Je suis une femelle salope 24 – Nouveau motard par francoislave

Je suis une femelle salope
24 – Nouveau motard
par francoislave

Semaine bien remplie :

Après une visite ce mardi à mon mâle de Meaux, avec pipe et super sodo, je suis allé voir ce mercredi un mec rencontré sur un site de dialogue.

J’arrive chez lui, beau mec, la cinquantaine, sec, très militaire d’aspect. Il s’était présenté comme gay dominateur, j’en ai la confirmation rapidement.

– « Déshabille-toi » me dit-il dès que j’ai franchi le seuil de son appartement.

Je me dirige vers un coin du salon, un coup d’œil sur la table me renseigne sur le programme des réjouissances : différents godes, des boules reliées entre elles, un martinet, des menottes….

Je me mets à poil et me présente devant lui. Il s’est aussi déshabillé et son corps est particulièrement appétissant. Un détail attire mon regard, la pointe de ses tétons plutôt, très larges et très proéminents. Il m’avait annoncé qu’il adorait qu’on lui travaille les seins, en effet ça se voit.

Je me serre contre lui et commence à lui sucer les seins, caresse qu’il ponctue d’un grognement approbateur.

– « Plus fort, salope ! »

J’accentue ma caresse, lui mord le bout des seins, l’un après l’autre, ils sont épais et fermes.

D’une main, je l’enlace et de l’autre je lui caresse la bite, qu’il a déjà bien dure. D’une main, il me fait me courber en direction de son ventre, il est diablement costaud, je sens que je vais déguster. Et je déguste, il me colle une claque magistrale sur les fesses, là aussi il m’avait prévenu mais la douleur est si vive que je ne peux m’empêcher de crier.

– « Ta gueule, salope, suce-moi ! »

Je m’exécute et le prend en bouche.

Sa queue est de taille normale mais déjà bien dure et je me régale, lui aussi d’ailleurs.

J’alterne pipe, léchage de la tige, gobage des couilles, il sent un peu fort mais cela n’est pas pour me déplaire, j’adore l’odeur du mâle. Et c’en est un vrai de vrai, un gay mais tendance très mâle !

Il s’assied sur le canapé et me coince la tête entre ses cuisses, les serrant de plus en plus au fur et à mesure que je le gobe. En même temps, je lui malaxe le bout des seins vigoureusement.

Au bout d’un moment, il me repousse et empoigne une chaînette terminée par deux pinces. Il la fixe à ses tétons puis me remet en position entre ses cuisses, la queue dans ma bouche, mes mains malaxant à nouveau ses bouts.

Visiblement, il apprécie qu’on lui pince les seins, plus je les pince, plus ses gémissements vont en croissant, à tel point que plusieurs fois je pense qu’il va me jouir dans la bouche sans capote. Aussi, de peur qu’il s’oublie entre mes lèvres, je le supplie :

– « Baise-moi, s’il te plaît, baise-moi, encule-moi ! »

D’un coup, il se relève et me fait mettre à quatre pattes sur le tapis. Il prend un gode et essaye de me l’introduire dans le cul.

– « Lubrifie-moi, tu me fais mal »

Il me tartine le trou du cul de gel et me rentre d’un coup le gode.

Je gémis de plaisir tandis qu’il me baise avec le gode. Puis il le retire et le remplace par un plug plus gros.

Il se rasseye sur le canapé et me remet en position, la tête entre ses cuisses, sa queue entre mes lèvres et ses bouts de seins entre mes doigts. Et le manège recommence, je le suce, je lui travaille les seins, il me laboure les oreilles avec ses cuisses et grogne de plaisir. J’essaye tant bien que mal de garder le plug entre mes fesses mais peu à peu celui-ci ressort de mon trou. Je le replace mais mon cul est déjà bien ouvert et le gode ressort bien vite.

Je commence à trouver le temps long, me demandant où je suis tombé quand, heureusement, il se relève, enfile une capote, me fait mettre debout devant le canapé, appuyé sur les mains et me pénètre de toute sa longueur.

A présent il me baise comme une salope, je suis aux anges, lui aussi apparemment. Seul bémol, les grandes claques qu’il me balance de temps en temps sur les fesses.

Puis il se retire de mes fesses, me donne à sucer sa queue toute maculée, et se remet en position sur le canapé.

La suite est connue et habituelle, je le suce tout en lui pinçant les seins, il me serre la tête entre ses cuisses tout en gémissant, la variante étant qu’à présent il se branle en même temps que je le suce.

Chic, je vois arriver la fin de mon calvaire car je dois l’avouer, je ne sais comment me sortir de cette histoire, il m’a bien enculé, j’en ai eu du plaisir mais à présent, je me demande ce qu’il va me faire endurer pour arriver à le faire jouir.

D’une poussée, il retire sa queue de ma bouche :

– «Pince moi les seins plus fort ! »

Je fais ce qu’il m’a ordonné et de son côté, il se branle la queue de plus en plus vite, toujours encapotée.

Enfin, il éjacule dans le préservatif et je me relève, la bouche endolorie, les fesses aussi.

Il enlève la capote, s’essuie la queue et me jette un sopalin :

– « Dépêche-toi, je dois sortir ! »

Je m’essuie le cul, me rhabille et après une brève poignée de main, je retourne à ma voiture.

Vivement que je retourne voir mon mec à Meaux.

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