Chanette 22 – Soirées Bunga-bunga 11 – Final et partouze par Chanette

 

Chanette 22 – Soirées Bunga-bunga – 11 – Final et partouze par Chanette


Mardi 17 Février

– Bonjour chef ! Commença Dumortier figurez-vous que hier soir j’ai vu le bonhomme qui vous courre après.
– Ah, oui, où ça ?
– Sur le pas de ma porte, il m’a donné une lettre pour vous.
– Et vous n’avez rien pu faire ?
– Ça a duré trente secondes, il m’a donné la lettre et il est parti en moto.
– Vous avez relevé le numéro !
– A tous les coups c’est une fausse plaque !
– Qu’est-ce que vous en savez ? Il fallait le relever quand même ! C’est quoi cette lettre ?
– Voilà !

Valmaison déchira l’enveloppe avec nervosité, son visage se décomposa.

– Le connard, le sale conard !
– Un problème chef ?
– Oui, mais c’est mon problème ! Laissez-moi, s’il vous plait !

Autant vous dire que Valmaison balisait. L’affaire à laquelle la lettre faisait allusion datait de juin 2012, c’était, il avait presque trois ans : au cours d’une perquisition dans le cadre d’une enquête criminelle, il avait trouvé un lot d’héroïne qu’il avait gardé pour lui, il avait ensuite sollicité les services de Torelli afin de l’écouler. Il ignorait à qui ce dernier l’avait refilé mais ils s’étaient partagé le bénéfice de la vente. En principe personne ne pouvait le soupçonner. Et la seule personne qui pouvait l’accuser était Torelli. Torelli, son ami en qui il pensait avoir totale confiance. Oui mais voilà Torelli l’avait trahi en l’entrainant dans un traquenard dont il n’avait échappé que par miracle et auquel il n’avait toujours rien compris.

Comment Torelli avait-il pu se mettre en tête qu’il avait de nouveau de l’héroïne à fourguer ? Comment cette fausse information état-elle née ? Pourquoi Torelli ne l’avait-il pas approché « normalement » à ce sujet ? Tout cela lui paressait incompréhensible et il se perdait en conjectures.

Il ignorait le bilan de la fusillade de la zone industrielle, et chercha à se renseigner sur les serveurs internes. Et il trouva :

En gros, un type avait appelé les secours pour son complice blessé à la cuisse. Sommé de donner des explications, le type connu des services de police tout comme son acolyte avait refusé de parler, mais il fut rapidement établi qu’il s’agissait de deux des gardes du corps habituels de Robert Fouchère… Lequel, Robert Fouchère était apparemment en fuite.

Si Fouchère était appréhendé, il ne parlerait sans doute pas, ce n’est pas le genre de ces types-là. Donc rien à craindre en principe sauf que si les menaces contenues dans la lettre étaient mises à exécution la donne changerait.

Si ce genre de malfrats se protégeaient entre eux, balancer un avocat ou mieux un flic les gênaient beaucoup moins. Du point de vue de Torelli, c’était pire ! Ce gars-là n’avait rien d’un dur à cuire et n’hésiterait pas à l’enfoncer.

Donc, donc, tout ça se présentait bien mal. Et il réalisa assez rapidement qu’il ne pourrait dérober à ce rendez-vous, et que toute tentative à l’encontre de son interlocuteur se retournerait contre lui. Tout juste pouvait-il essayer de savoir qui il était. Cela lui permettrait peut-être de revenir dans le jeu.

Il rappela Dumortier.

– J’ai rendez-vous avec « l’emmerdeur » à 16 heures à Notre-Dame, je vous préciserai l’endroit exact. L’entretien devrait être assez bref, quand j’en aurais fini, vous essayerez de le filer !
– Oui chef ! Bien chef.

« La moto, il va m’emmerder avec la moto ! » se dit-il.

Il ouvre alors le mini coffre enfoui dans son dernier tiroir dans lequel il conserve de l’argent liquide, en prélève 10 000 euros qu’il enfouit dans ses poches.

Max avait réfléchi :

« Quand je pense que je lui ai probablement sauvé la vie à ce connard, alors qu’en le laissant se faire massacrer, l’affaire était terminée, mais je ne savais pas à ce moment-là que Valmaison et Monsieur Alexis étaient la même personne. »

Les scrupules ne l’étouffaient pas toujours, Max, malgré sa bonhomie apparente.

Le seul maillon faible de ses menaces envers Valmaison était constitué par Torelli. Si ce dernier disparaissait de la circulation, il deviendrait difficile de reconstituer la filière de l’héroïne de 2012, d’autant que Fouchère n’était désormais plus de ce monde. Valmaison était probablement assez intelligent pour le comprendre.

Un ripou pareil serait-il capable d’aller jusqu’à louer les services d’un tueur afin de se débarrasser de l’avocat ?  »

Il n’en savait rien mais ne pouvait négliger ce risque. Ce ne serait pas si difficile à résoudre !

16 heures

Max entre dans la cathédrale et s’assoit à l’endroit convenu. Valmaison y est déjà.

– Vous êtes d’accord sur tout ? Commence Max.
– Vous ne me laissez pas le choix ?
– Effectivement, pas de choix, pas d’arrangements ni de compromis.
– Alors, pourquoi ce rendez-vous, un coup de fil aurait suffi.
– Maitre Torelli me fait dire qu’il est désolé de ce qui est arrivé ?
– Il est gonflé, celui-ci !
– Non, il ne pouvait pas faire autrement, sa famille était prise en otage.
– Sa famille ?
– Oui, je ne connais pas les détails. Il culpabilise à fond, mais il n’y est pour rien.
– C’est dégueulasse ces méthodes ! D’autant que je ne sais même pas pourquoi ces types s’en sont pris à moi !
– Ecoutez-moi bien, vos petites combines de flic ripoux, ça ne m’intéresse pas. Je n’ai qu’une seule exigence et vous la connaissez !
– Ce n’est vraiment pas négociable ?
– Ne soyez pas lourd, je vous en prie !
– Juste à la marge !
– Marge, mon cul ! Estimez-vous heureux, je ne vous réclame pas le remboursement du manque à gagner des filles. Bon, ma moto, elle est où ?
– Je l’ai abandonné à Sarcelles, je ne me souviens pas où et de toute façon ça m’étonnerait qu’elle y soit encore.
– Et bien, vous me devez le prix d’une moto !
– Je vous fais un chèque ?
– En bois ?
– On va à ma banque ensemble, je demanderai un chèque de banque.
– Et comme ça vous connaitrez mon identité ? Je veux du liquide, il faudra donc qu’on se revoie.
– Pas la peine, j’ai deux ou trois billets, elle n’était pas neuve votre bécane ?
– Presque ! Mentit Max.
– Ben voilà, ça devrait faire le compte ! Répondit Valmaison en lui tendant deux liasses de billets de 50 euros.
– Je vous rends votre portefeuille, je n’ai rien pris.
– Je peux vous poser une question ?
– Vite fait !
– Pourquoi m’avez-vous sauvé la vie ?
– Si on vous demande, vous répondrez que vous n’en savez rien.

Les deux hommes se séparèrent, Valmaison s’en alla boire un verre pour se remettre de ses émotions, il avait maintenant du pain sur la planche : payer sa note d’hôtel, rentrer chez lui, tenter de récupérer sa copine, renouer le contact avec Torelli pourrait sans doute attendre, et puis il lui faudrait trouver d’autres combines…

Il restait à Max trois coups de fil à passer.

Le premier pour confirmer à Thomas Dumortier que l’affaire était terminée et qu’il était toujours partant pour organiser une petite fête chez ce dernier.

Le second à moi-même, en me chargeant par la même occasion de contacter Georgia.

Le troisième était bien plus sérieux, il s’agissait de contacter Torelli.

– Maitre Torelli est en déplacement à l’étranger. Répondit une voix féminine au téléphone.
– Ben Marie-Odile, tu me reconnais pas ?
– J’étais pas sûre !
– Il est où ton patron !
– En Argentine ! Et il ne m’a pas dit quand il reviendrait.
– Il est joignable ?
– Il a dû prendre son portable perso.
– Je peux l’avoir ?
– Faudra pas dire que c’est moi !
– Meu non !

Il fallait compter avec le décalage horaire, mais « ça le faisait » et Max réussit à joindre Torelli.

– Vous reconnaissez ma voix ?
– Vous ! Qui vous a donné mon numéro ?
– Ecoutez-moi !
– Allez-vous faire enculer ! Meugla-t-il en raccrochant.

Max s’attendait à cette réaction, il composa alors un message.

« Je vais rappeler dans 5 minutes, ne me raccrochez pas au nez, je pense que ce que j’ai à vous dire devrait vous faire plaisir. »

– Z’avez intérêt à être convainquant ! Menaça Torelli en décrochant.
– Serge Valmaison est en excellente santé, pour des raisons qui ne regardent que moi, j’ai réussi à le convaincre que si vous l’aviez entrainé dans un guet-apens, c’est que Fouchère avait pris un membre de votre famille en otage, il a gobé cette version et je ne suis pas entré dans les détails, vous pourrez donc l’améliorer à votre gré.
– Mais…
– J’ai pas fini ! Quant à Fouchère, il est mort dans des circonstances que la morale et la décence m’empêche de préciser davantage.
– Mais qui êtes-vous donc ?
– Vous ne le saurez jamais, je vous laisse digérer ces nouvelles informations. Comme vous le voyez, vous n’avez plus d’ennemis, du moins pour ce qui concerne cette affaire, l’un est mort, l’autre vous croit innocent de la saloperie que vous lui avez faite. Adieu Maitre Torelli !

« Quand je pense que je suis en train de rendre service à ce salaud, pour qu’il rentre en France afin que mes menaces soient cohérentes. »

Torelli pense naturellement à un piège, un piège grossier et se dit que tout cela demande vérifications.

– Allo Marie-Odile ! Voulez-vous vérifier deux choses, c’est urgent…

Quand le téléphone de Fouchère avait sonné dans la poche de Max, il réalisa qu’il aurait dû déjà s’en débarrasser, il décrocha par jeu en prenant un impossible accent bourguignon. Il reconnut la voix de Marie-Odile. Ainsi Torelli se renseignait déjà par son intermédiaire. Tout allait bien !

Elle rappela son patron un peu après :

– Monsieur Valmaison est toujours en poste à la préfecture de police, il était à l’extérieur quand j’ai appelé. Pour Monsieur Fouchère, il ne répond pas, mais j’ai pu joindre son comptable qui est sans nouvelles de lui depuis dimanche.
– Bon, je prends ma semaine, et je rentrerais Lundi, je vous laisse déplacer mes rendez-vous, vous savez faire…
– Je sais faire, reposez-vous bien.

Thomas Dumortier n’a évidemment pas suivi Max, il dira demain à son chef que celui-ci a disparu dans une voiture qui l’attendait Boulevard Saint Michel.

Il téléphona à sa femme.

– Chérie, est-ce que tu peux préparer un apéritif dinatoire, j’ai invité trois amis, peut-être quatre….
– Non, mais tu ne pouvais pas me prévenir avant ?
– Il y aura Max…
– Et qui d’autres ?
– Deux copines, peut-être trois.
– Euh, je vais me débrouiller, mais aurais-tu des intentions « salaces » ?
– T’as quelque chose contre ?
– La répartition des sexes ne me paraît pas très optimisée.
– Qu’est-ce que tu causes bien, parfois !
– Il est bien évident que si ces gens ne me plaisent pas, j’aurais ma migraine…
– Bien sûr ! Mais Max ne fréquente que des gens sympas…
– On verra bien ! Je suppose qu’il faut mieux que j’envoie les gosses chez la voisine…
– J’allais justement te le demander.

Partouze finale

Me voilà de retour dans ce récit dans lequel je suis restée relativement discrète.

Nous nous sommes retrouvés, place de la Trinité avec Max, Georgia, et Marie-Odile.

Présentations rapides, bisous : chacun reste un peu sur ses réserves. Cette Marie-Odile m’a l’air plutôt sympathique dans le genre grande perche. Georgia reste la plus réservée.

Petit trajet en taxi pendant lequel Max nous briefe un peu.

– Qu’on se mette bien d’accord, Dumortier a été super correct dans cette affaire, mais ça reste un flic, et sa femme, c’est une femme de flic. Ce n’est pas parce que j’ai fricoté avec eux que je suis leur ami intime, on reste donc sur nos gardes, on évite les sujets qui fâchent, et s’il y a des questions sur l’affaire, c’est moi seul qui répondrais.
– Je n’ai pas bien compris mon rôle dans cette soirée, je vais être obligée de faire quoi ? Demande Georgia.
– Rien de spécial ! Tu n’as aucune obligation. Je t’ai rendu service, ou plutôt c’est Chanette qui m’a demandé de te rendre service, je l’ai fait volontiers. Je ne demande rien, d’ailleurs si cette soirée t’embête tu peux descendre. Mais disons que cela m’aurait fait plaisir que tu sois à mes côtés. C’est comme tu veux !
– Vous êtes rigolo !
– Tu peux me tutoyer ! Alors tu restes ?
– Bien sûr !

Et nous voici chez les Dumortier. Isabelle nous accueille avec un grand sourire (un peu théâtral son sourire, mais à ce stade c’est un peu normal).

– Pas de dress-code avait dit Max, ça ne sert à rien c’est une soirée décontractée.

Et effectivement Isabelle n’a fait aucun effort de toilette, jeans et gros pull gris (ben oui on est en hiver !)

Bisous et présentations ; on nous invite à rentrer, à se mettre à l’aise, à s’assoir, bref le cérémonial classique et convenu.

– Ce sera un apéritif dinatoire, j’ai été un peu pris de court, mais rassurez-vous vous ne mourrez pas de faim.
– Nous avons apporté le champagne ! Précise Max.
– Et bien on va commencer par ça.

Tout le monde se jauge, c’est d’ailleurs assez amusant de regarder l’assistance, Marie-Odile est en train de flasher sur Thomas, lequel doit être en train de se demander comment faire « démarrer la machine », Georgia a beau être sereine, elle se demande à quelle sauce elle va se faire sauter, Max affiche une décontraction remarquable, Isabelle nous regarde bizarrement Georgia et moi. J’ignore si elle est au courant pour notre métier ?

Et moi dans tout ça, ben je m’en fous un peu, je suis venue parce que Max voulait que Georgia soit de la partie (c’est le cas de le dire) et que je ne voulais pas la laisser seule. Mais quelle idée d’avoir voulu faire cette rencontre chez les Dumortier ? Bref on verra bien et peut-être qu’il ne se passera rien du tout, je ne m’en plaindrais pas. Mais attention, ne croyais pas que je suis bégueule, si ça démarre, je ne donnerais pas ma part au chien.

On trinque on boit et comme je le redoutais un peu Isabelle prend la parole.

– C’est Thomas qui a eu l’idée de cette… comment dire, cette petite réunion amicale, mais on fête quoi exactement ?
– Disons que c’est Thomas et moi, rectifie Max. En deux mots, disons que je suis une sorte de privé, ces deux dames ont fait appel à moi suite à une sombre affaire d’abus de confiance dont je ne peux relever les détails…
– Le secret professionnel, je suppose ! Le coupe Isabelle.
– C’est ça, secret professionnel, disons qui me fallait identifier l’escroc qui pilotait tout ça, je suis parti sur une fausse piste qui m’a amené dans votre charmante demeure, puis de fil en aiguille, j’ai pu remonter la piste par l’intermédiaire d’un avocat véreux dont je vous présente la charmante secrétaire qui m’a apporté une aide précieuse dans cette affaire.

Marie-Odile à cette évocation devient rouge comme une tomate

– Et figurez-vous que l’escroc a été démasqué par mes soins pas plus tard que cet après-midi. Je ne vous dévoilerai pas son identité, mais si Thomas désire le faire, il en a le droit.
– Pourquoi, on le connait ?
– Juste de nom, j’ai dû t’en parler deux ou trois fois ! Mentit Thomas.
– Un flic ?
– Oui !
– Vous faites donc un métier dangereux ? reprit Isabelle s’adressant à Max.
– Oui, c’est pour cela que j’aime bien décompresser quand une mission est terminée.
– Et votre définition de la décompression c’est quoi ?
– Du Champagne et des femmes !
– Vous êtes impayable, vous !
– Isabelle, je peux me permettre une question indiscrète ?
– Je vous en prie !
– Avez-vous déjà fait l’amour avec une femme ?
– Ça ne vous regarde pas !
– Je vous propose un petit jeu, vous voulez bien ?
– Je vous répondrais quand vous me direz quel est ce jeu ?
– Je vais vous montrer.

Max sort de sa poche un ticket de métro qu’il commence par couper en trois dans le sens de la longueur, il en raccourcit ensuite deux morceaux.

– Voilà on va jouer à courte paille ! Je vais faire tirer ces trois dames, vous viendrez embrasser celle qui aura eu la plus courte.
– Hum ?
– Vous voulez jouer ?
– Vous ne m’en croyez pas capable ?
– Si !
– Euh, il faudra s’embrasser de quelle façon ?
– Disons : comme on pourrait le faire dans une soirée coquine.

C’est moi qui me suis retrouvée avec le bout de ticket le plus court. Bon ben tant pis, ce ne devrait pas être une corvée. Elle a une gueule sympa Isabelle, fausse blonde, les yeux bleus, le regard clair, quelques taches de rousseurs…

Isabelle joue parfaitement le jeu et s’avance vers moi comme une tigresse sur sa proie. L’instant d’après nous échangions un long baiser baveux.

Elle embrasse bien la femme du flic, à mon avis elle a dû avoir des expériences avec quelques copines, ce sont des choses que je sens. Ce que je sens aussi c’est ses mains qui deviennent très baladeuses, l’une s’intéresse à mes seins, l’autre à mon minou. Alors pas de raison, il faut toujours rendre les politesses, je lui fais la même chose. Ce qui fait que nous voici dans une spirale, plus on se tripote, plus on s’excite, et plus on s’excite plus on veut aller plus loin (tout le monde suit ?).

Evidemment tout le monde regarde. Ce genre de situation possède sa propre dynamique, dès que nous serons suffisamment débraillées, les autres interprèteront cela comme un feu vert les autorisant à se lancer à leur tour dans la partouze.

J’ai un mal fou à dégager le pull-over d’Isabelle et au lieu de m’aider elle est en train de coincer la fermeture éclair dorsale de mon petit haut. Faut parfois prendre des initiatives, je me recule un peu enlève mon haut en le passant par-dessus tête, du coup elle m’imite et nous voici toute deux en soutif. On se recolle, on se rebisouille, mes petites mimines atteignent l’agrafe de son soutien-gorge, et hop, le voilà détaché, mais comme on reste collé personne ne voit rien. Et je ne peux pas me décoller puisqu’elle est en train de faire la même chose avec mon propre soutif. Ça y est on se recule, les soutien-gorge ne tiennent plus que par les bretelles, on s’en débarrasse mutuellement, je ne sais pas ce qu’elle allait faire Isabelle, mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, ma bouche est maintenant en train de butiner son joli téton.

Je réussis à jeter un coup d’œil furtif sur nos compagnons de débauche. Max et Georgia se roulent de patins comme des amoureux sortant du bal, quant à Marie-Odile elle a allumé Thomas en lui mettant carrément la main sur la braguette.

Petite pause, en fait je cherche un emplacement où continuer en étant à l’aise. Pas évident, le canapé est surbooké par ces messieurs dames, reste le fauteuil ou la moquette, à moins qu’on aille s’isoler dans la chambre. Ce sera le fauteuil, on se débrouille pour se caser là-dedans toutes les deux, c’est assez mal pratique, je finis par en descendre et j’en profite pour lui faire glisser son pantalon et sa petite culotte dans la foulée.

Son mari la regarde et semble satisfait de la tournure des événements d’autant que la grande Marie-Odile bien débraillée est maintenant en train de lui pomper le nœud. Georgia de son côté n’est pas en reste et fait coulisser la bite de Max dans sa jolie bouche.

– C’est excitant tout ça ! Me dit Isabelle.
– Ça t’excite de voir ton homme se faire sucer !
– Oui, mais tu n’as rien vu, il suce aussi, lui ! Me confie-t-elle.

Ben oui, elle ne sait pas que je le sais…

– Il va sucer qui ? Max ? Demandais-je en rentrant dans son jeu.
– Oui, il l’a déjà fait, et il s’est fait enculer aussi ! Ça m’a excité de voir ça, tu ne peux pas savoir !
– Ils vont recommencer ?
– J’espère ! Mais là ça me fait drôle, c’est la première fois que je le vois se faire sucer par une autre femme.
– Un peu jalouse ?
– Ni jalouse ni fidèle comme on dit, mais en fait, je ne me considère pas comme infidèle, ce n’est pas parce que je suce une queue de temps en temps que je n’aime pas mon mari. Elle te plait ma petite chatte ?
– Oui, et elle et bien mouillée.

Je lèche tout ça, c’est vrai que Madame est excitée comme une puce, ça coule de partout et son petit clito est impertinemment dressé. J’ai envie de la faire jouir, là tout de suite, ma langue se concentre sur le point stratégique. Elle halète, elle gémit, elle miaule. J’accélère et la voilà qui gueule. Ce sera le premier orgasme de la soirée.

– Ça va ?
– Tu suces trop bien, toi, je crois qu’on ne m’avait jamais sucé aussi bien. T’es lesbienne ?
– Non, bi !

Je finis de me déshabiller à mon tour.

– Regarde, me dit Isabelle, mon mari est en train d’enculer la géante. Dis donc elle est super bien foutue pour son âge. Ça m’a l’air d’une sacré salope…

A l’autre bout du canapé, Max se fait chevaucher par Georgia les seins à l’air et complétement déchaînée.

Excité comme des poux par ce début de partouze qui a démarré trop vite, les deux hommes finirent par jouir.

Ça donne soif tout ça ! Marie-Odile et Georgia s’approchent de la table afin de boire un coup. Les deux femmes se regardent un peu bêtement n’osant dans un premier temps rien dire ni faire. Puis Georgia tente une caresse furtive sur le sein de la géante, celle-ci ne la repousse pas et il n’en faut pas plus pour qu’elles se rapprochent s’enlacent et s’embrassent.

Je me suis débarrassé de mes dernières fringues et nous avons échangé nos places, Isabelle et moi. Elle n’est pas pressée de me faire jouir, ça tombe bien, moi non plus, elle me caresse, j’adore qu’on me caresse. Elle semble passionnée par ma poitrine qu’elle n’arrête pas de solliciter de la main et des lèvres. Je me laisse faire, ça ne me déplait pas qu’on s’occupe de moi, la passivité a parfois du bon, c’est reposant.

Sur le canapé, Marie-Odile s’est affalée, les jambes écartées, les yeux fermées, perdus dans je ne sais quels fantasmes. Georgia est entre ses cuisses et lui lèche la minette tandis que ses mains en extension s’occupent de ses seins. Et soudain Marie-Odile se met à crier comme une damnée. Madame a la jouissance rapide.

Ce n’est pas trop mon cas en ce moment, je ne sais pas trop ce qui m’arrive, sans doute l’ambiance, ces gens sont sympathiques, mais peut-être que la présence de Thomas fait que je me considère pas complétement sorti de mon milieu professionnel. Elle fait pourtant ce qu’elle peut, l’Isabelle et elle le fait plutôt bien.

Je pourrais bien sûr simuler, mais si ce genre de choses est facile avec les hommes, là à moins d’être complétement abrutie, elle va bien se rende compte que je ne mouille pas. Je ferme les yeux, j’appelle mes fantasmes à la rescousse, tout y passe, mes copines que je n’ai pas vu depuis longtemps, Anna-Gaëlle toujours par monts et par vaux, je m’imagine avec elle dans sa salle de bain, on se pisse dessus, j’avale sa bonne pisse bien chaude. Comment faire ça ici ? Bien sûr je l’ai déjà fait avec Georgia, mais nous étions en tête à tête, là on est chez « des gens ». Toutes ces évocations ont contribué à me réveiller les sens. Je m’imagine une belle chatte ouverte, très légèrement poilue, bien ouverte à quelques centimètres de ma bouche, les gouttes qui tombent… Oh, putain, je vais jouir… Je jouis ! Quel pied !

– Je t’apporte une coupe ! Me propose Isabelle.

Elle revient, je siffle ma coupe de champagne, elle ne me lâche plus la mère Dumortier, elle est mignonne, mais quand on partouze, on évite les relations exclusives, sinon c’est pas du jeu.

Elle me caresse, elle m’embrasse, j’aimerais bien me dégager pour aller voir du côté de Marie-Odile, cette grande bringue m’intéresse. Bof, je ne suis pas pressée.

– Regarde-moi ces deux salopes ! Me chuchote Isabelle.

Les deux salopes : ce sont ces messieurs qui s’amusent. Max est en train de tortiller les tétons de Thomas lequel se met à rebander joliment.

– Continuez les garçons, ça m’excite ! Dit alors Marie-Odile en s’approchant. Vas-y Max suce lui la bite, je l’ai bien sucé tout à l’heure, elle est bonne !

Max est au pied du mur et ne souhaite pas se dégonfler devant Marie-Odile. Celle-ci s’accroupit pour joindre le geste à la parole du coup Max se baisse aussi et voilà que Thomas est à présent sollicité par deux bouches. Pas longtemps parce que la géante se relève passe derrière Thomas, lui écarte ses globes fessiers et tente de butiner son trou du cul à l’aide de sa langue.

Max se relève à son tour, du coup Thomas se jette, bouche en avant sur sa bite et la suce avec avidité.

– Regarde-moi ça ! Mon mari est un suceur de bite ! Ça m’excite d’avoir un mari suceur de bites, je vais l’emmener dans une boite spécialisée, le tenir en laisse comme un toutou et lui faire sucer plein de bites, plein, des dizaines.

Elle a des délires intéressant, Isabelle !

– Et après il se fera enculer… c’est comme ça que j’aimerai le voir : Une bite dans la bouche et une autre dans le cul, et pleins d’autres mecs autour qu’attendent leur tour.
– Ça te fait mouiller de penser à tout ça !
– Plutôt, oui ! Mais tu vas m’arranger ça tout à l’heure, pour l’instant on mate !

C’est bien ce que je disais, elle va me coller aux basques toute la soirée….

– Bon je bande bien, je vais t’enculer ! Annonce Max à Thomas.
– Hummm, vas-y, fous moi ta bite dans le cul.
– Allez, en levrette, ma salope !

Thomas se positionne, Max se prépare et fait l’article à l’assistance.

– C’est pas un beau cul, ça ! Félicitations, Isabelle, quand on a un mari comme ça, on le garde, c’est une perle rare, mais rassurez-vous quand j’aurais enculé votre mari, ce sera votre tour, avec votre permission bien entendu.
– Mais j’y compte bien, mon cul est votre disposition.

Elle en frétille d’avance.

– C’est trop excitant de se faire enculer juste après son mari ! Ajoute-t-elle. Et toi, tu aimes bien te faire enculer ?
– Oui bien sûr !

Je ne vais pas la contrarier, en fait, j’aime ça quand c’est bien fait, mais je ne suis pas une fanatique non plus.

Max est maintenant en train d’aller et venir dans le troufignon de Thomas Dumortier. Marie-Odile est fascinée par le spectacle et encourage son amant.

– Vas-y encule le bien mon chéri. Oh ! Ce que j’aimerais avoir une bite je l’aurais enculé aussi.

Il aurait fallu me le dire, j’aurais apporté des godes ceintures !

Thomas est en train de jouir du cul. J’ai l’impression que Max se freine, il doit nous préparer quelque chose.

Il est sorti du cul de Thomas et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Ce dernier approuve ses propos. Et voilà que Max demande qu’on lui fasse un peu de place sur le canapé, il s’y allonge et relève les jambes qu’il bloque avec les mains… Il fait signe à Georgia de lui passer un coussin sous les fesses.

Et voilà Thomas qui s’approche, la bite en avant, le regard sur le cul relevé de Max… Il ne va pas… Si ! Ben ça alors ! Renversement des rôles, c’est Max qui se fait enculer. Il me confiera un plus tard que c’était la première fois (du moins avec une vraie queue)

Le gag c’est que le cul de Max est très serré et que la bite de Thomas n’arrive pas à le pénétrer, personne n’a prévu de gel.

Isabelle qui a de l’imagination m’abandonne alors pour s’en aller chercher de l’huile d’olive dans sa cuisine. C’est elle-même qui tient à lui lubrifier le trou du cul. Du coup Thomas peut entrer.

– Oh, doucement, doucement !
– Je vais doucement !

Max a mal, il est à deux doigts de demander à son partenaire de renoncer, mais il pense à Marie-Odile qui avait l’air d’être si contente de voir son amant dans cette situation. Il se mord les lèvres tandis que Thomas le travaille à grand coups de boutoir, la douleur s’estompe petit à petit, Ça devient même plutôt agréable, voire très agréable.

– Encore, encore ! Vas-y encule-moi bien ! Ooh, ooh, aaah !

Les cris qu’il pousse encouragent Thomas qui augmente la cadence et finit par prendre son pied avec dans bruit rauque.

– Alors mon chéri c’était bien il t’a bien enculé ? Lui demande Marie-Odile.
– Super !
– Vous m’aviez fait une promesse, Max, Intervient Isabelle.
– Je vais la tenir !

Elle lui attrape la bite.

– Moi aussi je suis en train de la tenir.

Elle entraine Max au milieu du salon se met en levrette et attend l’assaut.

Voilà une suite que ne semble pas particulièrement gouter Marie-Odile qui se désintéressant de la scène s’en va vers les toilettes après en avoir demandé la direction à Thomas.

Pulsion subite ! Je la suis.

– Tu vas faire pipi ? Demandais-je

La question est idiote, mais il fallait bien dire quelque chose, admettez-le !

– Oui, j’ai une grosse envie !
– Moi aussi, tu crois qu’ils sont des chiottes à deux places ?

Elle rit.

– Je crois que tu vas être obligée de m’attendre.
– J’attendrais, je peux te regarder ?
– Me regarder pisser ?
– Oui !
– T’aurais pas des idées cochonnes, toi ?
– Un peu !
– Je vais pisser et après tu vas me nettoyer la chatte !
– Pas de problème, je crois que je vais me régaler !
– Tu veux peut-être que je te pisse dans la bouche, pendant qu’on y est ?
– Ça ne me déplairait pas

On entre dans les toilettes.

– Y’a pas beaucoup de place ! Comment on va faire pour fermer la porte ! Se demande Marie-Odile.
– On va la laisser ouverte ! Pourquoi veux-tu la fermer !

Je pensais qu’elle allait s’assoir sur la cuvette, mais elle ne devait pas être si pressée que ça, elle attire mon visage contre le sien, elle me roule une pelle que j’accepte fort volontiers, me caresse les nichons, me les pelote, me les lèche. Une vraie sangsue !

– Les femmes c’est pas trop ma came ! Mais toi t’es trop craquante ! Qu’elle me dit !

Que voulez-vous, il faut toujours que les gens justifient leurs pulsions.

J’attends que l’orage se calme pour faire la même chose, cette femme cache bien son jeu, elle est très douce, très chatte.

Bref ces tendres choses durent un petit moment jusqu’à ce que madame se souviennent fort inopinément qu’elle est venue ici pour pisser et qu’il faudrait peut-être le faire.

On a un peu de mal à trouver la position qui nous permettra de ne pas en foutre partout. L’idéal aurait été de se déplacer dans la salle de bain, mais ne dit-on pas qu’il ne faut pas abuser des lois de l’hospitalité ?

Je lui suggère donc de s’accroupir en posant les pieds sur les rebords de la cuvette, les mains collées au mur afin de conserver l’équilibre.

J’ai ma bouche à quelques centimètres de sa chatte, et j’attends.

– C’est la première fois que je pisse sur une femme ! Me dit-elle afin de combler le silence
– Y’a toujours une première fois ! Ferme les yeux, imagine que tu es à la campagne au bord d’une route, les voitures passent et toi tu pisses sans t’occuper d’elles…
– Ça vient, ça vient, ouvre bien la bouche.

Les vannes sont ouvertes, j’avale ce que je peux, le surplus dégouline dans la cuvette

– Bravo les filles ! Je pisse où, moi ?

Pas moyen d’être tranquilles ! C’est Isabelle qui se ramène comme un cheveu sur la soupe. Sa sodo n’aura donc pas duré très longtemps.

Je me suis reculée d’instinct.

– On termine, juste une minute ! Répond Marie-Odile qui ne parvient pas à gérer l’insolite de la situation.
– Non, non, ne vous gênez pas pour moi, continuez ce que vous faisiez, C’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de voir ce genre de choses.

On reprend un peu, juste un peu Marie-Odile avait presque fini…

– Ne t’essuie pas, je te nettoierai la chatte à côté ! Lui précisais-je.
– Quelles cochonnes ! Fait mine de s’offusquer Isabelle.

On lui laisse la place, je me demande un instant si elle veut jouer à son tour aux douches dorés, mais non.

– Je vais faire caca ! Tient-elle à préciser.
– On pousse la porte ?
– A moins que vous vouliez regarder ?

A ce moment-là le regard de Marie-Odile devient trouble, mais ne sachant si Isabelle plaisantait ou non, il ne se passera rien de plus dans ces toilettes.

Retour au salon. Le spectacle est charmant, les deux bonshommes complétement vidés après leur deux coups quasi successifs sont affalés comme des chiques molles sur le canapé de part et d’autre de Georgia qui est venu s’intercaler. Ses mains sont posées sur les bites des hommes, mais juste en position caresses, ils ne bandent plus.

Je fais signe à Marie-Odile de s’assoir dans le fauteuil et je viens me loger entre ses cuisses, où ma langue la nettoie des gouttes d’urine dont sa chatte reste imprégnée.

Je prends mon temps, faisant lentement monter le plaisir de ma partenaire…

Mais voilà que l’on me tripote le cul ! Etant donné que ce ne peut être aucun des trois endormis qui sont restés sur le canapé, ce ne peut être qu’Isabelle ! Son doigt vient de s’enfoncer dans mon cul et se livre à des va-et-vient intempestifs.

Je ne proteste pas, me voilà dans une position qu’il faut bien qualifier d’idéale, je donne du plaisir tout en en recevant, elle n’est pas belle la vie. Je tente de modérer mes coups de langues, mais je me rends compte que ça ne sert à rien, Marie-Odile commence à gémir et à haleter. Son clitoris s’érige comme un bourgeon printanier, ma langue est dessus, elle tourbillonne, elle vrille et Marie-Odile s’en va au ciel.

Je reste blottie entre ses cuisses pendant que la maîtresse de maison continue à me ramoner le cul. Je sens que tous mon bas ventre devient comme électrique, je mouille mon plaisir monte, je hurle à mon tour.

Isabelle retire son doigt, le lèche sans l’avoir regardé et vient rencontrer mon visage sollicitant un baiser que j’aurais mauvaise grâce à ne pas accepter.

Mais voilà que l’on sonne au portail. Isabelle s’entoure le corps d’une serviette et s’en va ouvrir. J’entends la conversation :

– Oh, Thibault, ce n’est pas demain que tu devais passer.
– Pourquoi, je dérange ?

Qui c’est celui-ci ?

– On était en train de faire la fête avec des amis.
– Tu fais la fête à poil, maman ?
– Ben oui, nous sommes entre gens très décontractés. Tu veux te joindre à nous ?
– Je vais juste dire bonjour…

Et Isabelle revient.

– Je vous présente Thibault, notre fils ainé, il a une très belle bite et un joli cul ! Il est un peu à voile et à vapeur… Montre tout ça à nos amis, Thibault !
– Mais enfin, Maman.
– Allons ne fait pas ton timide.

Et Isabelle entreprend de dégrafer la ceinture de son fils, le pantalon tombe sur ses chevilles, le caleçon suit le même chemin.

La bite est demi-molle, mais sa mère la prend en main afin de lui donner de la rigueur, il ne tarde pas à bander, et il bande bien.

Et devant l’assistance médusée Isabelle se penche et prend en bouche le sexe de son fils

Max s’approche et flatte de ses mains le doux fessier du jeune homme.

– Vous avez le cul doux !
– On me dit souvent !
– Ça vous fait bander, on dirait !
– Ben oui !
– On pourrait s’amuser tout à l’heure, mais pour l’instant, laissez-moi profiter de ce moment magique, ma mère me suce si bien !

C’est très chaud, je me demande si ce rapport incestueux va se limiter à la pipe ou si…

Mais nous avons eu la réponse rapidement, Isabelle s’est mise en levrette, Thibault vient l’enculer tout en invitant Max à venir faire de même avec son propre cul.

Une figure de style assez impressionnante conclue par les cris de plaisirs des protagonistes.

Non, non nous n’avons pas rêvé ! Georgia et Marie-Odile, subjuguée ou choquées par le spectacle (je n’en sais rien) se roulent un patin d’enfer pour calmer leur excitation.

Quant à Thomas, il n’arrête pas de me caresser mes nichons, mais ça va, il a les mains douces

On a été bien plus sage après, on a mangé, on a bu plus que de raison. Isabelle a demandé si quelqu’un voulait profiter de la chambre d’amis, j’ai laissé la place à Max qui dormira avec Marie-Odile, bien évidemment. On a appelé un taxi qui me remmènera chez moi, je proposerais à Georgia de rester avec moi pour la nuit, je n’ai pas envie de la finir seule.

On se dit au revoir, on s’embrasse tout cela était très sympa.

– Au revoir Chanette, vous savez que vous pouvez toujours compter sur moi !
– Merci Max, mais j’essaie de ne pas en abuser. Au revoir Isabelle, cette soirée était très réussie.
– Ça c’est vrai ! Ajoute Max, mais qu’est-ce que j’ai mal au cul !

Fin de l’épisode

Paris Mai 2017 © Chanette (Christine d’Esde) et Vassilia.net

 

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8 réponses à Chanette 22 – Soirées Bunga-bunga 11 – Final et partouze par Chanette

  1. Pinoteau dit :

    J’ai moi-même eu l’occasion par deux fois de me retrouver à faire de trucs avec ma mère (c’était à son initiative, mais je n’ai pas dis non) et croyez-moi si vous voulez j’ai un von souvenir de ces expérience qui ne m’ont pas traumatisées le moins du monde

  2. Lesignac dit :

    L’arrivée du fiston à la fin fait un peu « cheveu sur la soupe », mais le but est néanmoins atteint puisque ce court épisode m’a fait bander bien dur

  3. De Candé dit :

    Quelle surprise à la fin !

  4. Honorine dit :

    Quel final de folie, j’en suis toute excitée ! Sans doute d’une des meilleures scène de partouzes lues sur ce site !

  5. Chastaing dit :

    Humm, ce zeste d’inceste à la fin…

  6. vanloo dit :

    C’est la partouze finale !
    Enculons-nous et demain
    le plaisir anal
    Nous fera le plus grand bien

  7. sapristi dit :

    Un festival ! Un feu d’artifice ! Une fête !

  8. Muller dit :

    Les épisodes d’Astérix se terminent par un banquet géant !
    Ceux de Chanette par une méga partouze
    Je prèfère !

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