– « Quand j’ai un coup dans le nez, ça me donne de drôles d’envies et de drôles d’idées, » Ai-je confessé à mon amie.
– « Ne te gêne pas si plus tard, t’as envie de me tâter et de me faire du doigté, » A répliqué Marie du tac au tac.
De toute évidence, elle ne plaisantait pas du tout. En plein milieu de la nuit, j’ai émergé des brumes de l’alcool et j’ai compris que Marie se masturbait à côté de moi. Tout d’abord, comme si de rien n’était, j’ai fait semblant de sommeiller. Ceci dit, je me régalais en écoutant sa respiration haletante et le clapotis de ses doigts qui rentraient et sortaient de sa moule dégoulinante. Puis, j’ai décidé de passer aux actes en sortant à tâtons le vibromasseur du tiroir de ma table de nuit. Après l’avoir trouvé dans l’obscurité, je l’ai enclenché. Marie s’est arrêtée sur le coup et j’ai alors allumé la lumière de chevet pour bien lui montrer en détail ce que je faisais.
– « Tiens, je crois que t’en as besoin, » Ai-je soupiré en lui donnant le gadget. « Fais comme chez toi! ».
– « Je suis chez toi mais je vais t’obéir, ma chérie, » A répondu Marie en saisissant le vibromasseur qu’elle s’est glissée dans la chatte sans plus de préambules.
« C’est maintenant ou jamais, » Je me suis dit en glissant lentement sous les draps pour descendre lui lécher le clito tandis qu’elle se branlait avec le gode. Elle a laissé échapper un petit cri qui m’a surprise mais, lorsque j’ai fait mine de m’arrêter, elle m’a dit de continuer sur ma lancée. Ma langue faisait littéralement vibrer Marie et mes papilles se régalaient en dégustant sa cyprine capiteuse. Quand j’ai senti ses muscles se tendre tout d’abord puis se raidir soudain, j’ai augmenté la fréquence de mes lapements en titillant son clito de plus belle jusqu’à ce qu’elle orgasme en pressant mon visage contre son intimité frémissante. M’étant délecté de son intimité, j’ai remonté jusqu’à sa poitrine pour mordiller tendrement ses seins alors qu’elle reprenait sa respiration. Marie m’a attirée contre elle et nous nous sommes embrassées longuement et tendrement. Elle avait toujours le gode dans la moule et elle m’a roulé des pelles voluptueuses pour mieux goûter sa cyprine sur mes lèvres et sur ma langue. Je savais déjà qu’on désirait aller plus loin toutes les deux. Marie voulait me rendre la pareille et m’a demandé de lui grimper dessus pour qu’elle puisse me faire minette dans cette position. Je n’ai pas hésité et j’ai bien écarté mes jambes pour que sa langue puisse bien s’insinuer dans ma fente. Une fois que je me suis retrouvée à cheval sur elle, Marie a pris la situation en main; elle a retiré l’engin phallique de son vagin et elle s’en est servie pour me taquiner l’oeillet tout en continuant à me lécher. J’ai vite compris que ce soixante-neuf improvisé était destiné à me faire jouir aussi vite que possible. J’avais à peine commencé à rebouffer la motte de Marie qu’elle a introduit l’extrémité du vibromasseur dans ma rondelle.
C’était trop, j’ai orgasmé comme une possédée en manquant chavirer du pieu. Nous avons passé le reste de la nuit et la matinée du samedi à explorer les recoins de nos deux corps en chaleur. Depuis, nous nous retrouvons régulièrement après le boulot pour fauter ensemble. Jusqu’à présent, mon mari ne se doute de rien. S’il est dans les parages et que j’ai envie de voir mon amie, je lui dis que je fais des heures supplémentaires et, avec Marie, on se gouine dans les chiottes ou dans le bureau de sa supérieure. Si mon époux est en déplacement, c’est génial car Marie peut venir chez moi pour ne pas trop éveiller les soupçons. J’irais bien chez elle mais, si mon mari découvrait que je découche, ça risquerait de lui mettre la puce à l’oreille. Pourtant, je dois l’avouer, je fantasme de temps en temps à l’idée qu’il pourrait nous surprendre en flagrant délit. Marie apprécie elle aussi cette idée mais, jusqu’à présent, on n’a pas eu l’occasion de mettre notre plan en opération. Qui sait, peut-être un jour prochain ?
C’est a peine commencé que c’est déjà terminé
J’ai bien aimé et la photo est titillante, j’aime beaucoup le visage de la lécheuse
Un peu vite expédié, mais pas désagréable