Huit heures du soir, ma journée d’homme se termine, un rasage de prés, une douche, la vraie vie va enfin commencer. Au programme, s’habiller, se maquiller, attente de Vanessa puis durant quatre heures je serais Martina.
S’habiller :
De ma commode, je sors une paire de bas autofixants neuve couleur « peau bronzée », un plaisir toujours renouvelé d’enfiler ces bas faisant une jambe galbée et soyeuse, je mets une petite culotte de dentelle noire laissant entrevoir mon « clito » ; de mon armoire, je sors une minijupe genre mini kilt, j’enfile cette minijupe plissée courte à souhait qui met en valeur mes jambes. Je chausse mes bottes à talons de huit centimètres qui me font une jolie jambe galbée et permettent une marche aisée et féminine. Pour le haut un soutien gorge noir retient ma poitrine de silicone qu’un –tee-shirt moulant va mettre en valeur.
Se maquiller :
Un fond de teint doré recouvre mon visage, maquillage des yeux, fixation des faux cils, rouge à lèvre, fixation d’une perruque aux cheveux naturels longs et ondulés de couleur châtain avec mèches blondes. Mes boucles d’oreille créole de grand diamètre, un joli collier tour de cou en perles nacrées, le bracelet assorti, quelques bagues, je suis prête.
Devant la grande glace :
Non ce n’est plus un rêve, cette fille magnifique, c’est moi, la taille est fine, la minijupe évasée s’ouvre sur des longues jambes chaussées de bottes bien galbées à talons relevant une jolie croupe, le tee-shirt est tendu par une jolie poitrine, le visage est maquillé avec soin, les cheveux sont bien coiffés. Quel bonheur !
Devant cette fille de rêve ma main rejoint mon clito pour lui donner un peu de plaisir, pas trop il ne faut pas déjà aller vers le septième ciel, la soirée ne fait que commencer.
Je soulève ma jupe, ma croupe s’offre à la vue, j’écarte mon string mon doigt recouvert de gel pénètre à maintes reprises mon petit orifice qui petit à petit se met en attente. J’y glisse un gode en forme de pénis de dimension respectable que je tiens par les testicules pour l’enfoncer avec de multiples va et vient dans mon petit trou, quel plaisir. Je remets mon string en place, ma mini retombe et cache mes fesses, je marche un peu en me tortillant du cul pour sentir aller et venir cet objet qui viole mon intimité.
On frappe, toute excitée, j’ouvre c’est Vanessa, nous avions rendez vous, Vanessa est mon alter ego, nous avons les mêmes goûts et les mêmes envies, elle a revêtu une jupe en cuir noire très courte, légèrement évasée pour un accès aisé à son intimité, des escarpins à talons hauts, des bas transparents légèrement foncés, un chemisier blanc entrouvert laisse entrevoir la naissance de ses seins, ses longs cheveux bouclés retombent sur les épaules.
Nous nous embrassons longuement serrées l’une contre l’autre, nos langues vont et viennent dans nos bouches, nos mains caressent nos clitos, c’est bon de se retrouver.
Il est 9 heures, nous enfilons nos petits blousons sexy et sortons, le temps est frisquet, un petit vent frais remonte sous nos jupes, la mienne virevolte laissant apparaître la jarretelle d’un bas, la naissance d’une fesse potelée, nous sommes dans une rue passagère, c’est notre lieu de vie le soir, offertes aux regards indiscrets nous attendons les offres.
C’est bon de voir le regard des hommes fixés sur nos jambes dévoilées, sur nos seins tendus, sur nos visages maquillés, l’envie se lit sur leur visage, les pantalons se gonflent, nous marchons en tortillant nos fesses pour mieux les provoquer, les hommes nous évaluent, au coin de la rue depuis dix minutes un jeune homme mate, nous regarde, sa main va et vient sur son sexe gonflé, je fais tomber mon sac, lui tournant le dos, je me penche pour le ramasser dévoilant sans pudeur ma croupe, sa main accélère le mouvement et sa jouissance se lit sur son visage.
De nombreux hommes nous abordent, nous discutons nos tarifs, pour une pipe, pour se faire enculer, pour dix minutes, pour une heure, pour une nuit, des mains baladeuses nous évaluent mais nos tarifs sont très élevés car nous voulons allumer les regards, éveiller les fantasmes en restant sur le trottoir.
Nous sommes toutes excitées de voir ces regards sur nos corps et ne voulons pas quitter notre petit bout de bitume.
Onze heures, depuis deux heures les hommes matent nos cuisses attendant le petit souffle d’air qui fait virevolter les jupes découvrant un peu plus nos intimités, nous marchons, nous tortillons nos postérieurs pour mieux nous faire désirer et ressentir les plugs qui vont et viennent entre nos fesses, voir tous ces hommes nous désirer, nous sommes heureuses.
Un peu avant minuit, nous décidons de rejoindre un cinéma, au fond de la salle nous prenons place et regardons le début du film, la main de Vanessa a rejoint mon clito sous ma petite jupette et la mienne caresse délicatement le sien, nous nous caressons, nous nous embrassons, c’est bon de s’aimer.
Vers 1h 30 nous rentrons, le vent est plus fort, nos jupes se soulèvent attirant les regards de quelques hommes, nous sommes arrivées, quelle belle soirée nous avons passé !
A peine entrées, enlacées nous nous remercions mutuellement de cette soirée par un long baiser, nos mains cherchent nos clitos, les caressent, rejoignent les plugs, quelques va-et-vient, que c’est bon.
Vanessa est très excitée, délicatement elle se place derrière moi, me penche le buste sur la table de la cuisine, soulève ma jupe, fait glisser la ficelle de mon string, prend le gode par les testicules qui sortent de mon petit trou, le fait délicatement aller et venir, le retire, soulève sa mini, baisse son string, et frotte son clito sur mon intimité. Avec douceur elle entre dans ma chatte ouverte, j’entends son souffle, longuement elle va et vient, ses testicules frappent mes fesses, je m’ouvre complètement, je suis heureuse d’être une femme de donner tout ce plaisir à Vanessa que j’aime. Le souffle s’accélère, un coup de boutoir plus violent et Vanessa dans un râle se vide en moi.
Quelle soirée magnifique nous avons passée, demain nous recommencerons, c’est notre vie, notre bonheur de vivre ensemble.
A bientôt – Martina
Bonjour les frangines ! chouette récit !
Humm, ça m’excite tout ça, ça m’excite
j’aime ♣