Carnaval 1 – Le train de la débauche. par Caroline49

Carnaval
1 – Le train de la débauche.
par Caroline

Vendredi 13 avril 14 h 15 :

« Allez avance, je vais rater mon train, bouge, bouge »

Il n’avance pas ce bus et dire que l’heure tourne. Si je rate ce train je suis foutu, je n’arriverai pas avant que mes parents partent pour l’ouverture des festivités. Ca y est je vois la gare et enfin l’arrêt de bus. Je me presse, manque de tomber en descendant, et me dirige à toute allure vers l’entrée de la gare. Me voilà dans le hall central pour repérer le quai de départ sur le panneau d’affichage.

« Ding dind ding, le train numéro 7769 en provenance de Paris et à direction de Nantes, arrivée initialement prévue à 14 h 30 est annoncé avec un retard de dix minutes environ ».

Ouf ! Je vais pouvoir souffler. Je prends le temps de composter mon billet et je me dirige vers le quai. Mes pensées commencent à divaguer sur cette soirée d’anniversaire. J’arrive au quai. Courir m’a donné chaud. Je prends deux cannettes de soda sans bulle au distributeur présent sur le quai et les bois d’une seule traite.

Ah le train ! J’ai toujours aimé ce moyen de transport. Si je le peux, je fais toujours en sorte de prendre un train corail ou un trans régional. Histoire de profiter des rails. Le TGV est plus cher. Plus rapide mais pas les mêmes sensations. J’adore l’odeur des gares, cette odeur de goudron utilisé sur les traverses en bois qui maintiennent les rails. Et quand il fait chaud comme ce vendredi du mois d’avril, les odeurs sont décuplées.

« Eloignez-vous de la bordure du quai s’il vous plaît »

Tiens je n’ai même pas entendu l’annonce, perdue dans mes pensées, le crissement des freins, le train s’arrête, je me dirige de suite vers les voitures de queue. Super ce sont des compartiments. J’attends un peu que le train se remplisse pour voir dans quelle voiture se dirigent les voyageurs. Il faut dire que nous ne sommes pas nombreux à cette heure-ci. Du coup je suis la seule à monter dans la voiture de queue. Je me dirige vers le dernier compartiment. J’y pose mon sac et me dirige de suite vers la porte arrière. Celle qui permet de passer d’une voiture à une autre, mais comme c’est la dernière, je vois les rails.

Le train s’élance. Et les rails commencent à défiler derrière moi. J’adore !

Je n’ai jamais vraiment trop compris pourquoi j’aimais tout ce qui touchait au milieu ferroviaire. Aucun membre de ma famille ne travaille à la SNCF. Je pense que cet amour ferroviaire est né d’un salon du modélisme dans ma ville, où j’avais vu des réseaux miniatures. Depuis j’ai toujours aimé le train et tout ce qui s’y rapportait. Tiens un TGV double rame nous croise sur l’autre voie, presque 500 mètres de longueur. Et le coup de trompe deux tons qui va avec.

Je me laisse repartir dans mes pensées. Que m’est-il arrivé ?

Hier soir, c’était l’anniversaire de Marion. Une amie connue au collège qui depuis habite dans le Loiret. Son père s’était déplacé pour raisons professionnelles. Et ils y étaient restés. Marion m’avait invité pour arroser ses 19 ans. En petit comité pour un jeudi soir. Comme j’étais en vacances scolaire, cela ne me dérangeait pas. Son père est le patron d’une très grosse entreprise de maraîchage. Il a une usine de conditionnement de légumes en carton ou en barquettes, et travaille avec beaucoup de producteurs locaux. Leur maison était située en pleine campagne, à côté de l’usine. Une grande haie de thuyas délimitait toute la propriété et un petit trou dans la haie permettait de se rendre tout de suite à l’usine. La maison était très grande sur trois niveaux. Et son père, manifestement très aisé, venait de finir de faire couvrir sa piscine avec un abri télescopique. L’abri étant lui-même relié à l’immense véranda qu’ils avaient fait montée l’année dernière. Cela permettait ainsi de se servir de la piscine l’hiver, en passant par la véranda, vu que tout l’ensemble était chauffé par géothermie.

Je suis arrivée chez Marion en taxi, le jeudi en début de soirée vers 19 heures.

« Carole ! Ouaouhh !! Ça me fait plaisir de te voir. Ça faisait longtemps dis donc. Tu as fait couper tes cheveux ?
– Bonjour Marion ! Cela faisait un moment que j’hésitais à passer au carré plongeant.
– Ça te va à ravir, et avec tes mèches en plus. C’est toujours Alicia qui te les fait ?
– Oui, elle bosse avec sa mère maintenant et je pense qu’elles veulent agrandir le salon »

Tout en discutant de choses et d’autres, de banalités, nous nous dirigeons vers la véranda. L’entreprise de menuiserie venait de finir de monter l’abri télescopique la veille, et les ouvriers finissaient d’évacuer les déchets du chantier.

«Sommes-nous nombreux ce soir pour ton anniversaire ?
– Non, ma cousine Elodie, mon frère Vincent, et Séb un des ouvriers qui a monté l’abri, j’ai sympathisé avec lui. On se fait des grillades et filera en soirée étudiante. Il y a un tonus infirmières ce soir.
– Ah ok cool, on devrait passer une bonne soirée.
– Tu veux peut-être faire un brin de toilettes avant le début de la soirée ?
– Oui, je veux bien.
– Monte dans la chambre d’Angélique, tu y dormiras de toute façon et tu peux prendre sa salle de bain.
– Ta petite sœur n’est pas là ?
– Non elle est en voyage scolaire avec toute sa classe de première, elle ne rentre que samedi matin.
– OK ! Je monte me préparer. A tout à l’heure »

Ah, les chambres d’ados. Des posters aux murs, des photos des copains et des copines, et des cadeaux enfantins car on refuse toujours un peu de grandir.

Je défais une partir de mon chemisier, et commence à dégrafer mon jean, la chaleur présente m’avait bien fait transpirer et j’aimerais prendre une petite douche. La salle de bain est immense, une baignoire d’angle, une grande douche à l’italienne avec le ‘’truc’’ de douche incorporé dans le plafond. Je l’avais vu dans un catalogue. 5000 euros pièces. Pfff, c’est n’importe quoi… J’hésite. Douche ou bain ?

Je pars sur le bain. J’ouvre les robinets, et commence à me déshabiller en totalité. Je cherche dans les tiroirs une serviette de bain et un peu de bain moussant. Je prends dans ma trousse de toilette, de quoi me faire un shampoing et de quoi m’épiler. J’ai bien envie de mettre ma jupe si nous allons en boîte ce soir.

Je fouille dans le tiroir du bas pour chercher un gant de toilette et oh ! Surprise. Angélique n’a beau avoir que 16 ans elle apprécie déjà le travail du sex-toy. Et du gros calibre en plus. Je le prends avec moi dès fois qu’une fois rendue dans le bain… Je suis maintenant presque nue, je n’ai plus que mon shorty et mon soutif. Et je me laisse aller à un petit plaisir perso. Je vais dans la douche, je sers les jambes, mets une main à mon entrejambe et je me pisse dessus.

C’est chaud, c’est bon c’est odorant, le bruit du pipi sur le sol de la douche et les petites gouttes qui éclaboussent sur les parois me font toujours autant d’effet. Une fois ma vessie vide, j’enlève mon shorty et le porte à ma bouche pour en boire les quelques gouttes ruisselantes. Je sors de la douche, et me dirige dans le bain.

Je me détends.

« Billets s’il vous plaît !
– Hein ? Ah oui pardon. Tenez.
– Vous êtes seule ?
– Oui, j’aime bien regarder les rails.
– Ce sont vos bagages dans le compartiment d’à côté ?
– Oui j’ai toujours un œil dessus »

C’était une contrôleuse 25-30 ans, en pantalon tailleur. Une jolie brunette aux yeux verts, coiffée d’une belle tresse indienne. Plutôt bien foutue la nénette. Son chemisier est légèrement dégrafé et je peux y distinguer une poitrine qui me chauffe la culotte, et un soutien lolo tout en dentelle noire et rouge. Une contraction me prend tout le bas ventre. « Oh ma pauvre, ta soirée ne t’a pas arrangée » Elle me rend le billet et me pose une question dont elle avait déjà la réponse puisqu’elle avait lu le billet :

« Vous descendez où ?
– A Angers et je prends une correspondance ensuite.
– D’accord, je reviendrais vous voir tout à l’heure, j’aurais un petit service à vous demander. »

Un service ? Oh là…je m’attends au pire. Elle s’éloigne et passe la porte pour rejoindre la voiture suivante. Je me lève de mon strapontin et vais m’allonger sur une des banquettes de mon compartiment. C’est plus confortable. Je regarde ma montre. Encore une heure trente de route. Ou de rails, ou de trajets. Au choix. Inconsciemment, je me mets une main dans la culotte et pose mon majeur sur mon clitoris. Je repense à cette soirée.

J’avais préparé le gode ‘’big model’’ sur le bord de la baignoire et j’hésitais sérieusement à m’en servir. Je me lave les cheveux me savonne, et je m’assieds sur le bord de la baignoire afin de m’épiler les jambes.

« Je peux entrer ?
– Oui Marion, rentre.
– Oh, pardon excuse-moi
– Tu m’as déjà vue à poil, c’est bon.
– Non mais je vois que tu avais l’intention de te faire du bien vu ce qui est sur la baignoire.
– Ce n’est pas le mien, c’est ce…
– …lui de ma sœur. Oui je sais. Elle en a une petite collection. C’est moi qui lui achète. Elle ne sait pas encore comment se situer sexuellement. En ce moment elle est plutôt lesbienne.
– Et toi, Marion ?
– Moi ? J’aime la bite et la chatte »

Nous explosons de rire toutes les deux. Tous en discutant de banalités, des copines, de musiques et d’autres goûts cinématographiques, je commençais à me mettre de la mousse à raser sur le sexe, les jambes bien écartées devant elle.

« Tu te fais le maillot en intégral ? me demande-t-elle.
– Ca dépend, des fois oui, des fois non.
– Et là ?
– Tu veux quoi ?
– Intégral. Je te rase si tu veux.
– Ok »

Elle prit mon rasoir et d’un geste délicat elle commença à passer sur mes lèvres. Elle écartait de façon attentionnée afin de ne pas me couper. Puis elle attaqua mes poils sur mon mont de Vénus. Finement, tendrement, elle enleva le moindre petit poil de mon sexe. Elle me rince avec l’eau du bain et pose un délicat baiser juste au-dessus de mon clito. Je pose mes mains sur sa tête et la force à aller plus bas.

« Lèche –moi !
– Pardon ?!
– Rappelle-toi de ce que nous avons osé il y a quelques années… Lâche-toi… !
– Oui, je vais te bouffer le con, ma chienne »

Ces mots me font frémir, ma chatte se remplit de chaleur et de cyprine. Sa langue est déjà bien enfouie en moi. Elle me lèche littéralement, je sens sa langue qui se fraie un passage dans mes muqueuses. Avec sa main droite, elle vient me pincer le téton droit, je gémis. Je me laisse aller à ses attouchements. Sa langue est chaude. Elle se retire de mon sexe et vient m’embrasser à pleine bouche. J’adore le goût de ma chatte. Quand je me masturbe, je ne peux me passer de me lécher les doigts. Tout en tournant sa langue dans ma bouche, elle met son majeur gauche dans mon sexe au plus profond possible et me masturbe le fond du vagin. Elle sait que j’y suis sensible. Ceci me fait mouiller encore plus. Elle retire son doigt gluant, et le présente à la porte de mon anus. Elle l’introduit assez vivement mais sans me faire mal. Tout en me doigtant le cul, elle retourne me bouffer la chatte. Ses mouvements de va et vient dans mon cul, et sa langue dans mon con me font monter très vite. Je finis par pousser un râle très rauque, en même temps que je sens tout mon bas ventre se contracter. La vache, quel pied. Elle retire son doigt et elle le porte à ma bouche.

« Nettoie ça Salope !
– Mmmmmhhh… Délicieux. »

Nos expériences saphiques étaient nées durant notre année de troisième au collège. Lorsque nous étions partis au collège en Angleterre et que nous logions dans la même famille d’accueil.

« Ca faisait longtemps n’est-ce pas, me dit-elle ?
– Quoi ? Nous deux ? Un an, un an et demi…
– Je n’ai toujours pas compris pourquoi entre nous, nous avions un langage aussi bestial.
– Par jeu, ou par plaisir, par passion. Je ne sais pas. Tiens ramasse le gode de ta sœur je n’en ai pas besoin…Quoique, non ! Laisse là, des fois que mon cul en aurait envie.
– Je vais me préparer moi aussi.
– Oui je te rejoins en bas tout à l’heure »

Sonnerie deux tons. Elle me surprend. J’ouvre les yeux et un train de fret nous croise. Je compte machinalement les wagons. Vingt-trois, c’est un beau convoi. Mon doigt est rendu bien loin dans mon sexe. Repenser à cette soirée me donne manifestement des envies. Je referme les yeux.

La soirée d’anniversaire s’est bien déroulée. Petit repas sympa entre nous tous pour finir comme prévu en tonus étudiant, spéciale soirée infirmière. J’ai toujours fantasmé sur ces étudiantes infirmières, qui pour certaines, vraiment chaudes du cul n’avait manifestement rien sous leur blouses. J’en ai même surpris une en train de se faire enculer dans les WC par un jeune étudiant noir manifestement bien membré.

Durant la soirée en boîte, il ne s’est rien passé de particulier. La musique était plutôt électro. Pas celle qui passe sur nos ondes, pas les morceaux formatés de trois minutes. Non des morceaux d’un artiste argentin, dont je n’ai pas retenu le nom mais qui mettaient énormément d’ambiance.

Quatre heures trente du matin. Marion, son frère Vincent, Séb (l’ouvrier de l’abri de piscine) et moi rentrons à la maison. Sa cousine Elodie avait manifestement mis la main sur la bite du noir bien membré des toilettes et était reparti avec lui et un de ses copains. Je plains ses orifices. Marion nous dit :

« Je vous laisse, je vais me coucher, je suis claqué. Vous pouvez aller dans la piscine si vous voulez.
– Oui pourquoi pas dit Séb
– C’est une bonne idée dit Vincent. »

Par flemme de remonter jusqu’à ma chambre pour aller chercher mon maillot de bain (que j’avais prévenu d’emmener), je me dirige vers le local chaufferie de la piscine. Une petite dépendance de la maison où est situé tout l’aspect technique de la piscine, un vestiaire une douche et un WC. Je me dirige vers le banc, commence à me déshabiller pour rester en shorty et en sous-tif. Séb arrive à ce moment-là et s’excuse de me voir ainsi.

« Je veux aller pisser, ça urge.
– Je t’en prie »

Le problème, ou l’avantage au choix, c’est que tout est dans la même pièce. La douche, le vestiaire et les WC.

« Je ne vais pas pisser devant toi, me dit-il.
– Oh que si, et je vais même te la tenir (ah l’alcool…. !!!)
– T’es malade
– Allez Séb, montre-moi ta queue, je te dirais qui tu es »

Je me dirige vers lui, je me mets à genou et déboutonne son pantalon. Sa queue est gonflée. Mais pas bandante. Il a tourné à la bière toute la soirée, et manifestement son envie d’uriner est urgente.

« Arrête je vais te pisser dessus !
– Oui vas-y ! Pisse-moi dessus ! »

Et là ne retenant manifestement plus sa miction, il commence à uriner devant moi. Je prends son sexe en main et le dirige sur ma poitrine, entre mes seins, toujours dans leur soutien-gorge. L’odeur de l’urine chaude envahit la pièce et le bruit du clapotis sur la faïence me chauffe la minette.

Le roulis du train m’excite, je me masturbe de plus en plus, mon doigt sors de ma chatte pour essayer de se frayer un chemin vers mon anus. J’écarte les jambes. C’est d’autant plus facile que je suis en jupe.

Il n’en finit plus de pisser, je suis couvert de son jus. Enfin la source se tarit. Il est subjugué de mon geste. Je sors de la pièce et croise au passage Vincent qui nous avait vus :

« Quoi ? Ça te fait bander mon salaud ? T’as vu la trique que t’as dans ton froc ? Tu veux que je te pompe ? Baisse ton calebute de bain et donne-moi ta bite ! »

L’ordre était donné sur un tel ton impératif qu’il ne pouvait qu’obéir. Il baissait son caleçon de bain et j’engouffrai sa queue gonflée au gland violacé dans ma bouche. Je lui pompais le dard comme jamais il ne se l’était certainement fait pompé. A 22 ans, tellement accaparé par ses études, je doute qu’il ait le temps de prendre du bon temps.

Pour en profiter encore plus, je mouille mon index gauche et lui fourre dans le cul afin de lui masser la prostate. Manifestement il aime ça le cochon. Ses gémissements me préviennent qu’il est sur le point de libérer sa semence que j’espère abondante. Un « ahhh » et un premier jet salé me fouette le fond de la gorge. Puis deux, puis trois, je ne les compte plus. Je prends tout en bouche et le pompe jusqu’à la dernière goutte. Je n’avais pas remarqué, concentrée à mon affaire que Séb s’était assis à côté de nous sur un transat au bord de la piscine. Je retire ma bouche de la bite de Vincent. Il était là debout devant moi, les yeux fermés et toujours avec mon index gauche en train de lui masser la rondelle. J’enlève mon doigt, et je me dirige vers Sébastien pour lui rouler une pelle monumentale, ma bouche remplie du foutre de Vincent. Il ne rechigne pas le cochon. Nos bouches crémeuses et épaisses ne font plus qu’une. Nos langues se farfouillent mais je finis par en avaler la plus grosse partie.

Je finis par plonger dans la piscine afin d’en profiter laissant mes deux comparses sexuels comme deux cons, l’un la queue à l’air, pendouillante, l’autre, l’air ahuri, cherchant à comprendre encore ce qui venait de lui arriver, avec du sperme sur les lèvres. Je fis quelques longueurs pour finir de me décontracter. Puis je finis par remonter dans ma chambre pour m’allonger nue sur le lit. Je repense au gode ‘’big model’’ d’Angélique, la petite sœur de Marion, toujours posé sur le bord de la baignoire. Mais je suis trop exténuée pour tenter quelque chose.

Ma chatte est en feu, je viens d’avoir quelques contractions anales à cause de mon doigt qui fait des va-et-vient.

« Rmmh Rmmh…Excusez-moi de vous dérangez mais… »

C’est la contrôleuse qui me fait reprendre mes esprits. Quelle situation. Je suis allongée sur la banquette du compartiment, la jupe relevée avec un doigt dans le cul et en train de me frotter le clito avec l’autre main. Je retire mon doigt et le porte à ma bouche comme toujours.

« Viens avec moi » me dit-elle.

Je me lève et je rabaisse ma jupe. Je la suis à l’arrière de la voiture au niveau des toilettes.

« Ne t’inquiètes pas, j’ai fermé la porte de la voiture, personne ne peut y entrer, il n’y a que toi et moi ici. Je suis claustrophobe, et je ne peux pas aller aux toilettes sans ouvrir la porte. En plus je veux que quelqu’un soit à côté de moi près de la porte. Vu comment je t’ai surprise en train de te faire du bien je doute que tu sois outrée de ma demande.
– Sans problème »

Elle enlève ses chaussures, baisse son pantalon et surprise, pas de sous vêtement, mais un plug anal coincé profondément dans son cul.

«Je vois que vous savez vous donner du plaisir aussi »
– Oui, de temps en temps je me fais plaisir. Les balancements du train me donnent des sensations incomparables. Parfois j’utilise même un chapelet de petites boules. Il m’arrive de me caresser dans un compartiment ou dans un soufflet entre deux wagons. Je propose même une petite pipe à certains contrevenants.
– Carrément ?
– Oui, mais je dois ressentir un bon feeling. Cela m’est arrivé, trois…quatre fois.
– Et là qu’attendez-vous de moi ?
– Que tu me mates dans un premier temps, et après, vu ta débordante pudeur je te laisse libre de tes choix.
– Libre de mes choix ? D’accord !

Je m’agenouille et m’approche de son sexe épilé de frais. Ses lèvres sentent le jasmin. Je lui ouvre la chatte avec mes doigts et approche ma bouche. Avec ma main gauche je prends l’extrémité de son plug anal et commence à faire des va-et-vient légers dans son cul. Elle gémit. Je lui ordonne

« Vas-y, Pisse ! »

Et un jet dru vient gicler dans ma gorge. C’est salé, c’est chaud, c’est bon. Ma bouche déborde, j’avale. La pisse tombe par terre et commence à ruisseler en dehors des toilettes puisque la porte est ouverte. Un nouveau TGV nous croise. Sonnerie deux tons. C’est bon. Je retire d’un coup sec son plug anal. Ça lui fait mal. Cela la fait crier. Cela la fait jouir. Ma langue s’enfouit encore plus loin dans son sexe. Elle me prend les cheveux, me les tire. Elle me traite de petite putain de salope. Elle m’excite. Je lui remets son plug d’un coup sec. Comme un coup de bite. Et le retire aussi sec. Sa source dorée se tarit. Ses contractions montrent qu’elle jouit. Elle pousse du périnée pour prolonger les sensations. Elle pousse tellement qu’un étron sort de son cul et tombe par terre, en faisant un’’ shploc’’.

« Ououhhh !!! Quel pied »me dit-elle.

Elle me lâche les cheveux. Je suis mouillée des pieds à la tête de sa pisse odorante. J’ai toujours son plug dans la main gauche. Je le porte à ma bouche. Le lèche et lui remets dans le cul.

« Laisse la merde par terre, me dit-elle, je vais condamner les toilettes et tout sera nettoyé à Nantes, au terminus du train »

Elle se rhabille, me dépose un léger baiser sur le front et me laisse comme une conne, pleine de pisse, à genoux dans la partie arrière de la dernière voiture du train 7769.

Je retourne dans mon compartiment. Je me déshabille. Je suis nue. J’écarte les jambes et me laisse aller moi aussi à un pipi à cause de mes deux sodas glacés bus sur le quai tout à l’heure. La pisse coule partout. Je prends mes affaires, je vais dans le compartiment d’à côté. Heureusement que j’avais dans mes affaires une tenue de rechange et des lingettes afin de me laver un peu pour ne pas trop sentir l’urine.

Une fois à peu près propre et rhabillée, je me dirige vers l’avant du train pour passer dans une autre voiture, je me retourne, la pisse coule dans le couloir. Et j’imagine l’odeur de l’étron de la contrôleuse au loin. Mon sexe me chauffe à nouveau. Je lâche un petit jet de pipi dans ma culotte histoire de me mouiller un peu car ma vessie n’était pas vraiment vide.

Je passe dans l’autre voiture. Je vois ma contrôleuse qui fait son travail comme si de rien n’était. Je m’assieds à côté d’un papy qui lisait un magasine sur des montages électroniques. La contrôleuse vient vers moi et me dit

« Est-ce vous qui étiez aux toilettes ? Puis -je avoir votre billet s’il vous plaît ? »

La maline… Elle me prend mon billet, fait semblant de le poinçonner et semble y indiquer une série de chiffres. Certainement son numéro de portable. Elle me redonne mon billet- oui c’est bien son numéro de téléphone. Je finis par m’endormir. Pas très longtemps, mais suffisamment pour reprendre ses esprits. Le train arrive en gare d’Angers. Je n’ai que dix minutes d’attente pour prendre ma correspondance pour Cholet. Dix Minutes ? Je vais peut-être reprendre deux sodas…

A suivre…

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6 réponses à Carnaval 1 – Le train de la débauche. par Caroline49

  1. Hortense dit :

    J’aurais bien pris, moi aussi la train de la débauche, mais en ce moment avec la grève des trains c’est pas possible

  2. cochon dit :

    Ça change de ceux qui nous imposent des lavements dans leur récits

  3. Werber dit :

    j’adore, c’est « sale » sans être crade ! Sans être réellement scatophile, c’est le genre de pratique qui m’interpelle quand je suis bien excitée.

  4. gangler dit :

    Putain quelle ambiance, la scène des toilettes du TGV est géniale

  5. Claire dit :

    J’aime bien Caroline parce qu’elle ose tout et avec quel talent !

  6. Kiroukou dit :

    Récit vedette de la semaine et il le mérite. Ne cherchez pas le réalisme, c’est du délire. Le ton est jubilatoire, l’écriture est assumée et c’est vassilien en diable. On s’amuse bien, ça réveille la libido et on passe un bon moment de lecture, et c’est à suivre. Que demande le peuple.

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