La librairie – 1 – par Mikado

 

 

L’été de ma licence je travaillais dans une grande librairie du vieux Montpellier. Cette boutique était tenue par le cousin et la cousine, deux célibataires d’une cinquantaine d’années. C’était l’archétype des célibataires « vieille France », lui toujours vêtu d’un costume beige, de chemisettes improbables et arborant un nœud papillon chaque jour différent. Elle femme sèche, autoritaire engoncée dans une robe droite descendant à mi mollet et toujours dans des tons de gris, comme ses cheveux noués en un strict chignon.

J’avais été embauché pour faire l’inventaire des ouvrages de la boutique et pour descendre et monter de la réserve les livres invendus passés de mode ou pour en remonter certains qui le redevenaient ou faisaient l’objet d’une demande. Le boulot aurait pu être peinard si Mlle Bertille – elle voulait que je l’appelle Mlle -, n’était pas continuellement sur mon dos et celui de son cousin. Tel bouquin n’était pas à sa place car je ne faisais pas bien ce que l’on me demandait, tel autre n’aurait jamais dû être commandé parce que Paul achetait n’importe quoi… En plus Paul me prenait toujours à témoin de la tyrannie de sa cousine…

Dès que je le pouvais, je filais dans la réserve où en attendant que Mlle Bertille m’appelle par l’interphone, je lisais ce qui me tombait sous la main et qui semblait avoir de l’intérêt.

Un après-midi en rangeant un rayonnage je tombe sur Histoire d’Ô de Pauline Réage. Je commence à le lire et au fil des pages le récit m’excite, je bande et je me mets à mouiller mon slip à tel point que le tissu léger de mon pantalon en porte la trace.

« Michel pouvez-vous nous monter tel livre situé sur le rayonnage des polars » me demande Paul par l’interphone.

Je trouve rapidement le livre et le remonte dans la boutique en prenant soin de tirer sur mon T-shirt pour masquer la tache coupable. Je le donne à Paul et m’apprête à redescendre lorsque Mlle m’interpelle me disant qu’au lieu de bayer aux corneilles en réserve, elle avait un lot d’invendus à descendre. Effectivement, une pile de livres et de revues m’attendait. Bien sûr j’eus droit au sempiternel laïus, pourquoi fallait-il donc que chaque année elle embauche un fainéant d’étudiant à qui il fallait tout dire et na na na… Elle avait un travail en fonction de ce qu’elle payait, c’est à dire peu.

Je prends les livres et m’en retourne en réserve pour les ranger et continuer ma captivante lecture.

Vite fait bien fait les livres trouvent approximativement leur place dans les vieux rayonnages et moi ma place dans le vieux fauteuil de bureau.

La lecture me fait bander à nouveau, avec la mode des pantalons serrés – nous sommes en 1980 ou 81 -, ma queue bien que petite se trouve vite à l’étroit. Me sachant tranquille et loin de l’escalier qui grince et me préserve donc de toute arrivée intempestive, je libère mon sexe et profite pour me caresser. Je ne cherchais pas à me masturber mais simplement à effleurer mon sexe raide, à récupérer le liquide cristallin qui s’en échappait et à m’en délecter.

Tout à coup je prends une baffe. Pris dans ma lecture je n’avais pas entendu arriver Mlle, qui telle une furie se jette sur moi me traite de sale petit pervers, de vicieux. Je me protège comme je peux, de peur de prendre des coups. Elle semble folle, s’accroche à moi, me dit qu’elle va me faire passer l’envie. Ses coups ne sont finalement pas violents mais elle s’acharne. Par instants elle me claque le sexe, me fait tomber de la chaise, m’attrape par les pieds et me traine au sol, du moins c’est ce que je crois, quand je réalise qu’en fait elle m’arrache le pantalon. Je suis au sol, pantalon et slip baissés mais je bande toujours et de plus belle. Mlle se calme un peu mais son souffle reste court et sa voix est rauque. Elle m’intime l’ordre de me relever, je m’exécute gêné d’être ainsi en érection devant elle. Pudiquement je cherche à cacher ma queue, elle me claque les mains et me demande de les retirer pour qu’elle puisse voir à quel point je suis un cochon lubrique. J’écarte mes mains et malgré ma honte la situation m’excite. Mlle me dit :

–  » Je vais te faire passer l’envie de te masturber moi »

Elle s’approche de moi, lève la main. Par réflexe je me protège le visage et là, je sens sa main s’emparer de mon sexe et commencer un va et vient sans équivoque. Cette vieille peau me branle et commence de l’autre main à caresser ce qui lui sert de poitrine. Elle m’ordonne de finir de me déshabiller, tout en arrachant littéralement sa robe dont les petits boutons de devant sautent. Elle finit d’arracher sa robe, elle est nue. Je saurai plus tard que la vieille vicieuse ne portait jamais de sous-vêtements lorsqu’une jeune proie travaillait à la librairie. Elle est nue, ses petits seins tombent lamentablement, sa chatte est couverte d’une épaisse toison grise, qui lui remonte haut sur le ventre et couvre aussi son entre-cuisses. Elle reprend mon sexe en main, me caresse la hampe puis les couilles me disant de sa voix rauque « tu aimes jeune porc, petit vicieux » etc… Elle se vautre sur le fauteuil de bureau, cale ses pieds sur les accoudoirs offrant à ma vue un sexe luisant, dont les petites lèvres pendent de 5 bons cm, elle m’intime l’ordre de m’accroupir et de la sucer. Son sexe est gluant de mouille et sent l’urine, le gout est sublime, aussi je lèche avec plaisir et application. Mlle se tortille de plaisir, sa voix est de plus en plus rauque. Tout à coup je sens une main qui me caresse les couilles, ce ne peut pas être Mlle. Je me retourne et comprends qu’il s’agit de Paul. Etant bisexuel depuis mon adolescence, je le laisse faire et même l’encourage en écartant plus mes cuisses. Mlle qui avait dû monter le coup avec Paul – ils me le confirmeront plus tard – dit :

« Tu tombes à point la lopette, il est docile, il me lèche bien, il bande fort. Vas-y suce le, tu sais que ce plaisir est pour toi, moi je n’aime pas. »

Paul s’allonge, passe la tête entre mes jambes et se met à me sucer. Il commence par me lécher le gland, nettoyant le liquide qui en sort, puis sa langue lèche ma queue lentement méthodiquement se dirigeant vers mes couilles qu’il suce, avale lèche tout en glissant sa main entre mes fesses, caressant mon petit trou bien serré. Mlle a plaqué ma tête sur sa chatte poilue et me demande de lécher profond entre ses lèvres, et connaissant bien son cousin, elle me dit :

– « Cette vieille lope suce divinement et doit déjà te caresser le cul, fais moi pareil : suce et caresse mon cul… »

Prenant l’initiative, je lèche sa chatte molle puis descends vers son petit trou que je lèche avec application. Il est souple et ma langue le pénètre. Mlle me traite de pervers mais appuie fort son cul maigre sur ma bouche, tout en râlant de plaisir. Dans son coin Paul s’active et en expert voyant venir l’orage, il prend mon sexe en bouche juste avant que je décharge, il m’avale et me lèche jusqu’à la dernière goutte. Il se retire d’entre mes jambes et se lève au moment où sa cousine jouit bruyamment et m’éjacule au visage. Aussitôt elle me rejette, et demande à son cousin si le petit lui a plu. Paul répond affirmativement, s’avance. Je vois qu’il est nu et équipé d’un sexe énorme, qui lui pend jusqu’à mi-cuisses. Je suis horrifié à l’idée de sucer un truc pareil ou pire…Mlle devine mes pensées et me dit « tu ne risques rien, il est PD jusqu’au trognon mais impuissant, je n’ai jamais pu me servir de sa queue depuis notre enfance. »

– « Si tu reviens travailler demain et les jours suivants, nous organiserons des séances de baise. Tu pourras l’enculer, le fister, l’humilier : il aime faire plaisir à sa cousine… »

Le lendemain en me rendant au boulot, je m’imaginais léchant la chatte pendante et poilue de Mlle pendant que Paul me massait doucement les couilles en me titillant du bout de sa langue la rosette

Quelle ne fut pas ma déception ! Dès mon arrivée Mlle me désigne les ustensiles de ménage et comme chaque matin me demande d’astiquer la boutique. Comme chaque matin bien sûr, rien n’est fait comme il faut mais comme chaque matin, elle reste le cul sur sa chaise de caisse à donner des ordres et à critiquer. Comme à son habitude Paul arrive vers 11 heures après être passé à la banque – nous sommes vendredi, jour des commandes – Comme chaque vendredi Paul fait le bilan des commandes clients puis en fonction de l’actualité littéraire, propose à Mlle de nouveaux achats, que Mlle s’empresse de critiquer mais finit toujours par accepter, en disant  » ok prends tes responsabilités comme un grand garçon « . Aujourd’hui cette phrase prend tout son sens

13 heures : ma pause. Ouf je n’en peux plus de la vieille, je file direction les jardins du Pêyrou prendre l’air et me restaurer un peu…

A mon retour, du haut de son piédestal Mlle me dit :

– « Petit vicieux, ne compte pas te palucher dans la réserve ! Tu vas nettoyer les rayons du secteur universitaire, il est poussiéreux et je le veux propre avant la rentrée. Paul rangera la réserve comme il faut, lui … »

Je passais le reste de l’après-midi à suer au milieu des rayons poussiéreux qui n’avaient pas été nettoyés depuis des lustres.

18 heures 30 : Mlle me demande de rentrer les casiers du trottoir puis de tirer le rideau. En passant devant la caisse, elle me dit :

– « Tu pues et tu es crasseux ! Vas donc te doucher ! »

Je me rends dans l’arrière-boutique prendre une douché bien méritée. L’eau à peine tiède me délasse autant qu’elle me décrasse. Je suis déçu de l’attitude distante de Mlle et de Paul, si différente de la veille. A l’évocation de ce souvenir, je me mets à bander plutôt mollement.

Le rideau s’écarte et Mlle m’ordonne d’une voix rauque, celle qu’elle a lors de ses folies :

– « Stop ! C’est moi qui te lave, tu n’es bon à rien. »

Toute habillée la voilà qui entre dans la cabine et qui s’attaque sans douceur au nettoyage de ma queue. Son va et vient quoique vigoureux me fait bander dur cette fois. Elle me demande ensuite de me retourner et d’écarter les fesses. Le temps de réaliser et la voilà qui me claque vigoureusement le cul. Sans attendre la seconde je me tourne, me penche et écarte à deux mains mes fesses. Après m’avoir savonné l’extérieur, elle introduit son index savonneux dans mon petit trou. Le savon pique mais la sensation est finalement agréable. Mlle attaque le rinçage au jet « pour retirer le savon » dit-elle. Consciencieuse, cette perverse approche le jet tout contre ma rondelle, au point qu’un peu de liquide me pénètre. Mlle en est consciente et m’ordonne de pousser pour évacuer, ce que je fais.

« Bien ! Te voilà propre, dit-elle. Nous allons rejoindre cette lope de Paul, qui doit s’impatienter, mais avant, attends-moi ». Elle écarte ses jambes et je vois couler le long de ses cuisses un liquide doré, cette salope sans retenue devant moi. Elle retire finalement sa robe trempée par la séance de douche et certainement de la pisse qu’elle vient de faire. Elle s’essuie succinctement avec sa robe et passant devant moi, se dirige vers la réserve.

En arrivant, un spectacle improbable m’attend. Je pense que la mise en scène est commune aux deux vieux pervers : Paul nu comme un ver est à quatre pattes sur une longue table de chêne qui sert habituellement à déposer les livres avant rangement ou avant sortie. Il a le cul offert et sa bite touche le plateau de la table. Face à la table, un énorme fauteuil et sortie de je ne sais où, est installée l’armoire « aux livres rares » qui est ouverte et contient godes et olisbos anciens. Il y en a de toutes les tailles, dont certains aussi gros que la queue de Paul en érection s’il pouvait… Il y en a en bois, en ivoire, en cuir, montés ou non sur ceinture… C’est la plus riche collection que je n’ai jamais vue.

Mlle passe devant Paul et lui lâche dédaigneusement :

– « Voilà il arrive ton jeune vicieux, à Dieu plaise qu’il te fasse enfin bander ! Quant à toi, me dit-elle, va t’occuper de lui selon mes ordres. »

Elle me demande de commencer par enduire d’huile le bas du corps de Paul et me laisse libre de procéder comme je l’entends.

Je commence par tremper mes mains dans le bol où se trouve une huile tiède et ambrée, puis délicatement je masse avec lenteur la grosse bite de Paul, je le décalotte, découvrant un gland rose, doux et luisant de la taille d’un abricot. Je le caresse d’un mouvement circulaire de la main en cupule, mon index frotte doucement son méat. De l’autre main je vais et viens le long de sa hampe, les petits jeux durent de longues minutes. Paul souffle doucement, murmure « c’est bon » mais ne bande pas… Laissant alors cette trompe inutile, je trempe à nouveau les mains dans l’huile et entreprends de lui masser tout à la fois les couilles et la raie des fesses en prenant soin de ne pas m’introduire – selon les désirs de Mlle -, dans cette chatte de mâle, qui a dû être maintes fois défoncée. Je suis derrière lui, mes mains glissent des couilles aux fesses et des fesses aux couilles. Puis prenant sa queue à deux mains, je me mets à le branler. Son sexe est lourd et doux à force d’être imprégné d’huile mais il ne bande toujours pas et le poids commence à me fatiguer. Mlle s’en rend-elle compte ? Néanmoins elle m’intime l’ordre de continuer. Je branle donc le sexe flasque de Paul, qui halète et murmure des « humm c’est bon », quand tout à coup ce salaud se met à éjaculer des flots de sperme. J’en ai sur la figure, la poitrine, les mains. Je continue la branlette et il continue à m’inonder. Ce n’est pas un mec, c’est un verrat et j’apprends à mes dépends que l’on peut jouir en étant impuissant…

Mlle rit aux éclats, voyant ma tête étonnée. Elle se lève, nous rejoint, attrape la queue de Paul et se met à la lécher goulûment, jusqu’à effacer toute trace de sperme. Elle entreprend ensuite de me nettoyer, récupérant en un premier temps avec sa main en coupe le sperme qui coulait puis finit avec sa langue. Constatant de petites flaques au sol et sur la table, elle devient furieuse, traite Paul de vieille merde et l’oblige à nettoyer avec sa langue le sol et la table.

Regagnant son fauteuil, elle s’installe jambes écartées sur les accoudoirs et me dit « viens me lécher petit vicieux… » Les désirs de Mlle sont des ordres. Je m’agenouille face à sa chatte largement écartée et qui coule d’excitation, un abondant liquide clair et épais s’accroche à son épaisse toison grise avant de lui maculer les cuisses. Sans hésitation, je colle ma bouche à son sexe et m’applique à le nettoyer à coups de langue gourmande. L’entrejambe de Mlle sent le désir et l’urine, deux odeurs qui m’excitent fortement. Je bande sans discontinuer depuis certainement près d’une heure et je n’ai fait que caresser, branler, lécher et rien pour moi. J’espère que mon tour viendra. En attendant je me délecte d’une longue éjaculation de Mlle, dont j’essaie d’avaler un maximum. C’est à la fois âpre et salé, j’aime bien. Mlle se cambre, me présente à présent ses fesses maigres et fripées où apparaît son petit trou. Je le lèche puis, dardant ma langue je force sa rosette. Elle écarte ses fesses à deux mains afin de me faciliter le passage. Son anus est tellement souple que ma langue s’y enfonce sans mal, son cul à un gout légèrement amer. Ma pénétration doit lui plaire car elle appuie de plus en plus son cul contre ma bouche, elle force pour que son trou se dilate – enfin c’est ce que je crois – mais en réalité Mlle est en train d’expulser dans ma bouche un chapelet de crottes aussi sèches qu’elle. Je me retire précipitamment et devant ma mine déconfite elle rit, récupère son offrande et la mange d’un air gourmand.  » Tu veux gouter ? me dit elle, c’est bon.  » J’hésite puis finalement me dis pourquoi pas ? C’est une expérience, si je n’aime pas, j’arrête. Je lui réponds que je veux bien essayer, elle m’attrape la tête et la dirige entre ses fesses me disant  » tu verras, c’est mieux à la source « .

D’une langue timide, je lèche sa rosette légèrement maculée de merde, ce n’est pas mauvais. Mlle pousse et je sens son anus s’écarter. Vieux réflexe, je me recule. Je vois son cul dilaté par une boule marron et odorante prête à sortir, le spectacle m’excite. Sans hésiter, je colle ma bouche juste à temps pour recevoir une première crotte chaude, que j’avale sans mâcher. Puis Mlle forçant toujours, j’en récupère une seconde que je me mets à faire tourner dans ma bouche. Le goût est fort et légèrement amer, sans être désagréable. Je finis par mâcher et avaler, puis je reprends un broutage de minou pour varier les plaisirs. Mlle jouit à nouveau, lâchant encore un jet de liquide qui me mouille le dos et glisse entre mes fesses. Elle m’écarte et demande à Paul de venir me nettoyer. Il s’exécute et se met à me lécher les fesses en remontant vers le haut de mon dos, tout en effleurant mon sexe et mes couilles de ses doigts doux et légers. Ces effleurements me font frissonner et gémir de plaisir. Paul m’attrape dans ses bras et m’allonge sur la table, il penche sa tête vers mon bas ventre et commence à me sucer lentement d’une bouche experte. De son fauteuil, Mlle donne des ordres :

– « Toi le petit vicieux, ne décharge pas ! Et toi la lope, maîtrise tes caresses comme tu sais le faire ! »

Paul alterne mouvement amples et courts, rapides et lents, il fait une pause et me serre la base du sexe chaque fois qu’il me sent au bord de l’explosion. Du coin de l’œil, je vois Mlle passer derrière lui. Elle a ceint un gode ceinture recouvert de cuir, imitant à la perfection la couleur et l’aspect d’un sexe masculin. Elle se cale entre ses fesses, guide la pointe du dard vers sa chatte masculine et d’un coup de reins, s’enfonce profondément. Paul semble apprécier : de petits gémissements attestent de son plaisir. Mlle est déchaînée : elle imprime un va-et-vient rapide et ample. A chaque coup le gode sort complètement de l’anus de Paul pour s’y réintroduire et s’y enfoncer jusqu’à la garde. Paul a arrêté sa fellation et j’en profite pour mieux voir le spectacle. Mlle se retire brusquement, s’empare d’un gode d’ivoire énorme, me le tend et me dit  » défonce le, il aime « .

Paul se met en position, en levrette sur la table. Son cul est bien préparé, nul besoin de forcer pour y introduire le monstrueux engin que je fais entrer et sortir au rythme de ses gémissements de plaisir. Celui-ci, comprenant mon jeu, module l’expression de son plaisir en fonction du rythme de pénétration qu’il souhaite. Mlle donne à nouveau un ordre  » arrête avec ce gode. Son cul est prêt, fiste le. »

En effet, le gode retiré, il reste largement ouvert. Je n’ai jamais fisté qui que ce soit, aussi j’hésite mais du haut de son poste de commandement Mlle me dit :

– « Trempe ta main dans l’huile, étale la sur ton avant-bras puis introduis ta main, enfonce toi le plus loin possible et fais comme si ton bras était une bite … »

C’est ce que je fais et en un rien de temps, mon avant-bras est englouti dans les entrailles de Paul, qui jouit sans retenue. Constatant qu’il prend son pied et qu’il y a de la place, je m’enhardis et commence à introduire ma deuxième main puis le poignet puis l’avant-bras. Le cul de Paul est prêt à éclater mais monsieur hurle « encore, encore c’est bon !!! » Finalement, ce n’est pas son cul qui a éclaté, mais sa jouissance car je vois couler le long de la table une longue traînée de sperme. Monsieur ne bande pas mais qu’est-ce qu’il éjacule. Je me retire. Mlle nous rejoint pour se délecter de ce sperme crémeux et abondant dont elle m’offre une partie, que j’avale avec plaisir. Nous léchons ensuite son énorme bite molle afin de ne laisser perdre la moindre goutte de crème. Paul descend de la table, s’agenouille et me pompe jusqu’à ce que je jouisse dans sa gorge. Mlle regarde sa montre « Il est plus de 21 heures. Il est temps que tu rentres chez toi », me dit-elle

« Nous recevons demain soir des amis. Tu seras des nôtres : tu feras le service ; Bien entendu ce sont des gens bien comme il faut… »

 

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

5 réponses à La librairie – 1 – par Mikado

  1. Claire dit :

    Quelques excellents passage, mais d’autres franchement nimportnawak

  2. alin dit :

    boffff…..!

    • Eddy dit :

      Certes, c’est une opinion, mais si tu argumentais un peu ce serait bien plus intéressant ! Merci 🙂

    • Paday dit :

      C’est profondément malsain, non pas à cause des pratiques mais en raison de l’ambiance, quand au passage scato il est d’une rare idiotie, où l’auteur a-t-il vu que l’on pouvais s’initier à la scato de cette façon débile ?

  3. croquant dit :

    Superbe texte !Avec les fantasmes les plus osés, les plus « sales’!
    Un rappel d »expériences rares !
    Mon âme de « vieux salaud  » se réveille en lisant ça !

Répondre à alin Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *