– Sortez !
– Oui…
– Comme vous n’êtes pas sages, je vais devoir sévir.
Nous sortîmes de la voiture, la maison était élégante, le jardin semblait grand. Je frissonnais, une petite pluie tombait. Une jeune femme habillée en soubrette vint à côté du maître avec un parapluie.
– Déshabillez-vous entièrement.
– Tout ?
– Immédiatement !
Nous nous exécutions, dans la nuit, ôtant nos bracelets, nos colliers, nos chaussures que la soubrette ramassa et mit dans un sac noir.
– Les bijoux aussi, et vite !
– Mais… ?
– Tes seins Ariane !
– Pardon Maître.
Elle ôta de ses tétons les deux anneaux d’argent et les remit à la soubrette, une petite blonde qui faisait mine de ne pas nous regarder. Nues, l’eau dégoulinait sur notre peau, nous avions froid et le gravier blessait nos pieds, il pleuvait toujours. Le maître demanda à la jeune fille,
– Eva, cherche la cravache, apporte la moi, puis tu préviendra Madame et tu nous rejoindra à la grange.
– Bien Monsieur…
Elle disparut, le Maître alluma une cigarette, nous n’osions bouger malgré le froid. Eva arriva, lui tendit une cravache et repartit. Il finit sa cigarette et nous désigna un chemin qui longeait la maison. Le gravier me faisait mal aux pieds mais au moins je me réchauffais un peu. Arrivées devant une grange, je dus ouvrir une porte et entrer. Le Maître alluma la lumière révélant un sol de béton nu, une charpente de bois. Nues et transies, il nous annonça :
– Je vais demander à Eva de vous sécher, avancez vers la gauche !
– Bien Maître…
– Debout, jambes écartées, bras sur la tête !
Il caressa longuement nos corps du bout de sa cravache et continua lorsqu’Eva nous séchait à l’aide de serviettes épaisses. La vicieuse en profitait pour nous écraser les seins, nous frotter sans ménagement le sexe, nous n’osions rien dire. Puis le Maître nous fit avancer vers une trappe ouverte dans le sol. Après quelques marches, nous découvrîmes une salle carrelée et des cages de métal. Je devinais que nous n’allions plus tarder à les visiter. Ariane hésitait, le Maître fit claquer la cravache dans ses mains, Ariane restait rétive, il s’approcha, et contre toute attente, après lui avoir assené un coup sur la cuisse, il l’embrassa à pleine bouche. Ariane était domptée… Le Maître nous fit signe d’entrer et Ariane entra dans celle de gauche et moi dans celle de droite. Elles étaient basses et nous devions nous tenir accroupies. Eva arriva, ferma les portes et tendit une clé au Maître qui lui fit signe de s’agenouiller. Elle obéit, s’agenouilla et mit d’elle-même les mains dans le dos. Le Maître lui caressa les cheveux puis il sortit son sexe tendu et lui fit lécher longuement devant nos regards envieux. Eva léchait ses couilles, sa queue, son gland avec application. Ariane avait déjà glissé sa main vers son entrejambe et se branlait doucement. Je fis de même frottant mon poing contre ma chatte. Le Maître nous ordonna de cesser au moment où il sortit son sexe de la bouche d’Eva, déçue et se rhabilla. Puis il sortit après nous avoir interdit de nous toucher, suivi d’Eva qui nous montra deux caméras braquées sur les cages. Nous décidâmes sans un mot d’obéir et d’attendre…
Le temps était un peu long, je regardais Ariane qui me regardait, je voyais qu’elle s’était accroupie entre deux barreaux et qu’elle pressait son sexe contre un barreau. Je l’imitais, le métal glacé contre mon con me fit presque sursauter, j’écrasais avec délice mon clito sur ce gode improvisé lorsque des pas résonnèrent. Une femme aux longs cheveux blonds entra, elle portait un manteau. Je ne l’avais jamais vue, elle était de type asiatique mais aussi grande que moi, son visage fin était totalement impassible.
Elle ouvrit son manteau, révélant de longues jambes fines gainées de soie noire, un porte-jarretelles, un bustier de soie légèrement transparente faisant saillir sa poitrine parfaitement ronde. Son sexe était étrangement lisse, comme celui d’une jeune fille. Eva entra, sans un bruit elle se mit à côté de la porte et ne bougea pas.
– Vous m’appellerez « Madame » !
– Bien Madame
– Bien Madame…
– Vous m’obéiriez comme à votre Maître
– Bien Madame
– Je vous punirai si vous le méritez et vous récompenserai si vous le méritez.
– Bien Madame.
– Pour commencer, vous allez voir ce qui se passe lorsqu’on désobéit.
– Bien…
Interdites, nous pensions qu’elle avait vu notre stratagème de masturbation, mais Eva s’avança et baissa la tête.
– Eva, tu leur a désigné les caméras…
– Oui, Madame…
– Tu sais ce que tu mérites ?
– Oui, Madame, je dois être punie.
– Alors tu le seras. Déshabille-toi et mets-toi en place pour la punition n°3
Eva se déshabilla entièrement et se mit à genoux bras sur la tête au centre de la pièce. Elle avait de beaux petits seins tout ronds, ses fesses étaient menues et ses jambes fines. Madame passa une corde de chanvre épais autour de ses poignets et Eva se releva pour se mettre debout, jambes écartées. La corde fût passée adroitement dans un anneau au plafond et tendue de sorte qu’Eva soit maintenue en extension sur ses jambes frêles.
– Tu sauras rester silencieuse ?
– Oui, Madame…
– Bien…
Madame ouvrit une armoire et chercha une badine. Eva ne la quittait pas des yeux et attendit le premier coup courageusement. Elle ne cria pas, pourtant le coup porté sur ses fesses était cinglant. Chaque mollet et chaque cuisse furent marqués de rouge. Eva supportait la douleur sans un mot. Le coup porté sur son sein gauche fit plus d’effet, elle étouffait sa douleur avec peine. Son sein droit fut également marqué à deux reprises. Puis Madame lui demanda d’écarter les jambes. Eva ouvrit de grands yeux et obéit. Elle offrait maintenant son sexe tendre et lisse à Madame qui frottait la badine entre ses lèvres. Mais au lieu de la fouetter, Madame la branlait et intensifiait son mouvement. Eva, gémissait de plaisir lorsque les doigts de Madame remplacèrent la badine et investirent son sexe. Ses doigts fins pinçaient le clitoris d’Eva qui gémissait de plus belle. Puis le manche de la badine prit place dans l’anus d’Eva alors que les doigts de Madame pénétraient, pinçaient, trituraient son sexe gonflé de désir. Elle jouit presque instantanément et de suite remercia sa bienfaitrice qui retirait le manche de la badine de son petit trou.
– Merci Madame, vous m’avez comblée,
– Tu as été punie et comme tu as été très docile, tu as été récompensée.
– Merci Madame.
– Maintenant je vais m’occuper de nos petites nouvelles.
Elle se dirigea vers nous, la badine à la main. Elle la tendit à Ariane
– Lèche !
– Oui, Madame…
Et Ariane lécha la badine avec application, elles se regardaient dans les yeux, trahissant l’excitation de l’une et de l’autre. Ce petit jeu dura jusqu’à ce que Madame se tourne vers moi. Elle se retourna devant moi, se baissa, dévoilant ses fesses menues et écarta ses belles jambes et sortit délicatement de son anus un long plug.
– A toi maintenant, lèche !
Je tendis la langue, mon premier contact avec ma Maîtresse fut un peu difficile. Je jetais un coup d’oeil à Ariane qui ne savait pas trop quoi penser. Je posai la langue sur le plug et léchai doucement, je l’avais déjà fait et Anne adorait ça, mais là, je restais un peu hésitante. Madame me le poussa dans la bouche.
– Lèche !
Je le pris en bouche goûtant les sécrétions de Madame. L’odeur âcre, la situation, le souvenir d’Anne, de son anus et de ma langue fouillant en elle… Tout se mélangeait dans ma tête et je léchais avidement le plug le nettoyant de toutes ses souillures. Madame me félicita et me permit de l’embrasser à travers les barreaux. Elle suça ma langue à m’en faire perdre la tête. Puis elle se redressa et libéra Eva en lui disant qu’elle allait nous donner à boire. Eva chercha un grand bol en verre et le posa sur le sol. Madame s’accroupit au-dessus et pissa longuement dedans sous nos regards attentifs. Puis elle se releva et laissa Eva lécher sa chatte mouillée avant de quitter la pièce. Eva poussa le bol entre nos cages et nous regarda.
J’approchais la main et m’aperçut que le bol ne passait pas. Eva me sourit alors que je tendais la main pour recueillir le liquide odorant et porter à ma bouche quelques centilitres dans le creux de ma main. Elle m’arrêta et prit le bol et le porta à sa bouche pour y boire. Je vis qu’elle n’avalait rien et sous le regard médusé d’Ariane, Eva se plaça au-dessus de mon visage et recracha tout dans ma bouche grande ouverte. J’avalais tout avec délice, goûtant le parfum fort et musqué de Madame. Puis Eva proposa le même service à Ariane qui refusa. J’eus droit à une nouvelle ration que je partageais avec la soubrette. Elle s’était amusée à m’arroser le visage et le corps de façon à ce que je sois couverte d’urine. Je me caressais encore lorsqu’elle sortit et baissa la lumière. Ariane m’appela.
– Fabienne ?
– Oui ?
– Je ne t’imaginais pas aussi perverse…
– Quand je suis excitée, je ne sais plus ce que je fais. Et à chaque fois, je vais de plus en plus loin.
– Tu devrais peut-être te méfier, à ce rythme, je suis sûre qu’elle pourrait te faire faire des choses que tu regretterais.
– Comme quoi ?
– Je ne sais pas, mais quand je t’ai vu lécher le plug et boire sa pisse, j’ai été un peu… surprise…
– Tu sais, avec mon amie, nous avons découvert l’uro et je dois l’avouer, j’adore ça.
– …
– C’est pas beaucoup plus crade qu’avaler du sperme non ?
– C’est vrai… mais…
– Tu n’as jamais essayé ?
– Non…
– Tu devrais, une fois, pour voir…
– L’odeur me rebute…
– Ca dépend de ce que tu bois, avec du thé au jasmin, c’est doux et parfumé.
– C’est vrai ?
– Oui, même si j’aime quand c’est un peu plus fort.
– …
– Et toi ? Niveau sexe, tu me sembles plutôt perverse aussi, à voir comment tu prenais ton pied ce soir…
– J’aime me faire un peu bousculer…
– Et ?
– J’aime beaucoup les jouets électriques…
– C’est pas dangereux ?
– Si, il faut faire attention, pas de bricolage, sinon c’est l’électrocution… Tu as déjà essayé ?
– Euh… oui,
– Comment ?
– Mon amante m’a mis une pile électrique dans la chatte…0
– Et ça t’a plu ?
– Pas trop, ça piquait vraiment…
– Oui, il faut utiliser des outils adaptés.
– Et tes piercings ?
– Tu sais… c’est ici qu’on me les a fait…
– C’est vrai ?
– Oui…
– Attention, je crois que quelqu’un vient.
La lumière s’alluma et Madame entra et ouvrit ma cage, m’ordonna de sortir et de me tenir devant elle. Elle me malaxa les seins, puis le sexe. Me jugeant à son goût elle me désigna une douche et me demanda de me laver alors qu’Ariane la regardait avec envie. Je m’exécutais et une fois sèche je restais debout, nue et admirais Ariane, sortie de sa cage, en train de lécher Madame. Tout son corps bougeait en cadence, son cul me faisait envie mais je préférais ne pas bouger. Après quelques minutes, Ariane fut attachée sur une table gynécologique apportée par Eva. Puis, Madame me montra mes vêtements : des bas résille noirs, un simple bustier de latex noir laissant bien sûr libre mon sexe, mes fesses et mes seins, des bottes à talons hauts de la même matière qu’Eva apporta et m’aida à enfiler. Pour la touche finale, je dus écarter les jambes de façon à laisser à Eva le champ libre pour placer une fine pince métallique sur mon clitoris. Eva était très douce, et habituée à ce genre de bijoux je manifestais plus d’impatience que de surprise. Madame me gratifia d’un sourire et m’ordonna de ne pas bouger. Pendant ce temps, elle avait proprement ligoté Ariane à l’aide de lanières de cuir. Elle se retrouvait totalement offerte, son sexe béant, son cul, ses seins étaient à la disposition de notre maîtresse. Madame enfonça (facilement) dans son sexe un gode de plastique translucide duquel sortaient deux petits fils, puis elle plaça sur ses seins, l’intérieur de ses cuisses et ses fesses, des petits électrodes noirs comme on en voit dans les hôpitaux. Ariane, bien sûr ne pouvait strictement rien faire et lorsqu’Eva apporta un long gode recourbé métallique elle ouvrit de grands yeux. Madame m’ordonna de vérifier qu’Ariane était prête et me montra ses fesses.
Je me baissais et caressais du doigt son petit trou, je jugeais évidemment préférable d’humidifier encore un peu son cul et posais ma langue sur son anus pour l’enduire de salive. Ariane se laissait aller et gémissait sous mes caresses. Madame me dit d’arrêter et plaça doucement le gode dans le cul d’Ariane. Puis elle scotcha dans la main d’Ariane un petit boîtier commandant les électrodes qui parcouraient son corps. Elle appuya doucement sur un bouton et Ariane se crispa, rien ne se passa…
– Ariane, tu pourras contrôler ta propre jouissance, mais pour cela, tu dois d’abord attendre.
– Oh…
– Il n’y a pas d’électricité, ton maître apportera une batterie, à condition que Fabienne se surpasse. Elle va être très sollicitée et si elle se débrouille bien, tu auras ta récompense.
– Mais ?
– Pas de mais, je suis sûre qu’elle se donnera à nous avec plaisir pour toi.
– Je ferais de mon mieux Madame.
– Bien, je n’en doutais pas.
Et Madame sortit en me faisant signe de la suivre. Sans un mot, je la suivais, impatiente, il ne pleuvait plus mais il faisait froid. Elle ouvrit la porte de la maison et m’invita à entrer. Le maître était là, ainsi que deux autres couples. Je m’avançais sur ordre de mon maître et au centre de la pièce je subis à nouveau un examen détaillé. On palpait mes seins, mes cuisses, on glissait un doigt dans mon sexe ruisselant. Madame tapa dans ses mains.
– Mets-toi sur la table et caresse-toi
– Bien Madame
– Montre nous que tu es obéissante !
– Bien Madame !
Et je montais sur la table et caressais mes seins, les étirant pour lécher la pointe durcie. Puis je passais à ma chatte que j’écartais sans ménagement.
– A quatre pattes maintenant !
– Bien
Je me mis à quatre pattes et glissais un doigt le long de mon sexe puis sur mon petit trou. Je l’enfonçais, enduit de mouille, dans mon cul sous les félicitations des spectateurs. La soirée promettait d’être chaude…
fin de l’épisode
C’est très inégal mais il y a quelques passages fabuleux