Jeu de société par Jeff2

Bonjour, je m’appelle Jean-François, j’ai 21 ans et j’habite Sherbrooke au Québec. Ma relation avec Lauréanne date maintenant de 22 mois. Celle-ci est âgée de 20 ans. Elle était de nature gênée au début de notre relation mais avec le temps, elle s’est ouverte et j’en suis évidemment le plus comblé. Le 14 février dernier, je lui ai fait une surprise. Nous avons joué au jeu de société que j’avais conçu pour l’occasion. Ce jeu s’appelle « Caresse-moi ». C’est un jeu du même genre que serpent et échelle mais remplit tant d’épreuves sensuelles que sexuelles.
La dernière fois que nous avons joué, je suis tombé sur la case Supplice. Cette case est difficile à atteindre. Elle me permettant de demander tout ce que je veux à Lauréanne, que ce soit de faire l’amour chez des amis, dans la piscine, qu’elle se laisse se faire attacher et ensuite torturer, n’importe quoi. J’ai mis une semaine à faire mon choix. Ça arrive trop rarement pour que je ne le gaspille. J’ai inscrit mon choix sur la carte « Supplice » que j’ai remis la semaine suivante à Nympho (c’est le surnom que je donne parfois à ma copine).

– « Lauréanne, tu vas me sucer à l’extérieur en plein jour où que ce soit et tu vas le faire le chemisier complètement ouvert »
J’ai essayé beaucoup de chose dans ma vie mais j’avoue que ceci m’intéressait drôlement. Lauréanne n’habite pas la région présentement. Elle vit à Thetford Mines. Elle ne descend ici que la fin de semaine. Samedi, le 15 avril, nous nous promenions dans les rues de Sherbrooke. Je savais qu’elle pensait à son supplice, du moins je l’espérais. Moi tout ce que je voyais, c’est ma blonde, avec sa jupe noire moulant ses fesses, ses long bas qui s’arrête tout près de son sexe et son chemisier blanc qui lui enserre la poitrine. Je voyais bien qu’elle avait sous cette couche de tissus quelque peu transparents un soutien gorge noir.

Étant donné que la limite de temps dont elle dispose pour exécuter son châtiment est longue (avant notre anniversaire le 19 août), rien ne me permettait de croire que ce serait pour tout de suite. Je me promenais ainsi difficilement avec une queue en érection qui ma foi est mal placée dans mon pantalon, c’est à dire, vers le bas. Ce qui me fait une cuisse formée assez étrangement. Je regarde mon ange comme à l’habitude et arrivant par miracle à poser mes yeux sur autre chose que son corps magnifique, je remarque qu’elle regarde ma queue dans sa prison. Elle a ce regard qui justifie son surnom, nympho. Ses lèvres sont entrouvertes, leurs donnant ainsi un air encore plus pulpeux. Elle relève la tête et voit que je la fixe en souriant. Nous sommes maintenant sur un pont pour piéton au centre-ville surplombant la rivière Magog. Le bruit de la chute d’eau sous nos pieds nous empêche de nous parler. Nous pénétrons un nuage de gouttelettes d’eau dû à la cascade. Après être sorti de ce nuage, toujours sur le pont, je m’arrête pour regarder en bas et tordre un peu ma chemise trempée. Je me retourne et aperçois Lauréanne. Ses cheveux sont mouillés et évidemment son léger chemisier aussi. La tête penchée vers l’arrière, les mains dans les cheveux pour les secouer et les sécher, son chemisier lui collant à la peau et son soutien-gorge noir aussi visible que si elle ne portait que ça me ramènent l’érection que j’avais plus tôt réussi à maîtriser. Elle me regarde toujours les mains dans les cheveux et son regard nympho reviens. Un à un, très doucement, elle défait les boutons. Son regard me fixe intensément. Je ne sais pas quoi regarder ; ses yeux ou la libération de ses seins. Pauvres yeux, j’ai choisi les seins.

Un dernier bouton est défait et elle écarte son chemisier. Ses deux seins me regardent arrogamment. Elle se tourne puis recule vers moi. Je recule également jusqu’à ce que la barre de métal glacé me touche le dos. Elle se penche légèrement et plaque son cul sur mon sexe. Elle fait monter puis descendre ses fesses. Mes mains caressent son dos pendant que je tourne la tête pour examiner les environs. Au loin, je vois des passants. Si quelqu’un regarde la gorge, il peut aisément nous voir. Lauréanne se cambre et ramène son dos contre ma poitrine. J’en profite pour agripper fermement ses seins. Je les masse pendant qu’elle continu à me caresser la verge avec sa main dans le dos malgré le tissus. Je baisse légèrement son soutien-gorge pour libérer ses mamelons. J’en saisi un par main et je joue avec. Je les fais tourner et les étire. Elle se retourne et se colle à moi. Je vois ses deux seins s’écraser conte ma poitrine. Son regard est en feu. Le genre de regard où je me demande si elle est vraiment là ou si elle est possédée, obéissant seulement à ce que lui demande son corps, c’est-à-dire un maximum de sensation. Elle m’embrasse alors goulûment. Nos langues se frottent l’une contre l’autre pendant que mes mains descendent dans son dos. Je m’approche de ses fesses que je prends sans ménagement. Je serre Lauréanne contre moi pendant que nos langues se caressent, s’appellent, se désirent. Bien que nous nous connaissions par coeur, nous n’avons jamais cessé de nous explorer. Elle me regarde et descend pour m’embrasser dans le cou. J’ai lâché ses fesses pour maintenant simplement la tenir par les hanches. De mon cou, elle descend jusqu’à mon ventre puis elle tombe à genoux. Je souris en l’observant s’exécuter.

Elle défait le bouton de mon jeans et descend ma fermeture éclair. Devant elle, sous un boxer noir serré, se dresse ma queue qui, sans même avoir vu quoi que ce soit, est énervé à l’extrême. Elle le baisse suffisamment pour en sortir mon membre. Elle ne se le met pas immédiatement en bouche. Elle le fixe, lui fait faire quelques va et vient puis s’approche. Sa tête est encore à 30 centimètres de mon sexe que sa langue est déjà sortie autant qu’elle en est capable. Elle me fixe dans les yeux en s’avançant si lentement, toujours en me masturbant, que j’ignorer si c’est sa langue qui va venir à ma queue ou mon sperme qui va se rendre à sa langue. À genoux comme elle l’est, avec sa main gauche, elle prend sa jupe et la remonte. Elle écarte son très mince slip et se caresse. S’insérant très aisément un doigt, je devine qu’elle est mouillée. Sa langue n’est plus qu’à 5 centimètres, je ne pense plus qu’à ça. C’est loin d’être la première fois qu’elle me suce mais tout est dans la façon de le faire, dans le contexte bien plus que dans l’acte simplement. Elle tire mon prépuce vers l’arrière et dégage complètement mon gland. Sa langue se pose dessous mon gland, là où il débute. Elle monte très très lentement vers mon méat et saisi une goutte de mon sperme. Ensuite elle ouvre grand sa bouche et je la pénètre. Son nez se pose dans mes poils. Elle commence à bouger par secousse parce qu’elle n’a jamais cessé de se toucher. Elle semble maintenant concentrée sur son clitoris. Sa tête avance et recule sur ma queue. Mes mains se posent dans ses cheveux et je l’aide dans son mouvement. Parfois, elle s’arrête pour caresser du bout de sa langue le bout de mon gland, un endroit très sensible à ces caresses.

Contrairement à l’habitude, la cascade d’eau couvre tous les bruits de succions qu’elle fait lorsqu’elle me fait une fellation. Les sensations sont extraordinaires. Mes yeux se ferment pour me concentrer puis lorsque je les ouvre, je vois des arbres, des passants au loin, des automobiles, la vie normale quoi. Je descend les yeux et vois cette femme qui me suce comme si j’étais sa seule source de liquide. Ce contraste m’excite. Lauréanne remonte légèrement et plaque ma queue entre ses seins, plus ou moins encré dans son soutien gorge. Elle fait quelque va et vient et trouve le moyen de sucer mon gland à chaque fois que mon pénis s’approche de sa bouche. Ce petit jeu me fait traverser la limite du non retour et dans un gémissement sourd, j’éjacule sur ses seins. Elle les approche de son visage et tente de les lécher. Cette vision obscène redéclanche immédiatement une nouvelle érection malgré que la douleur m’empêche de continuer tout de suite. Elle parvient à en licher quelque goutte. Alors que je m’apprête à remettre mon sexe dans mon pantalon, elle le prend et le plonge dans sa cavité buccale. Elle me nettoie ainsi très professionnellement. Elle se relève, rattache lentement son chemisier et part sans m’attendre. Pendant que je m’attache, je vois sur le pont plus loin un couple dans la trentaine qui nous regarde. Je me demande s’ils ont déjà vécu ce genre de chose. Je me retourne alors et part rejoindre Lauréanne.
Jeff

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