Carnaval 2 – Cholet par Caroline49

Carnaval
2 – Cholet
par Caroline


Chapitre 2 : Cholet

Vendredi 13 avril : fin d’après-midi.

Le train arrive en gare de Cholet à 17 h 30. Ce soir c’est l’ouverture du Carnaval de la Ville. Toute une semaine de festivités, pour tous les âges dont les deux moments clés sont le défilé des chars le dimanche dit « Défilé de jour » et le samedi suivant le « Défile de Nuit ». Défilé nocturne où tous les chars sont recouverts d’ampoules style parade lumineuse d’un grand parc bien connu. Sauf qu’ici dans ma petite ville de province, ce sont des amateurs qui font cela par passion.

Toute ma famille participe au Carnaval. Sauf moi. Je suis la seule à ne pas être carnavalière. Mon père est constructeur de char les samedi après-midi, ma mère fait partie d’un groupe de costumières-couturières, ma sœur jumelle est danseuse, ma sœur aînée fait partie du Comité d’organisation auprès de la municipalité et mon jeune frère est jongleur dans une troupe de cirque qui participe chaque année au carnaval. Même le futur mari de ma grande sœur donne un coup de main de temps en temps d’un point de vue mécanique.

Une fois descendu du train, je rentre chez moi à pied, pour cela, j’ai juste à emprunter la passerelle qui traverse les voies. Mes parents habitent derrière la gare. Il est peut-être là mon amour des trains. J’arrive chez moi. Je rentre et je vois que la maison est animée. Mes parents sont excités à l’idée de la semaine qui les attend. Ils ont d’ailleurs pris une semaine de vacance exprès pour l’occasion.

« Salut Caro, alors cette soirée d’anniversaire ?
– Comment dire… désaltérante. Un peu agitée mais pas plus que ça. Je me suis bien amusée. Marion vous souhaite le bonjour.
– Tu as vu ses parents me demande mon père ?
– Non, sa mère était en séminaire je ne sais où et son père était rendu à un salon professionnel sur des machines de mises sous film en Allemagne.
– Les affaires tournent bien alors…Et Marion, ses études ?
– Elle termine sa deuxième année de médecine plutôt avec facilité ».

Mes parents, mon frère et moi prenons un bon goûter. Une bonne tarte aux pommes fait par ‘’Môman’’ comme dirait mon petit frère, le tout accompagné d’un petit café.

« Claire n’est pas là ? »

Claire c’est ma jumelle, ma vraie jumelle. Elle a les cheveux longs, c’est ce qui permet de nous différencier entre autres. Car heureusement à vingt ans, nous ne nous habillons plus de la même manière.

« Non elle est déjà rendue dans le centre avec sa troupe de danse, elle faisait une représentation sur la place, me répond ma mère.
– Et Chloé ? Elle vient ce soir ?
– En théorie, mais si elle arrive ce soir, elle nous rejoindra sur place. D’ailleurs, Antoine arrivera dans la soirée par le train de 22 heures. Il est possible qu’il passe par là déposer ses affaires avant de nous rejoindre »

Chloé, c’est ma grande sœur, j’ai 20 ans, elle 26 et mon petit frère en a 18. Ma grande sœur travaille dans un labo médical d’une clinique nantaise. Antoine, son futur mari bosse dans la conception de machine industrielle de précision. Trop long et surtout trop ennuyant à expliquer. Ils habitent à Nantes même. Toujours est-il que je me suis toujours bien entendu avec lui. Il a 25 ans. Et je le connais depuis ma onzième année. C’était un copain de classe de Chloé bien avant qu’ils soient ensembles.

Je monte au deuxième étage de la maison familiale. La semaine va être agitée. Tout le monde va dormir à la maison et nous allons nous marcher dessus. Ma sœur jumelle a libéré sa chambre, elle vient dormir avec moi. Ainsi sa chambre sera libre pour ma grande sœur et Antoine. Nos chambres communiquent entre elles par la salle de bain. Elle est assez grande, avec des WC, une douche, et un meuble vasque. En face de ma porte qui donne accès à la salle de bain, un grand miroir.

Je suis un peu fatiguée. Je m’allonge sur mon lit. Je mets un peu de musique.

« Caro, on y va ! On descend dans le centre voir les groupes, et on file à l’atelier ensuite. N’oublie pas que tu as Antoine qui arrive ce soir !
– Oui oui, je sais. Bonne Soirée. »

Mes parents quittent la maison, mon petit frère vient me voir et me dit qu’il s’en va lui aussi rejoindre ses ‘’potos’’. Il est 19 heures. Je ferme les yeux et m’endors, la fenêtre ouverte, la musique en sourdine et les pensées tournées vers ma contrôleuse et notre ébat fugace.

21 h 30. J’ouvre les yeux. Oh la vache, j’ai dormi tout ce temps- là. Bon il faut que je me prépare. Si je veux rejoindre mes copines. On a envie d’aller sur Nantes ce soir dans une boîte Gay. Au moins on peut s’amuser sans se faire draguer ou tripoter à tout va. Je me lève me dirige vers la salle de bain. Je me déshabille et je file sous sa douche. Je sens légèrement l’urine au niveau de mon sexe vu que j’avais mouillé ma culotte dans le train tout à l’heure. Je me lave correctement et regarde mon sexe pour voir si les poils n’avaient commencé à repousser depuis hier soir. Ça allait. Je sors de la douche et me regarde nue devant le miroir. Je m’aime bien. Oui c’est narcissique mais je m’aime bien. Je fais 1,77 m, j’ai de longues jambes, un sexe rasé, un petit ventre mignon et un bon 95 B qui se tient bien. Je me caresse les seins, puis le ventre, puis la chatte et enfin les cuisses pour finir par mes fesses. Oui je m’aime bien. Je mets un peignoir sur mes épaules et commence à me sécher les cheveux.

«Pas trop tôt. Quelle semaine de dingue. Ils sont donc tous partis dans cette maison. Je vais me poser un peu, boire un verre, me changer et je les retrouverai ensuite. Ah si tiens il y a de la musique là-haut. Ce doit être Caroline »

J’ouvre la porte de ma chambre et passe devant celle de Caroline. Enfin ma chambre…celle que je vais occuper pendant la semaine. La porte de la salle de bain est entrouverte. Je m’approche discrètement et j’aperçois ma belle-sœur, presque nue en train de chanter avec une bouteille de shampoing en guise de micro. Elle danse en même temps et je vois par intermittence l’extrémité de ses seins dans son peignoir. Je l’observe sans faire de bruit. Je sens que je deviens sensible à son déhanchement. La musique s’arrête. Elle aussi, de chanter.

Je pose ma bouteille de shampoing sur le lavabo et je tends l’oreille. Je regarde le réveil posé sur la tablette en verre, 22 h 15. Antoine doit être arrivé suis-je en train de penser. Et machinalement je tourne la tête vers la porte de la chambre de ma sœur, là où il est censé dormir. Le voyeur, il est là à me mater, presque nue. Je fais celle qui ne l’a pas vu.

« Oh purée, elle enlève son peignoir. Regarde-moi ça comment elle le fait tomber. Mmmmmh ce cul. Si je pouvais lui démonter l’arrière train ». Ma queue commence à gonfler. La voilà qui se penche devant moi pour ramasser son shorty tombé par terre.

« Tiens mon coco, mate bien mon cul, je sais que tu en as envie. Je vais te faire une surprise ». Je me tourne de trois quart face au miroir, je mouille mon majeur droit et me le glisse direct dans la chatte. Je fais plusieurs mouvements juste devant lui tout en me regardant dans le miroir. Je sais qu’il mate ce cochon d’Antoine.

« Ah la vilaine, elle me nargue. Tu aimes ça te faire du bien ». Mon sexe est à l’étroit dans son boxer. Je défais mes boutons de pantalon et je redresse ma queue afin qu’elle soit plus à l’aise. Je commence à me caresser le bout du gland.

« Désolé mon coco, c’est tout pour ce soir ». Je retire mon doigt de ma chatte, le porte à ma bouche, et sors de la salle de bain afin d’aller m’habiller dans ma chambre. Je laisse mon beau-frère à ses pensées masturbatoires.

Je m’habille un peu plus chaudement que cet après-midi et je descends dans la cuisine. Antoine mon beau-frère me suit peu de temps après.

« Ah ! Tu es arrivé ?
– Oui à l’instant, je viens juste de déposer mes affaires dans la chambre »

Et un peu de sperme sur la moquette aussi me dis-je…

« J’ai pensé que tu devais te préparer pour sortir
– Oui je file à Nantes avec Margaux et les autres.
– Chloé ne sera là que demain dans la matinée. Elle m’a appelé, le labo a eu quelques cas urgents à traiter et elle voulait rester pour être sûr des résultats et en discuter avec les médecins le cas échéant.
– Oui c’est tout elle. Tu montes à l’atelier rejoindre les parents ?
– Oui, je vais bouffer au Mc DO et j’y file ensuite. J’ai des réglages de moteur à finir pour l’un des chars du Carnaval »

On se souhaite une bonne soirée mutuellement et chacun part de son côté.

Samedi 14 avril

Bip Bip Bip Bip Bip

Foutu réveil, allez il faut se lever. Il est déjà 10 heures du matin. Quelle nuit. J’en ai passé une bonne partie à faire des réglages d’articulation sur les personnages des chars. Ah les beaux-parents. Ma belle-mère étaient encore en train de finir ses costumes et mon beau-père a du finir avec deux grammes dans chaque poche. Mais il tient bon l’enfoiré. D’ailleurs ils doivent déjà être tous les deux repartis. Je vois la lumière du soleil à travers les volets roulants. La météo annonce beau aujourd’hui. Il risque de faire chaud. Il faut quand même que je sois debout quand Chloé arrivera. Cela ferait désordre. Je tends l’oreille pour savoir s’il y du bruit dans la maison. Connaissant Claire, elle n’est peut-être même pas encore couchée, nuit blanche pour elle, et Roméo le plus jeune a du finir chez un de ses ‘’potos’’, chez Fred ou Stéphane. Donc soit je suis seul soit…

TOC TOC TOC La porte de la salle de bain s’ouvre. Je vois ma belle-sœur Caroline, en nuisette, très courte, s’approcher vers moi. Elle s’assied au pied du lit, les jambes en tailleur. Je sais qu’elle est nue et elle ne s’en cache pas. Je distingue son sexe légèrement ouvert. Sa poitrine superbement dessinée, remplit à merveille la partie de la nuisette prévue à cet effet. Et le décolleté me fait monter le sang au bout du gland. La lumière qui passe à travers les volets lui dessine la silhouette. Je vois très peu son visage car il est en contre-jour.

« C’est toi qui as pris le programme télé, me demande-t-elle ?
– Oui, je l’ai pris en rentrant cette nuit je voulais le feuilleter avant de me coucher. A quelle heure es-tu rentrée ?
– 6 heures. Ca calme un peu le réveil. Et toi ?
– 4 heures.
– Tu me passes le programme stp, il y a un programme sur la chaîne planète que je souhaiterai enregistrer et je ne sais plus à quelle heure il passe ».

La voir là, en face de moi, que je sais sans rien sur son sexe, me fait bander comme un âne. Ma queue se gonfle assez rapidement. Tiens c’est une occasion ça. Mais j’essaie de résister.

« Tiens il est là au pied du lit » Et comme je suis nu dans mon lit je me penche en avant vers le pied du lit afin de lui donner son programme TV. Les draps avançant en même temps que moi, ils découvrent mon sexe tendu. Je fais celui qui ne voit rien.

« Dis donc, c’est moi qui te fais cet effet-là ? Lui dis-je ? Ben mon cochon, t’as une de ces triques. Et tu es plutôt bien monté. Chloé doit apprécier d’avoir une aussi belle queue à se mettre sous la dent !

– Oh pardon excuse, moi, c’est la trique du matin.

– Oui c’est ça, un peu exhib sur les bords non ? Je vais m’en occuper, moi, de ta trique du matin. Tu vas voir ».

J’enlève ma nuisette et me voilà nue devant mon beau-frère. Je tire les draps jusqu’aux pieds du lit pour découvrir une belle queue bien tendue. J’approche ma bouche de son vit et commence à lui lécher le pourtour du gland.

« Non non pas ça ! Pas toi » me dis –je.

Je prends sa queue dans ma main droite et lui lèche les testicules qu’il avait manifestement rasés il y a peu de temps. Antoine se met bien sur le dos et relève les jambes au maximum en les tenant par-dessous les genoux. Je dirige ma langue vers son anus et je force un peu le passage. Il m’offre son cul. Je sais qu’il aime ça, ma grande sœur me l’a dit. Son anus sent le savon, j’en profite pour y introduire ma langue un peu plus tout en le masturbant assez lentement. Je rapproche ma bouche de son gland et je le gobe en totalité. Sa bite est chaude, sa bite est grosse. Ma langue ne peut pas tourner autour. J’ai la chatte en feu. Je me redresse, me retourne et je viens m’asseoir sur son pieu turgescent. Je fais descendre ma chatte tout en douceur sur sa queue. Il voit mon cul. Tout en m’empalant, je pousse afin d’ouvrir mon sphincter anal pour qu’il le voit. Je glisse sur sa bite. Ma chatte ruisselle. Je me retire. J’envoie mon arrière train vers son visage afin qu’il me lèche le cul et le con. Je reprends sa bite en bouche. Tout en me délectant de sa bite je lui masse les couilles et dirige mon majeur droit vers son anus. Je lui enfonce délicatement dans son bouton rose. Je n’entends aucune contre-indication.

Vas-y ma salope farfouille moi le cul. Ta sœur aime me le faire et j’aime qu’elle me le fasse. Tu peux y aller. Toi je vais te bouffer le cul. Je lui enfile ma langue dans sa chatte baveuse, j’y mets un doigt, puis deux. Je la lime de mes trois doigts maintenant enfoncés. A chaque coup, des petites gouttes de cyprine tombent sur mon visage. De temps en temps je vois son cul s’ouvrir légèrement. C’est un appel. Je lui introduis mon pouce dans l’anus. Elle est surprise.

Ah oui tu veux jouer à ça ? Tiens que dis-tu de deux doigts dans le fion ?

Mmmmaaah !!! C’est bon, elle me fait jouir la garce. Ca bouche me pompe de plus en plus. Je sens le point de non-retour arriver. Je me concentre pour retenir mon éjaculation. Mais son massage de prostate me fait venir de plus en plus.

J’ose ou je n’ose pas, je retire mes doigts de son anus. Et je me concentre, je me détends tout en continuant à le masturber, son gland en bouche.

Que fait-elle ? Je la sens concentrée.

Ça y est ça vient, une goutte, puis deux puis

Un jet chaud ! Mmmmmhhh ! C’est bon, j’ouvre grand la bouche, elle me pisse dessus, j’éjacule à grand flot dans sa bouche.

Le salop, il lâche toute sa purée. Elle est épaisse. J’avale tout. Et en même temps je me force à pisser le plus fort possible afin de l’inonder.

Tu ne crois pas que je vais en perdre une goutte. Je vais tout te boire ma cochonne.

La source finit par se tarir. Je me relève et vais l’embrasser sur la bouche. Encore avec un peu de son sperme sur mes lèvres. « Ça t’a plu ?

– Oui beaucoup, et toi ?
– J’adore ton sperme. Il a des tendances sucrées, épais en bouche, bien visqueux. C’est dur de l’avaler mais que c’est bon de le sentir couler dans ma gorge. J’espère que nous aurons l’occasion de nous amuser un peu cette semaine. J’ai bien envie de tenter quelques trucs cochons avec toi. Si ça te dis…
– Oh là ! Calme toi ma petite. Ta sœur arrive tout à l’heure. Ce n’est pas gagné.
– Débrouille-toi ! Dégage toi du temps, je peux me retenir de pisser rien que pour ta belle gueule.»

Sur ce je me lève, reprends ma nuisette et mon programme TV. Je m’enferme dans la salle de bain et prends une douche.

Pffouuu, quelle fille, elle est aussi chaude que sa sœur. Sinon pire. Il ne me reste plus que sa jumelle. Les deux en même temps, ce serait intéressant.

Je prends ma douche. Je suis surprise de ce que j’ai fait avec Antoine. Comme ça. Sur un coup de tête. Je m’en veux. Mais depuis que j’ai 17 ans, je fantasme sur lui. Combien de fois je me suis masturbée en me frottant le clito sur mon traversin. J’adorais caresser ma chatte le plus doucement possible. J’ai toujours adoré gouté ma cyprine et mes expériences ondiniste ont commencé depuis peu.

C’était cet hiver au mois de février. J’avais exceptionnellement cours d’histoire contemporaine un samedi matin. Du coup j’étais resté le vendredi soir sur Angers à mon appart. Plutôt que de m’ennuyer toute seule, j’avais décidé de me faire une toile. J’avais choisi la séance la plus tardive. J’y étais allée à pied. Il faisait si froid ce soir- là qu’avant de partir je m’étais réchauffé avec un bon bol de thé. Le froid était assez piquant. Tout en me dirigeant vers le cinéma, je passe devant une boîte de nuit. Plutôt un club privé. Aux dires de mes copines de promo, ce serait une boîte mélangiste. Ce qui est assez troublant c’est qu’en passant devant je vis une de mes profs y rentrer avec un homme. Elle était court vêtue avec un gros manteau. Elle allait certainement prendre du bon temps. A l’époque, j’étais très curieuse sexuellement. Ce genre de club m’intéressait mais me faisait peur en même temps. J’arrivai au cinéma. Je choisis un film d’action banal, pas besoin de trop réfléchir. Nous n’étions pas si nombreux que cela dans la salle. La projection commence. N’ayant pas plus de spectateurs qui arrivent, je décide de monter au dernier rang. Je me place au milieu et me laisse prendre par le film. Quelques dizaines de minutes plus tard, mon thé bu avant de partir, commençait à me titiller la vessie. Bien qu’il n’y ait personne sur ma gauche comme sur ma droite, rien ne m’empêchait de me lever pour aller aux toilettes. Mais non. Je reste devant mon film et je libère un peu ma vessie. Pour essayer. Pour la première fois. Mon cœur battait. Je n’osais pas. Anne, ma copine de promo qui logeait en cité universitaire m’avait racontée ses petits accidents volontaires ou non. Depuis j’étais intriguée.

Du coup, là, sur mon siège de cinéma, dans la pénombre, entre deux coups de feu et quatre morts, oui oui avec deux balles, le héros du film tue quatre personnes, et bien j’ose. Je me lâche. Je me pisse dessus comme une petite souillon. Je sens l’urine chaude mouiller ma culotte, mes fesses, mon pantalon. Le siège absorbe l’urine. Les odeurs me montent au nez. J’ai un peu peur que les autres spectateurs s’en rendent compte. Mais non. Je suis perturbée. Que c’est bon… ! C’est divin. Cette sensation de chaleur vous couler le long des cuisses et entre les fesses.

Je restai planter là sur mon siège. Les fesses au chaud puis très vite au frais. Une fois le film fini, j’ai attendu d’être la dernière à sortir de la salle. Je mis mon manteau. Il était suffisamment long pour cacher l’auréole de mon pantalon. Je rentrai à mon appartement assez rapidement. En repassant devant la boîte mélangiste, j’ai eu une pensée pour ma prof. Pratique-t-on ce genre de choses dans ce club ? Le vent frais assez cinglant, me donnait froid aux fesses. Arrivée chez moi, je me déshabillai et entamai une longue et tendre masturbation clitoridienne avec ma culotte imbibée d’urine. La sensation était divine. Mon orgasme fut intense. Epuisée je m’endormis en gardant ma culotte.

« Eh Oh ! Tu dors sous la douche ?
– Hein ? Non j’étais plongée dans mes pensées.
– Puis – je rentrer ?
– Oui Claire vas-y »

Manifestement ma sœur jumelle venait de rentrer de soirée. A onze heures du matin. Je ferme les robinets, ouvre la porte de la douche et sors nue devant ma sœur.

« Tiens, tu es passée à l’intégral ?
– Oui de temps en temps, j’aime bien. »

Je prends mon peignoir et l’enfile. Ma sœur a une mine plutôt fatiguée.

« Dure soirée ? Vu la tronche que tu as-tu n’as pas dû dormir des masses ?
– Un peu, je vais siester cet après-midi pour reprendre du tonus. Ce soir on fait une représentation à la salle des fêtes.
– Ah ? C’est rare que les groupes locaux y soient conviés à ce repas. En général ce sont les groupes étrangers ou lointains qui profitent de cette soirée.
– Oui mais c’est le Comité des Fêtes qui nous a demandé de faire une représentation ce soir. Par contre, nous ne sommes pas conviés au repas. La salle est déjà à plus de 700 personnes.
– Et cette nuit, tu l’as passé où ?
– Dans un des chalets du camping de Ribou.
– Quoi ?!
– Oui je me suis laissé embarquer par deux allemands de la Guggen Musik arrivée hier soir.
– Deux allemands… ? Deux types ?
– Non un couple.
– Et ?
– Ben…Surprenant et étrange.
– Raconte !
– Après la remise des clés symboliques de la ville aux reines du Carnaval, il y a toujours le vin d’honneur. J’ai sympathisé avec eux. Me demande pas leur prénom. Ils sont imprononçables. Toujours est-il que la bière aidant, la fille à commencer à me peloter les miches sur l’air de la rigolade devant son mec. Il n’avait pas l’air de s’en offusquer. Du coup, je lui ai mis la main à la chatte histoire de voir sa réaction. Et elle m’a répondu en anglais « ok , come with us tonigth ». Tu me connais ? Après la soirée et quelques litres de bières enfilés par mes allemands je les ai suivis. C’est un bus de la ville qui les ramenait au camping. Il y avait toute la troupe. Il y avait une de ces ambiances dans le bus. Ils sautaient à tout va et en même temps dans le bus. J’ai même eu peur qu’ils cassent le plancher. Enfin bon. On arrive au camping et chacun se sépare dans les différents chalets.
– Ils devaient être quatre par chalets non ?
– Plus ou moins. Certains, en couples, étaient entre eux. Sinon c’étaient des chalets soit masculins, soit féminins. En tous cas, moi j’ai suivi mon couple allemand qui était seul dans le leur.
– Et ?
– Ils ont enlevé tous les deux leurs costumes, la nénette n’avait rien d’autre sur elle. Lui aussi d’ailleurs. A poil tous les deux. Il a été dans la chambre, il a ramené un matelas et son caméscope. Il m’a donné le caméscope et d’un signe de tête il m’a fait comprendre qu’il voulait que je filme.
– Ah oui ?
– Il s’est allongé sur le matelas. Sa copine est venue vers lui, elle s’est tournée dos à lui, s’est penchée et à commencer à lui pisser dessus. Et vu la quantité de bière qu’elle avait ingurgité, ça n’en finissait pas. J’étais tellement surprise que je ne suis même pas sûre d’avoir filmé.
– T’as rien fait avec eux du coup, tu as juste filmé ?
– Je suis restée scotchée, jamais je n’avais vu ça auparavant. Ça ne me serait jamais venu à l’idée. Alors ensuite le mec, qui bandait comme un cochon à commencer à enculer sa nana. Il voulait que je filme en gros plan. Du moins c’est ce que j’ai compris. Mais me rapprocher aussi près du cul cette allemande, alors qu’elle n’avait même pas fait un brin de toilette, et bien ça m’a dégouté. J’ai lâché le caméscope et me suis barrée.
– Tu me surprends. T’es pas si prude d’habitude.
– Oui ho eh ! C’est bon. Ce n’est parce que je suis volage sexuellement et que j’aime bien les coups de bite que je dois passer à ce genre de truc. Enfin c’est pas jojo quand même…
– Ne me dis pas que tu n’as jamais fait pipi sous la douche ou dans la mer.
– A la mer oui, sous la douche non.
– Tu sais quoi ma cocotte, je vais t’apprendre un truc »

Tout en lui en parlant je m’étais habillée. Et j’avais pris le soin de me glisser mon petit doigt gauche dans mon anus tout propre sans que ma sœur s’en aperçoive. Du moins je pense.

« Vas –y tu m’intéresses…me dit Claire,
– Non pas un truc mais des trucs.
– Mais quoi ?
– Quelle heure est-il ?
– 11 h 45.
– Une virée à la piscine ça te dit cet après-midi ?
– Pour quoi faire ?
– Ben dans un premier temps, apprendre à pisser sous la douche.
– Et dans un deuxième temps ?
– Y prendre du plaisir !

– Salut les Morues, comment vont mes petites pestes chéries ? »

11 h 50 : Notre grande sœur Chloé arrive de Nantes. Toute la famille est réunie. La semaine du Carnaval peut commencer.

A suivre…

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4 réponses à Carnaval 2 – Cholet par Caroline49

  1. Biquet dit :

    Parce que il faut un apprentissage pour pisser sous la douche ?
    Je rêve !

  2. James_Lecul dit :

    Moi je suis plutôt d’accord avec Kiroukou, C’est un vrai fouillis, on passe du coq à l’âne, les dialogues ne sont pas travaillés, ce qui fait que tout l’érotisme potentiel du récit passe à la trappe

  3. melan_esteban dit :

    délicieusement pervers

  4. Kiroukou dit :

    Une déception ! Surtout après ce très bon 1er épisode ! Là, ça part dans tous les sens, c’est décousue, les dialogues ne sont pas travaillés, à ce point qu’on ne sait plus qui parle, ni qui fait quoi !
    Serait-ce le syndrome du second récit (on dit souvent que le second récit d’un auteur est toujours mauvais. J’explique, dans un premier texte un auteur veut mettre le meilleur de lui-même, ses fantasmes, ses images qu’ils s’est forgé depuis très longtemps dans la tête. S’il sait rédiger ce sera bon, le second, c’est la texte de rattrapage pour dire ce qu’on a mis dans le premier, ou pour insister sur certains points, ce sera donc inférieur. En principe après un second texte, l’auteur restructure ses personnages et repart dans le « bon ».

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