Astrid et Thimothée 2 – Constance par Tyler

Astrid et Thimothée
2 – Constance
par Tyler

Voilà près d’une heure que le car est sur la route pour Nîmes. Ce n’est pas un car de nuit, mais un car qui roule la nuit. Pas moyen de dormir, les sièges sont justes assez confortables pour ne pas avoir mal au dos. Je suis assis au premier rang, avec deux sièges pour moi tout seul. Mais l’arrivée de Constance est venue troubler mon semblant de tranquillité. Elle me demande si elle peut s’asseoir à côté de moi parce qu’elle a mal au cœur, et que le fait de voir la route lui ferait du bien.

Constance est une élève d’à peine vingt ans. Je ne l’entends jamais en classe. Elle est assez timide, mais commence à faire des progrès avec les cours de théâtre qu’elle prend au lycée. En fait, la seule et unique fois où je me suis adressé à elle, s’était il y a quelques jours, je l’avais félicité pour sa nouvelle coupe de cheveux. C’est une grande fille, brune aux cheveux courts et de grands yeux marron. Elle a un visage fin, pâle, une grande bouche aux lèvres roses et fines.

Elle n’arrivait pas à dormir alors nous avons fait un pas la conversation. Elle m’a parlé de sa passion pour les chevaux, des ses doutes qu’en à la poursuite de ses études. J’ai essayé d’être une oreille attentive et de bon conseil. Mais je ne cache pas que mon regard s’est souvent posé sur sa chute de rein lorsqu’elle se penchait en avant pour mieux voir la route. Son pantalon taille basse laissait apparaître la naissance de la raie de ses fesses sans que je puisse voir le moindre bout slip. Je lorgne sur sa chute de reins cambrée, contemple son dos finement musclé. Mon imagination est très prolifique mais j’essaie de ne pas trop me laisser aller à fantasmer sur mon élève.

Arrivé à Nîmes, nous passons la journée à visiter la ville avant de reprendre le car pour un petit village où nous allons passer la nuit. L’hôtel, qui nous reçoit, est trop petit et les chambres sont données aux filles, alors que les garçons doivent aller quelques dizaines de mètres plus loin, de l’autre côté d’un cours d’eau, dans une petite maison de plein pied, découpée en chambres. Il est décidé que je prenne une chambre seul dans le bâtiment des garçons pour les surveiller. Après un long repas arrosé avec mes collègues et les chauffeurs, je rejoins les élèves dans une petite cour, dans laquelle ils jouent de la musique et discutent devant un petit verre. Avec la fatigue du voyage et voyant qu’ils sont raisonnables, je décide de les laisser tranquille et d’aller me coucher.

Je profite de la tranquillité du coin et de la nuit claire pour fumer une cigarette sur le petit pont en regardant les étoiles. Le silence de la campagne environnante, l’odeur des prés éveillent mes sens et me détendent. Je n’entends même pas les voix des élèves qui s’amusent.

– Vous avez besoin de calme ? C’est vrai que nous sommes nombreux et un peu agités.

Je ne l’ai pas entendu arriver. Sa voix semble un peu tremblante de timidité. Je me retourne et reste surpris de voir Constance marché lentement vers moi. Les mains dans les poches de sa veste en jeans, elle s’approche d’une démarche un peu masculine. J’avoue que si je n’avais pas entendu sa voix je l’aurais prise pour un garçon.

– C’est vrai que la nuit est belle loin des lumières de la ville, ajoute-elle.
– Tu ne restes pas avec les autres ? Il y a pourtant l’air d’avoir de l’ambiance.
– J’avais en vie d’être au calme. Ils sont sympas mais je ne suis pas fan de la foule.
Nous restons, côte à côte, un long moment à regarder les étoiles.
– Je crois que je vais aller dormir, lui dis-je après un long silence.
– Je peux venir avec toi ? Me lance-t-elle sans même me jeter un regard.

Je reste subjugué. Je ne sais quoi lui dire. Je ne peux pas la laisser venir avec moi, même si j’en ai très envie. Les risques de se faire attraper sont trop grands. Je pars lentement vers le bout du pont, m’enfonçant dans l’ombre des arbres.

– Viens avec moi ! Les mots sortent de ma bouche comme si mon inconscience avait pris le pas sur ma raison.

Je peux lire un sourire sur son visage alors qu’elle marche vers moi. Je passe mon bras sur son épaule la tenant légèrement collée contre moi et je sens sa main se poser sur ma taille. Je jette un coup d’œil rapide derrière nous et tranquillement nous nous dirigeons vers ma chambre. Une chance qu’elle soit tout au bout de la maison, un peu à l’écart des autres. J’ouvre la porte et me retourne vers elle :

– Es-tu sûre de ce que tu veux ? Il est encore temps de retourner avec les autres !

Elle passe ses bras autour de mon cou et pose ses lèvres sur les miennes, en guise de réponse. Je presse les miennes contre sa bouche et en force l’entrée avec ma langue. Je goûte sa salive et nos langues se touchent, se mêlent et s’enlacent. Je l’attire dans l’ombre de la pièce, inquiet d’être vu, et ferme la porte. Je regarde son visage à la lumière diffuse qui passe par les volets clos. Ses yeux sont fermés, elle a l’air concentré. Je sens la douceur de sa peau sur ma joue, son parfum léger. Sa bouche s’ouvre comme pour me gober, et sa langue s’agite nerveusement et de façon désordonnée, traduisant une forte excitation et un léger manque d’expérience. Ce manque d’assurance, que j’avais perçu au quotidien me fait craindre qu’elle soit encore vierge. Mais son impertinence du moment me laisse l’espoir qu’il n’en est rien.

Je glisse mes mains le long de son dos jusqu’à ses hanches. Je n’ose aller trop vite de peur de l’effrayer. Alors comme pour la rassurer, je remonte une main sur sa nuque, la pose sur sa joue et caresse lentement sa douce peau. Au contact de mes doigts je sens un frisson parcourir son cou. Elle se décolle un peu de moi pour me donner de légers coups de langue sur les lèvres avant de la replonger dans ma bouche pour la fouiller presque brutalement. Ses mains glissent sur mes joues et descendent le long de mon torse pour s’arrêter sur mes hanches. Nous échangeons ce baiser pendant de longues secondes. Je laisse une main sur son visage pendant que l’autre caresse doucement ses fesses. Je n’ose faire plus de peur de l’effaroucher.

C’est elle qui me surprend et me soulage en essayant de sortir ma chemise du pantalon. Ses doigts s’insinuent doucement sous le tissu et se posent sur ma peau. Un frison me parcoure le dos et remonte jusqu’à ma nuque. Ses mains glissent sur ma peau et soudain elle me presse contre elle tandis que sa langue essaie de s’enfoncer au fonds de ma gorge. Nos lèvres s’enduisent de nos salives et ce baiser se semble se transformer en corps à corps. Incité par son initiative, je soulève son T-shirt pour sentir le contact de sa peau. Elle est douce, soyeuse et si fine que j’ai l’impression de sentir ses muscles sous mes doigts. Après de nombreuses caresses, où l’un comme l’autre nous nous cherchions à sensibiliser chaque grain de peau par des affleurements, je la pousse délicatement vers le lit au milieu de la pièce.

Soudain elle me repousse délicatement comme perturbée par mon geste.

– Je n’ai pas beaucoup d’expérience. J’ai peur d’être maladroite et de te décevoir, me souffle-t-elle à l’oreille.
– Ne t’inquiète pas ! Laisse toi juste aller et laisse les choses se faire d’elles même.
– Ca m’a donné soif, tu as de l’eau ?
– Mon sac à dos est dans la salle de bain. Regarde dedans je crois qu’il y a une bouteille déjà entamée.

Je l’a regarde marcher et ouvrir la porte. Elle allume la lumière et disparaît derrière le mur. J’en profite pour m’asseoir sur le bord du lit. Dans quelle merde j’ai encore réussit à me mettre. Je n’arriverai jamais à me contrôler et à rester sérieux. Ce n’est pas la première fois que j’ai une aventure avec une élève, mais là, en plein voyage scolaire, cela va être dur de rester discret. En plus, je ne connais pas vraiment Constance. S’il lui prend de profiter de la situation et de me faire chanter, j’aurai du mal à m’en sortir. D’un autre côté je ne vois pas très bien Constance jouer à ce jeu. Et puis, au point où j’en suis, je suis déjà foutu si elle veut me poser des problèmes.

Je profite de se répit pour délacer mes chaussures et retirer ma ceinture. Ce sera toujours ça de gagner. La lumière de la salle de bain s’éteint ce qui attire mon attention. Je l’entends avancer vers moi. Mes yeux s’écarquillent lorsque je l’aperçois passer dans les traits de lumières qui percent à travers les volets. Elle est nue. La lumière diffuse dessine les contours de son corps. Je ne peux que deviner ses formes. Sa peau est claire. Ses seins me semblent plus gros que lorsqu’elle était habillée. Ils sont ronds et fermes, bougeant à peine à chaque pas. Mon regard glisse sur elle, sur ses hanches fines, ses jambes longues et musclées par l’équitation, jusqu’à ses minces chevilles. Ses cheveux courts aux reflets roux, ses grands yeux marron, sa peau blanche et la pénombre me donnent l’impression de voir un personnage de manga. Elle s’avance et se présente devant moi, n’osant pas me regarder dans les yeux, avec un mélange de pudeur et d’effronterie. Maintenant je ne peux plus résister. Tant de douceur, de candeur et ce corps de jeune femme, mince et ferme, éveillent chez de la tendresse mêlée de désir. Je la regarde comme une icône sans pouvoir la toucher. Elle est là devant moi, nue, et je ne peux pas faire un geste vers elle. Je crois que c’est moi qui suis le plus impressionné de nous deux. Pourquoi m’a-t-elle choisi ?

– Je crois que j’ai rarement vu une femme aussi belle, dis-je maladroitement, comme pour nous rassurer l’un et l’autre.

Elle se penche pour prendre ma main et la pose sur son sein gauche. Je sens la chair de poule qui parcoure sa peau sous mes doigts, et surtout son cœur battre comme affolé. Elle me sourit lorsque mes doigts se referment sur la chair ferme et tendre. Je peux tout juste le prendre dans ma main. Je me redresse et me lève devant elle. Nos bouches se joignent pendant que ma deuxième main empoigne délicatement l’autre sein tendu vers moi. Nos lèvres se goûtent, nos langues se mêlent à nouveau. Elle laisse échapper un soupir lorsque je prends doucement ces tétons durcit par le désir entre mes doigts. J’imagine ses mamelons roses et leur petite pointe de chair.

Ses mains se posent sur mon torse et cherchent lentement les boutons de ma chemise. Elle écarte le tissu et pose ses paumes sur ma poitrine. De nouveaux frissons me parcourent le corps. Mes mains l’abandonnent pour laisser ma chemise tomber sur le sol. Elle s’approche de moi et se serre dans mes bras. Mes mains glissent le long de son dos jusqu’à ses fesses. Leur peau me semble aussi douce que celle d’un bébé. Elle m’embrasse dans le cou. Sa langue remonte le long de ma gorge jusqu’à mes oreilles que ses lèvres gobent délicatement. Tandis que mes doigts l’effleurent sur toute la surface de son dos, je sens son souffle dans mon cou.

– J’ai très envie de toi, me murmure-t-elle.

C’est peut être le signal que j’attendais pour me laisser aller. Je retourne Constance et la pouce doucement pour quelle s’assoie sur le bord du lit. Je me penche sur elle et dépose un baiser sur son front puis sur sa bouche. Sans que nos lèvres ne se quittent, je me laisse tomber à genoux devant elle, en prenant sa tête entre mes mains. Ma langue fouille une dernière fois sa bouche avant de glisser le long de sa gorge jusqu’à ce premier sein qui se présente à moi. A mon contact le mamelon se couvre de frisson, et constance pousse un soupir. Plus ma langue tourne et lèche ce téton pointé vers moi, plus son souffle s’accélère. Mes mains massent délicatement ses seins pendant que mes doigts serrent doucement les pointes de chair si sensibles à mon touché. Ma bouche passe d’un téton à l’autre.

Elle reverse sa tête en arrière. Sa poitrine se tend vers moi. J’en profite pour aspirer un téton. Je le mordille doucement. Mes lèvres tètent cette excroissance de chair. Son souffle s’accélère encore. Elle pose ses mains sur ma tête et me tire contre elle. Mon nez s’enfonce dans ce globe gonflé tandis que ma bouche aspire plus fort. Je voudrais mordre, avaler ce téton durcit par le désir.

Ses seins sont couverts de ma salive. Je me redresse, ramène sa tête en avant et l’embrasse profondément. Ses grands yeux me sourient. Son souffle a retrouvé un rythme normal.

– Laisse toi aller, lui dis-je en la repoussant sur le lit.

Elle se laisse doucement tomber en arrière et s’allonge sur le dos. A genoux devant elle je lui écarte délicatement les cuisses. Je sens une légère résistance qui disparaît tout de suite. Ses cuisses ouvertes m’offrent une petite chatte presque entièrement rasée. Elle est peut être inexpérimenté mais elle est très soignée. Ses petites lèvres roses sont gonflées par le désir. Elles ressortent à peine de sa vulve lisse et imberbe. Une petite touffe de poils bruns et courts domine la bosse de son sexe. Son ventre plat se creuse lorsqu’elle sent mon souffle s’approcher de cet antre humide et doux. Je pose doucement mes lèvres sur le haut de son sexe et immédiatement elle réagit par un sursaut. A peine mes lèvres effleurent-elle à nouveau sa peau lisse qu’elle sursaute encore. Son souffle est devenu très court et je ne l’ai qu’à peine touché.

– C’est la première fois qu’on me fait ça, me dit-elle, me sentant sûrement un peu gêné par ses réactions un peu brutales.

Je suis flatté. Je suis le premier à goûter ce jeune sexe. Lentement je dépose de petits baisers à l’intérieure de ses cuisses, me rapprochant de ses douces lèvres qui se contractent au contact de ma bouche. Je passe ma langue dans le repli de son entrecuisse, et déjà l’odeur amère et forte de son excitation envahie mes narines. Les bras posés sur ses cuisses, j’écarte doucement son sexe avec mes pouces. Un petit bourgeon de chair se dévoile. Avec douceur je pose ma langue sur ce petit clitoris tendu par le plaisir. Constance laisse échapper un soupir. Son souffle s’accélère au rythme de mes coups de langue. Je lape son sexe et goûte pour la première fois une goutte de ce liquide âcre et si délicieux qui perle à la commissure de ses lèvres. Plus ma langue écarte ses petites lèvres et plus le goût se fait plus fort. Ma salive se mêle à cette liqueur.

Ses mains se posent sur ma tête, plus pour contrôler mes assauts que pour m’encourager. Mais lorsque ma bouche emprisonne son sexe, et que ma langue se met à lécher son clitoris dans un léger bruit de suçon, ses mains pressent ma tête contre son bas ventre. A bout de souffle elle se met à gémir. Ma langue, encouragée par ce geste, devient plus brutale avec son clitoris, tandis que ma bouche aspire fortement ce bouton de chair. D’excitation elle sert plus fort ma tête et remonte une jambe pour m’offrir sa vulve déjà prisonnière de ma bouche. J’aspire et suçote ses petites lèvres jusqu’à ce que sa respiration se coupe.

– J’en peux plus, lâche-t-elle entre deux soupirs. C’est trop fort.

Je libère son sexe de ma bouche le temps qu’elle se reprenne, me contentant d’embrasser l’intérieur de ses cuisses. Après quelques secondes, son souffle devient plus lent, j’écarte alors son sexe pour le laper délicatement. J’enfonce lentement ma langue dans sa fente et goûte la liqueur qui en coule. Elle relève la jambe comme pour m’inviter à l’y enfoncer profondément. J’entame un léger va et vient du bout de la langue, et je sens ses fesses se contracter pendant que son souffle s’accélère. Elle pose une main sur son ventre et commence à passer ses doigts dans ses poils pubiens. Je remonte alors la tête et embouche son clitoris. Ma langue fouille et soulève son étui de peau. Je presse et aspire ce petit bout de chair ce qui lui arrache un petit cri. Son jeune sexe est devenu extrêmement sensible, trop pour que le plaisir reste supportable et ne se transforme en douleur. Alors lentement j’embrasse son sexe, ses petites lèvres et enfin ses cuisses.

Elle commence à reprendre sa respiration. Je caresse ses jambes, effleure chaque carré de peau des ses fines chevilles à ses genoux. Elle est douce, et maintenant l’odeur du plaisir se mêle à sa fraîcheur. Je me redresse pour la regarder. Son visage esquisse un sourire. Les yeux mi-clos, elle continue à se caresser le ventre comme pour prolonger le plaisir. Son corps se détend et elle repose sa jambe sur le lit. Après quelques secondes, elle se redresse sur ses coudes et me regarde à la fois surprise et empreinte de doutes.

– Je n’avais jamais ressentit ça. C’était fort, …, très fort mais vraiment bon !
– Ce n’est que le début. Tu découvres des sensations nouvelles, ton corps n’est pas habitué mais cela peut être meilleur encore.

Elle reprend encore son souffle et je n’ose pas trop bouger. Je caresse toujours ses jambes attendant une décision de sa part. J’embrasse délicatement la peau blanche de ses cuisses fermes. Je ne me lasse pas de leur douceur.

-Met toi sous les draps si tu as froid, lui dis-je en me relevant.

Je retire mes chaussures avant de déboutonner mon pantalon, mais elle se redresse et s’assoie sur le bord du lit. Elle plonge son regard dans le mien et pose ses mains sur les miennes.

– Je veux que toi aussi tu prennes du plaisir. Je ne veux pas te décevoir.
– Ne t’en fais pas pour moi, lui dis-je en lui caressant le visage. Tu n’as rien à me prouver.

Elle me sourit et glisse lentement mon pantalon sur mes chevilles. Elle m’aide à m’en défaire et pose ses mains sur le bord de mon shorty. Toujours en ma regardant, elle le descend jusqu’au sol. Mon sexe, enfin libéré, oscille à moitié bandé. Elle le regarde comme empreint de gêne.

– Je n’ai jamais fait ça, et je vais être sûrement très maladroite mais j’en ai très envie.

Je sens son souffle frais alors qu’elle approche son visage de mon ventre. Les mains sur mes hanches, elle dépose un baiser sur mon sexe avant de lever les yeux vers moi. Elle passe sa langue sur mon membre courbé. Ce contact humide me donne des frissons. Elle donne plusieurs coups de langue et ouvre la bouche. Je regarde mon gland, prisonnier de son étui de peau disparaître entre ses lèvres. Le contact chaud et humide de sa langue m’arrache un soupir. Elle le garde entre ses lèvres et le suçote. Je le sens flotter sur un lit de salive. Sa douceur et ses petites aspirations commencent à faire leur effet. Mon sexe gonfle lentement et prend de plus en plus de place entre ses lèvres. Le regard concentré elle l’observe grossir. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper quelques soupirs.

Je l’observe. Ses joues se creusent à chaque aspiration. Ses yeux ne quittent pas mon sexe tendu vers elle. Soudain elle avance la tête et ma bite s’enfonce dans sa bouche. Ses lèvres libèrent mon gland de son étui de peau qui glisse sur sa langue. Cette brutale sensation de douceur m’arrache un gémissement. Elle se recule immédiatement abandonnant mon sexe gonflé de désir.

– Je t’ai fais mal ? Me dit-elle d’un air inquiet.
– Non au contraire c’était bon !

Elle sourit de satisfaction et gobe mon gland avec entrain, comme un enfant devenu enthousiaste par les encouragements qu’on lui a fait. Elle se met à m’aspirer plus fortement. Mon sexe se tend et je sens mon gland gonflé à chaque bruit de succion. Elle commence un léger va et vient, enfonçant mon sexe un peu plus dans sa bouche à chaque mouvement. Mon gland glisse sur sa langue, heurte l’intérieur de ses joues qui m’aspirent. Je la regarde m’avaler à chaque fois davantage, et je sens le plaisir monter. La sensation de douceur et l’idée de me faire sucer par cette jeune bouche vierge m’excitent au point que mon souffle s’accélère, et que je ne peux réprimer quelques gémissements. Elle saisit mes hanches et me tire vers elle. Mon sexe s’enfonce dans sa bouche et je sens mon gland cogner le fonds de sa gorge, lui arrachant un haut le cœur.

– Je ne peux pas aller plus loin, me dit-elle en souriant après s’être reculée brutalement.

Un léger filet de salive coule sur son menton. Je me penche vers elle et l’embrasse profondément. Ma langue fouille sa bouche empreinte du goût de ma bite. Elle abrège mon baiser et m’attire à nouveau vers sa bouche dans la quelle je m’enfonce. Ses lèvres m’aspirent puis m’avalent. Ces gestes sont doux. Mon gland heurte à plusieurs reprises le fonds de sa gorge et lui arrache des haut-le-cœur. Mais elle ne se démonte pas, et mon gland subit tour à tour succions et coups de langue avant de s’enfoncer profondément.

Le plaisir monte et mes jambes commencent à me trahir. Je sens l’excitation prendre le dessus sur moi. J’ai du mal à respirer, mon corps se tend sous l’effet du plaisir. Mes couilles se contractent et je sens que je ne pourrai pas résister longtemps. J’hésite un instant entre jouir dans sa bouche et prendre possession de son corps.

– Doucement, lui dis-je en la repoussant. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.

Elle me regarde en souriant, fière de sa prestation. J’essuie la salive qui entoure sa bouche avec un doigt avant de le glisser entre mes lèvres. Je l’embrasse, enfonce ma langue là où, quelques secondes avant, ma bite glissait, et la repousse délicatement. Elle s’allonge sur les draps, les fesses au bord du lit. Je me penche sur elle, en appui sur les coudes. Mon visage au dessus du sien. Je l’embrasse à nouveau. Je sens mon ventre se coller au sien. Mon torse écrase ses seins. Son corps est chaud. Mon bassin a écarté ses jambes. Je sens ses cuisses contre mes hanches. Je la regarde.

Lentement j’avance mes reins et mon gland se pose sur son sexe humide. Sans la quitter du regard, je pousse délicatement et mon gland écarte les petites lèvres se retrouvant prisonnier de sa fente brûlante et moite. Elle ouvre les yeux, sa bouche quitte la mienne. Elle se met à gémir lorsque mon sexe entre doucement dans le sien. Mon gland glisse difficilement, serré entre les parois étroites de son vagin peu habitués à ce genre d’assauts.

– Ne te contracte pas, détend toi, je vais y aller doucement, lui dis-je, pour tenter de la rassurer.

Mon gland à peine entré je m’arrête. Je recule doucement avant de m’enfoncer un peu plus profondément. Son sexe étroit résiste et me serre. Elle gémit et je m’arrête à nouveau. Lentement je commence un va et vient, la pénétrant à chaque fois plus profondément. Après quelques secondes, elle commence à souffler, sa respiration s’accélère. Mon sexe glisse de plus en plus facilement, et j’ose m’enfoncer entièrement. Elle pousse un petit cri lorsque mon gland heurte le fonds de son vagin. Je me redresse en appui sur mes bras, et accélère le mouvement. Son sexe est trempé. Je passe un bras derrière sa jambe pour la remonter. Sa chatte entièrement offerte, j’accélère mes va et vient. Je vois ma bite s’enfoncer entre ses lèvres luisantes de plaisir. Mes couilles cognent ses fesses à chaque coup de reins.

Son souffle devient plus court. Elle mêle soupirs et gémissements. Elle agrippe mes bras, son corps se cambre et se raidit, le souffle coupé. Lentement je ralentis le rythme de mes assauts et elle commence à se détendre. Je me contente de petits mouvements, laissant seul mon gland pénétrer son sexe dégoulinant de plaisir. Progressivement, elle reprend son souffle. Je contemple son corps pâle, ses seins fermes qui bougent au rythme de sa respiration. Je passe doucement une main sur sa gorge, la descend sur sa poitrine. Sa peau frémit. Je sens ses frissons au contact de mes doigts. J’effleure ses tétons tendus d’excitation.

Elle ouvre les yeux et se caresse le visage, comme si elle se réveillait après une longue nuit de sommeil. Nous échangeons un sourire. Je continue un léger mouvement de hanche, ne laissant pas mon gland sortir de sa petite chatte.

– C’est si bon ! J’ai l’impression de découvrir mon corps.
– Mais tu aimes ?
– Ce sont des sensations bizarres, je n’avais jamais ressentit ça ! Fais-moi encore l’amour !
– Mets-toi à genoux ! Lui dis-je en l’aidant à se redresser.

Elle se retourne et se met à genoux au bord du lit. Elle se relève contre moi et tourne la tête. Je l’embrasse, fouille sa bouche avec ma langue. Son dos collé à mon ventre, je lui caresse les seins. Sa bouche mange la mienne. Elle me surprend par son air insatiable. Je glisse ma main le long de son ventre, et passe un doigt entre les petites lèvres de son sexe. Sa chatte est trempée et brûlante.

Elle se laisse tomber en avant sur les bras. Je la force à écarter les jambes pour que ses fesses soient à la même hauteur que mon sexe. Je pose mes mains sur ses hanches et l’oblige à se cambrer. Elle plie les bras et pose la tête sur les draps. Je contemple ses fesses blanches écartées. Son sexe rose et luisant est maintenant ouvert et s’offre à moi. Je glisse un doigt entre ses petites lèvres rougit par l’effort, avant de le remonter son petit trou du cul plissé. Je le masse doucement, l’enduisant de la liqueur qui coule encore de sa chatte. Il se contracte au contact de mon doigt. Son souffle s’accélère. De l’autre main je me caresse le sexe, étalant un peu de salive.

Je rapproche mon bassin en posant mes deux mains sur ses fesses. Je les écarte délicatement ouvrant davantage son sexe près à me recevoir. Mon gland appuie sur la petite fente. Il glisse lentement entre les lèvres humides pour disparaître dans son ventre. La sensation de chaleur et de douceur m’arrache un soupir. Son sexe est chaud, et ma bite entre facilement dans ce trou élargit par l’excitation. Constance commence à soupirer. Son souffle s’accélère à mesure que j’enfonce. Je ne peux m’empêcher de regarder le spectacle. Cette petite chatte qui avale mon sexe luisant, bandé d’excitation. Les petites lèvres écartées glissent sur ma bite étalant sa mouille. J’augmente le rythme de mes va et vient. Je n’hésite plus à lui donner de violents coups de reins qui lui arrachent des petits cris. Mon gland heurte le fonds de sa chatte à plusieurs reprises. Ses mains se crispent sur les draps dans lesquels elle enfouie son visage pour étouffer ses gémissements. Je la saisie par les hanches et la tire contre moi pour accentuer mes assauts. Mon ventre cogne contre son sexe grand ouvert. J’ai du mal à me contenir. Je sens mes couilles pleines se contracter. Une forte pression envahie ma verge. Je ralentis mes mouvements. Mon gland, sensible, glisse au bord de son sexe.

– Je vais avoir du mal à ma retenir, je suis trop excité !

Constance reprend lentement son souffle. Elle me regarde par-dessus son épaule. Elle semble réfléchir.

– Laisses-toi aller, me dit-elle. J’en peux plus moi non plus, c’est beaucoup trop fort. J’ai envie de te sentir jouir !

Je reprends mes va et viens, mais elle se dégage de mes mains et commence à se retourner. Je la regarde d’un air étonné.

– Je veux te voir jouir, dit-elle pour soulever mes interrogations.

Elle se rallonge face à moi, les jambes écartées, avec un grand sourire. Pendant que je pose mon sexe à l’entrée du sien, elle se redresse et s’appuie sur ces coudes. Le regard braqué sur mon ventre, elle regarde mon gland disparaître dans sa chatte. Je m’appuie sur ses hanches et la tire vers moi. Ma bite entre profondément dans sa chatte, ce qui lui arrache un gémissement. Je commence doucement à aller et venir dans son ventre, et j’accélère brutalement. Elle reverse la tête en arrière et se met à souffler bruyamment. Je sens le plaisir monter rapidement. Mon sexe dur cogne au fonds de sa chatte.

– Je vais jouir !

Elle relève la tête et regarde mon sexe la remplir. La pression se fait de plus en plus forte. Je sens mon sexe tressaillir. Ma tête explose au moment où j’éjacule dans son ventre. De longues saccades de spermes se déversent dans sa chatte. Des bruits de succions accompagnent mes coups de reins. Le liquide blanc enduit ma bite et se répand sur ses petites lèvres.

Elle me regarde en souriant. Je me retire lentement de son sexe dégoulinant et pose ma bite sur son pubis. Elle observe mon gland rougit par l’effort et pose sa main dessus. Je sursaute en gémissant.

– C’est très sensible ?
– Oui !

Elle passe ses doigts dans ses poils et étale les gouttes de spermes qui s’y trouvent. Je reprends ma respiration et elle se relève pour se pencher vers mon ventre. Elle caresse doucement mon sexe enduit de spermes et de mouille. Je me relève et Constance, hésitante, avance son visage vers mon gland et le prend dans bouche. La douceur de ses lèvres me fait gémir. Elle le suçote en me branlant délicatement. Sa bouche est fraîche.

– J’avais envie de goûter, me dit-elle en me regardant.

Je me penche sur elle et l’embrasse. Sa bouche m’offre un mélange de salive, de sperme salé et de sa liqueur amer. Nous nous embrassons de longues minutes avant de nous glissez sous les draps. Constance s’endort presque immédiatement dans mes bras, alors que je me demande comment on va expliquer qu’elle n’a pas passé la nuit dans sa chambre avec les autres filles.

note du Webmaster : Nous avons retenu ce texte très peu « vassilien » en raison de la qualité de son écriture, mais surtout parce qu’il fait partie d’une série.

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