Collègue par jeromemp001
Jérôme il faut que je te raconte ce qu’il c’est passé hier à mon boulot
Nous étions avec des collègues à la cafétéria pour le repas du midi et la conversation était sur le roman 101 nuances de gris et du film prévu, une des filles présentes nous a dit que ce n’était que des fantasmes et que toute ces trucs de domination ça n’existe pas dans la réalité. J’ai essayé d’argumenter, que depuis longtemps ça existe et qu’il y a plein de livres qui en parlent en donnant l’exemple de Sade.
Elle n’en démord pas et dit que ce ne sont que des livres, c’est facile d’écrire n’importe quoi, personne n’est comme ça.
Je lui ai dit que je connaissais quelqu’un qui était soumis.
– Comment tu le sais ?
– Il me l’a dit
– Il peut te dire ce qu’il veut, tu l’as déjà dominé ?
– Non, c’est un ami.
– Ah tu vois, j’ai raison ca n’existe pas, juste des fantasmes.
– Je suis sûr de ce que je te dis, je connais une personne qui l’a dominé.
– Tu les as vus ?
– Ben non je n’étais pas présente.
– J’ai encore raison, c’est juste pour se faire mousser, mais ça n’existe pas !
J’en avais trop marre je me suis levée et quitté la table elle est trop obtuse cette fille.
En retournant au bureau, une autre de mes collègues qui était présente me rattrape et me parle de ce qui vient de se passer.
– T’inquiète pas elle connait rien à la vie, et elle est butée comme un âne, ça sert a rien de discuter avec elle, elle veut toujours avoir raison.
– Mais pourtant ça existe, elle est aveugle ou quoi ?
– Je suis d’accord avec toi, je sais que c’est bien réel, d’ailleurs je suis très attirée par tout ce qui tourne autour du SM, la gynarchie, le bondage, l’éducation anglaise. Ton ami soumis, ce n’est pas banal qu’il t’en ai parlé.
– Oui, il m’a fait cette révélation pour pouvoir vivre au grand jour sa soumission, depuis je suis sa confidente et je le guide un peu, je lui ai permis de vivre de nouvelles expériences, notamment en lui présentant cette amie qui l’a dominé.
– Tu m’intéresses, tu crois que je pourrai le voir ?
– Naturellement, si tu veux passer à la maison je le convoque le jour qui te convient.
– Je préférerai le recevoir chez moi, ça serai possible ?
– Oui, mais il y a des conditions. Par mesure de sécurité, je veux être informée du jour et de l’heure de rendez vous, je veux ton adresse et numéro de téléphone ; que tu le reçoives seule en tête à tête et que tu respectes scrupuleusement un document que j’appelle son mode d’emploi. Je vais te l’amener à ton bureau.
J’imprime ton mode d’emploi, et l’apporte à ma collègue.
– Voilà ça c’est son mode d’emploi, c’est la liste de toutes les pratiques autorisées et interdites.
– Ah oui, il est bien avancé dans la soumission à ce que je vois, ce n’est pas un débutant. Je te promets de faire très attention.
– Je te mets son numéro de portable, laisse-moi un jour pour le briefer et il est à ta disposition.
Voilà tu es ou courant elle va te convoquer, tu me tiens au courant du rendez vous.
Je veux être fier de toi.
Le lendemain je reçois un Sms : » Je suis la collègue de Sylvie, je t’attends samedi à 20h00 précise pour une séance, qui je l’espère, nous comblera tous les 2. Soit préparé comme il le faut, j’ai ton mode d’emploi et il me tarde de t’avoir en main.
Suit l’adresse, code d’entrée et l’étage.
Samedi 20 h 00, je sonne à la porte. Dans ses moments là mon cœur bas toujours à 100 à l’heure, je me jette dans la gueule du loup, je ne sais pas ce que je vais subir ou faire mais je m’abandonne totalement. Je me soumets totalement par avance à la personne que je vais rencontrer.
La porte s’ouvre et je vois une femme plus grande que moi les cheveux noir les lèvre rouges vif, habillé d’un corset de cuir, d’une culotte du même matériau et de bas noir, la peau non recouverte de tissu est très blanche. Elle est chaussée d’escarpins à plateforme immense noir verni et les talons doivent faire au moins 15 centimètres de haut : le stéréotype de la Domina.
Si le ramage se rapporte au plumage, je n’aurai pas à faire à une débutante.
Sur le pas de la porte je me mets à genoux et lui baise les pieds,
– Je suis à votre service Maitresse.
– Excellent, Jérôme, aucune hésitation, tu as été bien dressé.
D’un signe de la main elle me fait m’avancer pour fermer la porte derrière moi.
– Met toi en tenue immédiatement !
La pièce est vide, je comprends que ma tenue est la nudité, je m’exécute, une fois totalement déshabillé je me remets à genoux devant elle en attente.
– Suit moi !
Elle se dirige vers l’intérieur de son appartement, je la suis à quatre pattes sans me redresser.
Elle s’arrête au milieu de la pièce et se retourne vers moi.
– Les mains sur la tête, redresse toi un peu.
Elle pince mes tétons durement et les vrilles, sous l’effet de ce traitement ils pointent fort, elle en profite pour accrocher à chacun une pince avec un petit poids au bout. Puis elle se penche et soupèse mes testicules et tâte ma verge. Elle enserre mes bourses avec un anneau de cuir lesté fermé par deux boutons pression.
D’un geste elle me fait signe de me retourner et pousse sur ma nuque pour que je me penche en avant. Elle écarte mes fesses sans ménagement.
– Alors celui-là, je voulais le voir depuis que j’ai reçu ta fiche descriptive, finalement quand on le voit comme ça on se doute qu’il n’est pas vierge, mais on ne peut pas penser qu’il prend d’aussi gros calibre qu’il y a écrit. Ce soir c’est lui qui m’intéresse.
Elle m’assène une grande claque sur la fesse. Je suis surpris et ai un léger mouvement de recul.
– Ah oui c’est vrai, d’après ton mode d’emploi tu es une petite chochotte sur les fessées et autres flagellations. Tu sais c’est comme tout, tout dépend comment on te le fait. Tu vas voir qu’on peut prendre du plaisir à avoir le cul rougi. Il faut le faire doucement et progressivement, comme ça on peut durer plus longtemps et obtenir de bon résultat, c’est une de mes spécialités, j’espère que tu vas découvrir l’érotisme de la fessée.
Je reçois pour ponctuer son discours une nouvelle claque sur l’autre fesse.
Elle se lève et va chercher différents ustensiles qu’elle pose ostensiblement sur la table basse à côté de moi.
Elle fait une sorte d’inventaire
– une tapette en bois, une tapette en cuir, un martinet, une cravache, un fouet, voilà pour les sévices.
– un petit gode, un petit plug, un double dong, un plug ouvert, un gode géant. voilà pour les récompenses.
Il y a du matériel, je sens que sa va chauffer pour mon arrière train.
– Je te donne mes règles, tu vas tout tester, on va commencer par chauffer les fesses par un instrument puis tu auras droit à une récompense si tu t’es bien comporté. Ensuite on passera au suivant.
– Je ne supporte pas que l’on vienne m’empêcher de fouetter à ma guise donc tu auras les mains attachées, je te laisse la bouche libre mais si tu cries trop fort, à cause des voisins, je te bâillonnerai.
– Tu es d’accord ?
J’acquiesce avec la tête.
Elle approche un tabouret de bois et me positionne à genoux, ventre sur le tabouret, les mains attachées aux barreaux de devant.
– On va démarrer par le chiffre dix
– Première étape la fessée manuelle, naturellement c’est toi qui compte à haute voix.
D’un rythme lent elle m’assène la fessée en alternant la fesse droite puis la gauche.
– Un, deux, trois…
Un temps de pose ou elle caresse mes globes
– Quatre, cinq, six sept huit…
À nouveau quelques caresses et la série se finie,
Les coups n’ont pas été portés avec le maximum de violence et finalement cela a été très supportable.
Elle met du gel sur le gode, me l’introduit et fait quelque va et vient dans mon cul, c’est doux et je me relâche complètement.
C’est repartit, en avant pour la tapette en cuir
Les coups tombent à nouveau, la douleur est plus acérée mais je sens que ma maitresse retient son bras pour ne pas taper trop fort.
De la même façon que pour la première série, elle s’arrête de temps en temps lorsque mon soubresaut montre une douleur plus vive et caresse mon fessier, j’aime ce moment là. Puis elle reprend sa tache. Hormis le décompte des coups aucun autre son ne sort de ma bouche.
– Hé bien voilà une nouvelle série bien achevée. Tu as droit à ta récompense.
Elle prend le plug et me l’enfonce jusqu’à la garde, j’ai cette agréable sensation d’être rempli, je sens la chaleur de mes fesses irradier, je me sens bien.
Elle fait une pause et profite pour faire des photos.
J’adore ! Je suis chez une femme inconnue il y a encore une demi-heure, attaché, nu, le cul rougi et plugué, j’ai choisi mon destin et me laisse guider.
– Regarde comme il est devenu rose, il est tout chaud aussi. Il y a des zones qui n’ont pas encore été suffisamment traitées, je m’en occupe pour la nouvelle série.
Elle prend la tapette en bois et tape un peu plus sur le bas de mes fesses, presque au commencement des cuisses, ça fait plus mal et je retiens les cris de douleur qui arrivent.
Tout est plus sec, le bruit sur mon corps, la douleur.
Voyant cela elle a encore ralenti le rythme des coups, frotte la tapette sur le plug encore présent. De cette façon la nouvelle série se termine. C’est un soulagement j’ai failli crier à plusieurs reprise mais j’ai réussi à me retenir.
– C’est bien j’ai vu que c’était dur pour toi mais tu as été sage.
Elle me retire le plug ; enduit le dong et me le fait coulisser entre les fesses, doucement en ressortant totalement puis en le rentrant un peu plus profond à chaque fois. En même temps elle caresse avec beaucoup de douceur les zones rougies. Cette alternance de douleur et de caresse est merveilleuse. J’ai envie que ça continue.
Elle s’interrompt pour prendre quelques photos puis prends en main le martinet
– A la suite mon petit soumis, le martinet maintenant, toujours 10 coups. Tu comptes.
Les premiers coups ont presque été une caresse, puis les suivant plus fort, n’ont pas été trop douloureux, en fait je ressens 2 coups le premier ou la masse des lanières vient me frapper de manière sourde très supportable ; puis un deuxième temps à la suite ou les extrémités viennent me mordre la peau presque sur les hanches et là, la douleur est plus vive, mais assez fulgurante et s’estompe rapidement.
A nouveau j’ai compté les 10 coups, finalement ce n’est pas la série la plus difficile à supporter.
Elle prend à nouveau son appareil photo fait quelques photos, vient placer le nouveau plug transpercé d’un trou de 3cm de diamètre, je sens comme un air frais m’envahir et toujours la chaleur sur mes fesses, je ressens aussi durant ce moment de répit aussi les battements de mes veines c’est une sensation étrange. A nouveau quelques photos qu’elle vient me montrer.
Mon cul est rouge cerise avec des traits plus foncés et des petits point rouge vif là ou finissait les lanières.
– Je te préviens, la cravache c’est douloureux. Je compte sur toi pour me montrer ta soumission.
– Un deux…
Comme à son accoutumé les premiers coups son donnés avec délicatesse, elle s’interrompt et me caresse avec le bout en cuir.
– Aïe ! trois, ouille !… quatre…
Les suivant ont été cinglants, un cri m’a échappé à chacun
– Attention à toi, je veux que tu te contrôles. Je vais donner les deux suivant avec la même intensité, je ne veux rien entendre.
– Cinq…. six ……
J’ai réussi à retenir mon cri mais des larmes de douleur perlent sur mon visage.
– C’est bien, tu vas avoir droit à mon plus gros gode, il a fait fantasmé pas mal de soumis que j’ai reçu ici, mais personne ne l’a pris en totalité, voyons si tu es aussi ouvert que ton mode d’emploi le dit.
Ce gode a un gland qui doit bien faire 7 à 8 cm de diamètre au plus large puis sa base part de manière évasée sûrement jusqu’à 10 ou 12 cm ; c’est un monstre.
Elle me fait couler du gel à travers le trou du plug encore dans mon cul, puis le retire, je sens que mon anus reste ouvert, tout de suite après ma Maîtresse appuie la tête de ce gode géant.
La pression me fait m’ouvrir un peu plus, mais il y a de la résistance, elle pose son pied a la base du plug pour appuyer avec plus de force, je m’écarte petit à petit.
D’un seul coup le gland entre en moi, je suis totalement ouvert.
Elle continue la pression de son pied et m’écarte de plus en plus en même temps que le gode me pénètre, la sensation est extrême j’ai l’impression que mon corps n’est plus que représenté par mon anus ouvert. C’est fantastique.
– Incroyable tu l’as avalé, c’est la première fois que je trouve un cul ouvert comme le tiens.
Garde le temps que je fasse quelques photos pour immortaliser mon gode enfin dans un bon fourreau. Durant se temps de repos je ressens les battements de mon cœur pulser sur mes fesses brulantes. A nouveau elle me montre les photos, mon cul est rouge, les traces des lanières du martinet son devenues brune foncée mais des taches rectangulaire violacée sont apparu avec la cravache.
Maitresse prépare le fouet.
– -Je te préviens ça mord fort, et je souhaite que tu te comportes en bon soumis.
Dès le premier coup de fouet, un cri est sortit de ma bouche et le gode a été éjecté par une contraction.
– Qu’est ce qui se passe tu ne te contrôles plus ?
– Le fouet est vraiment très dur
– On fait un essai de plus si tu cries je te bâillonne
Le coup suivant est aussi cinglant et m’arrache un cri, ni une ni deux, Maîtresse m’attache un bâillon autour de la tête, celui a à mini gode qui me rentre dans la bouche.
Avec la bouche totalement immobilisée, juste un gémissement sort de ma bouche les coups suivants. Qu’est ce que c’est dur le fouet, je mords le gode pour supporter la douleur heureusement que les coups sont donnés à un rythme lent, sinon je me serai effondré.
Le 10ème coup tombe, la douleur sur mes fesses est extrême.
Je pleure mais je suis fière d’avoir pu aller jusqu’au bout.
– C’est bien pour quelqu’un qui ne supporte pas les fessées d’être arrivé jusque là, je te félicite. C’est le moment de ta récompense. Mais avant une nouvelle séance de photos
Lorsque je les vois de nouvelle striures ou perle du sang ornent mes fesses jusque sur mon dos et mes hanches. Je suis tout endolori.
Je la vois mettre une paire de gant de latex, s’enduire les mains de gel. Elle fait glisser sa main dans mon anus, et la tourne, tout en poussant de plus en plus loin. Arrivé au delà de son poignet et d’une partit de l’avant bras, je sens qu’elle me dilate en refermant le poing.
Puis exécute des vas et viens avec de plus en plus d’amplitude.
Arrive un moment ou à chaque va et viens elle ressort son poing fermé de mon cul pour le replonger immédiatement toujours le poing fermé. Elle me pilonne totalement et accélère la cadence. Je suis défoncé, les fesses me chauffe, l’anus totalement éclaté, je ne ressens plus de douleur mais un plaisir qui monte petit à petit, ce plaisir décuple à chaque piston, je sens que je vais exploser dans une jouissance inouïe.
Je veux prévenir ma Maitresse que je ne peux plus me retenir, mais le bâillon toujours dans ma bouche m’en empêche.
Tout à coup ma semence se répand entre mes jambes, c’est interminable, mon corps est pris de soubresauts et de contractions, je joui d’une manière incroyable.
Elle s’immobilise la main au fond de moi, tout en recouvrant mes esprits je ressent encore des contractions qui se resserrent sur sa main dans mon anus. De l’autre main elle me caresse les fesses, c’est doux, et fort en même temps.
Une fois que ma respiration se soit calmée et que les contractions arrêtés, elle extrait sa main, doucement et lentement.
Elle reprend une dernière série de photos, mon cul est ouvert, entouré de deux grande lèvres pendantes, au fond duquel on voit un large cercle rouge rosé luisant. Les fesses sont presque uniformément violettes avec des striures brunes et des petits points rouges.
Elle me détache les mains, et je redresse mon buste, je prends à nouveau conscience que mes couilles et mes seins sont tirés par des poids, j’en avais oublié leur présence tellement j’étais concentré sur mon arrière train. Elle me retire les pinces aux seins et l’anneau sur me couille toujours avec une grande douceur.
Puis me montre de l’index, sans un mot la tache de sperme que j’ai répandus sur le plancher.
Son regard qui appui le geste, ne laisse aucun doute à la signification.
A 4 pattes je lèche mes souillures jusqu’à ce que le sol soit nickel.
– C’est bien tu comprends vite et tu exécutes les ordres immédiatement, j’aime ça.
Moi aussi j’aime être entre des mains expertes, obéir et montrer ma docilité, c’est une vrai Maitresse qui mérite toute mon adoration.
– J’ai une dernière photo à faire pour une de mes collègues qui ne croit pas que les relations SM existent en vrai, viens à coté de moi comme ça, à genoux à mes pieds.
Elle pose l’appareil photo sur une commode et programme le retardateur, puis toujours à ses pieds me fait légèrement me retourner pour montrer mon cul rougi, elle prend la cravache en mains et relance le retardateur.
– La séance est terminée pour aujourd’hui, j’ai beaucoup aimé t’avoir entre mes mains, je vais faire un petit compte rendu à Sylvie, en lui joignant les photos. Alors tu vois que l’on peut prendre son pied avec des fessées ?
A suivre
Une amaorce bidon,, ensuite ça reste très moyen. Et puis citer Sade comme illustration du SM n’a rien de judicieux