Belle complicité à trois dans les dunes par Libmax

 

Belle complicité à trois
dans les dunes
par Libmax


L’océan, cette immensité d’or et d’argent qui s’étalait à perte de vue, Naïs en avait rêvé. Et voici qu’enfin, main dans la main avec son doux amant elle pouvait, aujourd’hui, humer l’air des embruns et se laisser gagner par toutes les perceptions sensuelles que cette plage lui proposait comme un mets richement élaboré et présenté sur un plateau d’argent. Elle aimait tout particulièrement « Les Moutiers »

– Venez, mon amour, allons du haut des dunes couvertes d’ajoncs, crier notre bonheur aux éléments.
– Accompagne-nous, Chris, nous serons seuls au monde à cette heure vespérale sur ces dunes désertes.

Chris, qui avant passé ce week-end en leur compagnie, aller s’en retourner à Angers dès demain.

La journée avait été torride et l’air, à cette première heure du soir, se respirait maintenant avec délectation.

Après s’être extasiés tous trois à la vue des flots d’argent, ils décidèrent de s’allonger au creux d’une dunette, au plus haut du relief. Le sable était chaud, les ajoncs bruissaient imperceptiblement à la douce brise du soir.

Sans doute par discrétion et pudeur, Chris était allée s’allonger à quelques mètres en avant du couple et après avoir déroulé sa sortie de bain, elle entreprit d’ôter son soutien gorge afin de profiter au mieux du soleil sur sa superbe peau dorée.
Naïs et Loïs ne purent s’empêcher d’admirer le beau profil de leur amie et, surtout, ses seins généreux et parfaitement galbés qui s’offraient en toute impudeur aux rayons du soleil, à leurs yeux « intéressés » aussi…

Tous trois échangèrent un sourire coquin et s’allongèrent confortablement.

Ils avaient une belle et sensuelle complicité ces trois là, notamment depuis ce fameux matin où Naïs avait demandé à Chris, cachée à l’insu de Loïs derrière le rideau de la penderie de leur chambre, de filmer leurs étreintes (Voir Loïs 2)

Naïs et Loïs côte à côte, Chris, à peine plus loin, comme en position de guet, de spectatrice gourmande aussi, de ce qu’elle pressentait être un moment très érotique…

– Vous avez aimé voir mon amie, les seins nus, mon amour ? Elle est belle, non ?
– Oui, très belle. Elle est désirable et je crois que, comme moi, vous aimeriez beaucoup lui faire l’amour, non ?
– Donnez-moi votre main et laissons le soleil échauffer notre peau et nos sens, ma tendre Naïs.

Main dans la main, allongés sur le dos, les deux amants fermaient les yeux et goûtaient voluptueusement la caresse du vent sur leur corps.

Après quelques minutes, Loïs entreprit très lentement et très délicatement de caresser le corps de son amante. Comme sa peau était douce et terriblement troublante ! Il dessina ses jambes et s’amusa à les couvrir d’un léger voile de sable doré. Se tournant vers elle, il essaya de scruter son regard derrière ses lunettes de soleil et il perçut ses yeux souriants et confiants.

– Que vous êtes belle, ma douce amante ! Je vous désire intensément !
– Je vous aime à la folie, Loïs, murmura-t-elle de sa voix si douce et énamourée.

La main de Loïs s’approcha de la poitrine de son amie et entreprit délicatement de dessiner ses seins lourds qu’un soutien turquoise cachait mal et rendait si désirables. Avec une infinie lenteur, il entreprit alors de savantes caresses : il excita chaque pointe à travers le tissu complice et passa de longues minutes à pétrir très voluptueusement cette poitrine qui le troublait et l’excitait tant. Naïs souriait de bonheur…

– Je vous aime, mon doux amant ; j’aime vos mains sur mon corps ; j’aime votre regard amoureux…Que c’est bon !

Un doigt s’aventura sous un bonnet et entreprit une très lente approche de la pointe nue, maintenant érigée de désir des seins de Naïs. Puis, avec un raffinement absolu, Loïs entreprit de dégrafer le soutien mais s’abstint, de longues minutes encore, de mettre totalement à nu ces charmes qui ne demandaient qu’à s’offrir aux empressements de l’amant exalté.

Quand, enfin, il déposa le soutien à côté de Naïs, il se recula un peu pour admirer ce corps tant aimé.

– Mais, que vous êtes belle, ma chérie ! Comme je vous désire ! Vos seins me troublent passionnément.
– Je vous aime, mon tendre amant ; je vous donne mon cœur, mon corps et ma passion !

Un léger toussotement attira l’attention de Loïs vers Chris ; elle était assise sur ses talons, la poitrine arrogante et souriait aux amants avec un air de joyeuse complicité.

– Vous êtes beaux, mes amis ; n’ayez crainte de vous aimer, je fais le guet, O K ?

Ils ne répondirent pas mais échangèrent un sourire entendu et très sensuel. Leur désir montait en intensité en eux et ils se regardèrent longuement avant de poursuivre les préliminaires de ce qu’ils pressentaient comme un inévitable basculement dans le jeu des étreintes et des plaisirs…

Les seins de Naïs se prêtaient langoureusement aux savantes caresses de l’amant ; il les dessinait, les modelait, excitait leurs pointes, les mordillait…Naïs se pâmait d’un doux plaisir.

– Vous allez me faire l’amour, Loïs ? Ici, en pleine nature et au risque d’être vus ?

Chris nous regardera, cette fois encore, nus et enlacés ?

– Vous m’aimez ? Dites- le moi encore…
– Oh ! Vos mains, mon amour !
– Je vois que votre sexe s’excite et se dresse ; vous bandez pour moi, mon amant ?

En effet, Loïs sentait son émoi croître et prendre forme ; il bandait vigoureusement.

Il entreprit d’ôter le slip de bain de son amante avec les mêmes lenteurs et le même raffinement qu’il avait appliqués pour ôter le soutien gorge. Sa main commença par se glisser sous l’élastique, au niveau de l’entre jambes du slip et il laissa ses doigts experts cheminer. Il s’aperçut que sa partenaire était prête à l’accueillir et c’est sans peine qu’il put, de l’index, prodiguer les caresses les plus délicieuses et gratifiantes pour sa partenaire. C’était comme s’il demandait à sa main de reconnaître le « chemin du plaisir » que son sexe, maintenant pleinement érigé, ferait dans quelques minutes.

Il caressa aussi la riche toison de son amante

« J’ai la toison la plus dense et excitante qui soit, lui avait- elle écrit, avant que leurs corps n’aient fait connaissance »

Et, comme promis, elle lui avait adressé une photo d’elle, dans une position très suggestive mais visage caché.

« J’aime tant « tes » préliminaires, lui avait dit aussi, récemment, Naïs »

Lui aussi, s’en délectait avec bonheur :

– faire naître le trouble et le désir en regardant et en laissant vagabonder l’imaginaire (Je vais la déshabiller- je vais lui faire l’amour ainsi ou comme cela etc.)
– Frôler, toucher, caresser langoureusement le corps de l’amante avant de se l’approprier.
– Donner le plaisir avant de le recevoir.
– Explorer sans cesse cette féminité tant aimée.

Le slip de Naïs ayant rejoint le soutien, l’amante était maintenant nue, belle, désirable, alanguie.

Prenant conscience de cette nudité « inconvenante » en ce lieu, elle regarda instinctivement alentour, comme par crainte d’être vue ainsi par des intrus. Son regard croisa à nouveau celui de son amie Chris qui lui adressa un sourire troublé, coquin et encourageant.

Loïs prit conscience de ce trouble et de cette complicité toute féminine ; il décida alors, par plaisir, d’accroître l’émoi de Chris. Il se mit à genoux et, sans gêne apparente, il se défit ostensiblement de son slip sous les yeux des deux femmes.

Son sexe viril et puissant s’érigeait sans vergogne et c’est avec assurance qu’il s’en empara d’une main pour en souligner la troublante rectitude et imaginer l’espoir qu’un tel « objet de fantasme » pouvait faire naître chez les femmes qui le découvraient, là, en pleine nature.

Il fut très excité par le trouble de Chris et l’embarras de Naïs. C’était un côté exhibitionniste qu’il ne se connaissait pas jusqu’à ce jour.

– Mon amante, vous êtes troublante et je vais vous faire l’amour longuement ; vous voulez bien ?

Sans attendre de réponse, il se branla quelque peu, avec lenteur et mesure, sous l’œil troublé des deux femmes.

Ensuite, il prit la main de Naïs, l’invita à se mettre à genoux, face à son amie Chris et il entreprit alors de prodiguer de savantes caresses au cœur de sa féminité ainsi offerte à son regard troublé et à sa langue gourmande.

Naïs défaillait de plaisir ; ses seins lourds se balançaient au gré des mouvements ondulants de son corps ; Loïs s’en empara et les pétrit longuement.

Chris, n’en pouvant plus d’émotion, entreprit inconsciemment de se presser les seins d’une main ; elle commença à se caresser le sexe, par-dessus son maillot, de l’autre.

Tous trois étaient au comble du désir, de l’excitation amoureuse, du plaisir aussi.

Les deux amants regardaient Chris quand Loïs entreprit de pénétrer sa partenaire. Quel trouble et quelle émotion que de s’aimer face à un (une) ami (e) de confiance, complice et coquine.

Naïs, les genoux dans le sable chaud, ployée au maximum, sentit le sexe de son amant s’inviter lentement en elle puis, entreprendre de la pilonner sans ménagement, au rythme de leur désir et de leur folle passion.

Elle poussait de petits cris de plaisir et de jouissance. Loïs allait et venait en elle selon son bon désir, avec une force extrême ou une lenteur exaspérante. Il jouissait de sa pénétration. Son sexe bandé à l’extrême prenait du volume en mesure de son imaginaire et de ses fantasmes La vue de la croupe de Naïs le troublait profondément ; les fesses parfaitement galbées de son amante le fascinaient ; les seins lourds de la femme se balançaient selon son rythme. Ils voguaient tous deux sur les vagues de l’amour et du plaisir. Il la pénétrait profondément, il la possédait, il la comblait…

Chris se donnait du plaisir aussi en les observant tous deux ; elle se masturbait savamment.

Une heure de plaisir extrême s’offrait aux amants, à leur amie complice aussi. Il n’y avait qu’amour et tendresse entre ces trois là.

Naïs n’était plus en état de se raisonner et de se sentir observée. Elle sentait intimement et avec volupté la pénétration virile et puissante de son amant ; il l’emplissait toute, il la pilonnait profondément. Elle osait cependant, par intermittence et pour accroître son trouble, regarder Chris au bord de l’orgasme.

Elle défaillit la première et s’abandonna à une jouissance absolue et dévastatrice.

Loïs sentit venir en lui la même jouissance qui lui montait des reins. IL fit cependant un bel effort pour retarder sa jouissance afin d’en accroître la puissance. Puis, n’en pouvant plus de plaisir, Il se plaqua alors totalement contre les fesses si excitantes de sa Naïs pour libérer son orgasme et l’offrir à sa partenaire tant aimée. Il cria de bonheur en éjaculant.

Les deux amants s’effondrèrent sous le poids de la jouissance.

Ils demeurèrent cependant de longues minutes durant soudés l’un à l’autre :

– Restez, je vous en prie, implorait l’amante comblée de bonheur.
– Demeurons ainsi unis, murmura-t-elle ; C’est si bon ! Vous m’investissez entièrement, mon doux amant.

Quand ils reprirent conscience, quelques minutes plus tard, ils firent le constat qu’une couverture de plage les protégeait des regards et que Chris s’était lovée, nue, entre eux. Elle était blottie contre les fesses de Loïs, Naïs l’enserrant d’un bras, elle-même blottie contre son amie.

Loïs sentait les seins lourds et tendres des deux femmes contre son corps. Il était divinement bien !

– Il est très surprenant de vous entendre vous vouvoyer tout en faisant l’amour… Je ne comprends pas, murmura Chris.
– C’est très érotique, Chris, de vouvoyer la femme que l’on va posséder ; de la vouvoyer encore quand on lui prodigue les caresses les plus sensuelles, les plus osées, parfois « inconvenantes » ; de la vouvoyer quand on l’a investie et que l’impudeur voulue des corps se décline en respect et considération. C’est par respect pour mon amante que je la vouvoie, c’est aussi par raffinement érotique que je le fais.
– Oui, je comprends ; Tu es un galant homme, Loïs.
– Comme vous étiez beaux, dans la fusion, mes amours !
– Je n’ai pas résisté et me suis donné beaucoup de plaisir en me caressant.
– Je sais que vous m’avez vue me faire jouir ; Merci.

Loïs se redressa quelque peu puis, ayant perçu l’assentiment implicite que Naïs lui donnait par son sourire complice il s’autorisa à embrasser Chris sur la bouche avec beaucoup de volupté. Ce fut leur premier baiser.

Naïs les prit tous deux dans ses bras, les embrassa tour à tour, se lova très sensuellement sur ces deux corps chauds, nus et troublants puis dit :

– Chris, ne ferme pas la porte de ta chambre cette nuit, la dernière en notre compagnie ; Loïs et moi te rejoindrons ; ce sera un merveilleux partage.
– Tu voudras bien, mon doux amant ? dit-elle en souriant à son si délicat et prévenant partenaire.
– Vous êtes si belles, toutes deux ! Naïs a mon cœur, à jamais ; Chris partagera nos ébats et nos plaisirs quand tu le désireras, mon amour. Cela démultipliera notre volupté et sera un merveilleux cadeau pour notre amie. C’est une extrême amitié qui nous permet cette complicité si intime.
– Nous viendrons nous glisser entre tes draps dans la nuit, par surprise, Chris. Fais-toi désirable…

Chris rougit de confusion et de bonheur ; elle retira lentement la sortie de bain qui les couvrait encore partiellement et demanda aux amants de regarder leur superbe nudité, là, entre ciel et mer ; entre amour et amitié ; entre libertinage et passion.

Le soir tombait et ils ne pouvaient se résoudre facilement, ni à s’habiller, ni à rejoindre leur chalet.

Ils le firent cependant à la nuit tombante, cheminant nus le plus longtemps possible vers leur chalet, main dans la main.

Chris remarqua que depuis quelques minutes Loïs la vouvoyait et que Naïs lui avait souri avec complicité quand, elle-même eut perçu ce changement.

Une merveilleuse nuit s’annonçait pour eux…

À suivre…

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Une réponse à Belle complicité à trois dans les dunes par Libmax

  1. Chandernagor dit :

    C’est quoi ces dialogues WTF ?

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