Jour d’été par Mathilda Stenberg

Jour d’été par Mathilda Stenberg

Ce fut un magnifique jour d’été au bord de la mer. Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

Il n’y avait pas grand monde sur la plage. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne, ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour faire trempette. Je me fis sécher un peu aux rayons du soleil.

Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille, réunis toutes mes affaires et retournai tranquillement à mon hôtel.

Mon grand fils de 19 ans n’était pas encore rentré et notre chien était tranquillement allongé sur le balcon. Pour éviter toute irritation causée par l’eau marine, je pris une bonne douche revigorante, m’amusant à pisser sur mes cuisses. Je poussais le vice jusqu’à recueillir un peu d’urine au bout de mes doigts avant de les lécher ! J’adore le goût de ma pisse.

J’enfilait un peignoir et séchai mes cheveux avant de m’allonger sur le lit. Je commençai à faire vagabonder mes pensées qui devirent rapidement plutôt obscènes. En fait j’avais envie de bite ! Je commençai donc à me caresser après avoir retiré le peignoir. J’entamais une petite masturbation qui ne tarda pas à me faire mouiller et gémir.

Ce sont sans doute mes cris qui attirèrent l’attention du chien, qui vint voir ce qui se passait. Je le vis à quelques centimètres de moi, ou plutôt de ma chatte. Voyant que cela l’intéressait beaucoup, je lui fit comprendre qu’il pouvait me la lécher. Chose qui fit sans problème. Hum, si vous saviez à quel point c’est bon !

Puis, en regardant sa queue, je vis qu’il était excité. Je la lui tripotait pour mesurer son degré d’excitation. Elle était grosse, très grosse et bien dure. Et bien évidemment longue. Je la lui léchai un petit peu du bout de ma langue, puis, je mis ma chatte bien au bord du lit et lui fit comprendre qu’il pouvait me pénétrer. Il le fit par instinct, ce n’était pas la première fois. Il me chevaucha violemment et je me mis non pas à gémir, mais à hurler de plaisir tellement que ce fut intense. Hum, j’aime ça. C’est vraiment trop bon. Puis il s’arrêta car il avait eu un orgasme. Il me lécha encore ma chatte. Je me mis par terre et à quatre pattes en étalant ma mouille sur le trou de mon cul. Il compris ce que cela voulait dire. Il m’encula avec sa bite qui était toujours aussi grosse et dure. C’est connu, à force de se faire pénétrer à la chaîne, cela rend le plaisir encore plus intense et cela dure plus longtemps. Je gémis donc toujours autant. Cela dura au moins trois minutes, et pendant ces trois minutes, il me démonta le cul et la chatte une bonne petite dizaine de fois. Mes orifices étaient totalement à sa merci

Mais ce que j’ignorais, c’est que mon fils était dans l’encoignure de la porte laissé entrouverte. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de moi, il se branlait sa jolie queue. Je lui fis signe d’entrer.

Quand il s’avança vers le lit, l’épisode canin était terminé, mais lui, avait envie de baiser. Il me rejoignit sur le lit et se mit à me caresser avec beaucoup de douceur, en faisant rouler entre ses doigts délicats mes gros tétons durcis par le plaisir, il m’embrassa profondément Je m’emparais de sa bonne bite bien raide et la portait en bouche, Quel plaisir de sucer la bite de son fils !

Je lui introduis un doigt dans son petit cul, il adore ça, et le fit bouger aussi vite que possible. Cela dut lui donner des idées car à son tour il se mit à me doigter le cul. Quand il le retira, il le suça avec gourmandise, puis il vint me lécher la rondelle.

– Hum, j’adore le jus de ton cul, maman ! Veux-tu que je t’encule ?
– Oui, mais il faudrait peut-être que j’aille aux toilettes avant.
– Pas la peine, ça n’en sera que meilleur.
– Cochon !
– Oui maman.

Et mon fils m’encula avec vigueur, me provoquant des spasmes de plaisir inouïs.

Un moment il sortit sa bite, toute merdeuse, et je lui proposais de la lécher. Après cette petite toilette bien sympathique il revint dans mon cul et continua à pilonner jusqu’à ce qu’il jouisse.

A nouveau il me tendit sa bite qui cette fois était polluée à la fois par le sperme et par la merde.. Je nettoyais tout cela avant que nous nous embrassions avec passion, tandis que mes sphincters libérés lâchait une masse de matière sur le lit.

Je me sentais merveilleusement bien !

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5 réponses à Jour d’été par Mathilda Stenberg

  1. Charbonnier dit :

    Tous les tabous tombent dans un même texte ! Pas mal

  2. Dominguez dit :

    Superbe illustration du fantasme de l’inceste. On s’y croirait

  3. Chastaing dit :

    Un festival ! Peut-être un peu court, mais j’ai adoré l’épisode incestueux, l’épisode canin n’est pas non plus, illustré d’une photo de toute beauté.

  4. Lucia dit :

    trois fantasmes qui s’enchainent
    Le premier est excellent, le second se lit bien, le troisième fait un peu rajouti

  5. Marylu dit :

    Elle assure, la dame !

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