Sandra et Jennifer
par baiser éternel
Ce jour-là, comme à leur habitude, Sandra et Jennifer se retrouvèrent après les cours au centre équestre du père de Jennifer. Elles étaient toutes les deux passionnées par les animaux, et surtout par les chevaux. Elles s’étaient rencontrées à l’université, toutes deux voulant devenir vétérinaire. Jennifer baignait dedans depuis qu’elle était toute petite : son père était connu dans la région pour ses chevaux. Il possédait un centre équestre avec une école d’équitation, un centre d’activité autour du cheval, un centre de reproduction et avec les études et la passion de sa fille, il avait le projet d’ouvrir une clinique pour chevaux.
Sandra avait depuis toujours une passion pour les chevaux. C’est pour eux qu’elle avait entrepris les études de vétérinaire, malgré ce que cela coûtait à ses parents. Venue d’une famille modeste, elle n’avait jamais approché en vrai un cheval. A l’université, elle avait tout de suite sympathisé avec Jennifer, et ayant toute deux une même passion, beaucoup de points communs, elles devinrent vite amies. Jennifer lui avait appris à monter à cheval, son plus vieux rêve, et Sandra lui en était reconnaissante à vie ! Jennifer était une fille élancée, avec de courts cheveux blonds, des yeux bleus, assez jolie, mais elle avait des manières de précieuses, bourgeoises, qui faisait souvent sourire, voire se moquer, les autres élèves de la classe. Sandra était plus petite, un plus ronde que Jennifer, un peu moins jolie de visage, mais avec de plus jolies formes. Blonde elle aussi, avec des cheveux mi-longs et des yeux noisette, elle était assez mignonne.
Les deux jeunes filles discutaient fringues, garçons… Le weekend passé, le donjuan de la classe, Jack, avait osé les draguer toutes les deux au cours de la même soirée !
– Quel abruti ! fit Jennifer.
– En plus, renchérit Sandra, il m’énerve à se croire toujours supérieur aux filles… quel macho !
– Je le vois encore, puant la bière, me proposer de rejoindre le » paradis » dans sa voiture ! Quel bouffon !
Et les deux filles pouffèrent de rire. Après s’être occupée de la jument que montait Sandra, elles allèrent s’occuper d’Antares, le cheval de Jennifer. Après avoir enlevé sa selle, elles l’amenèrent dans son box, et commencèrent à le brosser. Pour Jennifer, qui connaissait le cheval depuis sa naissance et s’occupait ainsi de lui, c’était des gestes habituels. Mais ce n’était que la deuxième ou troisième fois que Sandra s’en occupait. La puissance du cheval l’impressionnait. Il était beau, avec sa robe noire et sa tache blanche sur le front. Elle aimait sentir la chaleur de l’animal sous sa main.
– Il est vraiment beau ton cheval Jenni !
– Oui, Antares est le plus beau ! Je le connais depuis sa naissance… tu te rends compte, dire qu’il va déjà avoir deux ans !
– Mm… Tu as vu on dirait qu’il nous sourit !
– Oui, il hume ton odeur. Les étalons font toujours ça, il peut ainsi retenir ton odeur. Comme tu l’as déjà approché, il se la rappelle sans doute… regarde, ses oreilles : elles vont vers l’avant. Il est à l’aise, en confiance… tu m’écoutes ?
– …
– Hou hou Sandra ! T’es encore avec moi ?
– Jenni, viens voir !
Jenni fit le tour de son cheval et arriva près de Sandra. Elle vit ce qui avait attiré l’attention de son amie. Antares semblait avoir une belle érection !
– C’est normal ! Si les juments ne sont en chaleurs que quelques mois sur l’année, les étalons sont toujours prêts à se reproduire !
– Je n’avais jamais vu un pénis de cheval ! C’est… grand ! Et beau !
– Sandra, tu es sûr que tu vas bien ?
Doucement, la main de Sandra, qui caressait le flanc du cheval, descendit en-dessous de son ventre. Elle caressa le ventre chaud du cheval, pendant plusieurs minutes, en allant de plus en plus vers ce sexe tendu, jusqu’à ce que le dos de sa main effleure le sexe du cheval.
– Mais enfin Sandra, qu’est-ce que tu fais ?
Sandra n’écoutait plus son amie. Doucement, sa main se tourna et caressa le pénis tendu de l’animal. Une des oreilles du cheval changea de position, montrant qu’il hésitait sur la conduite à tenir. Sandra caressa doucement, avec beaucoup de douceur, le pénis du cheval. Ses oreilles se remirent vers l’avant, montrant qu’il était confiant.
– Sandra, tu es folle ? Tu branles mon cheval !
– Oh, Jenny, c’est un vieux fantasme ! Si tu savais comme j’ai rêvé d’un moment pareil ! Tu as vu sa bite ! Presqu’aussi longue que mon bras ! Et regarde, il semble aimer ça !
Sandra commença à branler l’étalon, avec douceur mais fermeté. Le pré-sperme, très liquide, commença à couler du bout du sexe du cheval, mouillant la main et l’avant-bras de Sandra. Jennifer hésitait entre le dégout et la fascination. Elle avait déjà aperçu une érection de son cheval, mais n’avait jamais osé regarder vraiment. Et maintenant elle voyait cette grande bite noire, au bout plus clair, tendue, mouillant les mains de sa meilleure amie. La chaleur et la moiteur de l’excitation commença à mouiller sa culotte. Sandra accéléra le mouvement de ses mains, et après quelques minutes le cheval sembla s’ébrouer, ou haleter ?, et un sperme blanc, abondant, s’échappa en jets du pénis de cheval, formant une flaque laiteuse au sol.
– Bon sang, fit Sandra, tu as vu tout ce sperme ? Je n’en ai jamais vu autant !
– Heu… bredouilla Jennifer, excitée et le rouge aux joues, arrête de jouer avec mon cheval et vas te laver les mains… aller… file…
Et les filles quittèrent le box, leurs petites culottes trempées… Le lendemain, elles n’en parlèrent pas à l’école, mais se retrouvèrent dans le box d’Antarès après le cours. Au lieu d’installer sa couverture et sa selle, elles le brossèrent, un silence gêné s’installant dans la pièce exigüe.
– Je… je suis désolée pour hier, fit Sandra, pour rompre le silence.
– C’est pas grave, répondit Jennifer après un temps de silence. Le plus grave c’est que j’en ai rêvé cette nuit ! Et que j’en ai à nouveau trempé ma culotte !
– Toi aussi ! J’ai aussi rêvé d’Antares, et j’en ai mouillé grave !
– Il… il… bande encore ?
Les filles, l’une caressant le flanc du cheval, l’autre son ventre, s’abaissèrent. Antares avait une petite érection, moins forte que celle de la veille. Le bout de son pénis sortait à peine de sa cachette. Accroupie face à Jennifer, Sandra regardait ce sexe.
– Je… j’en ai encore envie ! dit-elle. Jennifer acquiesça de la tête. Sandra approcha la main et caressa avec beaucoup de douceur le bout du pénis du cheval. Petit à petit, au fur et à mesure des caresses de Sandra, le pénis se durcit, s’allongea, sortant de plus en plus de sa cachette, grandissant et durcissant à vue d’œil.
– Quelle puissance ! Quel pieu ! Pensa Sandra.
Timidement, elle sentit la main de Jennifer rejoindre la sienne sur la bite tendue de l’étalon. Le pré-sperme recommença à couler du pénis du cheval. Sandra aimait la puissance, la bestialité que dégageait le fier animal. L’odeur forte du pré-sperme l’enivrait. Doucement, elle approcha sa tête du pénis de l’animal. Elle était terriblement excitée. Sa chatte mouillait terriblement, et ses tétons durcissaient si fort qu’on commençait à les voir à travers son chemisier. Elle était irrémédiablement attirée par ce sexe puissant. Sa bouche s’en approcha, et sa langue commença timidement à lécher le pré-sperme sur le bout du sexe de l’animal. Il était très liquide, et goûtait fortement le fer. La main de Jennifer avait disparue, mais Sandra n’en avait cure, elle commença à lécher avec passion le pénis de l’étalon, léchant tout le pourtour du bout du sexe du cheval avec gourmandise. Soudain, elle sentit la présence de Jennifer derrière elle. Les mains de Jennifer se posèrent sur ses seins, les caressèrent, puis doucement, ouvrit les boutons de son chemisier.
– Sinon tu vas le salir, et il va sentir mauvais ! souffla-t-elle dans son oreille. Et nous sommes seules, les employés sont partis et mon père fait sa compta !
Sandra continuait à lécher, et même à sucer le sexe du cheval tandis que Jennifer lui enlevait son chemisier.
– Et tu n’as même pas mis de soutien-gorge ! Cochonne !
Sandra sentit les mains de Jennifer lui caresser les seins. D’ailleurs ceux-ci commencèrent à être mouillés par le pré-sperme du cheval, qui dégoulinait de plus en plus abondamment. Jennifer pinçait les tétons de Sandra, de plus en plus excitée, qui suçait le cheval de plus belle. Puis le cheval s’ébroua, Sandra sentit le pénis du cheval tressauter, et un flot de sperme jaillit dans sa bouche. Il avait un goût très fort, et était tellement abondant qu’elle ne put le boire, et il dégoulina sur son menton, ses seins, son ventre. Elle était trempée de sperme blanc et laiteux. Jennifer, qui avait enlevé son pull et son soutient, plaqua Sandra sur le sol, sous le cheval, et colla ses seins contre ceux de Sandra, puis elle se frotta à son amie, le sperme du cheval maculant leurs ventres, leurs seins.
Au comble de l’excitation, les deux filles s’embrassèrent, puis enlevèrent leurs pantalons d’équitation, baissèrent leurs culottes, trempées, et Jennifer plaqua à nouveau son amie sur le sol, à côté du cheval, enjamba son amie et plongea sur le sexe trempé de Sandra, en 69. Ainsi elle pouvait embrasser sa chatte, la lécher tout en lui offrant sa croupe. Sandra se laissa faire, soupira de plaisir lorsque la langue de Jennifer suçait son clitoris ou entrait dans son vagin, puis elle attrapa la croupe de Jennifer et l’attira sur son nez, sur sa langue. Les deux amies se léchaient mutuellement, se pénétraient de leurs langues avides, roulant dans les flaques de sperme d’Antares…
Après avoir joui assez rapidement, Sandra osa titiller l’anus de Jennifer avec sa langue… Jennifer soupirait de plaisir… la langue fouilleuse de Sandra pénétra l’anus de son amie, tourna dans son cul, puis Sandra mouilla un de ses doigts dans une flaque de sperme d’Antares, puis elle l’introduit dans l’anus de son amie, tout en recommençant à lui lécher le sexe et lui sucer le clito. Elles se firent ainsi jouir plusieurs fois, se léchant, se doigtant, avant de se coucher l’une à côté de l’autre, reprenant leur souffle. Mais Sandra se sentait affamée de sexe, il lui fallait quelque chose de plus… gros, et dur, en elle. Jennifer lui montra Antares, dont l’énorme pénis rebandait doucement. Etait-ce l’odeur des femmes en chaleurs ? Quoi qu’il en soit, son sexe redevint vite long et dur.
– Il me le faut en moi ! fit Sandra. S’il te plaît Jennifer aide-moi, je le veux, je le veux !
Sandra s’approcha du pénis d’Antares, l’embrassa, le lécha, puis se retourna, présentant sa croupe à l’animal.
– Non, pas comme ça, fit Jennifer ! S’il prend les commandes et te monte, il pourrait te tuer. Attends, je vais t’aider.
Jennifer prit le pénis d’Antares dans sa main, et de l’autre écarta doucement les lèvres intimes de son amie. Puis elle masturba et frotta le pénis du cheval contre le sexe de son amie. Assez vite, le pré-sperme du cheval mouilla abondamment la chatte de Sandra, et Jennifer profita de ce lubrifiant pour pousser le sexe de l’animal dans le vagin de son amie.
– Mmmhmmm c’est bon fit Sandra…. Il est si chaud… et mouillée… et grooooos !
Jennifer entra une bonne partie du pénis du cheval dans le sexe de son amie. Excité, Antares, bougeait de plus en plus, mais Jennifer le calmait avec ses mots ou des caresses. Sandra essayait de coulisser le long du pieu du cheval. Il était si gros ! Jennifer jouait aussi du pénis de l’animal comme d’un vibro, et bien vite, Sandra eut un orgasme. Son orgasme fut si violent que son vagin repoussa le sexe de l’animal dehors de sa douce moiteur. Antares se cabra un peu, mais Jennifer le calma. Sandra se redressa, l’entre-jambe trempé de sa mouille et du pré-sperme du cheval, qui dégoulinaient tous deux le long de ses jambes. Elle regarda son amie…
– A toi maintenant ! Tu vas voir c’est une expérience unique ! Quel sexe ! Quel grosseur, quelle impression d’être totalement remplie !
– Je ne sais pas, fit Jennifer, j’ai un plus petit vagin que toi, plus exigu…
– Attend, j’ai une idée, fit Sandra.
Elle mit des bottes de foins sous Antares, et y fit coucher Jennifer, jambes repliées vers sa tête, son sexe humide face au sexe tendu du cheval. Puis elle amena le sexe du cheval contre le sexe de son amie, puis dans son con ainsi ouvert. Celle-ci sentit ce sexe tiède et trempé entrer en elle. Il était si gros, si épais. Elle eut un peu mal eu début, mais son vagin s’y fit vite, et un plaisir immense s’en suivit, d’autant que tout en enfonçant la bite énorme du cheval dans le vagin de son amie, Sandra ne pouvait s’empêcher de lécher la croupe de Jennifer tout offerte, puis de lui doigter l’anus. Jennifer avait un si petit vagin que le doigt de Sandra dans son cul pouvait sentir le contour de la bite du cheval dans le vagin de son amie. Jennifer eu vite un orgasme, mais forte de l’expérience, Sandra poussa encore plus l’énorme pénis du cheval dans le sexe de son amie, qui cria de plaisir, et eut un second orgasme spontané car Antares éjacula en elle…
Pour Jennifer, sentir cette énorme bite se cabrer en elle, et les flots de sperme tiède la remplir, puis déborder de son sexe, et la langue de Sandra qui léchait le sperme du cheval qui coulait à même son sexe fut la plus grande expérience sexuelle qu’eut la jeune fille dans sa vie…
Trempées de sperme et de mouille, épuisées des orgasmes successifs, Sandra et Jennifer terminèrent de bichonner Antares, allèrent prendre une douche, et rentrèrent chez elle pour s’effondrer dans leurs lits, endormies…
A partir de ce jour, les deux filles ne se quittèrent plus. Elles rendaient souvent visite à Antares. Sandra apprit à contrôler ses fellations et put bientôt boire avec gourmandise le sperme d’Antares. Nue, elle jouait aussi à se tremper avec l’abondant sperme du cheval. Elles rééditèrent plusieurs pénétrations, et Sandra essaya même une pénétration anale. Mais peu habituée aux sodomies, autre que le doigt de Jennifer, le pénis du cheval fut trop gros pour son petit anus. Elles ne s’aimèrent jamais autre-part que dans le box d’Antares, et en mêlant l’étalon à leurs jeux sexuels.
Elles eurent toutes deux leurs diplômes avec grande distinction, et ouvrirent la clinique dont rêvait le père de Jennifer. La clinique connu un grand succès, et sa renommée dépassa les frontières du pays. Jennifer tenta un mariage, mais celui-ci fut une catastrophe et ne dura pas deux ans. Sandra préféra les femmes, et continua à aimer les animaux, s’essaya aux chiens, mais rien ne lui donna plus de plaisir qu’un énorme pénis de cheval. D’autant plus que ses aventures féminines ne donnant rien de sérieux.
Un jour, lors de la soirée anniversaire des 5 ans de la clinique, Jennifer lui offrit un cadeau. Rentrée chez elle, Sandra le déballa et découvrit un godemiché en forme de pénis de cheval, et ce mot » Nos jeux du temps d’Antares me manquent tant… « . Elles se retrouvèrent le même soir, s’aimèrent avec passion… et ce sexe de cheval là put enfin franchir l’anus de Sandra…
De ce jour, elles ne se quittèrent plus.
Cheval dire à ma mère 😍
Avec un chien je l’ai fait mais avec un cheval, j’avoue ma perplexité
Ça donne envie d’essayer mais encore faut-il en avoir l’occasion
Whaoou ! Elle est sévère celle-ci !
Whaouh ! J’en suis toute tourbichonée !
Bien écrit, le ton est respectueux, doux, de la zoo comme ça, je veux bien en lire tous les jours !
Joli récit sans surenchère crado ! Bravo !