La malice de Sophie 1 – Mise en place par Foufounard

La malice de Sophie
1 – Mise en place
par Foufounard

Sophie et moi sommes mariés depuis 5 ans. Elle sait que je fantasme sur le SM mais je refuse de jouer avec elle de peur que notre relation glisse dans une direction que nous ne contrôlerions plus. Alors nous profitons de notre amour « normalement ».

La semaine dernière, Sophie m’a dit qu’elle a une collègue de travail (Anne) qui aimerait être dominée mais qui n’ose pas se lâcher avec un inconnu. Elle me propose de me laisser vendredi soir avec Anne et en contre partie, je devrais être l’objet de Sophie le reste du week-end.

– Tu as la nuit pour y réfléchir
– Oui Maîtresse !

Autant vous dire que la nuit longue…
A peine réveillé :

– Alors ?
– OUI ! ! !
– Donc, je te dépose chez elle à 20 h et je te reprends à minuit. Ensuite, tu es à MOI jusque dimanche soir minuit. OK ?
– Oui, mais toi tu es sûre que ça ne te gêne pas que je sois avec une autre que toi ?
– Si, mais je sais qu’il n’y aura pas de sentiment et puis tu vas dérouiller après ! ! ! Et puis j’en ai parlé avec Anne, c’est un soir et point barre, vous réalisez tous les deux votre phantasme et c’est FINI.

Je ne vous dis pas l’état dans lequel j’étais, nous avons fait l’amour comme au premier jour.

2 jours pus tard, 20h Sophie me laisse devant la porte.
Toc toc

– Bonjour je suis Anne, tu es Alain ?

Bon sang, une petite blonde toute mimi avec juste ce qu’il faut comme formes…

– Ecoute, je ne suis pas venu pour bavarder, tu sais ce que tu veux ?
– Oui…
– Tu me laisses entrer ou tu veux faire profiter les voisins ?
– Excuse- moi, entre.
– 1 tu me vouvoies, 2 tu files te changer fissa je te veux en jupe et chemisier dans 2 minutes
– Excusez-moi Maître.

Elle me fait entrer dans le salon et disparaît dans sa chambre en quatrième vitesse. Un petit peu plus que 2 minutes après elle revient vêtue comme désiré.

– Maintenant je vais voir si tu es mettable. Mets-toi à genoux devant moi.

Elle s’exécute

– La propreté, faut que je contrôle

J’attrape son oreille droite et y met mon petit doigt pour m’assurer que le ménage est bien fait. Puis l’autre oreille…elle tousse devant ma « délicatesse »…rien à dire. Ensuite inspection des naseaux, l’entrée de mon doigt dans son nez lui fait basculer la tête vers l’arrière…et fait dresser ma queue dans mon caleçon.

– Ouvre la bouche et mets tes mains sur ta tête.

Je reluque la dentition histoire de voir si la bête est saine…impeccable.

– Maintenance, suce mon doigt.

Et je fais quelques va et viens assez lents et sans trop d’amplitude, elle complète parfaitement la manœuvre par un mouvement de la tête dans le rythme. Je joins deux doigts maintenant, elle ouvre un peu plus la bouche…ma bite est au maximum. J’approche mon bassin au bord du canapé et ouvre les jambes.

– Sors ma bite

Elle enlève les mains de sa tête

– J’t’ai dis d’enlever tes mains ?
– Non mais….
– Sers-toi de ta bouche grognasse

Elle se plie en deux et avec sa bouche déboutonne mon jeans et ouvre le zip.
Là je lui redresse la tête.

– Qu’est ce t’es molle ! Je me lève et descends mon froc à mi-cuisse ainsi que mon caleçon.

Elle se retrouve avec une grosse queue juste sous le nez, je me rassois

– Allez suce, ça tu dois être capable de le faire…

Et elle pompe toujours avec à genoux avec les mains sur la tête…meum…que c’est bon…vu le contexte je ne vais pas battre des records de durée. Je lui impose mon rythme en la tenant par les cheveux comme si j’avais à une chose. Son statut d’être humain est relégué pour la soirée.

Peu de temps après j’explose dans sa bouche avec un râle non dissimulé. Elle avale sans que je ne dise un mot… Bien.

Je m’affale dans le fond du canapé, histoire de reprendre mes esprits et de souffler un peu. Elle ne bouge pas.

– Allez, viens nettoyer la queue qui va te rendre heureuse ce soir.

Elle lèche bien gentiment mon membre qui a perdu de sa vigueur…bonne ménagère la petite

– Les couilles aussi, gobe-les !

Une vraie cochonne et moi un beau salaud, mais j’en profite.

– Allez ça va comme ça, redresse-toi.

Je me lève et referme mon pantalon.

– Bon, maintenant on va commencer à jouer… Si tu veux arrêter tu diras « cornichon ». D’accord ? Répète
– Bien maître si je veux arrêter je dirais CORNICHON
– Mets toi accroupie. Ecarte les jambes. Encore, tu n’es pas entrain de pisser dans champ. – Voilà c’est mieux

Et j’avance mon pied entre ses jambes. Le bout de ma pompe frotte sur son entre jambe. Je vois qu’elle n’est pas insensible, elle descend son centre de gravité vers ce qui pourrait lui amener un peu de plaisir.

– Je ne t’ai pas demandé de te branler sur ma pompe !

Elle remonte

– Vas me chercher une spatule, tu dois avoir ça pour faire ta bouffe

Elle se lève l’idiote.

– Tu y vas accroupie, ne commence pas à changer les règles.

Et je la voie se déplacer en canard avec les mains sur la tête. Le retour elle a l’instrument dans la bouche comme un bon toutou…elle comprend vite. Elle se replace devant moi et me tend l’objet demandé. Je me sers de la spatule comme d’une règle et fais sauter un à un les boutons de son chemisier. Elle frémit, je sens bien qu’elle est tout aussi excitée que je l’étais tout à l’heure. J’écarte les pans de son chemisier et je découvre deux magnifiques globes prisonniers dans la dentelle blanche. Les tétons bien tendus ne demandent qu’à sortir …son souffle est de plus en plus audible. Je tourne autour de ses nichons avec cette spatule qui n’a jamais rien connu de si agréable

Je tapote ses petites pointes…un coup à droite, un à gauche…elle a de plus en plus chaud… mais tu dois attendre c’est moi qui mène la danse. Je glisse le bout de bois entre son soutif et le sein gauche, et d’un léger basculement libère ce dernier.

Allez au second maintenant.

Hum, merveilleuse poitrine, elle tient toute seule, le poids des ans n’a pas encore joué.

– T’aime ça quand t’on s’occupe de tes miches ! ! !
– Ouiii…dit-elle sans trop de souffle
– Bon comme tu es sage pour le moment, je t’offre un examen mammaire gracieusement
– Merci

Et je lui attrape le premier que je malaxe sans aucune délicatesse, elle ne bronche pas. Au second…même cause même effet. Mais je sens bien que son envie monte et que la position devient de plus en plus difficile à tenir.

– Retourne-toi que j’ai une meilleure prise sur tes attributs
– Voilà, maintenant tu vas me raconter ce qui te fais mouiller dans le SM et pourquoi tu me fais perdre mon temps ce soir.
– Je ne sais pas très exactement, mais l’idée d’être manipulée, de ne pouvoir prendre d’initiative…
– Bon si tu ne sais pas pourquoi, moi je vais te le dire.
C’est que tu n’es qu’une petite bourgeoise sans aucune imagination juste bonne à se faire troncher pour l’hygiène. Est-ce que tu sais fermer ta gueule quand on te tire sur les nibards ?
– Je ne sais pas…j’ai jamais ess…
– Bon tu sais rien ! ! ! Tu vas voir, et que je n’entende pas compris ?
– Ouiiii…..intimidée

J’attrape ses petites auréoles que je sers entre le pouce et l’index. Elle serre les dents. Et quand je m’amuse à pincer de plus en plus fort tout en tournant de plus en plus loin, elle gigote de plus en plus mais ne se plaint pas. Pour la récompenser, je glisse à nouveau mon pied au niveau de sa chatte. Elle s’y frotte mais très discrètement cette fois. Je la laisse faire un petit peu.

– Stop, relève-toi
– Vire ton chemisier, il est tout trempé…tu mouilles même du dos salope. J’ose pas imaginer ton entrejambe.

Qu’elle est bandante, torse à poil avec les nichons au balcon alors que son soutif est toujours en place. Elle a la mine un peu défaite et je suis certain que si je lui mettais un petit coup de bite sur-le-champ elle crierait comme jamais. Mais elle devra attendre, m’enfin pas trop longtemps parce que de mon côté les affaires ont repris ! ! !

– T’as envie de jouir ?
– OUI, SVP…
– Ton heure n’est pas arrivée pétasse
– S’IL VOUS PLAIT
– Vire ta jupe

Sans attendre elle laisse tomber le tissu au sol. Et la voilà en bottes, bas, string et soutif.

– Allonges toi sur le dos, les jambes écartées vers le haut, que je puisse admirer ton entrecuisse de cochonne.- Mais dis-moi, ça n’a pas bien l’air sec tout ça…
– Ça l’était avant que vous n’arriviez
– Dis que je t’ai dégueulassée aussi
– Non, non, je n’oserai pas
– A quatre pattes et vite. Remonte ton cul. Plus haut. Et vlan, prends donc 5 coups de spatule pour t’apprendre le respect ma grosse.

Oops, je sens bien que c’est la première fois qu’elle se fait claquer ainsi.

-Tu aimes quand je te chauffe le cul ?
– Pas trop…
– Tant pis je t’en redonne 5 pour t’habituer.

Evidement, j’y ai mis un peu plus de conviction et son postérieur est passé au rose. Mais courageuse elle a serré les dents et je n’ai entendu des cris étouffés.

– Allez, relève toi et vire ton string.

Elle ne s’est pas fais prier.

– Vas me chercher un whisky sec avec glaçon.

Elle sort de la pièce le cul à l’air et les nichons en l’air.
– N’en profite pas pour te toucher, sinon je rougit ton cul pour de vrai ce coup ci.

J’en profite pour me dessapper pendant ce temps. Quand elle revient, je suis à poil avec popol au garde à vous.

– Pose le verre sur la table et remets-toi à 4 pattes.

J’enfile une capote.

– Ecarte tes fesses que je vois bien ton trou du cul.
– Tu as l’habitude de te faire casser le cul ?
– Non, je suis juste dépucelée de ce côté.
– Alors c’est bon, je peux y aller franco.
– S’il vous plait…
– Commence pas

Et ni une ni deux, j’entre la dedans non pas comme une brute, mais d’une bonne poussée et sans m’arrêter en chemin.

Elle ne bouge plus.

J’arrive au fond et fais une petite pose avant de commencer des va-et-vient de plus en plus rapides.
Son sphincter se relâche petit à petit et son corps commence à réagir.
Elle aime ça…
Sa respiration est de plus en rapide et bruyante, elle ne va pas tarder à jouir.

J’arrête mon pilonnage quelques instants. Son souffle revient à la normale. Je reprends mes allers et venues, mais cette fois ci plus brutalement. Après tout si elle aime ça autant en profiter. Elle monte direct dans les tours, elle est plus chaude. J’écarte ses fesses au maximum et je me monte encore d’un cran la cadence. Elle explose littéralement et bruyamment. Elle ne tient plus sur ses canes, je la maintiens par les hanches avec toujours les pouces sur ses fesses et je continue ma manœuvre (heureusement qu’elle m’a sucé au début, sinon je n’aurais pas tenu).

Elle a du mal, mais elle encaisse. Son petit trou se détend de plus en plus. Elle a de plus en plus chaud, elle va repartir de plus belle et de mon coté ça chauffe aussi. Elle joue du bassin au même rythme que moi. Nos corps ne font qu’un. Et nous explosons simultanément…. Je suis vidé, elle est comblée. Je m’allonge sur le dos, elle tombe comme une merde sur le sol.

– Hey, c’est pas fini. Viens m’enlever ce truc en plastique et lavage de quéquette.

Elle vient en rampant. Elle va pour mettre les mains

– Hop pop pop ! ! ! Avec la bouche. Et d’abord tu suces ta merde que tu as laissée sur la capote.

Elle ouvre la bouche un peu dégoûtée mais obéissante. Puis elle la fait glisser entre ses dents. Je déguste mon whisky bien mérité.

-Mâchouille-la un peu, c’est jamais qu’un chewing-gum au sperme.

Elle s’exécute.

5 minutes plus tard
– Tu peux cracher, il ne doit plus avoir de goût. Viens plutôt me lécher le poireau.

Quelques coups de langue et le grand chauve est tout propre.

– Approche ton cul.

Elle me le présente un peu inquiète. Je le caresse gentiment histoire de… J’approche un doigt du petit trou qui reprend une forme normale.

– Mais c’est bien chaud par ici, tu dois faire de la fièvre.
– Non, non
– Alors…tu es en bonne santé
– ? ? ?
Je prends le glaçon dans mon verre et le rentre directement dans son anus.
Un cri s’échappe de sa bouche.

– Fais pas ta chochotte, dans 5 minutes ce sera de la flotte.

Et je glisse ma main sur sa chatte.

– Et comme ça tu seras aussi mouillée devant que derrière.
– Sinon, dans ton bordel, tu ne vas pas me dire que tu n’as pas quelques jouets pour t’amuser en solo.
– Si maître, vous voulez que j’aille les chercher ?
– Et au trot

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à La malice de Sophie 1 – Mise en place par Foufounard

  1. Livarel dit :

    Elle est où la suite ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *