Clotilde 5 – Une vie de plaisirs par Fafalecureuil

Clotilde
5 – Une vie de plaisirs
par Fafalecureuil

Après tous ces efforts, nous nous retrouvions vautrées sur le canapé, Sophie, Gaëlle et moi nous regardions la TV en buvant des cocktails.

– Gaëlle, y’a vraiment rien d’intéressant à la télé, on pourrait regarder tes vidéos ?
– Lesquelles ?
– Celles du week-end dernier ?
– Celles qu’on a faites samedi soir ?
– Oui, je suis sûre qu’elles plairont à Clotilde.

Gaëlle se leva, et glissa un DVD dans le lecteur. Puis elle se cala entre nous. Une image un peu floue, filmée dans la chambre de Gaëlle, elle est nue et Sophie lui tend des habits. Un porte jarretelles et des bas noirs, un string et un soutien gorge très légers que Gaëlle enfile rapidement, Sophie l’embrasse à pleine bouche, puis la repousse quand Gaëlle essaye d’ôter sa robe rouge de sa compagne.

– C’est juste pour t’exciter ma belle, ce soir, tu auras besoin de toutes tes forces pour la surprise que je t’ai réservée.
– Et on peut savoir où ça se passe ?
– Pas loin, ne t’inquiète pas. En attendant mets ça !

Et Sophie lui tendit un imper noir et des talons hauts.

Une fois habillée, Gaëlle sortit dans le couloir et la caméra la suivit. Dans la rue, la caméra filmait Gaëlle se dirigeant vers sa voiture.

Une fois à l’intérieur, Sophie lui dit d’ouvrir la boite à gants.

– Ouvre le paquet !

A l’intérieur, un bandeau que sans un mot ma petite voisine mit sur ses yeux.

Peu après Sophie attacha la ceinture de Gaëlle et la voiture démarra. Ensuite la caméra placée entre les jambes de mon amie filmait ses mains glissant sous son string, elle gémissait déjà.

La voiture s’arrêta et Sophie passa un collier de cuir à son amie, elle y fixa une laisse et guida Gaëlle jusqu’à une maison. Une fois à l’intérieur, les deux femmes se retrouvèrent dans un salon. La musique était assez forte et Gaëlle fut placée au milieu de la pièce. Tout autour plusieurs hommes étaient installés sur des canapés et des fauteuils. Sans un mot et sans un bruit ils se tournèrent tous vers les deux femmes.

Sophie ouvrit le manteau de Gaëlle et le fit glisser au sol, à l’aide d’un autre bandeau, elle lui lia les mains dans le dos, la laisse pendait entre ses seins aux pointes tendues. Ensuite, elles s’embrassèrent et Sophie la déshabilla pendant de longues minutes. Un des hommes avait pris la caméra pour faire des gros plans des deux femmes, de leurs mains caressantes, de leurs langues entrelacées. Après peu de temps, elles se retrouvèrent uniquement vêtues de leurs porte-jarretelles, de leurs bas et de leurs talons aiguilles. Sophie tira doucement sur la laisse et Gaëlle se retrouva à genoux, elle entoura les seins de Gaëlle avec la chaînette et serra doucement, sa compagne se tordait de plaisir, ses tétons dardaient de plus en plus. Ensuite Sophie écarta bien les jambes de Gaëlle et glissa son pied entre ses cuisses. Du plat du pied elle écrasait la laisse sur le sexe de Gaëlle qui se cambrait de plaisir.

Enfin, Sophie se retira et sans un mot, tous les hommes défilèrent dans la bouche de Gaëlle, elle les suçait longuement, léchant, mordillant. Sophie était maintenant sous elle et lui léchait le sexe. Ensuite la langue de son amie fut remplacée par des sexes tendus et gonflés. Ma voisine, les mains liées dans le dos, se faisait tout simplement défoncer par une dizaine de mecs, et elle aimait ça. Elle criait son plaisir dès qu’elle n’avait pas une queue en bouche… Tous ses trous y passaient, elle se retrouvait même parfois avec deux sexes dans son con luisant de plaisir. La vidéo se termina avec des gros plans sur le corps de Gaëlle couvert de foutre, Sophie la léchait et partageait ensuite le nectar avec son amie. Subitement la vidéo s’arrêta.

Cette vidéo assez courte m’avait redonné de l’appétit. Je me levais et sans un mot je m’agenouillais entre les jambes de Gaëlle. Ma langue faisait des miracles, elle se cambrait de plaisir alors que Sophie, derrière moi commençait à me doigter. Après ces caresses, elle se leva et alla à la chambre. Elle revint parée d’un beau gode ceinture qu’elle présenta à la bouche de Gaëlle. Elle ne se fit pas prier pour l’emboucher et je me relevai pour le partager avec elle. Sophie nous prit par les cheveux pour nous guider. Elle nous baisait la bouche de plus en plus fort. Ensuite elle me dit de me mettre à quatre pattes sur la table basse, jambes écartées. Sans un mot elle passa autour de mon cou un collier de cuir et y attacha une laisse qu’elle fit passer sous moi. La laisse passait entre mes lèvres et Sophie en tirant simplement dessus me fit presque jouir. Elle s’arrêta et glissa dans mon sexe une partie de la chaînette métallique. Le contact du métal froid était délicieux.

– Si tu le perds, tu seras punie, ma chérie !

Gaëlle pendant ce temps avait branché une caméra vidéo et je pouvais me voir sur sa TV en direct ! Gros plan sur mes fesses caressées par Sophie, sur son doigt qui s’enfonça doucement dans mon petit trou, puis sur le gode qui remplaça le doigt… Elle me prit en levrette doucement mais d’un seul mouvement. Heureusement qu’elle m’avait préparé ! Alors qu’elle me bousculait de plus en plus fort, Gaëlle se mit devant moi avec un autre gode ceinture que j’embouchais. Je n’en pouvais plus, mon plaisir montait sans cesse et j’explosais presque immédiatement. Mais je n’eut aucun répit, Gäelle se plaça sous moi et pénétra ma chatte, elle, n’avait pas enlevé la chaîne et les sensations étaient décuplées. Je suçais la langue de mon amie comme si c’était une queue et elles continuaient à me limer jusqu’à ce que je les supplie d’arrêter. Ivre de jouissance, je m’écroulais directement sur le tapis.

Le lendemain matin, je me réveillais vers 7H au même endroit, emmitouflée dans une couverture. J’avais toujours le collier et la laisse au cou. Un petit mot sur la table basse à mon intention.

– Fais comme chez toi, prends ton temps, je te retrouve avant 20H, ici, après ta journée de travail. N’oublie pas que tu seras punie… Ta tenue est sur mon lit.

J’allais vers la salle de bains, pris une douche et ensuite, j’allais dans la chambre de mon amie pour trouver des vêtements. Des Dim up chair, une minijupe beige, un chemisier blanc et des talons hauts.

Aller au travail sans culotte ne me serait jamais venu à l’esprit avant, mais aujourd’hui, ça m’excitait.

Je m’habillais et machinalement je regardais mon image, on ne pouvait rien soupçonner, les vêtements étaient assez longs et pas assez transparents.

Je sortis et pris mon bus habituel, il était bondé et chaque contact me faisait presque sursauter. Une fois au bureau, je trouvais un mot de Nadia.

– Je suis absente aujourd’hui mais va trouver M. X, je suis sûre que tu vas pouvoir négocier quelques jours de congés pour la semaine prochaine. Il me connaît bien, dis-lui que tu viens de ma part.

Elle y allait fort, Nadia, elle imaginait que je devais aller me faire sauter parce qu’elle me le demande ? Je me rassis et commençais à travailler. Après une bonne heure, je me levais et je me dirigeais vers le bureau de M. X pour en avoir le coeur net.

J’entrais. Il était assis à son bureau, en train de lire un dossier, il leva la tête. Plutôt pas mal foutu, l’air sympathique, il enleva ses lunettes et me salua

– Bonjour,
– Euh bonjour, je…
– Oui ? Je peux faire quelque chose pour vous ?
– Je viens de la part de Nadia,
– Oui ?

Il semblait perplexe, et il devait aussi se demander pourquoi j’étais rouge comme une pivoine.

– Je voulais prendre quelques jours de congé… et Nadia m’a dit que je pouvais vous poser la question directement…
– Bien sûr, mais quel est le problème ?
– Euh…
– Si vous avez droit à des congés, vous pouvez les prendre à condition d’en faire la demande.
– Je ne sais plus si j’ai encore des jours…
– Dans ce cas, jetons un oeil à votre dossier, mais asseyez-vous.

Je lui tendis ma carte et m’assis, jambes croisées, ma jupe remontait sur mes cuisses, laissant voir la dentelle de mes bas. Il jeta un œil rapide et se retourna vers son écran.

– Voilà, il ne vous reste pas beaucoup de jours à prendre cette année, en fait vous avez encore droit à 6 jours. Combien de jours vouliez-vous prendre ?
– Je ne sais pas exactement, pas trop pour qu’il en reste quelques uns quand même, au cas où.
– Si vous avez une raison particulière de prendre congé, il existe des circonstances qui vous donnent droit à des congés supplémentaires.
– Euh oui ?
– Ce sont des raisons familiales ou médicales en général, ou alors vous pouvez prendre des congés sans solde.
– Et si
– Oui ?
– Je me demandais si je…
– Si vous ?
– Enfin si je…

J’étais en train de m’imaginer sous son bureau en train de lui tailler une pipe, le fantasme de l’amour au bureau. Il fit un signe de la tête, dans ma tête tout se bousculait.

– Expliquez-vous, je ne saisis pas vraiment.
– …

Je décroisais les jambes, puis je les écartais doucement, ma jupe remontant en même temps pour dévoiler mon entrejambe. Il ouvrit de grands yeux et toussa.

– Ecoutez Clotilde, si vous avez vraiment besoin de quelques jours, vous n’êtes pas obligée d’en arriver là. Ce n’est pas mon genre de faire une fleur contre une partie de jambes en l’air. Donnez-moi une raison ou une autre et nous allons vous trouver une solution.
– Mais ce n’est pas… (Je serrai mes jambes)
– Pas quoi ?
– Je veux dire, Nadia, je pensais qu’elle
– Que quoi ? Nadia est une ancienne collègue de mon service, je ne vois pas ce qu’elle a à faire dans cette histoire ?
– Je pensais que…
– Ecoutez, pour moi la promotion canapé, c’est proscrit, point à la ligne. Je ne vois pas où vous voulez en venir.

J’avais l’air de la dernière des connes, et je devais m’en sortir et vite. Je réfléchis à toute vitesse et la solution s’imposa.

– En fait, ce n’est pas compliqué, je ne le fais pas pour les congés, ou l’avancement, je voulais juste réaliser un fantasme
– Pardon ?
– Faire l’amour au bureau… Les congés étaient juste un prétexte…
– …

Cette fois c’était lui qui était sans voix. Je desserrais à nouveau les jambes.

– Alors là, ce n’est pas commun comme approche…
– J’imaginais que vous ne pourriez pas résister et que…
– Et que ?

Je glissais un doigt sur ma fente, déjà humide. Je m’imaginais qu’il me prenait en levrette sur son bureau.

– Je ne vous plais pas ?
– Si vous êtes très.. belle.
– Je ne vous excite pas ?
– Si, bien sûr, mais…
– Ecoutez, j’ai très envie de passer un bon moment.
– …
– Vous êtes marié c’est ça ?
– Non, c’est un peu bizarre tout ça, on dirait un piège, une caméra cachée…
– Je vous garantis qu’il n’y a aucun piège, regardez mes tétons comme ils pointent, regardez comme je mouille

Je glissais un doigt dans mon sexe pour le ressortir luisant avant de le lécher.

– Laissez-moi vous convaincre !
– Vous voulez vraiment réaliser le fantasme de la secrétaire qui se fait sauter pour avoir un bonus ?
– Oui…
– Alors rhabillez vous, retournez dans votre bureau et attendez mon appel.
– Mais ?
– C’est ça où vous en trouvez un autre. Ceci dit vous ne devriez pas avoir de mal.
– Ok…

Je me levais, baissais ma robe et sortis. Une fois à mon bureau, je constatais que j’étais frustrée et je glissais ma main entre mes cuisses. Pas longtemps malheureusement, une collègue arriva pour me prendre le chou avec un dossier en retard.

Après 15 minutes, le téléphone sonna.

– Monsieur X ?
– ….
– Tout de suite ?
– …
– Bien je…j’arrive…

Je m’excusais auprès de ma collègue et pris le chemin du bureau de M. X. Au passage, je passais aux toilettes pour remettre un coup de rouge à lèvres, pour ouvrir un bouton à mon chemiser et me recoiffer.

J’entrais dans le bureau. Il me regarda.

– Fermez la porte Mademoiselle.
– Bien,
– Asseyez-vous !
– Merci…
– Je crois que vous aviez demandé quelques jours de congé ?
– Euh, oui…
– Quel motif ?
– Des vacances…

Il se leva, je croisais les jambes dévoilant la lisière de mes bas. Il passa derrière moi et posa sa main sur mon épaule, je frissonnais.

– Il ne vous reste plus beaucoup de jours à prendre…
– Je sais… mais peut-être que si
– Que si ?

Pour toute réponse je décroisais mes jambes et les écartais lentement. Il lâcha mon épaule et s’assit sur son bureau presque devant moi.

– Vous pensez que je vous accorderai quelques jours de congé contre une partie de jambes en l’air c’est ça ?
– Oui, c’est ça…
– Il faut dire que c’est tentant
– Je vous garantis que vous ne le regretteriez pas !

Je relevais ma robe, glissais un doigt entre mes lèvres et l’enfonçait doucement.

– Et bien, pour tout vous dire, je ne vous accorderai aucun congé supplémentaire, il faudrait que vous soyez plus convaincante.
– Aucun problème…

Il s’installa à son bureau et je me levais. Je fermais la porte et au milieu de la pièce, je dégrafais ma robe et quittais mon chemisier. Je me rassis, devant lui, jambes écartées et commençais à me masturber. Mes doigts allaient et venaient dans mon sexe, je glissais ensuite un doigt dans mon petit trou. Il restait impassible.

Je me relevais et passais sous son bureau, je frottais mon visage contre son pantalon. Quelle bosse !!! Rapidement je faisais sauter les boutons de sa braguette pour libérer une queue énorme. J’avais rarement vu un sexe aussi beau. Je commençais à le masturber doucement puis, ne pouvant résister j’approchais ma langue et léchais le gland sous tous les angles. Ensuite je le mis en bouche. Je n’arrivais pas très loin et jugeais plus facile de le lécher. Je jouais avec le gland gonflé, aspirais le bout, mordillais, suçais. Il passa sa main dans mes cheveux. Il me demanda de s’asseoir sur son bureau, face à lui.

Il plongea sa tête entre mes cuisses pour me faire un cuni d’enfer. Sa langue, sa bouche, ses dents, il aspirait, léchait, mordillait. Je commençais à gémir de plaisir. Après 10 minutes, je le suppliais de me prendre. Il se releva et il appuya sa queue contre mon sexe béant. Il entra d’un seul coup avec douceur, mais avec force.

Je ne m’étais jamais sentie empalée comme ça, il me remplissait totalement. Ses va-et-vient s’amplifièrent, il me pilonnait de plus en plus fort. Il caressait mon clito en même temps et j’eus un orgasme qu’il étouffa en plaquant sa main sur ma bouche. Il continuait ses va-et-vient en moi, je sentis son sexe grossir encore, il se retira et aussitôt, j’approchais ma bouche. Il s’enfonça dans ma bouche pendant quelques secondes avant d’exploser. Je n’arrivais pas à tout avaler et ma gorge était dégoulinante de sperme. De mes doigts, je nettoyais mon visage et mon cou. Je le repris en bouche pour le nettoyer. Puis il me nettoya doucement avec un kleenex et se rhabilla. Il me tendit mes vêtements. Alors que je me rhabillais, il me sourit.

– Alors ce fantasme ?
– C’était une excellente surprise.
– Vous êtes très excitante, il faut l’avouer !
– J’espère qu’on recommencera.
– On verra…

Je me sauvais, la tête me tournait, dans le couloir je tombais sur ma collègue de tout à l’heure, qui me regarda droit dans les yeux. Dans mon bureau je trouvais un message de Nadia.

– Je serai absente plusieurs semaines, un nouveau projet. Nous nous retrouverons le mois prochain. Je t’appellerai.

Plutôt expéditif comme message… Au moins Ronan serait là, je l’appelais sur son portable.

– Allo ? Clotidle ?
– Salut, je voulais savoir si tu étais libre ce soir.
– Non, je ne pourrai pas avant 22 heures après demain soir mais ensuite si ce n’est pas trop tard. Ca va ? Tu as une drôle de voix…
– Oh, non ça va, c’est juste que Nadia sera absente plusieurs semaines.
– Ah ? Mais ça n’empêche pas qu’on se retrouve non ?
– Pas du tout, on se retrouve chez moi ?
– Ok, après demain à 22 heures chez toi,
– Je t’embrasse,
– Moi aussi… je t’embrasse

Ce petit coup de fil m’avait redonné de l’énergie pour finir ma journée. Dans le bus, je me retrouvais en face d’un gars qui n’arrêtait pas de reluquer le haut de mes cuisses. Le petit enfoiré en profitait un max, mais ça m’était égal, au contraire, je trouvais ça plutôt gratifiant. Arrivée à mon arrêt je descendis à son plus grand regret.

Enfin chez moi, je me débarrassais de mes vêtements et pris une douche.

En sortant de la douche je vis que le téléphone avait sonné. J’écoutais le message.

– C’est Gaëlle, si tu est prête, retrouve moi à la maison dans 10 minutes. Nous t’avons promis quelque chose hier. Ne sois pas en retard !

10 minutes, c’était bien court, comment allais-je m’habiller ? Je fouillais dans le sac de Nadia, une vraie mine d’or pour apprentie soumise ! Des colliers, des pinces, des chaînes, des godes…

Pour faire simple, je mis mes escarpins à talon, le collier de cuir auquel je fixai une laisse. J’enfilais un manteau et sortis. La rue était déserte, heureusement. Je sonnais chez Gaëlle. Elle ouvrit la porte et me fit entrer.

– Nous serons seules ce soir, rien que toi et moi.
– Super,
– Tu te rappelles pourquoi tu es là ?
– Oui, bien sûr…

Et je laissais tomber mon sac ainsi que mon manteau sur le sol, puis je lui tendis la laisse. Elle s’en saisit.

– Eh bien tu as pris les devants, ceci dit, tu es en retard…
– Non, il n’est que…
– Si je dis que tu es en retard, c’est que tu es en retard.
– Oui, maîtresse
– Voilà qui est mieux, suis-moi, tu vas me préparer.

Et je la suivis dans la salle de bains où je dus la savonner, la bichonner, la pomponner. Une fois séchée je la suivis dans sa chambre pour qu’elle s’habille. Elle me fit me mettre à genoux devant elle, elle avait choisi un corset de soie noir, des bas de la même couleur, des chaussures à talons. Ses seins soutenus par le corset étaient superbes, les tétons pointaient avec arrogance, à côté ma poitrine menue me faisait un peu honte. Elle enfila de longs gants noirs.

– Pour commencer, je te dois une fessée pour ton retard.
– Bien,
– Mets toi en position !

Je me baissais, tendant mon cul à Gaëlle, ses mains claquèrent sur mes fesses, pas très fort, mais la sensation était délicieuse légèrement douloureuse. Après 10 coups, elle s’arrêta.

– Bien, ce soir, je ne veux aucun tabou entre toi et moi, tu seras à moi, tu m’obéiras sans discuter.
– Oui, maîtresse.
– J’apprécie que tu sois docile. Pour commencer, nous allons jouer un peu avec les pinces. Donne-moi tes seins !

Je me redressais et me cambrais. Gaëlle se saisit de mes tétons et les pinça durement, je criais sous la surprise. La morsure de la pince était sure à supporter sur le coup mais après quelques instants, devenait supportable.

– Ecarte les jambes !

Je m’exécutais et Gaëlle me massa les lèvres longuement avant d’y placer quatre pinces de métal munies d’une chaînette. Elle y ajouta ensuite des petites boules de plombs. Mes lèvres se distendaient sous le poids. Je gémissais.

– Maintenant, redresse toi et suis-moi.

Chaque pas faisait bouger les poids et tiraient davantage sur mes lèvres. Je gémis de plus belle. Elle tira sur la laisse. Elle me fit marcher pendant de longues minutes.

– tu sembles bien excitée ce soir, nous allons beaucoup nous amuser. Allonge toi sur le sol, au milieu du salon, jambes et bras écartés.

Gaëlle tourna autour de moi, elle commença à me caresser du bout de sa chaussure. Appuya sur un sein, sur l’autre, sur mon bas ventre, faisant glisser la pointe jusque sur ma fente. Puis elle me fit lécher ses chaussures pendant plusieurs minutes avant de s’asseoir sur mon visage.

– je t’interdis de bouger ou de faire quoi que ce soit sans que je te l’ordonne.

Résister fut au-dessus de mes forces, après quelques instants, je tendis la langue vers son sexe touffu. Elle gifla aussitôt mes seins. Je recommençais embrassant sa chatte ruisselante, le coup arriva aussi vite que le premier. Je continuais sans hésiter, poussant ma langue entre les fesses charnues. Cette fois ci c’est la laisse qui s’abattit sur ma poitrine. Je sentais la jouissance monter en moi et repris mes caresses de plus belle, sans m’arrêter sous les coups qui se faisaient de plus en plus précis. Soudain, Gaëlle enleva d’un coup les pinces de mes tétons, j’en eus le souffle coupé. La douleur était bien pire que lorsqu’elle les avait placées. Je criais.

– Continue, Clotilde !

Je me remis à l’oeuvre alors qu’elle plaquait ses mains sur mes seins pour les serrer l’un contre l’autre, elle enroula la laisse autour de mes seins pour faire un huit et serra pour les faire saillir. Je sentais ma jouissance monter de plus belle et je redoublais d’ardeur. Soudain, Gaëlle s’écroula sur moi, terrassée par un orgasme, libérant la pression sur mes seins douloureux.

Son visage était entre mes cuisses, sa langue glissa le long de ma fente trempée. Mon orgasme n’allait pas tarder, je gémis de plaisir et Gaëlle s’arrêta brusquement. Elle se leva et me demanda de la suivre.

Mes seins étaient rouges, les tétons irrités par les caresses de Gaëlle. Elle m’installa à quatre pattes sur la table basse, et lia mes chevilles et mes poignets aux quatre pieds de la table. Dans cette position les poids tiraient cruellement sur mes lèvres. La soirée ne faisait que commencer…

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