Le bonheur est dans le pré ( chapitre 3 ) par Danielle01

 

Le bonheur est dans le pré ( chapitre 3 )
par Danielle

Un petit en-cas sur le pouce pour me remettre des émotions de la matinée avec Jacques et François, et me voici faisant la bronzette, alongée sur une serviette de plage, nue comme à mon habitude, à l’exception d’un minuscule string, sur la pelouse de la maisonnette. Malgré la petite séance du matin, mon corps ne me semblait pas encore complètement rassasié. Il est vrai que les dix jours d’abstinence ne pouvaient être uniquement comblés par les ébats avec un paysan et deux livreurs. Néanmoins je me laissais aller à une douce somnolence sous un soleil dont les rayons me chauffaient agréablement le ventre et les seins. Les images de la veille et de la matinée me revenaient en mémoire et une onde bienfaisante parcourrait mon ventre et gonflait doucement mon clito. Je m’interrogeais sur la brusque réaction que j’avais eue en me laissant inonder par le jet doré de l’urine de François jusque là l’idée ne m’était jamais venue de pratiques uro. Quoiqu’il en soit, je n’avais pas détesté et si l’occasion se représentait, je me promettais de recommencer. Je me retournais de façon à présenter mon dos au soleil. Mon regard se porta sur la maisonnette, s’attarda sur les vieilles pierres, jusqu’au pied du mur sur lequel s’arrêtait la pelouse. La tondeuse du propriétaire avait laissé une frange d’herbes folles, mi-gazon, mi-sauvages, qui courraient tout au long du mur. Une touffe plus importante fixa mon regard. Au milieu, je reconnus la présence de plusieurs tiges d’orties, et une foule de souvenir remonta en moi.

Je me revoyais, plus jeune, mais déjà adepte de l’exibitionisme. Je n’hésitais pas, lors de promenades solitaires dans les champs environnants, à me dévêtir et à me rouler nu dans l’herbe mouillée de rosée. Je remarquais très vite que l’humidité, alliée à la fraîcheur matinale, durcissait les mamelons de mes seins, et c’est tout naturellement que j’en caressais alors les pointes. Vous ai-je dis que la partie la plus sensible de mon corps se sont mes seins ? Depuis longtemps je les ai toujours considérés comme la première source de mes plaisirs. Dans ces instants champètres, une onde de plaisir me parcourrait jusqu’au ventre et ne tardait pas à faire dresser mon sexe. Au hasard de mes galipettes, il m’arrivait de rouler sur une petite touffe de chardons ou d’orties.
Les légers picottements qui en résultaient faisaient naître en moi des sensations troubles où se mêlaient douleur et plaisir et plus particulièrement si les seins en étaient l’objet. Entre toutes les sensations, c’était incontestablement celles provoquées par les orties qui me satisfaisaient le plus. J’appris par la suite à apprivoiser ces plantes urticantes et à en faire un objet de plaisir.
Souvent, le soir dans mon lit je revivais ces instants délicieux et me faisais jouir tout en malaxant mes petits têtons.

Plus le temps a passé et plus je me suis appliqué à poursuivre sur cette voie. Aujourd’hui, chaque fois que l’envie m’en prend, j’écarte mon chemisier et avec chacun de mes majeurs j’effleure les mamelons, très vite ils se durcisssent sous la caresse. Alors doucement mes doigts tournent autours de ces petites pointes dressées ; suçant mes doigts, je les mouille pour les rendre encore plus sensibles. J’aime contempler leurs pointes brunes rosées que souligne le contour plus foncé de l’aréole. Je les taquine et je les agace gentiment de la pointe de mes ongles. Je m’attarde sur ces caresses préliminaires, puis les prenant entre le pouce et l’index je les serre doucement tout en imprimant une légère rotation. Je tire dessus en serrant de plus en plus fort. Parfois je les presse dans des pinces lestées qui à chacun de mes mouvements provoquent une sensation délicieuse. La légère douleur déclanche en moi une onde de plaisir qui fait dresser mon clito. Alors, continuant d’une main alternativement sur chacun d’eux, de l’autre je masse doucement mon clito au bout duquel perle une goutte préséminale annonciatrice, jusqu’à ce que les ondes de plus en plus fortes déclanchent le déferlement final de mon plaisir.

A chaque rapport que ce soit avec un homme ou une femme, je leur demande régulièrement de me sucer et de me mordiller les seins, de me malaxer les pointes entre leurs doigts, de les pincer fortement dans un mouvement tournant. Plus ils me les pincent et plus mon clito se raidit et se durcit. A chaque fois cela génére en moi un désir intense qu’accompagnent des cris de plaisir. J’en deviens presque folle tant les sensations sont fortes. Je savoure avec délice la caresse chaude et humide d’une langue autour de mes tétons lorsqu’elle s’enroule autours des pointes durcies et qu’elle les agace et les taquine. J’aime la succion d’une bouche avide qui les aspire peu à peu, de plus en plus fort et les met au contact des dents qui doucement se referment sur eux. Je râle de plaisir, suppliant me les sucer, de me les mordre de plus en plus fort, encore et encore, de les pincer de les tordre, de les tirer. Suprême bonheur s’ils se placent derrière moi et que je sente le gland gonflé d’un homme ou le god ceinture d’une femme s’incruster entre mes fesses et forcer doucement le passage de mon anneau. Le sexe ou l’instrument se fraye un chemin, il pénètre mon intimité, mes muqueuses se referment sur lui amplifiant le délice de la pénétration. Il s’enfonce de plus en plus, puis s’active dans un lent va et vient. Dans ces instants, j’explose avec des soupirs de bonheur tout en déversant une sève chaude et abondante que j’étale sur mon ventre assouvi et je lèche avec bonheur mes doigts imprègnés de la délicieuse semence.

Mais revenant à la réalité, je fixais à nouveau les orties mêlées aux touffes d’herbe. Je me relevais sur un coude, tendais le bras et cueillais délicatement à la base plusieurs tiges particulièrement fournies. Je pris la précaution, dans cette opération de ne pas toucher aux feuilles de la plante. Je m’assis et je prélevais dans ma trousse de manucure une paire de petits ciseaux et je sectionnais les tiges en plusieurs morceaux au niveau de chaque étage de feuilles. Puis prenant délicatement un des morceaux le pouce et l’index d’une main au bas d’un tronçon de tige et le pouce et l’index de l’autre main à la pointe d’une feuille, je présentais le dos de la feuille sur l’un de mes têtons érigés et frottais doucement en appuyant de plus en plus, me frictionnant le bout du sein avec la base des tiges.

Je renouvelais plusieurs fois l’opération, alternant d’un têton à l’autre jusqu’à épuisement des morceaux d’orties. L’expérience m’avait montré qu’il est nécessaire d’utiliser un nombre maximum de feuilles ; plus les applications sont nombreuses, et plus les irritations sont importantes déclanchant ainsi des sensations particulièrement intenses.

Un fourmillement parcourrait la pointe de mes seins, comme si des milliers d’aiguilles les pénètraient. Les feuilles étaient larges, nombreuses et abondantes. A chaque application nouvelle les sensations se faisaient de plus en plus fortes, de plus en plus intenses. Une onde me chauffait, mes seins rougissaient, me brûlaient, les mamelons étaient énormes, enflés sous l’effet du liquide urticant, mon clito se redressait, raide et durci de plaisir. Ayant épuisé toutes les feuilles, je m’allongeais sur le matelas de plage et, prenant mes têtons entre le pouce et l’index de chaque main, je commençais à les pincer, à tirer dessus et à les tordre, puis, je frottais et grattouillais avec l’ongle, amplifiant les sensations. Les yeux fermés, je gémissais de plaisir, mon bas ventre me chauffait, le liquide préséminal perlait au bout de mon clito. Je devais lutter pour ne pas céder à l’envie folle de me précipiter vers les touffes d’orties, d’en cueillir une botte et de me fouetter le sexe avec. Je continuais à me martyriser les seins, faisant défiler dans mon esprit un tas de scènes érotiques. Mon esprit s’affolait, mon corps se durcit, je m’arcboutais, les reins et les fesses décollés du sol, je râlais de plaisir et hurlais quand un long jet de sperme m’arrosat la poitrine, une seconde sacade me parcourrut. De la main j’étalais ma liqueur séminale sur mes seins et me suçais avidement les doigts. Je retombais brisée, épuisée, comblée.

danielletr@9online.fr

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Une réponse à Le bonheur est dans le pré ( chapitre 3 ) par Danielle01

  1. TransMonique dit :

    Une merveille

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