Je m’appelle Bastien, j’ai 22 ans, je suis blond aux yeux bleus et sportif. Mon histoire s’est passée il y a un an. A cette époque je venais de faire la connaissance d’une fille de mon age, Sandra. Sandra est une belle brune élancée d’e 1,70 m avec des grands yeux noisettes. Elle offre une lourde poitrine dont j’ai pu profiter le soir de notre rencontre. Nous nous sommes rencontrés dans un restaurant où j’allais pendant ma pause de midi. Jusqu’alors nos rapports étaient banals. Nous faisions l’amour régulièrement et sans pratiques spéciales. Nous ne vivions pas encore ensemble puisque notre relation ne durait que depuis 15 jours. Donc on se voyait le soir et surtout les week-ends.
Ce samedi nous faisions les magasins et principalement les marques de vêtements de luxe, Sandra étant issue d’une famille plutôt bourgeoise. Donc je la conseillais sur les fringues, les sous-vêtements…
Devant le rayon lingerie elle me confessa qu’elle avait envie de moi sur le champ. Surpris mais bien décidé à la satisfaire, je la prends par la main et la conduis vers une cabine d’essayage. Je n’avais jamais vu la cabine d’un magasin de luxe et mon étonnement la fit rigoler ! A vue de nez elle devait faire 4 ou 5 m² avec un petit banc et une grande vitre. Mon étonnement a un peu fait retombé la pression mais Sandra n’a pas dit son dernier mot. Elle me demande de m’asseoir et de la regarder. Elle se déshabille en faisant un petit strip-tease puis une fois nue elle enfile les sous-vêtements qu’on avais choisis dans le magasin. Elle se retourne pour me faire admirer ses globes qui me font saliver.
– Viens me faire du bien ! M’a-t-elle dit.
Je l’ai plaqué contre le mur et l’ai embrassé fougueusement. Sa douce et fine langue s’est emmêlée à la mienne. Je lui ai retiré son soutien gorge elle lui ai caressé les seins. Mes mains la caressaient pendant qu’elle me déshabillait. Je m’agenouillai bien décidé de lui offrir un cuni dont elle se souviendrait longtemps. J’ai ôté son string trempé et j’ai commencé à titiller son clito avec mes doigts, puis avec ma langue. Elle commença à gémir et pressa ma tête contre son bouton. Elle eu un premier orgasme, ce qui me fit raidir encore plus que je ne l’étais déjà.
– Tu as envies de moi ma chérie ?
Oui, prends moi.
Je me suis relevé, elle a mis ses jambes autour de ma taille et je l’ai fait descendre sur ma queue. Son intimité chaude et humide était délicieuse. Nous avons gardé cette position quelques minutes, ses seins me frappaient le visage et mes mains tenaient fermement ses fesses pendant que ses mains me tiraient les cheveux ou me griffaient le dos. Elle plongea ses grands yeux dans les miens et me poussa de la main. Ce geste d’autorité m’excita. Elle s’était retournée et me tendait son joli petit cul. Je la pris en levrette, mon sexe s’enfonçait profondément dans le sien. A chacun de mes coups de reins elle manquait de se cogner la tête dans le mur et pourtant je la bourrais de plus en plus fort. Elle criait de plus en plus fort…
A ce moment un vendeur a ouvert la porte de la cabine. Dans mon étonnement je n’avais pas verrouillé la porte. Son entrée me coupa net, mais apparemment Sandra ne l’entendait pas de cette oreille. Elle le dévorait des yeux et continuait elle-même les va-et-vient sur mon sexe. Je ne la connaissais pas comme ça mais après tout je ne la connaissais que depuis deux semaines et donc mon influence sur elle était limitée. Le mec entra et verrouilla la porte, il se déshabilla et s’approcha de nous sans dire un mot. C’était un grand blond aux yeux bleus, il était imberbe, ce qui faisait ressortir ses gros muscles. Je le regardais faire abasourdi par son audace. Sandra se retira et s’agenouilla pour sucer nos queues. Sa bouche délicieuse me refit durcir. Elle ne s’intéressa plus à mon sexe et s’occupa du vendeur. Elle me regardait avec ses grands yeux pervers. Ne sachant plus quoi faire je m’agenouilla pour la caresser. C’est alors qu’elle a tourné son visage vers moi et m’a embrassé goulûment. Cet acte était bizarre car j’avais la sensation de sucer moi-même la bite du mec. Elle me regardait toujours et me dit :
– Chéri je voudrais que tu suces sa bite.
J’étais abasourdi. Elle avait sorti le sexe de sa bouche et le tournait vers moi. Je n’avais jamais eu envie d’un homme mais elle continuait de m’encourager… J’ai donc approché ma tête et ma bouche de son sexe pendant que Sandra l’avait toujours en main.
– Vas-y commence par l’embrasser, voilà tendrement. Maintenant je veux que tu sortes ta langue et que tu le lèches. Oui comme ça, tu fais ça très bien. Et maintenant prends le dans ta bouche.
Je sentis ainsi pour la première fois la sensation que procure une fellation. Son sexe était magnifique. Il était long et large, très lisse et son bout violet était extrêmement appétissant. Je sentais son gros gland chaud contre mon palais à chaque va-et-vient. Son goût était délectable et me plaisait. Sandra s’était mise sur le banc, jambes écartées et se masturbait. Ma fellation l’excitait comme une folle. C’est alors que je me suis désinhibé. Je pris son sexe en main et le pompai avec ardeur et plaisir. Je n’avais pas envie de l’embrasser ni de le caresser. J’avais juste une envie folle de le sucer. Je m’appliquais, je le branlais en même temps que je le suçais. Je pompais son gros gland, tapais sa queue sur ma langue. Il commençait à gémir, il prit alors sa bite en main et me la cogna sur le visage, il me tenait par le menton et me mettait des coups de queue sur le visage, j’étais devenu sa chose.
A ce moment Sandra nous sépara. Elle fit allonger le vendeur et s’empala sur son sexe. Elle se cambrait m’offrant par la même occasion une splendide vue sur son petit trou. Je lui lubrifiai l’anus avec mes doigts. Une fois son petit trou apprivoisé je pointai mon sexe contre son cul et la pénétrai doucement. Son petit cul serré serrait bien mon nœud. Une fois au fond je pus commencer mes va-et-vient de plus en plus rapide. Elle jouit rapidement comblée par nos deux sexes. Elle criait qu’elle n’en pouvait plus et elle s’arrêta malgré notre envie d’en finir. Je sus alors ce qu’il allait se passer.
– Mets toi à quatre pattes mon amour.
Je m’exécutai. Le mec s’astiquait le manche en la regardant faire. Elle m’embrassa les fesses puis passa un doigt dans ma raie. La langue fouilla mon anus pour bien me préparer, elle saliva longuement puis m’introduisit un doigt. Elle fit signe au mec de venir. Il se posta derrière moi et je sentis son gland puissant contre mon anus. Il força doucement mon cul et s’immobilisa au fond. La douleur fut brève. Il commença à me baiser de plus en plus vite. Je sentais sa grosse bite dans mon ventre. Chaque va-et-vient me faisait tressaillir de plaisir. J’étais une chienne, le visage sur le sol et le cul en l’air, je lui offrais tout mon corps. Il gémissait de plus en plus fort. Il ne voulait pas jouir dans mon cul. Il se retira et vint me fourrer sa queue dans la bouche. Je le suçais à nouveau et la même sensation m’envahit. Tout à coup je sentis ses jets de sperme inonder ma bouche. Le goût était salé et enivrant. Je me délectais de son jus en avalant tout et en nettoyant son sexe. Je le léchais jusqu’à ce qu’il soit propre.
Ensuite, comme il était venu, le mec se rhabilla et nous quitta sans prononcer le moindre mot. Sandra me regardait avec ce doux regard signifiant « merci, tu as été parfais ». Moi j’avais le cul en feu, mais cela avait été bond.
Depuis ce jour nous multiplions les expériences de toute sorte. Vive le sexe…
Si on ne peux plus entrer dans une cabine d’essayage sans se faire enculer…
Ah, le fantasme de la cabine d’essayage, on a aussi en rayon, l’arrière-boutique, la vendeuse de chaussure…
Le western, le polar, le « cape et d’épée » ont leur codes… Le récit érotique a bien le droit d’avoir les siens !
Délire rapide et classique, mais ça le fait
La critique faite il y a trois jours au récit de Dilom « Une petite course » convenant parfaitement à cet autre récit je la copie-colle « Dans les récit érotiques, si quelqu’un va dans une cabine d’essayage, il va passer à la casserole, et cette nouvelle ne déroge pas à ce cliché tenace, mais l’auteur s’en sort bien et sait nous fait partager son fantasme de soumission de fort belle façon. »
Un bon petit récit bisex, ça n’a rien de génial, c’est complétement improbable mais le fantasme fonctione bien