Martinov 25 – Les agents secrets – 8 – Deux hommes pour Béatrice par Maud-Anne Amaro

Martinov 25 – Les agents secrets – 8 – Deux hommes pour Béatrice par Maud-Anne Amaro

Mais auparavant, il faut que Gérard prenne connaissance de l’intégralité du dossier, aussi file-t-il chez le professeur Martinov qu’il invite au restaurant le midi en compagnie de Béatrice, bien évidemment.

– Une Russe, donc ! Commente Martinov, elle m’avait affirmé qu’elle était tchèque…
– Tous les espions russes ont un passeport tchèque ou slovaque… Et ce gaz, tu as une idée de ce que c’est ?
– Non j’ai bouquiné un peu, hier soir, je n’ai pas trouvé grand-chose, sauf un composant qui agit sur l’hypophyse… Répondit Béatrice
– Et ça ferait quoi ?
– Je n’en sais rien, ce n’est qu’un des composants du mélange, je suis chimiste, je peux reconstituer le machin, après la biochimie ce n’est pas ma spécialité.
– Ça pourrait être une arme chimique, donc ?
– Ça pourrait…
– Il vous a dit quoi le mec du CNRS ?
– Il nous a raconté n’importe quoi, dans un premier temps c’était un insecticide, ensuite un produit pour les plantes, à la finale il nous a fait croire que c’était un gaz lacrymogène sans effets secondaires.
– Et il vous a fait croire ça comment ?
– Il a balancé le gaz sur sa secrétaire, ça l’a fait juste un peu tousser. Mais ce n’était pas le bon gaz…
– O.K, il y a autre chose qui pourrait me servir à enquêter ?
– Je ne vois pas non…

On parla donc de choses et d’autres pendant le repas et puis…

– On prend le café ici, ou chez vous ? Demanda Gérard, l’œil coquin.
– Aurais-tu tes intentions salaces ? Rétorqua gentiment Béatrice.
– Je ne sais pas si on peut appeler ça salaces ? Appelons ça « coquines », ce sera mieux.
– Partante ? Demande le professeur à Béatrice.a
– On ne va pas lui refuser ça !

Les choses ne trainent pas, tout le monde en avait envie, on ne passe même pas par la case « café », non on se déshabille en chœur et en vitesse.

– Tes seins sont toujours aussi beaux ! Commente Gérard à l’attention de Béatrice
– T’a vu, hein, caresse-les, léché-les, tu sais bien que j’adore ça !

L’homme ne se le fait pas dire deux fois et exhibe une jolie bite pour l’instant demi-molle mais que quelques mouvements masturbatoires la rendent raide comme il se doit.

Spontanément Martinov et Béatrice s’en viennent sucer ce bel organe.

Après quelques minutes de léchage sur l’air de « passe-moi la bite » Béatrice laisse le professeur continuer seul et s’en va fureter du côté des fesses de leur invité, elle lui écarte les fesses et vient lui lécher l’anus. Il adore ça, le bougre.

– Alors mon petit professeur ! Dit-elle à ce dernier, il y avait longtemps que tu n’avais pas sucé de la bite !
– Fouff, fouff (ben oui on ne parle pas la bouche pleine)
– N’allez pas trop vite les enfants, il n’y a pas le feu ! Fais remarquer Gérard qui craint de jouir prématurément.

Du coup Martinov se sent obligé de cesser sa fellation, tandis que Béatrice qui a remplacé sa langue par son doigt pilonne allègrement le trou du cul de Gérard.

– Tu m’encules ? Lui demande Martinov.
– Mais bien sûr mon vieux cochon, mais après on inversera les rôles.
– On va prendre mes petites pilules miracles, sinon on ne va pas tenir la distance.

Distribution de pilules, même Béatrice en prend une alors qu’elle n’en a pas forcément besoin, mais les effets secondaires du produit ont tendance à l’amuser.

Le professeur s’est positionné en levrette sur le tapis. Gérard s’encapote et le sodomise à la hussarde.

– Je ne te fais pas mal ?
– Non c’est bon !

Béatrice a déjà par maintes occasions eu l’occasion d’assister aux fantaisies bisexuelles de Martinov, mais le spectacle la fascine toujours et l’excite profondément. D’ailleurs elle mouille déjà comme une fontaine.

Elle contourne les deux hommes de façon à ce que sa chatte soit toute proche de la bouche de Martinov. Il n’a plus qu’à lécher ! Figure de style pas si évidente que ça parce que les coups de boutoir qu’il reçoit derrière l’empêche de bien diriger sa langue.

Béatrice se met donc en retrait et se paluche en profitant du spectacle qui se conclut par la jouissance sonore de Gérard.

On fait un petit break, Béa prévoyant les effets secondaires des petites pilules a apporté deux bouteilles de jus de fruits en espérant qu’elles seront suffisantes. Mais aussi une grande serpillière.

Et puis, ça y est le produit agit. Béatrice s’élance en direction de Gérard avec une telle fougue qu’il manque de tomber à la reverse.

– Je veux ta bite ! Lui crie-t-elle, les yeux exorbités.
– Tu es sûre que tu n’as pas dépassé la dose ? Lui demande le professeur.
– Non, je n’ai pris que deux pilules.
– La dose c’est une, pas deux !
– M’en fous ! Amenez vos bites ! Je les veux toutes entières dans ma bouche !

Pour le coup Béatrice est bien présomptueuse, elle n’a quand même pas une si grande bouche que ça ! En fait elle se contente de sucer les deux mâles sur l’air de « un coup l’un, un coup l’autre ». Mais elle stoppe tout brusquement.

– Break ! Je vais faire un break ! J’ai trop soif et j’ai envie de pisser.

Pour la soif, il y a ce qu’il faut sur la table. Quant au reste.

– Qui veut goûter au bon pipi à Béatrice.

Les deux cochons lèvent le doigt comme à l’école, et s’affalent promptement sur la grande serpillère.

Martinov étant habitué à pratiquer ces petits jeux humides avec Béatrice, c’est vers Gérard que la jolie chimiste se dirige, elle le chevauche, opère une flexion des genoux de façon à ce que sa chatte soit en contact avec sa bouche… et c’est parti, il en reçoit plein dans le gosier.

– Et moi alors ! Rouspète le professeur.
– Bouge pas ! Lui répond Gérard, moi aussi il faut que je pisse !
– Tu ne vas pas me pisser dessus, quand même ?
– Et pourquoi ?
– Parce que je préfère la pisse des femmes !
– Ah, bon, il y a une différence ? Arrête de faire ta chochotte et ouvre ta bouche.

Le professeur accepte le pipi de son ami, mais n’a d’yeux que pour son bel organe.

– Qu’est-ce qu’elle belle ta bite !
– Tu l’as déjà sucé tout à l’heure…
– Juste un peu !
– Vas-y !

Et il se jette dessus comme un moine qui n’aurait pas sucé pendant vingt ans.

– Vous n’êtes que des gros cochons de pédés lubriques ! Leur balance Béatrice
– Et ta sœur ! Lui répond Gérard avec un sens rare de la répartie.

Béatrice tourne autour des deux hommes se demandant comment transformer ce duo en trio.

– Pas si vite, je sens que je vais venir ! Prévient Gérard.
– J’en veux aussi ! Intervient Béatrice qui cherche à immiscer sa langue.

Gérard se recule pour éjaculer, le jet abondant atterrit sur les visages de Béatrice et du professeur qui se lèchent la bobine afin de récupérer ce délicieux sperme.

Les hommes en sueur vont s’abreuver copieusement, puis Gérard qui attendait ce moment depuis le début offre son cul.

Martinov est dans ce genre de relation plus passif qu’actif, mais sait faire jouer la réciprocité. Et puis de toute façon il est en rut !

Il s’encapote prestement, oublie de lubrifier et tente d’entrer. C’est un peu difficile, il se reprend lui lèche l’anus, puis recommence, cette fois ça passe bien. Un bon coup de rein, et la bite s’enfonce et c’est parti pour une série de va-et-vient.

Béatrice contrariée d’être laissée pour compte, est allé en cuisine explorer le réfrigérateur du professeur.

Bonne pioche ! Le bac à légumes contient un magnifique concombre. Ainsi que quelques carottes parmi lesquelles elle choisit la plus longue.

Elle revient dans le salon avec ses légumes et quelques instants plus tard se fait un numéro de marchande de quatre saisons avec un concombre dans la chatte et une carotte dans le cul.

Et vas-y que je t’agite tout ça en miaulant comme une chatte en chaleur (c’est le cas de le dire) Et pendant ce temps Martinov n’arrête pas de pistonner Gérard et même qu’il commence à fatiguer sévère.

– Eh ! Pourquoi tu me laisses en plan ! Proteste Gérard alors que le professeur décule.
– On va s’installer autrement, j’ai comme une petite fatigue !

Martinov s’assoit dans un fauteuil et invite son partenaire à venir s’empaler l’anus dans cette position…

– C’est-y pas malheureux de voir ça ! Deux mecs qui s’enculent comme des vieilles tantouzes alors que la belle fille que je suis en est réduit à jouer la marchande de quatre saisons ! S’exclame Béatrice.

Mais personne ne lui répond. Le professeur le visage congestionné et les yeux exorbités jouit dans le fondement de Gérard lequel se retire pour aller s’abreuver.

Mais Béatrice ne lui laisse pas ce temps, abandonnant ses godes biologiques, elle se précipite sur lui et lui gobe la bite.

– Eh doucement ! Proteste l’homme.
– Couche toi par terre je m’occupe de tout !
– Mais j’ai soif !
– Attends un peu !

Elle le pousse et malgré sa forte constitution, Gérard se retrouve sur le sol. Et sans qu’il ne réalise Béatrice s’empale la chatte sur sa bite et commence des mouvements de montée-descente.

– Viens Martinov ! Il reste une place.

Le pauvre professeur n’en peut plus, il s’approche du couple et incapable de se retenir davantage, il se met à pisser de tout son saoul.

Il a quand même la fantaisie de diriger son jet vers les deux copulateurs. Voilà qui tombe bien, Gérard avait soif.

Mais voici qu’il rebande déjà (merci les petites pilules) Alors il change da capote et vient avec l’intention de combler le trou décidemment très accueillant de sa collaboratrice. Mais auparavant il le lui lèche ! Que voulez-vous ? Il a beau le connaitre par cœur ce petit trou du cul, il ne peut pas s’en empêcher.

La double pénétration dure quelques minutes, le temps que ces messieurs-dames jouissent

Les deux hommes sont exténués, de nouveau ils se désaltèrent.

– Eh bien quelle séance ! Commente Gérard.
– Ce n’est plus de mon âge ! Réplique le professeur. On dirait que l’effet des pilules est terminé.
– Ben oui je ne bande plus !
– On va se reposer un peu.

Mais que croyez-vous que fit Béatrice qui était encore sous l’effet de sa double dose ? Elle continua pendant un quart d’heure à jouer avec ses légumes !

A suivre

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2 réponses à Martinov 25 – Les agents secrets – 8 – Deux hommes pour Béatrice par Maud-Anne Amaro

  1. Muller dit :

    Beatrice, ma coquine préférée !

  2. Stablinski dit :

    Quelle santé cette Béatrice !

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