles.
– Lève ton pied.

Je l’aidai à me débarrasser du pantalon et restai immobile, en slip, lui à mes genoux. Il commença à mordiller mon sexe a travers le tissu ultra fin du mini slip. J’étais au bord de balancer la purée. Il le sentit et cessa, restant agenouille à mes pieds. La pression descendit et il entreprit alors de m’ôter mon slip : il le fit descendre de quelques centimètres, libérant ainsi mon sexe et mes couilles. Je bandais à la verticale, le gland tout recouvert de rosée. Sans fioriture il entreprit de l’introduire doucement dans sa bouche tout en lapant le bout du gland puis commença quelques allers et retour entre ses lèvres. J’étais à nouveau au bord de tout lâcher. Ce qu’il sentit ; il se releva alors et voulut m’embrasser. Je détournais la tête. Il n’insista pas.

– A ton tour de me déshabiller me souffla t’il dans l’oreille.

Sans beaucoup de volonté, j’obéis et défis sa chemise. Il était alors torse nu, un peu gras, avec un léger ventre. Je n’osais aller plus loin. Il défit alors son pantalon et prit ma main qu’il plongea dans l’ouverture. Il bandait, je caressais son sexe à travers son slip. Il me semblait que sa bite n’était pas très grosse. Et là, lisant dans mes pensées, il souffla  » une vraie bite à dépuceler, hein ? » Je ne répondis rien, j’étais sans volonté.

– Retire mes fringues lâcha t’il en m’appuyant sur les épaules pour me faire m’agenouiller

C’est ainsi qu’à ses pieds j’entrepris de faire glisser son jean sur ses chevilles. Il s’en débarrassa en l’envoyant valser à 3 mètres. J’étais à genoux, son slip gonflé devant le visage, incapable du moindre geste. Il me saisit par la nuque et me plaqua la tête contre son engin toujours planqué derrière le tissu. Il grognait oui, oui.  » Suces moi maintenant « .

Je me refusais à obéir.

– Vire-moi ce slip, d’abord.

Je le fis donc glisser le long de ses jambes libérant un petit sexe d’une douzaine de centimètres maximum, assez fin et bandant à l’horizontal. Lui aussi mouillait.

– Suces moi, je n’en peux plus gémit il.

Je préférais me relever. Il m’attira alors contre lui pour me rouler une pelle. Ce coup ci je me laissais embrasser. Il empoigna mes fesses et se mit à se frotter contre moi, nos deux queues dressées l’une contre l’autre. Et d’un coup je me mis à jouir, nos deux ventres plaqués l’un contre l’autre. Il eut l’ait déçu,  » oh non, déjà…  »

Il s’écarta de moi. Mon foutre s’était répandu sur mon ventre, le sien, sur sa queue. Il tendit les doigts vers moi pour recueillir mon sperme. Puis brusquement me rempoigna les fesses en me tartinant la raie avec. Ses doigts s’attardèrent autour de mon anus et il y introduit le majeur. Il me fit alors pivoter et se plaqua contre moi, sa queue entre mes fesses. Il entreprit de me caresser le bas du ventre et de faire rouler mon sexe quelque peu débandant entre ses doigts. Mon slip descendu en haut des cuisses. Puis empoignant sa queue il fouilla avec entre mes fesses jusqu’à trouver ma rondelle. Il ramena le reste de foutre qui était sur nos ventres et en enduisit son mince sexe.

Je sentis son gland se positionner contre ma rondelle et il commença à pousser. J’étais complètement sous son emprise : je ne voulais pas me faire enculer mais était incapable de refuser. Je sentais mon anus s’ouvrir doucement puis enfin je le sentis se refermer sur la tige de sa verge, son gland était entré dans mon cul enduit de sperme. Le mien. J’étais surpris de ne pas avoir eu mal – ou si peu.. Il avait raison, c’était une vraie queue à dépuceler.

– Ca va ?

J’avais trop honte pour répondre et restais muet. J’avais la tête dans mon bras replié et appuyé au mur. J’étais cambré et pouvais voir ma queue luisante qui pendait entre mes jambes et mon petit slip blanc qui affleurait sous mes couilles, mes pieds largement écartés.

Il m’empoigna alors par les hanches et commença un lent va et vient. Je voyais ma queue se balancer au rythme de ses coups de bite. Il grognait dans mon dos, son ventre posé sur le haut de mes fesses. Ca ne durait pas depuis plus de 3 minutes quand il s’est enfoncé en moi en jouissant dans un râle.

On est resté debout, emmêlé un long moment puis j’ai senti sa queue qui s’échappait de mon corps. Du sperme coulait le long de ma cuisse. Il a remonté mon slip sur mes fesses et a passé son majeur le long de ma raie

– Je vais prendre une douche, il a lâché. Tu peux dormir ici.

A cette heure ci, je n’avais de toute façon pas le choix. J’ai obéi et me suis glissé sous le drap du lit qu’il venait de m’indiquer. Nous avions bu, le sommeil est venu rapidement je me souviens juste l’avoir entendu se coucher a mes côtés.

Quand je me suis réveillé avec une légère gueule de bois, le déroulement de la soirée m’est revenu en mémoire. J’ai porté la main entre mes fesses : elles étaient toutes poisseuses de foutre. Et d’un coup ça m’a terriblement excité et je me suis mis à bander comme un cerf. Lui aussi était réveillé. Il a tendu la main sous le drap, vers ma bite.

– Oh mais je sens que t’en veux encore.

Je ne répondais pas mais c’est vrai que j’étais moins inhibé que 3 heures auparavant.

– Met toi entre mes cuisses et suces moi jusqu’à l’os.

J’ai alors obéi : je suis allé me placer à 4 pattes entre ses jambes le cul bien relevé et j’ai approché mon visage de son sexe. Il bandait à moitié. J’ai commencé par tourner autour, donne de petits baisers, de petits coups de langue, souffler dessus … Dans cette position, j’ai à nouveau senti son foutre de la nuit coulé de mon cul : c’était très excitant. Quand sa queue fut vraiment dure je la pris dans ma bouche et me mis à pomper. C’était donc aussi simple que cela de faire une pipe… Sa bite sentait le propre, elle était fine, je ne m’étouffais pas avec. D’une main je me mis à lui caresser les couilles et il a commencé à geindre. J’ai empoigné ma queue pour me branler en même temps. J’avais juste conscience que si je jouissais le premier je ne pourrais continuer à sucer son sexe.

Tout à coup, sa queue s’est raidie, il a grogné et m’a lâché quelques gouttes de foutre dans la bouche. Il y en avait si peu qu’en un coup de langue j’ai tout avalé et me suis concentré sur ma propre jouissance. Sentant que ça venait je me suis redressé en envoyant de longues giclées sur sa bite et sur son ventre.

– Bravo !

La voix, féminine venait de derrière. C’était la fille que j’avais draguée la veille. Elle était assise dans un fauteuil et nous regardait avec ironie.

– D’après mes premières constatations, tu l’as baisé par tous les trous mon chérie ?
– Tu ne te trompes pas. Mais je l’ai également sucé, tu verras il a une grosse queue qui crachent un sacré paquet de foutre

C’était de moi qu’ils parlaient. Je m’étais collé la tête dans l’oreiller. Mort de honte je n’osais plus regarder personne.

Il s’est levé :

– Je te le laisse. Je rentrerais à la fin de la semaine.

Je suis resté immobile à les écouter discuter. Il a repris une douche et a disparu travailler quelques jours en Allemagne.

Quand elle est revenue, elle s’est assise au bord du lit et m’a expliqué.

– Quand j’ai envie d’un mec, Mathieu exige de baiser avec lui avant. Ainsi tout cela lui devient ensuite indifférent. Tu as envie de me baiser demanda t’elle ?

Et sans attendre ma réponse elle ramassa mon slip qui traînait au pied du lit, me le lança en disant :

– Habilles toi, tu vas d’abord me faire mon petit déjeuner. Je t’attends au salon.

J’ai attendu quelques minutes puis j’ai remis ma petite culotte humide de foutre et me suis pointé devant elle : thé ou café ? Je bandais et le mince tissu ne pouvait pas lui cacher.

– Thé

Je revins avec un plateau et ce que j’avais trouvé dans la cuisine. Elle était en sous vêtements mandarine. Un boxer et un sous tif.

– Bien. Tu apprends vite.

Je n’osais la regarder dans les yeux.

– Approche

Je me plantais devant elle. Elle tira sur mon slip pour examiner ma queue.

– C’est ce qui me semblait. J’ai horreur des poils. On va raser tout cela. Mais d’abord j’ai faim !

Elle attaqua son petit déjeuner et je ne tardai pas à l’imiter.

– Tu aimes te faire enculer hasarda t’elle ? Moi j’adore. Mais la bite de Mathieu est vraiment petite, c’est pour cela que de temps en temps, nous avons ce genre de plan. Mais tu ne m’as pas répondu, tu aimes ?
– C’était la première fois avouais je.
– Tu as quel age ?
– Presque 20. Et toi ?
– 29. Mais ce n’est pas bien de demander l’age des femmes. Tu es puni : files sous la table et bouffe moi la chatte. Et nettoie la bien s’il te plait.

Je me glissai entre ses cuisses. Sa culotte sentait le foutre. Avec qui avait elle baisé cette nuit ? Elle écarta le bord, découvrant une foufoune ticket de métro. Je glissai ma langue dans sa fente et commençai le travail. Elle sentait fort et avait un goût poivré. Un peu de foutre sourdait de son sexe. Je me surpris à me demander si son amant de la nuit avait subi le même traitement que moi de la part de son mec…Très excité, je suçais, léchais, mordillais : elle vint très vite dans un orgasme qui dura au moins 2 minutes.

A suivre

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Une réponse à Le couple alternatif par Venice

  1. Sapristi dit :

    Encore une histoire à suivre mais dont la suite est introuvable
    C’est dommage parce que il y avait du potentiel, original et bien écrit

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