Emotivité par Patrik

D’aussi loin que je me souvienne, ma petite vessie a toujours fait preuve
d’émotivité. Au moindre émoi, j’en fais pipi dans ma culotte, à tel point
que je me pose la question si çà vaut le coup que j’en garde une sur moi !
Imaginez maintenant ce que çà peut être dans la vie de tous les jours… Et ne
parlons pas de ce qui peut se passer dans l’intimité, c’est simple, je ne me
retiens plus, c’est carrément la fontaine de jouvence !

Quelque part, çà me pose un problème, car j’ai du succès auprès des hommes
qui adorent ma vitalité et mon petit corps tout en courbe. Le qualificatif
affectueux qu’ils me donnent le plus souvent est : mon gros bébé, les hommes
adorant jouer au protecteur de la fragile et innocente petite femme que je
suis. Par contre, ils ne s’attendent pas à ce que je joue les bébés sans
couche… Résultat, les hommes défilent dans mes draps trempés !

Récemment, j’ai rencontré Marc, un beau gosse comme je les aime, un
splendide mélange entre germanique et latin comme nous en avons dans notre
belle Suisse. Des comme çà, j’en mangerais, matin, midi, soir et minuit !
Marc et Murielle (c’est mon petit prénom à moi, avec deux L), çà sonne bien.
J’ai essayé de lui faire comprendre à mots voilés, le problème de mes nuits
mouillées. Pour toute réponse, d’un large sourire, il m’a dit :

– J’aime les sports aquatiques…

Comme avec lui, je me sens gauche et stupide, je me suis transformée en
pivoine. Depuis quinze jours, nous flirtons gentiment et à chaque fois qu’il
m’embrasse, il me rend toute chose et, bien sur, toute humide. Conséquence
directe : mon budget Tampax explose !

Ce soir est le grand soir : il vient dîner dans mon petit chalet avec vue
imprenable sur le petit lac du fond de la vallée. Après divers restaurants
où il m’a invitée, refusant que je partage avec lui l’addition, j’ai décidé
de l’inviter à mon tour. L’ambiance de mon chalet est romantique à souhait,
solives boisées, poutres brutes, pierres primitives et bien sur, la cheminée
feu de bois qui projette ses ombres et ses lumières dans la pièce principale
en un décor chatoyant et changeant. Sans oublier la traditionnelle peau de
mouton épaisse et moelleuse, à quelques pas de l’âtre. Rien que d’y penser,
je m’oublie !

Quand on toque à la porte, je me sens déjà toute chose. Je serre les jambes,
ce n’est pas le moment de craquer. Je remets un peu d’ordre dans ma courte
chevelure châtain (j’ai juste une longue mèche sur le côté), je lisse ma
petite robe noire toute droite, j’inspecte au passage mon maquillage léger
devant le miroir puis j’ouvre la porte.

– Kayâaa ! (Traduction de mon dialecte à moi : Dieu qu’il est magnifique !)

Il l’a fait exprès avec sa chemisette négligemment entrouverte sous son
blazer et son jean moulant. Il l’a fait exprès, j’en suis sure : nous sommes
en février et un petit vent glacial souffle dehors, ce n’est pas pour rien
si j’ai allumé la cheminée (enfin, pour autre chose aussi). Je bredouille un
vague : « i fallait pas » quand il dépose dans les bras un splendide bouquet
de roses rouges tout en m’embrassant après du bout des lèvres. Kayâaa, des
roses rouges !?

Il entre dans la grande pièce centrale et écarquille les yeux devant le
décor 100% Suisse sauvage des Alpages. Son regard va de poutre en poutre, de
pierre en pierre, sur les meubles, sur la cheminée, sur la peau de mouton,
sur ma chambre, là-haut en mezzanine. Puis il regarde la table sur laquelle
j’ai disposée mon service.

– Je crois que.. je n’ai plus très faim… Murmure-t-il.

Comment çà, il n’a plus très faim ? Je me suis décarcassée pour des prunes ?
Il se tourne vers moi et une lueur un tantinet inquiétante brille au fond de
ses yeux :

– Mais après, je crois que je dévorerai un mouton entier !

Oubliant toute civilité, Marc se jette sur moi et m’embrasse passionnément.
Encore heureux que j’ai déposé le bouquet sur la commode. Vous imaginez les
dégâts que peuvent faire des épines de rose ? Plaquée contre lui, mes petits
seins aplatis sur sa poitrine, je me tortille aussi bien d’envie de lui que
d’envie d’aller au petit coin. Comme une idiote, je n’ai mis aucune
protection. Je le veux, je veux qu’il veuille de moi mais j’ai une envie
urgente, urgentissime qui pointe plus bas. Mais je n’ai aucune envie de
quitter ses bras. Nos langues se mélangent, nos mains se cherchent, nos
souffles s’entrecroisent. J’ai mes bras autour de son cou et je l’attire à
moi, contre moi tandis qu’une de ses mains s’enfonce dans mes cheveux,
jouant avec mes mèches indisciplinées. Son autre main est plaquée sur mes
fesses qu’il tripote sans vergogne et je vous prie de croire qu’il y va de
bon cœur. Kayâaa, que c’est bon d’être désirée ainsi ! Je serre
désespérément mes cuisses pour me contenir.

Il me souffle à l’oreille :

– Murielle, laisse-toi aller !
– Tu veux dire quoi, par là ?
– Que tu peux faire dans ta culotte !

Cà, il ne faut pas me le dire deux fois. Avec un immense soupir
de soulagement, je me laisse aller, ma petite culotte est totalement hors
service mais elle a absorbé le tout, je me sens chaude entre mes jambes.
Kayâaa, que çà fait du bien !

L’instant d’après, je suis toujours dans ses bras. Il me sourit, je suis
rouge écrevisse, je bafouille, je bredouille gênée :

– Excuse-moi mais c’est plus fort que moi !
– J’avais compris le message la fois dernière. C’est bien la première fois
que je fais tant d’effets à une femme !
– Là, tu te vantes ! Il me replace un petit bisou de derrière les fagots et
reprend :
– Tu devrais peut-être changer de culotte, tu serais mieux, non ?
– C’est pas une mauvaise idée mais…
– Mais ?

Je me tortille sur place entre ses bras, mes mains toujours accrochées
autour de son cou.

– Je… tu… – Oui ?
– Tu me l’enlèves !

J’ai lancé çà d’une traite, à toute allure. Je suis rouge incandescent, j’ai
atteint le degré maximum dans l’échelle du rouge. Je n’ose plus le regarder.

– Très bonne idée… Je n’osais pas te la suggérer…

Après un dernier baiser appuyé, il s’accroupit lentement à mes pieds, tout
en faisant courir ses lèvres sur la route qui mène à mon petit décolleté
carré. J’en frissonne d’aise. Ses mains étreignent ma taille, glissent sur
mes hanches puis se plaquent sur mes jambes nues légèrement dorées, à la
lisière de la robe. Il a un dernier regard vers moi. J’acquiesce, toujours
aussi rouge écarlate et ma robe remonte lentement sur mes cuisses, dévoilant
millimètre par millimètre ma peau nue. Ma culotte foncée et trempée se
découvre à sa vue. Il remonte ma robe jusqu’à mon nombril. Comme je ne sais
pas quoi faire de mes mains, je les pose sur les siennes. Ce simple contact
m’électrise et du coup, je serre les jambes à nouveau.

– Encore ? Me demande-t-il.
– Cà va aller. Lui dis-je dans un souffle.

Mes mains retenant ma robe, il attrape de part et d’autre ma culotte et
l’abaisse délicatement. Il découvre alors un mont de Vénus lisse. La
lingerie glisse toujours doucement vers le bas dévoilant un pubis glabre et
déjà l’orée de ma fente émerge à la lueur des flammes. Je sens que les mains
de Marc frissonnent un peu. Il ne s’attendait pas à ce que je sois
entièrement rasée à cet endroit. Il faut dire que sécher une foufoune
trempée n’est pas évident et puis, çà me plait de prendre soin de moi ainsi.
Fasciné, il dégage insensiblement le repli qui cache mon bouton rose, ma
fente humide, l’arrondi de mes lèvres. L’instant d’après, sa bouche est
plaquée sur mon sexe qu’il dévore, fouillant mes replis, cherchant mes
petits secrets intimes. Je m’écarte grand pour qu’il vienne encore plus en
moi du bout de sa langue agile, ses mains caressant de frôlements subtils
mes fesses. Je me sens merveilleusement bien ainsi, comblée, planante.
Quelque chose se manifeste en moi, il faut que je le prévienne :

– Marc, je… Fais attention !

Il lève la tête vers moi, s’écartant un peu. Il était temps : un fin jet
doré jaillit presque à l’horizontale sous son nez pour venir se fracasser
sur le dallage. Il a observé avec une certaine fascination ce qui vient de
se passer. Je bafouille à nouveau :

– Je suis désolée !
– C’est toujours comme çà ?
– Euh oui, dès que quelque chose m’excite, impossible de me contenir !
– Au moins, tu ne triches pas !

Et il replonge entre mes lèvres, titiller mon bouton rose qui se manifeste
de plus en plus. Il n’est visiblement pas dégoûté des gouttes d’urine
parsemant son sexe épilé. Je m’abandonne au plaisir qu’il me donne, aux
mains qui me caressent frôlant mes fesses, mes cuisses, longeant mon sexe
dénudé. Il sait s’y faire ! Ma langue sur mes lèvres, les yeux fermés, je
savoure ce tourbillon des sens qu’il m’offre. Juste au moment de jouir comme
une petite folle à grands coups de gémissements diffus, je repousse sa tête
afin qu’il ne soit pas atteint par un nouveau jet qui se profile.

Toujours à mes pieds, il me sourit dès que j’ouvre les yeux. Je suis béate,
satisfaite, quelques frissons me parcourent encore. Je me détends comme un
félin tout en ronronnant de bien-être.

– C’est un plaisir de te faire plaisir. Dit-il en me caressant une fesse.
– Ah oui ? (J’allonge un peu plus les bras)
– Je dois te dire que… c’est nouveau pour moi…
– Tu fais allusion à, euh, que je… (Ce type me fait trop d’effet)
– Que tu urines en pleine action et aussi, ton minou rasé.
– Ah, euh… Et… çà te plait ?
– Pour se faire une opinion, il faut explorer consciencieusement le sujet !

Kayâaa, en voilà, un programme qui est prometteur ! Il ne faut surtout pas
laisser passer çà. Excitée, je continue :

– Et tu comptes jouer l’explorateur ?
– Tout de suite ! Dit-il en posant un doigt sur ma chatte.
– J’ai une proposition à te faire…
– Honnête ou malhonnête ? Demande-t-il taquin.
– Tu me diras ce que tu en penses après… Bon, tu reste là, tu te mets
complètement à ton aise (j’insiste bien sur les mots complètement et aise)
et moi, je reviens dans deux minutes.
– Dans deux minutes ?
– Promis !
– Soit !

Je me sauve à l’étage avant qu’il n’ait pu se relever. Enfin, j’en ai
déniché un qui m’accepte comme je suis et même plus. Attisée à fond,
j’enlève ma robe et je me change à toute vitesse. Quand je redescends les
escaliers, il m’attend nu, assis sur la peau de mouton, la lumière de flamme
jouant sur les reliefs sculptés de son beau corps. Pas mal, pas mal ! Pas
trop de graisse, du muscle (sans que çà ne soit un culturiste) et un beau
petit cul.

Lui, de son côté, a la bouche ouverte, étonné. Je crois comprendre pourquoi.

Je suis vêtue d’un ensemble étrange. Vêtue, c’est vite dit ! C’est un
ensemble de 4 bandes noires en latex brillant, larges de 3 à 4 doigts qui
ceinturent mon corps du dessous des seins jusqu’à mes hanches, à deux doigts
de mon pubis. Vraiment du dessous des seins parce que ceux-ci se détachent
parfaitement sur le fond noir, les mettant en relief. Je reconnais que mes
seins sont petits et qu’ils pendent un peu (la dure loi de la gravitation)
mais je les aime bien ainsi. Sur ma poitrine, trois autres bandes du même
latex forment une étoile : une bande qui part de mon épaule droite pour
aller se nicher sous mon sein gauche, une bande qui fait la symétrie et
enfin, la dernière qui m’aplatit la naissance des seins, contribuant plus
encore à l’effet de chute gravitationnelle de ceux-ci.

Je ne suis pas mécontente de mon effet de cadeau avec un beau nœud autour !

Et ce n’est pas fini !

Marc en a le sexe tout dressé, je vois bien que je l’excite un max. Je vais
finir la soirée violée par un grand fauve bestial, dévorée toute crue. Et
çà, j’adore ! Pas vous ?

– J’ai un petit cadeau pour toi.
– Là comme je te vois, je vois mal ce que tu peux m’offrir de plus
intéressant que toi, emballée de la sorte ! Salive-t-il.
– Cà, c’est toi qui vois !

Je glisse ma main dans mon dos et lui jette le martinet à lanières latex qui
s’y cachait. Marc le récupère adroitement, sa bite est encore plus dressée,
son gland bien décalotté.

L’instant d’après, je suis allongée, ventre offert, sur l’épaisse peau de
mouton tandis qu’il couvre les bandes accessibles de ma peau de baisers
ardents et de effleurements brûlantes. Délicatement, il me caresse du bout
des lanières du martinet. Ses lèvres, sa main, les lanières me font
replonger dans un tourbillon des sens. Je me caresse les seins, cherche
leurs pointes. Sa bouche plonge dans la mienne. Mon bassin ondule, mon sexe
est délicatement flagellé, les lanières s’insinuent parfois dans ma fente.
C’est trop bon. Un petit geyser jaillit de ma vulve, retombant en pluie
dorée sur mes cuisses. La jouissance est là, elle monte. Elle explose
formidablement quand Marc, attisé, me fouette plus fortement le sexe, me
traitant amoureusement de grosse cochonne. La seconde qui suit, je décolle
comme une fusée. Je voudrais ne plus jamais retoucher terre. Oh, il me
mordille partout, il me lèche partout. Je me sens toute chose et très bien,
flottante entre deux ciels.

Je reviens sur terre. Je lui souris tendrement, me frottant le corps avec
les quelques gouttes de sueur qui émaillent ma peau. Il me sourit à son
tour, une lueur étrange dans le regard :

– La prochaine fois que tu pisses, préviens-moi…
– Oui, je le ferais. Et tel que c’est parti, çà arrivera souvent !
– Tant mieux…

Je crois que j’ai tiré le bon numéro. Déjà, il recommence son manège mais en
étant plus décidé. Il bâillonne ma bouche par ses lèvres tandis que sa main
joue avec ma chatte rasée. De son pouce, il cherche mon petit bouton et d’un
doigt, il s’introduit en moi. Dieu que c’est bon, il sait vraiment s’y
faire, mon Marc. Son martinet me zèbre les seins. C’est encore plus bon.
J’essaye de lui faire comprendre que çà va rejaillir dans peu de temps. Il
comprend et quitte ma bouche. Posément, il introduit plusieurs doigts dans
mon sexe, la paume bien plaquée comme pour bloquer mon jet qui fuse alors
dans tout les sens. Il y en a partout, jusqu’à mon visage. Cà a même refoulé
un peu en moi, je me sens toute bouillante. Rapidement, il se positionne
entre mes jambes et fonce en moi. Son gland vient taper au fond de mon vagin
humide, je sens ses couilles battre mes fesses, sa main trempée s’essuyer à
mon sein tout en le malaxant. L’instant d’après, nous sommes entraînés dans
une chevauchée, un pistonnage effréné, nos deux corps en fusion, nos mains,
nos doigts s’incrustant dans la chair de l’autre, nos bouches écrasées l’une
contre l’autre, nos sueurs emmêlées. Il explose en moi, exulte en moi, me
remplit. Cà me met dans un tel état que j’en pisse littéralement de
jouissante, ma cyprine et mon urine inondant ma grotte en folie comme pour
éteindre un feu. Comprimé, mon jet s’écrase sur la toison de mon amant,
l’inondant à son tour.

Puis il se retire, çà dégouline de ma chatte, un mélange d’urine, de cyprine
et de sperme. Cà s’insinue dans mon sillon, à l’orée de ma porte des
artistes. Marc est fasciné, subjugué. L’instant d’après, il me lèche,
s’insinuant parfois à l’orée de mon petit trou. Je jubile.

Pendant longtemps, il me fait jouir et pisser de bonheur, revisitant ma
grotte de ses doigts et de sa queue qui n’en finit pas de bander. Pendant
longtemps, ses caresses, sa langue et les lanières du martinet explorent mon
corps, recto et verso. Parfois, il me fesse ou me fouette tendrement pour me
punir d’en avoir mis partout sans l’avoir prévenu. Nous finirons en
apothéose par un splendide 69, baignés dans une peau de mouton chaude et
détrempée, lui m’éjaculant dans la bouche et moi, urinant sur ses lèvres.

Et je sais que toutes les autres nuits que nous passerons ensemble seront
ainsi…

patrikcarpentier@hotmail.com

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Une réponse à Emotivité par Patrik

  1. Claire dit :

    Encore un bon texte uro à redécouvrir

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