Le clos doré 1 – Une nouvelle vie… par Choidanladate

Le clos doré
1 – Une nouvelle vie…
par Choidanladate

Bonjour, je me présente, je m’appelle Marie-Chantal, les copines m’appellent « M CI » j’ai 40 ans je suis grande avec quelque formes dite pulpeuses, de chevelure brune au yeux vert amande. Je suis plutôt sophistiquée, j’aime la photographie et tout ce qui s’approche de la mode. Je faisais des recherches de photos sur le net et je suis tombée sur le site de Vassilia. Après quelques lectures cela m’a donnée envie de mettre ma pierre à l’édifice…

Cette histoire m’est arrivée il y a une quinzaine d’années, j’étais jeune… plutôt coincée (mais sans le savoir) et surtout renfermée sur ma vie de couple. Mon compagnon travaillait dans un grand groupe dans le monde de la presse et il me laissait l’organisation de notre « petit » T 4 de 90mètres carré. Il faisait de longue journée voir parfois nous communiquions par biais de post-it collé sur notre réfrigérateur.

Moi je travaillais la journée dans une entreprise de relation publique en tant que secrétaire. Une vie comme tant d’autre. Nous avions de charmants voisins, jamais d’histoire, le quartier était très agréable avec tous ce qu’il faut à porté de main. Bref un havre de paix et même si parfois je me sentais seule due aux absences de mon ami c’était notre « chez nous ».

Mais voilà qu’un jour une grande nouvelle bouleversa notre petit monde. Jean-François l’homme de ma vie vient d’avoir une promotion, il a obtenu un poste de directeur en province. Ce faisant nous devions déménager et donc de ce fait nous allions avoir des petits changements dans notre vie. Cette nomination allait de pair avec un salaire beaucoup plus avantageux et ce qui inclut pour Jean-François qu’il n’était plus la peine pour moi de travailler…. Ma jeunesse et sa promesse d’être beaucoup plus présent à la maison on fait que j’ai acceptée de quitter notre petit nid douillet.

Le lendemain, Jean-François fit des recherches pour savoir ou nous pouvions emménager. Un collègue lui proposa de lui vendre la maison de sa tante dont il venait d’hériter. Le week-end suivant au petit matin nous partions en amoureux pour la visite de cette prochaine acquisition. Il était excité comme jamais, je ne cachais pas non plus mon enthousiasme pour cette nouvelle aventure et cela mit mes sens en exergue. Je ne sais pas si c’était le soleil qui commençait à chauffer ma peau mais j’avais envie d’être polissonne, je lui faisais plein de bisous pendant qu’il conduisait et je m’enhardissais en laissant mes mains parcourir son corps. Je me sentais toute émoustillée
(Cela peu paraître niai mais a cette époque ma sexualité s’arrêtait au strict minimum : la plus par du temps cela se passait dans un lit la lumière éteinte bien sûr !!) et j’en rougissait car je savais ce qui ce passait au niveau de mon entre cuisse et je ne voulais pas que Georges s’aperçoive de mon état, enfin… pas dans la voiture.

– je suis heureux de te voir comme ça me fit Jean-François !!

Je lui bredouillais un truc genre :

– C’est cette nouvelle vie qui nous attend …. Et je suis impatiente de voir cette maison.

Après des câlins très soft et la route se faisant, nous arrivâmes enfin.
La maison était dans un renfoncement au début de la rue, tout proche d’une ferme qui semblait habitée au vu des jolis rideaux qui étaient aux fenêtres. L’endroit était magnifique, et cette petite maison au toit de chaume avec un petit chemin de pierres plates de couleur grises. Au dessus de la porte, sur une poutre était gravé « Au clos doré »

Jean-François introduit les clefs dans la serrure, me fit attendre sur le pas et alla ouvrir les volets de la pièce principale. La lumière du jour traversa la maison, de là ou je me trouvais je pouvais voir la poussière au travers des rayons du soleil et je compris le nouveau travail qui m’attendait… Désolée on ne se refait pas mais j’étais quand même heureuse de voir cette maison !!

– Maintenant tu peux rentrer dans la maison mon amour…….Dit moi, quand penses-tu ?

Il ‘s’approcha de moi me prit dans ses bras, j’étais dos à lui et me chuchota à l’oreille :
– Il ne te plaît pas notre nouveau nid ? Tu veux qu’on le « baptise » ?

Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort et je lui répondis.

– Oui j’ai aussi envie mais…là maintenant, ici ?….

Je sentais sa queue bien dure qu’il pressait sur mes fesses, pendant qu’il m’enlaçait. Ces mains se mirent à caresser mes seins et en même temps il frottait son sexe de plus en plus fortement. Il m’embrassait dans le cou, je sentais le désir monter en moi. Je me mis à onduler le bassin pour mieux imprimer son mouvement, j’avais envie de le sentir me pénétrer.

La porte était grande ouverte, j’étais gênée de la situation et j’avais peur que l’on nous aperçoive du dehors. Mais en même temps cela… Enfin c’était étrange cela modifiait mon comportement habituel.

Jean-François plongea sa main entre mes cuisses, avec un doigt il écarta mon string et commença à titiller mon petit bouton, ma vulve était déjà bien humide et il ne s’est pas fait attendre pour me le faire remarquer…

– Mais c’est que tu es déjà très mouillée !

Je me mis à rougir et je lui chuchotai à l’oreille :

– J’ai envie de toi depuis le début du voyage mon amour, mais s’il te plaît pas devant la porte comme si j’étais une « fille facile… »
– Voyons il n’y à que nous deux ici ….j’ai très envie que tu me prenne en bouche…

Tout en joignant sa parole au geste il appuya sur mes épaules et je céda à sa demande. Je me retourna et m’accroupie devant lui, dégrafant son pantalon. Son sexe était de belle taille et déjà très dur. Je commençais par lui faire quelques bisous tendres puis ma langue s’appliqua le long de son sexe. Je bavais sur sa hampe pour que mon va et vient glisse comme s’il était en moi… Il me conforta de continuer en lâchant quelque « humm oui… hummm » Puis il saisit ma tête et s’enfonça de plus en plus profondément et comme si il était dans mon sexe….. Lentement dans un premier temps puis de plus en plus rapide.

Je sentais qu’il allait jouir et qu’il voulait le faire dans ma bouche, ces mouvements étaient de plus en plus appliqué. La fellation n’était pas ce que je préférai faire….. J’avais un peu de mal à respirer tellement il enfonçait son sexe au fond de ma gorge, ma bouche était déformée tellement il était gros et puissant. D’un coup il se raidi et je sentis son foutre propulsé dans ma bouche, dans un râle de plaisir. Dans un haut le cœur, je ne pu contenir toute sa semence et quelques filet de sperme gouttait le long de mon menton et de mon cou.

Ce n’est pas que je trouvais cela mauvais au goût, mais c’était plutôt que je n’étais pas prête pour y goûter complètement et que je trouvais que cela faisait pute d’avaler son sperme. Donc suivi de mon ami, je me mis à chercher rapidement un endroit ou je pourrai vider ma bouche.

Après un petit nettoyage rapide dans la peine ombre de la salle de bain nous retournions dans la pièce principale et nous allions continuer notre visite quand j’aperçus une ombre devant la porte.

– Bonjour dit l’inconnue (c’était une voie féminine)
– Oui bonjour
– J’habite en face et comme cette maison n’est plus habitée, j’ai trouvé bizarre que la porte soit ouverte…
– Nous sommes venu la visiter…
– Moi je la trouve superbe, je connaissais bien la propriétaire.
– Oui effectivement elle est très jolie et paraît en bonne état…. elle nous plaît beaucoup.

Après de brève présentation, la discussion s’étala sur le village, ces habitants, ces petits commerces. Cette voisine se prénommait Jacqueline, elle devait avoir une quarantaine d’années, blonde aux yeux noisette assez grande et une allure sportive. Elle nous apprit qu’elle élevait des chevaux car son champ était à la frontière de notre future maison. Elle nous proposa une collation chez elle, histoire de faire connaissance. J’avais l’impression que Jean-François ne lui était pas inconnu, tellement les choses allait vite, ce qui n’était pas possible car nous n’étions jamais venu dans ce village. La complicité vint comme s’ils étaient des amis d’enfance, pour ma part j’essayais de montrer que j’étais là et que c’était chasse gardée. On ne sait jamais et donc je commençais par la questionnée sur sa vie personnelle…

– Vous êtes mariée ?
– Non je suis veuve, mon époux a fait une chute mortelle à cheval

Toin toin toinn. La gaffe, me voilà embarrassé du coup.

– Je suis vraiment désolée
– Ce n’est pas grave, vous ne pouviez pas savoir
– Ohhh toi avec tes questions….
– Non laissez la, c’est normal que Marie-Chantal veuille me connaître.

Elle me fit un jolie sourire, et d’un coup je fixais son regard qui semblait viser quelque chose sur ma personne et je ne tardais pas à le savoir…

– Oh vous avez une tache sur le col de votre chemisier

Et là bien sur je suis encore devenue rouge tomate, à croire qu’elle nous avait épier pour voir ce petit détail.

– Ah oui c’est vrai…tu es vraiment une petite cochonne me dit J-F en rigolant

Je le fusillais du regard, mais tout le monde s’est mis à rire. La discussion continua sur divers sujets et au bout de quelques minutes je prétextais pour partir que nous avions de la route à faire pour renter chez nous mais que nous nous retrouverons dès que nous aurions emménagé. Et nous sommes reparti retrouver notre appartement.

Arrivé prêt de chez nous J-F me proposa d’aller dans un grand restaurant pour fêter notre nouveau nid, car c’était décidé ont achetaient la maison. Il en profita pour appeler son collègue afin de conclure l’affaire et du coup il y a eut du champagne tout au long du repas. Ne tenant pas bien l’alcool je suis rentrée pompette et très excitée… par tous ces évènements.

A peine avions nous refermé la porte d’entrée, que je lui ai sautée dessus, j’ai arraché les boutons de sa chemise et j’ai collé ma bouche sur son torse comme une sangsue pour lui faire un suçon, il continua à se déshabiller pour être nu comme un vers.

-Cette fois-ci tu vas me faire jouir…. Lui dis-je

J’étais devenue complètement hystérique, Jean-François me retira mon chemisier sans en prendre soin, arracha mon string en me laissant ma jupe et mes bas, puis il pinça la pointe de mes seins presque brutalement et me les mordilla. Il me retourna et claqua mes fesses cela m’électrisait et il m’introduisit directement deux doigts dans ma vulve humide d’excitation et se lécha les doigts. Je m’allongeai sur le sofa et le pris en bouche pour le faire durcir tout en me caressant.

– Oui baise moi (j’étais complètement ivre pour parler comme cela !!!)

Mon va et vient avec mes doigts m’ont fait partir en quelques secondes puis il s’agenouilla et me lécha pour récupérer le fruit de mes caresses. Il s’attardait sur mon petit œillet en essayant d’enfoncer sa langue. J’étais très excitée mais je lui refusais cette entrée. Alors il se releva me mit en levrette et enfonça directement sa queue dans ma chatte, j’avais l’impression qu’il venait de m’enfoncer un pieu tellement je le trouvais gros.

– Alors ma petite salope, on se dévergonde ???
– Oui ouiii oui viens plus fort… encore je veux te sentir bien au fond de moi
– Tu en veux plus… tu aimes te faire prendre en levrette…
– T’arrête pas… plus vite tu vas me faire jouir ahh
– C’est bon de baiser comme ça hein ma petite salope ?
– AHHH OUIIII

Il ne m’avait jamais traitée de la sorte, c’était la première fois que je jouissais aussi intensément. Ces coup de rein violent intensifiait mon plaisir, et ce « floc floc » à chaque fois qu’il me l’enfilait m’excitait d’avantage. Je me mis à imaginer que Jacqueline nous regardait tout en se caressant, je voyais ses yeux noisette se révulser par le plaisir qu’elle s’infligeait…

– Tu es bonne ma petit sa…lope


Sa façon de me parler me rendait folle. Il continua à me donner des coups de butoir comme jamais il ne l’avait fait auparavant et dans un hurlement grave il déchargeât dans ma chatte et sur mes fesses. Sa queue encore raide, il me tourna pour que je le prenne en bouche et que je nettoie les dernières gouttes de son foutre que je délectais cette fois-ci sans recracher… Je sentais son foutre couler sur mes cuisses et ce soir là c’était la première fois que je me sentais comme une « chienne » de plaisir…

Il y aura peut-être une suite… A vous de me dire.

choidanladate21@hotmail.fr

note du webmaster : ce texte est assez peu vassiliesque, mais sert d’introduction à une série de suite qui le seront. Le chapitre 2 nous est déjà parvenu et il ne devrait décevoir personne !

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Une réponse à Le clos doré 1 – Une nouvelle vie… par Choidanladate

  1. Muller dit :

    C’est bien gentil, mais pour l’originalité, on repassera..

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