Melina, travesti amateur
5 – Travestisme in Paris
par Melina
L’autre mercredi, je me suis rendue à Paris. J’avais rendez-vous avec Gérard, un de mes anciens amants à l’hôtel. Nous avions choisit un hôtel dans le Marais car le soir je désirai me rendre dans un club privé situé dans ce quartier
Donc, je suis arrivée à l’hôtel, je me suis ruée dans la salle de bain, ai pris une bonne douche, et j’ai commencé à me préparer pour sa venue. Je me suis maquillée, mise une guêpière, bas, bottes, pull, jupe courte, bijoux, etc…
Gérard arriva vers 14 h 00. J’ouvris la porte de la chambre et il entra vite fait. Il se colla immédiatement à moi et m’embrassa avec fougue, ses mains me pelotaient entièrement. Une de ses mains glissa rapidement sous ma jupe et un doigt se faufila immédiatement entre mes globes fessiers pour aller titiller mon petit nid d’amour…
Je commençais à le déshabiller, je fis glisser ses vêtements les uns après les autres, et il se retrouva très vite avec le slip et le pantalon sur les chevilles… Je me mis donc à ses genoux et je pris en moi sa queue qui bandait dure… Ma bouche allait et venait sur sa belle bite, et en même temps, je lui retirai ses chaussures et lui enlevai son pantalon et son slip.
Il me redressa, relava ma jupe et pris mon clito en main, il me branlait lentement et je fis de même pour lui. Il m’attira contre lui, et nous nous embrassâmes de nouveau goulûment. Il nous fit tomber sur le lit et nous continuâmes à nous caresser. Ses mains retirèrent mon pull et il me caressa les seins, me les pinça, et sa bouche vint me les lécher avant de me les mordiller… je bandais de plaisir.
Sa bouche continua de descendre et elle prit mon clito en elle. Se déplaçant, il vint mettre sa queue en face de ma bouche et nous nous suçâmes mutuellement. Me relevant les fesses, sa langue se glissa entre elles et vint me lécher mon petit trou… Il me l’enfonçait lentement en moi… c’était bon, sa queue dans ma bouche et sa langue sur mon cul… Revenant à mon clito, il remplaça sa langue par son doigt et me baisa avec. Je lui en fis autant. Et je le sentis se raidir et il déchargea son sperme dans ma bouche. Ayant jouit, il se laissa retomber sur le côté et abandonna mon clito…
Allongé sur le dos, il respirait fort. Je lui caressai les seins, les lui titillai avec ma langue et les lui mordis, avec ma main, je branlai sa queue qui était un peu molle… Puis, miracle de la nature, je sentis sa queue reprendre de la consistance dans ma main… je plongeai immédiatement dessus pour lui donner plus de vigueur. Ma langue agaçait son méat, de mes mains, je lui caressai ses couilles et sa bite redevint dure.
Je me mis au-dessus d’elle, et je m’empalai vite fait. Je la sentais en moi, et prenant appui sur mes jambes je montais et descendais sur elle. Oui, elle me remplissait bien. Mais, malheureusement, il ne tint pas la distance et jouit en moi avant que je prenne mon pied… Je sentis sa queue ramollir en moi, bien que j’essayais de la garder prisonnière grâce à mes muscles internes… mais elle me quitta en me laissant son sperme en moi. Celui ci se mit à couler de mon cul, alors je présentais mon cul à Gérard, m’assieds sur lui et il me lava le cul de son sperme, tandis que moi, me penchant sur sa queue je la lui nettoyais de son sperme et de ma mouille.
Gérard, s’assoupit et je me blottis contre lui. Il me tenait entre ses bras, j’étais bien. Mais, j’avais encore envie de baiser moi. Je me relevai, pris mon téléphone et allant dans la salle de bain, j’appelai Pablo pour savoir s’il viendrait ou non pour me rencontrer. Répondant par l’affirmative, je lui donnais les coordonnées de l’hôtel et le numéro de la chambre, mais il m’annonça qu’il ne pourrait être présent que vers 20 h 00.
Gérard, m’entendant parler, ouvrit la porte de la salle de bain et écouta la conversation. Il me dit que j’étais vraiment une salope qui n’était jamais satisfaite… ce que je lui confirmais en me mettant à ses genoux et en embouchant sa queue… Il me prit la tête entre ses mains, et me baisa dans la bouche. Dans un dernier mouvement, il s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge pour jouir dans celle ci… Son sperme était en moi et je l’avalais avec un plaisir non feint, bien qu’il m’ait fait un peu mal en violant le fond de ma gorge… mais je suis une sainte pour eux… je sais être une martyre du sexe !
Il m’annonça qu’il ne pouvait rester plus longtemps et qu’il allait rentrer chez lui… Que sa femme l’attendait ce soir, moi je pensais que nous allions passer toute la nuit ensemble avec Pablo… les avoir les deux ensemble. Bon, je m’adapterai.
Il me quitta donc pour rejoindre son épouse qui ne le suce pas et qui n’aime pas se faire mettre dans le cul… Elles ne savent pas ce qu’elles perdent !
Je décidais de prendre une douche, pour retirer la sueur de nos ébats, afin d’être vierge pour Pablo. Ma douche prise, je me préparais à nouveau pour m’offrir aux assauts de mon amant.
A 18 h 30, je sortis de l’hôtel pour aller m’acheter des cigarettes au bureau du coin et prendre un café. Personne ne fit attention à moi, et j’en étais heureuse car dans le coin, il y avait pas mal de flics… je n’aurais pas aimée être arrêtée.
Je retournais à l’hôtel, et je vis qu’une fille attendait devant l’entrée. La manière dont elle se tenait et ses fringues me firent vite comprendre qu’elle attendait le client… Mon hôtel devant servir pour des rencontres tarifées… Je lui fis un grand sourire et elle me le rendit. Je montais donc dans ma chambre et attendit Pablo.
Il arriva vers 21 h 00. Il est très grand et pas mal physiquement. Il m’attira à lui et me passa aussitôt la main sous ma jupe… Il me caressa les fesses et je tendis ma croupe pour lui faciliter le travail. S’écartant, il s’installa sur le lit, et retira sa veste et sa chemise. Moi, je m’occupai de sa ceinture et de son pantalon que je lui enlevais. Nu, il s’allongea et je me penchais sur lui. Je commençais à lui lécher un sein et lui pincer l’autre, puis, je lui léchais tout le torse et continuais en descendant vers sa queue. Je déposais un baiser dessus, puis la laissant, je lui pris les couilles, l’une après l’autre dans ma bouche. Il avait l’air d’aimer. Je les abandonnais pour aller lui lécher son petit cul. Remontant, je pris enfin sa queue en bouche. Je le suçais lentement et avec art. Je la sentais bien dans ma bouche, puis, je la laissais pour lui prendre les poils pubiens en bouche. Je tirais lentement dessus, je l’entendais gémir en disant que c’était bon, qu’il ne connaissait pas cette caresse, que j’étais une bonne salope… Je lui agaçais son petit trou avec un doigt tout en continuant à lui prendre les poils avec ma bouche, quand il s’écria qu’il allait jouir à cause de cela. Je pris vite sa bite en bouche et il m’envoya une superbe giclée de sperme sur la langue… Il s’excusa en me disant que si je ne lui avais pas fait cette caresse, il m’aurait bien baisé, mais que là je lui avais pompé tout ce qu’il avait.
Comme il était près de 22 h 00, nous décidâmes de nous rendre au club car ce mercredi il y avait soirée « troisième sexe ». Arrivés devant la porte, je sonnais et on nous fit entrer. Il y avait déjà du monde qui dînait. Pablo paya les entrées et nous nous installâmes sur un canapé en attendant que la soirée commence. D’autres » filles » entrèrent et nous fîmes connaissance en papotant entre nous. Puis, des hommes seuls arrivèrent et commencèrent à loucher sur nous toutes.
Au bout d’un moment, on nous précisa que nous pouvions monter à la discothèque… Nous y allâmes et commandâmes chacun un whisky coca. Je visitais l’endroit et je vis une pièce avec douche, toilettes et des salles avec matelas pour s’amuser. Chaque mur ayant des ouvertures pour les voyeurs… Je commençais à sentir des tressaillements sous ma jupe. Je rejoignis Pablo. Sa main était posée sur ma cuisse et glissait sans retenue sous ma jupe. Un sexagénaire fixait la main de Pablo me pelotant.
Ayant besoin d’aller aux toilettes, Pablo s’absenta un instant et le petit vieux posa sa main sur ma cuisse découverte et caressa mon clito qui avait fier allure… Je posais la mienne sur sa braguette et lui caressais sa queue. Il me demanda si je voulais le sucer. J’acceptais, puisque je voyais que Pablo s’était arrêté en chemin pour mettre la main au cul d’une belle salope blonde. Je me levais et me dirigeais vers les toilettes, le mec à mes trousses. Arrivée aux toilettes, je me retournais face à lui, me mis à genoux et lui pris la queue en bouche, car il l’avait déjà sortie. Je le suçais avec avidité et il me jouit sur le visage très vite. Je me relevais et me nettoyais. Il me proposa un verre pour me remercier, j’acceptais. J’allais donc descendre quand une fille qui était montée me mit la main aux fesses en me disant que puisque j’étais une nouvelle, elle voulait voir comment j’étais. Je me retournais sur elle, c’était la blonde de tout à l’heure. Elle portait un ensemble en cuir qui la moulait très bien. Elle m’attira à elle, et m’embrassa pleinement. Sa langue se mélangea avec la mienne immédiatement et firent un superbe ballet entre elles.
Elle me retroussa, et soupesa mon clito en connaisseuse. Je lui en fis autant et je me penchais sur le sien pour lui sucer. Elle bandait bien et je lui arrachais une giclée de son foutre. Me relevant nous nous embrassâmes…
Redescendue, je vis que Pablo était entrain de danser au milieu d’un groupe de filles plus jolies les unes que les autres.
A ce moment là, arrivèrent sur la piste deux merveilleuses créatures » Estelle et Véronique » La première commença à faire son show et prit la piste pour elle seule, toutes les filles l’admirant et la jalousant car elle est tellement parfaite.
Puis, Pablo leur présenta ses hommages et leur dit que je les admirais en silence. Elles m’appelèrent et lorsque je me présentais à elles, elles me reconnurent. On s’était déjà parlé par le Net et elles avaient vu mes photos… J’étais aux anges ! Des filles comme elles qui se rappelaient de moi… J’en mouillais de plaisir. Nous discutâmes un peu entre nous, puis un mec arriva leur parla et elles durent s’éclipser.
Pablo m’annonça qu’il devait rentrer chez lui et qu’il avait envie de me baiser avant de prendre la route.
Nous quittâmes ce lieu enchanteur pour regagner l’hôtel. En montant à notre chambre, nous rencontrâmes une professionnelle qui descendait avec un client et sur notre palier un grand noir qui me reluqua sérieusement… Pablo ouvrit la chambre et je le suivis. Comme il était assez pressé, je me mis directement en position de la levrette, il me retroussa, se mit face à moi pour que je le suce un peu et il en profita pour m’enfoncer un doigt dans le cul, puis retirant sa queue de ma bouche, il vint se placer derrière moi et il m’encula de toute la longueur de sa queue. Il me pilonna vigoureusement et jouit en moi, enfin dans la capote qu’il avait mise. Je la lui retirai et lui nettoyais la bite avec ma bouche.
Puis, je le raccompagnais dans le couloir, il m’embrassa et parti. Le grand noir était toujours là, je le fixais en me léchant les lèvres, et retournais dans ma chambre tout en balançant des hanches, entrais dans la chambre et ne fermais pas la porte. Je me dépêchais de retirer mon pull et de faire glisser ma jupe. J’eus juste le temps de m’allonger langoureusement sur le lit, lorsque la porte s’ouvrit et que ce beau noir entra. Il referma, lui, la porte. Il s’approcha du lit et il ouvrit sa braguette pour me montrer sa grosse queue… Je n’en avais jamais vu pour de vrai des queues noires… J’en déglutis d’avance, et me redressant un peu je la lui pris entre mes mains. Je la soupesais, la caressais et n’y tenant plus je l’engobais avec délice. Elle était un peu molle, mais pris très vite un aspect de gourdin qui me laissait entrevoir une superbe baise…
J’avais envie de lui, il restait debout sans rein faire, juste se laisser sucer. Je quittais donc sa queue et me couchant sur le dos, je relevais mes jambes et là en rigolant, il s’approcha de moi, se mit en place et m’enfonça lentement son sexe en moi… Il en avait un grand et gros, je le sentais me remplir totalement, il avait vraiment une bite de cheval… Sa queue se mit à faire des « aller et retour » en moi et je me mis à jouir comme une vraie salope. Je gémissais, le griffais, je jouissais… Alors, lui aussi devant jouir, il se retira de mon cul et me présenta sa queue pour jouir dans ma bouche. Son sperme épais gicla en moi et je l’avalais sans en perdre une goutte.
Il se releva et me dit que j’avais un bon petit cul et que si je voulais, il pouvait me trouver des copains pour me le remplir. Je lui ai répondu que j’étais très intéressée, surtout si ces copains étaient tous aussi bien montés que lui, mais pour la prochaine fois que je viendrais me faire baiser à Paris.
Il me quitta, et étant crevée, je m’endormis avec plein de rêves où je me gouinais et m’offrais à tout le monde au club.
Je promets d’y retourner et de m’y éclater totalement la prochaine fois ! Qu’est ce que je suis cochonne, hein ?
Bisous
Désolé mais cette histoire malgré le lustre de détails est carrément inférieure aux chapitres précédents. Ici ce n’est que de la mécanique, on s’emboite, on se déboîte et on se remboîte, très peu pour moi .
J’aime beaucoup le ton de cette histoire, très décalé, très décontracté et finalement très excitant