Histoires de bons plaisirs – 5 – Quand Rosie s’encanaille par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 5 – Quand Rosie s’encanaille
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J’ai l’impression que cette chipie d’Ernestine cherche à s’insérer dans mon histoire en se remémorant les bons moments de sa jeunesse où elle avait appris elle aussi le métier entre les mains de quelques bons éducateurs ou éducatrices dont elle garde de bons souvenirs.

Aussi me dit-elle, il faut que ton Lucien aide Rosie maintenant qu’elle a pris goût à la chose, et qu’il l’aide à se débrider et à faire valoir ses belles qualités pour en tirer le maximum de profit.

Elle a du savoir vivre cette sacrée Ernestine.

– Ben oui qu’elle rajoute, quand on a une jolie frimousse et un cul volontaire, il faut apprendre à s’en servir !

Et elle sait de quoi elle parle, en tortillant son petit cul que j’ai devant mon collimateur…

***
Justement, pour continuer mon histoire, un soir Lucien entraîne Rosie dans une réunion un peu spéciale. Un endroit très coquin comme il en existait peu à l’époque. Habillée très sexy elle est très vite courtisée par des messieurs très sympas. L’ambiance est assez chaude, Lucien la pousse un peu dans les bras d’un gars qui lui fait du charme et qui l’invite dans un slow langoureux comme on en fait de ce temps-là.

Au début, plutôt timide elle fait la timorée. Un gros bisou de Lucien et une tape sur le cul et zou la voilà qui se lance. Ce n’est pas sans crainte, mais non pas sans envie qu’elle se laisse entraîner par ce cavalier hardi qui la serre de bien près. Elle jette des coups d’œil amusés et désespérés, vers son salaud de mari qui lui s’est choisi une nana un peu forte et qui sans s’occuper de Rosie, folâtre dans les nénés de sa grosse cavalière pas du tout dérangée de se faire peloter les fesses par ce brigand.

Le cavalier de Rosie est un bel homme, il l’entraîne doucement à l’écart non sans l’assentiment de Lucien qui d’un clin d’œil lui fait comprendre que le chemin est libre.

La lumière tamisée, les couples s’éloignent. Rosie sent de concert descendre sur sa croupe des mains de plus en plus indisciplinées, ça lui donne des frissons… bon sang mais ne voilà-t-il pas qu’il veut l’embrasser maintenant ! Elle se retire… Ah non elle ne veut pas… Il y revient. Non c’est non!… Alors il colle son pubis contre son ventre… Là c’est mieux !… C’est qu’il l’a bien dure sa pine sous son froc !… Hum ça donne envie !… Il doit y avoir du beau monde là-dessous ? Ça c’est le genre de chose qui lui plaît. Ce n’est pas du toc, c’est du concret, c’est l’expression d’un homme qui trouve qu’elle a du charme. Sentir qu’elle fait bander un mec… n’est-ce pas là sa fierté ! Elle est à son aise, elle mouille, quand son mari bande ça la flatte mais qu’un autre bande aussi pour elle ça l’excite beaucoup.

Elle se colle un peu plus… sent des doigts qui insistent sur ses fesses… Il la presse… l’emmène dans un coin éloigné des regards au fond de la pièce. Il lui prend la main et la guide dans sa braguette ouverte, le gros dégueulasse… Bon sang ce qu’elle est dure !… Hi, Hi… ça devient intéressant !… Elle saisit sa queue à pleine main, oh putain qu’elle est raide!… C’est doux à tripoter !… elle lui jette un regard admiratif et affriolant. Mais c’est qu’il est têtu… et bande sérieusement !… Elle le masturbe… sort la bite de sa braguette… oh le bel engin ! Elle a envie de se baisser à la hauteur du bel outil et de l’emboucher comme si c’était un esquimau. Elle n’ose pas, mais penchée sur son ventre tandis qu’il lui fait des bisous sur les épaules, elle prend le digne membre à pleines mains, le caresse, lui trousse le prépuce.

– Comme il bande ! Hum, que c’est bon ! Oh que je suis salope !

Elle se redresse tout de même en estimant qu’elle en a fait assez comme cela et regarde autour d’elle tandis que Lucien lui lance un regard stupéfait par-dessus les épaules de la nana qu’il pelote.

L’homme avec sa bite dehors et raide comme un pieu tente alors de se rapprocher de Rosie et de se coller contre elle avec des intentions bien précises. Il lui soulève la robe… elle sent le gros membre folâtrer entre ses cuisses.

– Ah non ! il est fou, au secours Lucien ! Il va me violer le salaud !

Elle se sauve en lâchant la grasse quéquette du bonhomme trop pressé qui veut l’entrainer derrière le bâtiment pour conclure une affaire qu’il imagine en très bonne voie…….

Lucien et Rosie rentrent chez eux en pouffant de rire. Ils ont apprécié leur culot, elle a aimé, mais quand même elle n’aurait pas été plus loin… pourtant !

– Oh la bouille du mec quand je me suis sauvée ! Il a dû éjaculer dans son froc !

Elle rapproche ses mains de sa figure…

– Pouah ! Mais il sent le fauve ce gars-là…pourtant cette violente odeur de mâle….ça l’excite ça lui donne des idées salaces….Une si belle queue !

Elle en rit encore quand dans leur lit Lucien la baise avec une excitation plus forte que d’habitude et qu’elle répond avec emphase à ses bonnes sollicitations.

– Salope tu te serais bien fait niquer, ma parole ! Oh tu l’aurais voulu sa bite… Hein dis-le moi ! et il lui tapote les fesses.
– Oh oui, mon coquin, c’est qu’il l’avait si dure ! Mais toi aussi je t’ai vu fricoter avec une sacrée coquine il me semble ! Ils étaient doux ses lolos ?
– Hum ! Pas mal et elle avait un de ces culs !… et chaude avec ça… j’ai senti qu’elle n’avait pas de culotte.
– Dommage, on a raté chacun notre coup… qui sait, c’est qu’il avait une belle queue lui aussi le cochon !
– Eh bien tiens prends-toi la mienne et dis-moi si c’est du cochon…
– Oh oui mon amour ! Tu es mon bon cochon ! Met-là moi mon choux… je l’ai bien méritée ! Oh que c’est bon ! Vas-y pousse !

***
Regardez-moi cette crapule qui fait la petite fille modèle au départ et qui en veut maintenant !

Décidément cette bonne aparté ça a donné du punch à leurs amours et cette nuit le matelas pourrait nous en conter de drôles!

***
Après cette soirée ils ont envie d’aller plus loin et entre eux ils parlent de libertinage. Le mot plaît à Rosie qui est partante pour faire une rencontre à trois et chez quelqu’un qui reçoit et de préférence d’âge mûr.

Rosie étant bien décidée, Lucien fait une recherche en fouinant les annonces érotiques sur de petits journaux hebdomadaires de l’époque.

Après bien du temps ils entrent en relation par courrier avec un homme qui présente bien, il dit avoir soixante ans et leur adresse même une photo de lui en noir et blanc. Il leur semble pas mal.

Il les reçoit chez lui un samedi soir. C’est Firmin, un monsieur charmant qui vit seul et qui a déjà reçu chez lui des couples pour du libertinage.

Après une petite réception sympa La soirée est conviviale et chaleureuse. Le monsieur a de l’éducation. Ils dégustent un apéro bien soigné et partagent quelques discussions qui ne portent pas bien sûr sur la pluie ou le beau temps. Il y a des rougeurs, des sourires flagrants, des histoires salaces, des choses très crues et des montées d’adrénaline qui les amènent doucement à s’abandonner à des jeux de plus en plus coquins.

Firmin commence à entreprendre Rosine avec tact et douceur. Il se lève et se glisse derrière la jeune femme en l’enserrant dans ses bras. Elle se raidit un petit peu, mais il ne lui laisse pas le choix et loin de manifester quelque crainte elle se laisse aller en lançant vers son petit mari des clins d’œil délicieux chargés à la fois de questions, d’insolence et de complaisance. Elle s’abandonne. Le cul contre le pubis de son interlocuteur elle sent la grosseur de son sexe contre ses fesses. Elle se serre davantage en écartant les jambes. Son époux n’en revient pas de la voir si salope, mais c’est ce qu’il souhaitait, il bande.

Quelques caresses d’abord autour de son buste, ensuite une main et puis deux qui s’introduisent dessous les bonnets de son soutien-gorge à la recherche de ses bouts de seins qui sont bien gros, et voilà que d’elle-même elle retire son soutif (les mecs ne savent pas faire) en présentant avec orgueil ses deux beaux mamelons à la disposition du galant homme. Petits pincements des tétons et bises dans le cou. Hum que c’est bon ! Déboutonnage de la jupe qui tombe, massage abdominal, quelques doigts qui se glissent sous l’élastique de la culotte, un ventre qui se tend sous la caresse, il lui crochète la mounine. Quel culot !… Hum ! Qu’elle bonne odeur de sueur et de femme chaude !

Déshabillé, pelotée, caressée, elle ne se retient plus, elle s’étonne, elle jubile. Bientôt elle se baisse pour saisir et tripoter la gaillardise du sénior en fouillant dans son pantalon qu’il a très aimablement desserré, il est aux anges. Du coup Lucien a quitté aussi son froc et il se branle le vilain. Il commence à apprendre le métier de cocu bienheureux.

Elle continue de s’occuper de Firmin en serrant entre ses doigts cette nouvelle queue irrévérencieuse qui n’est pas bien dure pour l’instant, mais qui se laisse apprivoiser par ses caresses en se redressant tout doucement quand elle s’aventure timidement mais sûrement à lui faire quelques bisous. C’est un bel instrument avec un gland pointu et couronné comme un harpon, surmonté d’un prépuce moelleux qui a dû bien des fois se faire retrousser par des chattes serrées ou des œillets étroits. Ces pensées lubriques l’excitent.

Entre ses cuisses serrées elle sent qu’elle mouille abondamment, elle a honte… et puis non, c’est trop bon, elle laisse la honte de côté et s’enhardie à boulotter encore davantage le bel instrument en resserrant ses babines autour des ailes du gros gland. Hum ! C’est chouette ! Elle monte et elle descend, elle serre les lèvres. Elle mordille délicatement la tige volumineuse. Elle a du goût cette pine ! Un goût différent que celle de son chéri, mais ce bon goût d’homme mature c’est une découverte et ça lui plaît.

La soirée a donc bien démarré, mais Madame n’est pas encore assez libérée pour en faire davantage. Elle continue avec amusement à sucer et branler son amant qui maintenant bande fermement. Lui aussi n’ose pas en faire plus. Agenouillée devant lui elle suçote agréablement le bel organe jusqu’à ce que tellement excité il ne puisse plus se retenir et éjacule soudain sur son visage et ses seins. Surprise elle s’affole. Tourne des gros yeux tous blancs vers Lucien qui lui tout autant excité, éjacule sur ses fesses en se masturbant comme un fou.

Elle prend cela avec décontraction et profite de la chaude pommade pour se masser les nichons en passant insolemment sa langue sur le bord de ses lèvres tout en lançant un p’tit sourire coquin en direction de Lucien. Ce dernier, ravi, se permet de la féliciter. Collé contre sa poitrine humide il l’embrasse à pleine bouche.

Tous trois se confondent en bonnes excuses et en enchantements. Elle va prendre une douche. Il s’en suit une très agréable soirée. Ils décident de se revoir et de faire encore mieux la prochaine fois.

Toute fraîche, avant de partir elle se colle contre son amant d’un soir qui la laisse partir avec regret dans les bras de son cocu qui n’en finit plus de félicitations et de remerciement pour cet accueil si charmant.

– Dommage ! J’aurais bien aimé qu’il me baise !
– Il aurait bien aimé lui aussi mais c’est un mec bien et respectueux, il t’a sentie pas encore assez prête et n’a pas voulu compromettre notre soirée, mais ce n’est que partie remise. Tu t’es conduite comme ne véritable courtisane et la prochaine fois ne t’inquiète pas tu vas y passer ma Belle…
– Oh oui il m’a rendue toute chaude, viens vite mon chéri, viens on va faire comme si c’était lui qui me baise…ce soir tu t’appelles Firmin.

Ce n’est pas la bite de Firmin qu’elle se prend, mais bien celle de Lucien, une bonne, bien grosse et bien bandée qui lui chahute la pachole autant qu’elle le mérite la divine coquine qui s’est faite un peu plus salope, ce soir ! Et puis après tout c’est bien bon de coucher avec son cocu !

L’aventure s’étant bien passée, ils décident donc de rencontrer une nouvelle fois le brave homme qui leur prépare un bon petit repas bien arrosé. Après le repas, ils se retrouvent tous les trois dans le salon pour déballer gentiment leurs envies et leurs vêtements. Les choses vont bon train. Ils n’ont plus rien à cacher et plus de pudibonderie.

Rosie sait que ce soir c’est un grand jour. Elle va se faire plaisir et se soumettre à la volonté de ce Monsieur et de son époux complice. Ce soir elle sera la proie consentante de ces deux hommes.

Ça commence comme l’autre fois par de superbes fellations que la chipie fait avec beaucoup de tact et en donnant bien du plaisir au vieil homme et à son mari.

Firmin s’est fait plus entreprenant. Il la pelote aussi, lui titille la mounine, lui taquine l’anus. Elle gémit, elle mouille et jubilante elle lâche trois petits pets humides qui ne sont pas de nonne.

– Petite cochonne ! Voilà qui mérite une petite correction s’écrie le sénior !

Et comme il est amateur de quelques jeux bien vifs, il renverse Rosie sur ses genoux pour la gratifier d’une bonne fessée.

– Ça raffermit dit-il le charnu de ces Dames et ça corrige en plus le toupet qu’elles démontrent en marchant dans la rue.

Lucien lui, rigole comme un bossu en se frappant les cuisses, tandis que sa coquine pousse des petits cris de minette affolée en remuant ses jambes avec impertinence pour essayer d’échapper à la bonne déculottée.

« Après tout » pense-t-il, « elle le mérite bien sa salope infidèle qui se fait bousculer sous ses yeux par un mec ! »

Il se régale le Lucien à voir la grosse paluche du père fouettard s’abîmer sur les chairs gélatineuses et frémissantes de sa tendre mimi pattes en l’air.

Et d’ailleurs n’a-t-on jamais vu une Dame vilaine faire ainsi du tapage pour vouloir éviter de se faire châtier gentiment sur le cul. Son cul bondit à chaque claque et elle serre les fesses avant d’encaisser la suivante. Mais ce n’est pas méchant et savez-vous ce qu’elle fait la chipie pour se venger….

Eh bien elle pisse, elle pisse de bon cœur, une bonne pisse chaude qui coule sur le froc et jusque dans les chaussettes de son éducateur !

– Mais putain c’est qu’elle pisse ta garce qu’il s’écrie le bonhomme en sentant sur ses cuisses déborder la vessie trop pleine, de l’insolente pisseuse.

Alors ni une, ni deux, le Firmin malicieux redresse l’effrontée et le nez dans ses fougères il lape le bon jus que déballe son minou. Du bon jus bien doré, un peu salé, un peu amer, mais chaud et odorant comme un thé aux épices ! Il boit à satiété jusqu’à la dernière goutte, laissant traîner sa langue dans les douces profondeurs de la chatte en émoi.

Elle est contente la Rosie, elle a réussi son coup et renversé la situation. Cette langue qui farfouille dans son con, ça lui plaît, ça lui fait du bien et ça l’excite tellement qu’elle se penche pour sucer avec vivacité le beau sexe de Firmin qui bande maintenant.

Et putain elle se le suce le gros membre et elle lui papillote le gland en le serrant entre ses lèvres, et elle lui tournicote un doigt dedans le trou du cul !

– Bon sang elle fait ça avec style ta petite salope ! Qu’il dît le Firmin ! Chapeau tu l’as bien dressée la garce ! Elle est du genre : tapote-moi le cul et je te dirai qui je suis !

Bientôt le brave homme sent le plaisir grimper si vite qu’il lâche soudain la sauce entre les gencives de la gourmande. Sans s’émouvoir elle avale la crème qui tant soit peu lui gicle par les trous du nez tant son fouteur les deux mains dans sa chevelure lui enfourne le paquet au fond du gosier.

C’est alors que notre salaud de Lucien qui bande comme un fou à la vue de cette belle escarmouche est désireux de participer à son tour. Il saisit sa belle par les hanches, la redresse pour la mettre bien présentable aux désirs de sa pine bandée et l’enconne profondément.

Courbée et trempée comme une mouille elle a lâché à regret la bite du sénior pour se faire baiser par son homme qui soudain retire sa bite pour l’enfouir ensuite d’un coup d’un seul, dans son anus et en levrette.

Oh putain quelle enculade ! La deuxième de sa vie. Quelle puissance, quelle défonce, quel encombrement ! D’autant qu’en s’asseyant sur le canapé il se la ramène sur ses genoux pour l’enfiler tout comme un bilboquet.

Assise et enfilée sur Lucien, elle s’ouvre comme une moule face à Firmin, ses jambes écartées et la chatte grande ouverte. Elle crie la chérie, empalée ras les couilles de son pourfendeur. Et que voulez-vous qu’il fasse le Firmin, si non qu’encore bandé, il se la baise à son tour pour aller côtoyer, s’il vous plaît, la bite du cocu en train de l’enculer!

C’est un moment très fort et même insupportable. Serrée de part et d’autre elle ne peut plus bouger. Seul Firmin la travaille pendant que Lucien la maintient par les seins. Elle crie, elle s’étouffe, elle jouit.

Les deux hommes face à face un instant, tant ils jouissent ensemble de la belle friponne, qu’ils s’embrassent les salauds comme à jouir d’eux-mêmes !

Ils finissent tous les trois par basculer sur le côté dans un indescriptible désordre de jouissances, leurs corps pollués par des jets de foutre que débitent désarçonnées les bites en déliquescence.

Allongée sur le matelas douillet après ces pénétrations, ils la câlinent longuement pour la remercier de cette belle prestation. Pendant encore un long moment, tête bèche entre les deux hommes elle va prendre plaisir à caresser leur sexe, les admirer, les masturber lentement, leur faire des bisous, les laisser s’endormir le nez dans sa toison.

Ce fut une superbe soirée.

Elle est heureuse Rosie. Couchée entre ces hommes qui se sont endormis comme des pochards. Un sexe dans chaque main, elle souffle, elle respire, elle somnole. Pour une première expérience, ce fut une belle expérience. Certes elle en a pris pour son grade. C’était fort, mais c’était bon. Elle est fière d’avoir été capable d’être si femme et si salope. C’est sûrement qu’elle le mérite.

Elle s’abandonne à des rêves où elle ferait des rencontres encore plus lubriques… Ce qu’on est bien entre plusieurs Messieurs ! Oh non c’est impossible… quoique…

Elle rêvasse en mouillant la coquine !

***
Tiens ma Titine elle est partie se coucher ! Elle m’a abandonné, la garce ! C’est vrai qu’il est trois heures du matin, moi aussi j’ai sommeil. Pourtant je me la serais bien enfilée cette chipie, en lieu et place de la Rosie ! Et ce fameux Lucien qui paluche l’amant ! En voilà donc un brave cocu !

Ça m’a excité tout cela….et vous ?… ..

15/08/21

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 5 – Quand Rosie s’encanaille par Verdon

  1. Muller dit :

    Je me suis bien marré ! Merci à l’auteur pour cette écriture joviale

  2. Harivel dit :

    On se régale ! Quelle belle plume au service de jolies croustilleries

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