Le fabuleux festin devant Amelie Panards… par Yannick01

Il est 3 heures du matin. Je suis avachi sur mon lit, nu, avec simplement
un tee- shirt, devant mon PC. Comme je n’arrivais pas à dormir, j’avais
envie d’écrire une histoire particulière, rien que pour Eddy et son site
Vasillia, une histoire encore plus forte que les 2 premières que j’ai
écrites ( » Yannick et Caroline  » et  » Les pieds de Sabine « ) ; bref, une
confession. Pour ceux qui n’ont pas lu mes deux premières histoires : j’ai
26 ans, j’habite rue d’Alésia à Paris (XIVième arrondissement) ; je suis bi,
je mesure 1m80 (en fait, je me grandis de 0,5 cm, mais c’est pas grave),
mince et mignon (enfin je crois, c’est ce que disent les minettes, en tout
cas). J’ai les cheveux courts, et je suis brun, mat de peau. Je pratique la
muscu (de façon très légère) et un peu de natation (surtout pour mater les
mecs et les minettes). J’ai envie de faire cette confession cette nuit, car,
la nuit, on est plus vrai, le romantisme est plus fort. Bref, l’histoire que
je vais raconter est vraie, et elle m’a particulièrement marquée.

Je l’ai appelée
 » LE FABULEUX FESTIN DEVANT AMELIE PANARDS  »

C’était il y a.. mais peu importe de préciser, cette histoire est
atemporelle. Ce qui est important, c’est que c’était un samedi après-midi,
et que je rentrais chez moi après avoir fait quelques courses, ce qui est
normal quand on est célibataire. J’avais fini de ranger mes petites affaires
dans mon studio, et j’avais décidé de me mettre en  » tenue maison « , c’est à
dire caleçon / tee-shirt / pieds nus. Il faut que je précise à ce stade de
l’histoire que j’habite dans un immeuble ancien où la plupart des locataires
sont des personnes âgées qui ont toujours froid, et, généralement, ce n’est
pas la chaleur qui manque chez moi. C’est pourquoi j’ai depuis longtemps
opté pour une tenue intérieure light. J’avais décidé de sortir à nouveau,
quand un violent coup de tonnerre et une averse subite m’en ont dissuadé.
Alors, machinalement, j’ai allumé la télé et ai zappé pour passer le temps,
sur les chaînes du satellite. Je suis tombé sur Eurosport, chaîne qui
rediffusait un match de tennis entre Amélie Moresmo et je ne sais plus qui.

En attendant que l’orage se calme, je me mis à regarder le match, avachi sur
mon matelas qui fait office de canapé le jour, et de pieu la nuit. Mon
attention se focalisa sur Amélie. En pleine action, je fus frappé par la
rage de cette fille, par son coté masculin et beau à la fois. Certains gros
plans me permettaient de voir la sueur qui perlait à son visage, un visage
en apparence dur mais qui cachait à coup sûr une grande tendresse ; d’autres
plans (dont certains au ralentit) montraient ce corps presque viril, avec
une poitrine ferme, cernée dans un soutien-gorge dont on pouvait entrevoir,
parfois, le relief créé par une des bretelles.

Lors d’un problème de litige sur une balle qui aurait atterri  » juste sur la
ligne « , on pouvait voir ses baskets, salies par le match ; au spectateur
d’imaginer ses pieds à l’intérieur de ces ‘skets, cambrés à cause de
l’effort, chauffés par le match, attendris par l’humidité de cette
magnifique prison, rosés par le frottement avec les chaussettes. Ces images,
à ma grande surprise, m’excitèrent. Je ressentis d’abord une chaleur au
niveau des lobes de mes oreilles, puis un léger gonflement au niveau de mes
lèvres. Machinalement, j’ai mis la main sur mon caleçon et je sentis la
bosse bien caractéristique des effets sexuels inhérents à une excitation
extérieure. Sans me masturber, je laissais ma main sur mon sexe, la laissant
caresser ma queue qui réagissait à chaque fois qu’Amélie passait devant
l’objectif. cette situation dura environ un quart d’heure.

Soudain, j’entendis la sonnette de ma porte. Inutile de dire que ce bruit me
fit sursauter. Je me levai, en demandant à ma queue de faire quelque peu
preuve de discrétion, et je me rapprochai de la porte, que j’entrebâillai
pour connaître qui était ce visiteur mystérieux. Je reconnus Rémi, et
j’ouvris la porte en grand. Rémi avait emménagé 2 étages au-dessus de moi,
il y avait un mois de cela. Il a 22 ans, un peu plus grand que moi, très
mince, châtain clair, yeux bleus-verts, avec un très beau sourire angélique
qui lui donnait un air candide, doux et profondément gentil. J’avais connu
Rémi le jour de son emménagement, où je lui avais donné un petit coup de
main pour la gestion des cartons et ce genre de festivités assez chiantes en
général. Depuis, nous nous sommes croisés 3 ou 4 fois, mais sans plus. Donc,
je reconnus Rémi et j’ouvris la porte en grand.

– Salut, quelle bonne surprise. Entre, cher voisin, lui dis-je.
– T’as vu ce temps de merde ? en fait je voulais sortir pour m’acheter de
nouvelles baskets, mais, vu l’orage, j’ai préféré faire une pause chez toi,
me répondit-il. J’te dérange ? Nous nous sommes serré la main, il entra et
je fermai la porte.
– Pas du tout, lui répondis-je.
– Tu faisais quoi ?
– En fait, rien du tout ; je regardais la télé en attendant que l’orage se
calme. Alors comme çà, tu veux t’acheter de nouvelles pompes ?

En lui disant cela, je regardais ses ‘skets, usées. Je remarquais alors
qu’il ne portait pas de chaussettes. Au point d’excitation ou j’en étais,
j’avais pas besoin de çà ! Rémi avait un polo noir à col cheminée, un jean
bleu assez traditionnel, et des ‘skets qu’il portait donc nus pieds.

– Qu’est-ce qu’il y a, à la télé, me demanda-t-il ?
– Rien de terrible, je regarde le tennis.
– Putain, y’a Amélie ! cria-t-il. J’a-do-re cette fille. Si je pouvais
l’avoir dans mon pieu, je te dis pas ! Inutile de décrire ma surprise en
entendant de tels propos de sa bouche, propos auxquels j’adhérais
complètement.
– Qu’est-ce que tu lui trouve, lui demande-je naïvement ?
– Elle a un sex-appeal d’enfer ! et puis elle adore les minettes, alors çà,
c’est un de mes phantasmes.
– Bon, ben viens voir le match avec moi, lui dis-je.

Ainsi, nous nous sommes assis côte à côte sur le matelas posé directement
sur le sol, et sur lequel j’étais en train de légèrement de masturber tout à
l’heure. J’étais en tailleur sur le matelas, le dos contre les coussins
contre le mur ; et lui éprouvait visiblement une certaine gêne pour se
mettre dans la même position que moi, à cause de la présence de ses ‘skets.

– Tu peux enlever tes pompes, lui dis-je pour le mettre à l’aise.
– Ben, tu sais, elle sont un peu crads, et je voudrais pas empester des
panards chez toi.

Une telle proposition, je ne pouvais bien évidemment pas la refuser.

– Allez, puisque tu n’oses pas, c’est moi qui te le fais.

Alors, doucement, je me retournai vers lui ; nous étions presque face à
face. Je lui pris son pied, le mis sur une de mes cuisses, et, doucement, je
lui délaçai sa ‘sket gauche. Il faisait au moins du 44 ou 45. Il m’a fallu
un peu de temps, car le lacet était en assez mauvais état. Pendant ce temps,
il ne dit rien, et souriait légèrement. Enfin, je pus lui retirer sa pompe.
La semelle était en assez mauvais état, car elle peluchait. Sa pompe sentait
un petit peu, mais sans plus. Il y avait quelques bouts de peluche au niveau
de la plante de ses pieds ; aussi, je pris l’initiative de lui retirer ces
petits lambeaux entre ses orteils, et je passai ma main sous son talon, que
je sentis tendre et chaud, bref, moelleux, digne des plus beaux wetfeet que
j’ai jamais vus. Il sourit, retira son pied de ma cuisse, en disant :

– Allez, arrête tes conneries, tu me chatouilles ; grouille-toi, Amélie nous
attend.
– Mais j’aime bien finir ce que j’ai commencé : file moi ton autre panard.

Alors, je pris son pied droit, le mis sur ma cuisse, et je recommençai
l’opération sur l’autre ‘sket. Que se passa-t-il à ce moment-là dans ma tête
? un tourment fort, à la hauteur du combat que livrait ma queue avec le
caleçon. Mais ce qui me surprit le plus, c’est que, pendant que je le
délaçai, il me dit :

– Qu’est-ce qui fait chaud, chez toi ! Tu peux pas baisser le chauffage ?
– Non, c’est un truc collectif qui passe par le sol. Comme il n’y a que des
vieux dans cette résidence (à part toi et moi), dès qu’il fait moins de
35°C, çà chauffe. Mais je suis habitué. C’est pas comme çà, chez toi ?
– Ouais, peut-être, mais je perçois plus la chaleur ici. Je pensai alors que
lui aussi devait ressentir une chaleur intérieure.
– Enlève ton col cheminée, lui proposai-je.
– Ben.. Non, j’ai rien dessous.
– Comme tu veux. Moi, çà me gêne pas. Et là, il se renversa légèrement en
arrière, ôta son polo, laissant apparaître un torse imberbe, mince, bien
proportionné, avec 2 petits tétons charmants. Ce qui me surprit le plus,
c’est que, pendant qu’il faisait ce geste, il remit son pied déjà déchaussé
à sa position d’origine, sur ma cuisse, alors que je finissais de lui
délacer l’autre.
– Bien joué, dit-il ! ! Et là, je me rendis compte qu’il parlait du match.
Moi, j’allais devenir dingo.

Risquant le tout pour le tout, je lui caressai doucement ses 2 pieds. Je vis
qu’il aimait, car il ferma doucement ses paupières, et s’appuya plus
franchement sur les coussins, contre le mur. Je passai ma main sous ses
orteils, puis je me mis à masser un à un ses orteils qu’il avait
parfaitement alignés. Puis je passai ma main sous la plante de ses pieds, et
me mis à caresser ses talons. Ils étaient tendres, souples. C’était très
sensuel et très érotique.

– Ca te fait bander ?, me demanda-t-il ?
– Non, lui répondis-je avec humour. Pas plus que toi. Nous nous sommes mis à
rire tous les 2, comme 2 gosses. Alors, il se rapprocha de moi, et mis sa
main sur mon caleçon, pour sentir ma queue.
– Humm, fit-il, çà t’inspire, mes panards. C’est l’odeur ? Tout allait de
plus en plus vite, et je sentais qu’il allait se passer quelque chose : nous
étions pris par une vague de sensualité que plus rien ne pouvait arrêter.
– Non, ils ne puent pas, tes pieds, ils sont propres. Si tu les avais mis
dans un camembert coulant, çà sentirait plus que çà ! !
– T’en as, du camembert, me demanda-t-il ?
– Ouais. Je vais le chercher.

L’avantage, quand on habite dans un studio de quelques m2, c’est que tout se
touche, et qu’il ne suffit que de tendre la main pour trouver ce que l’on
cherche. Je me levai, me dirigeai vers le placard, pour prendre le camembert
que je venais d’acheter. Pendant ce temps, je vis que Rémi me regardait et
essayait de percevoir la grosseur de ma queue. Je saisis le camembert, et,
en me retournant, je vis que Rémi enlevait son jean, laissant apparaître un
slip noir, dans lequel je remarquai aussi la bosse caractéristique d’une
queue en érection. Je me rassis près de lui, ouvris le camembert, et le
coupa en deux parts égales. Je rentrai 2 doigts dans la pâte, et en sortis
une noix assez odorante. Je lui pris ses panards, et lui posa cette noix
sous la plante de ses 2 pieds. Je commençai à lui étaler le fromage, et nous
nous sommes allongés cote à cote, tête bêche.

J’avais ses pieds devant ma figure, et je le massais énergiquement, faisant
rentrer la pâte de fromage dans ses panards chauds, rougis, et odoriférants.
Je me mis à lécher avidement ses pieds. Ma langue courrait partout, entre
ses orteils, au niveau de sa plante, du talon, le pied droit, gauche,
orteils, plante, .. Une ivresse d’odeurs et de sensations douces et
érotiques. J’avais des odeurs de fromage partout sur le visage. Je le
massai, le léchai, et, comme j’avais envie de le bouffer, je mis ses orteils
le plus profondément dans ma bouche. Je n’en pouvais plus. Pendant ce temps,
Rémi mit sa main sur mon sexe, baissa mon caleçon, et commença à me
caresser.

Ma queue était dure comme rarement elle a été. Elle me faisait presque mal.
Rémi se mit à me branler, tout en regardant et en commentant les exploits de
notre tennis-woman préférée. C’était cool, tranquille, un bon plan sexe /
feet / food, comme je les aime. Délaissant ses panards, je me mis à caresser
son slip, slip que je lui ôtai rapidement pour sentir sa queue que je
trouvais magnifique. Elle était épaisse, comme je les aime, avec un gland
décalotté, rosé, humide, et des couilles lourdes, tendres et moelleuses.
Pour que nous soyons complètement nus tous les 2, je jetai mon tee- shirt à
l’autre bout de la pièce, et ôtai le caleçon que Rémi m’avait simplement
baissé. Nous nous sommes assis côte à côte sur le matelas, puis nous nous
sommes embrassés goulûment. Un baiser fougueux, gras, passionné. Nos langues
se mêlaient, et nos mains courraient sur nos dos, sur nos seins, sur nos
queues, nos pieds.

– J’veux te sucer, me dit-il.


Alors nous nous sommes mis en 69, et nous nous sommes fait une double pipe
fabuleuse. En le suçant, je caressai ses cuisses, puis ses fesses, puis ma
main se rapprocha de son anus. Il était beau, presque imberbe, avec un léger
duvet. Je lui mis mon doigt dedans, avec douceur mais fermeté, et je relevai
la tête pour voir s’il appréciait. Il était tétanisé : il s’immobilisa.
Seule sa bouche était ouverte, et sa respiration était en cadence avec le
mouvement de mon doigt. Il fit de plus en plus de bruit, et je sentis qu’il
allait jouir. Il était beau, il décollait complètement ; alors, j’avais
envie qu’il jouisse. J’accélérai la cadence, et j’entendis un râle puis un
hurlement. Une seconde après, un geyser de sperme chaud gicla sur ma figure.
Rémi cria de plaisir.

– Attends, à moi maintenant, dit-il.

Il se leva, me plaqua sur le dos, m’embrassa sur la bouche et lécha mon
visage plein de son sperme. Il poursuivit son geste et se dirigea vers le
frigo, prit une crème dessert à la vanille, l’ouvrit énergiquement, et en
mit une partie sur ma queue. Puis il me suça avec passion, rajoutant parfois
de la crème dessert quand il avait tout bouffé. Il m’en mit même sur mes
couilles, qu’il lécha aussi copieusement, les mettant dans sa bouche l’une
après l’autre, comme des bonbons. Ce qui devait arriver arriva, je me mis à
hurler comme un taré, et sentis une giclée de sperme décoller et arriver
sans sa bouche.

Puis tout se calma. Ne subsista que le bruit des balles de tennis d’Amélie,
que nous regardions, avachis l’un contre l’autre. Elle était belle, Amélie,
en tout cas, elle nous avait inspiré. Un peu plus tard, quand nous somme
sortis, une fois l’orage passé, pour chercher ses ‘skets, j’ai éteint la
télé : Amélie venait de gagner le match. Elle sourit : qu’est ce qu’elle est
belle !! Qu’est ce que je l’aime ! Pour fêter l’évènement, nous nous sommes
embrassés très amoureusement une dernière fois, juste avant d’ouvrir la
porte de mon studio, et de sortir main dans la main.

Yannick, wetfeet@libertysurf.fr

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *