Après une belle journée d’hiver fraîche et ensoleillée, ce soir ma décision est prise, mon rêve va se réaliser, ce sera ma première sortie dans Paris en fille.
Il est 18 heures, je rentre du bureau et sans perdre une minute, je me débarrasse sans perdre de temps de mes vêtements masculins, la transformation tant attendue va enfin commencer et j’en suis déjà toute excitée.
Je sors les tubes de crème épilatoire que j’avais acheté, je m’en recouvre les jambes, le pubis, le clito, mon trou d’amour, les aisselles, le torse, le visage, environ 10 minutes d’attente et je passe à la douche, après m’être soigneusement lavée et essuyée, je peux enfin admirer un corps débarrassé de toute pilosité et duvet, c’est la première fois que je vois mon clito tout nu sans ces poils disgracieux.
Un peu de déodorant sous les aisselles, un parfum féminin léger sur l’ensemble du corps, un comprimé de relaxant pour supprimer le stress, déjà je suis un peu femme.
Sur mon torse épilé, je fixe soigneusement ma poitrine de silicone autocollante, je fixe mon clito dans un tube pénien que je glisse entre mes cuisses pour aller l’attacher autour de ma taille, j’enfile un faux vagin que je recouvre d’un mini string en voile transparent, je met mon corset en cuir que je sers au maximum pour me donner une taille de guêpe et faire remonter mon opulente et jolie poitrine d’un aspect totalement naturel.
J’enfile des bas fins transparents de couleur légèrement foncée que je remonte délicatement sur mes jambes lisses et les fixe aux portes jarretelles de mon corset, voir ces jolies jambes soyeuses, sentir le contact des bas, quel plaisir.
Je sors ma trousse de maquillage, je recouvre soigneusement ma peau imberbe d’une couche de fond de teint pour la rendre lisse et dorée, je me maquille les yeux avec beaucoup de soin pour donner tout l’éclat possible à mon regard, je fixe des faux cils longs de couleur sombre, je dessine le contour de mes lèvres au crayon gras pour les agrandir et les rendre pulpeuses et les recouvre d’un rouge foncé avec des reflets dorés, j’étale un peu de rouge à lèvre plus clair sur mes joues pour rehausser mon teint,
Je met une perruque aux longs cheveux ondulés de couleur châtain avec des mèches aux reflets blonds, je la coiffe soigneusement.
Je met un collier de perles ras de cou, des boucles d’oreilles pendentifs fantaisie, des bracelets en or et quelques bagues dont une avec une jolie émeraude achetée dans une grande bijouterie parisienne, je colle mes faux ongles de couleur rouge foncée assortie à mon rouge à lèvre.
Il me reste à choisir les habits que je vais porter pour cette soirée : pour le haut je choisis un tee-shirt noir en voile transparent à col montant qui laisse entrevoir mes seins, pour le bas
je choisis une minijupe noire de cuir plissée très courte mais cachant mes jarretelles (je trouve indécent et peu joli ces femmes qui montrent le haut de leur bas).
Pour les chaussures j’enfile une paire d’escarpins à talons hauts que j’adore porter, puis les remplace par un paire de bottes galbées noires à talon haut de 8 cm car le froid doit être vif par cette soirée d’hiver je me regarde dans le miroir, cette jolie fille bien maquillée, bien coiffée, avec de jolies jambes, la croupe relevée par les talons hauts, la minijupe plissée courte et évasée, les seins apparents sous le voile, c’est moi, je me sens vraiment femme, heureuse et fière de l’être.
Je m’assois sur le tabouret de mon bar, je vois mes jolies jambes je sens le rebord de ma jupe sur mes cuisses, je suis bien, je vais de long en large dans ma maison pour m’habituer à marcher avec élégance en faisant légèrement onduler ma croupe.
Je me sens de plus en plus femme avec un besoin grandissant d’accueillir en moi un organe masculin qui confirmerait ma féminité, je choisis un gode en forme de pénis de dimension respectable avec deux testicules pour le prendre bien en main, je soulève ma jupe, j’écarte la ficelle de mon string, j’enduis soigneusement mon petit trou et le gode avec du gel et délicatement avec de multiples va-et-vient, je remplis complètement mon intimité les testicules bien calés contre mes fesses, je glisse la ficelle de mon string entre les deux testicules afin que ce sexe reste bien en place je laisse retomber ma jupe et marche de long en large ondulant pour bien sentir cet organe masculin qui va et vient et déjà me comble de plaisir.
Le stress est parti, je suis bien, je suis femelle, je choisis un petit blouson en cuir très court et cintré qui fait un bel ensemble avec ma mini et mes bottes, je prend un sac à main à bandoulière courte dans lequel je glisse mes papiers et quelques préservatifs (je n’envisage pas de relation pour une première sortie mais je suis femme et il faut toujours être prévoyante si une occasion intéressante se présente).
Voila je suis dehors, j’habite le centre de Paris et décide d’aller me balader sur les Champs Elysées ou je pourrais marcher tranquillement au milieu de nombreuses personnes ce qui pour une première sortie me semble moins stressant.
Il fait frisquet, une bise légère se glisse sous ma jupe, j’ai froid aux fesses, mes bas se laissent transpercer par le froid, mon clito coincé dans son étui se fait tout petit, va t’il disparaître complètement pour ne plus exister ? Pour être belle il faut souffrir, je veux être belle, je me sens belle et désirable alors le froid n’a plus d’importance.
Depuis plus d’une heure je marche en ondulant ma croupe, ma jupette va de droite à gauche, mes seins tendent le cuir de mon blouson, le pénis va et vient entre mes fesses au rythme de mes pas, mes cheveux ondulent dans le vent, les regards des hommes s’attardent sur mes jambes, la plupart sont en couples ils regardent discrètement cette femme seule et belle que je suis devenue, je suis heureuse et déjà sure que cette première expérience va se renouveler souvent.
Je suis complètement femme, le stress a laissé place à la joie de me sentir belle et désirable, d’attirer le regard des males et je décide de rejoindre un quartier plus chaud en rejoignant les Halles par le métro, je descends les escaliers du métro, les hommes qui montent les marches regardent carrément sous ma jupe peut être aperçoivent-ils ma chatte sous mon string transparent, je ne m’attarde pas et prend la première rame disponible, je suis debout il y a encore beaucoup de monde et les hommes viennent se frotter contre moi, une main baladeuse me passe brusquement entre les cuisses et me caresse les fesses, je la repousse et m’éloigne.
Je descend à la station desservant l’un des quartiers chauds de la ville, et décide de me mélanger pour une heure ou deux à la faune de ce quartier, certaines de mes consoeurs n’ont pas de jupe ou si courtes que leurs fesses sont à l’air, d’autres ont les seins complètement à l’air, les clients évaluent leurs charmes discutent les tarifs caressent un sein un clito et partent avec la fille de leur choix vers l’hôtel de passe pour soulager leur envie.
Je ne suis pas complètement à l’aise dans ce quartier ou j’ai l’impression d’être une jolie marchandise soldée mais j’ai envie de tester un peu plus ma féminité en proposant mes charmes.
Plusieurs filles viennent d’être embarquées par un groupe d’hommes laissant libre un morceau de trottoir que je décide d’occuper pour évaluer ce que ressent une pute que j’ai envie de devenir pour une heure ou deux.
J’arpente ce morceau de bitume de long en large en ondulant davantage de la croupe, j’ai ouvert mon blouson pour dévoiler mes seins sous le tulle, j’ai remonté ma jupe en repliant la ceinture de 2 tours sur elle même pour faire apparaître le haut de mes bas et un petit bout de mes fesses, je retouche mon maquillage, les hommes me regardent, certains la main dans la poche entrain de se caresser.
Un jeune noir bien bâti se renseigne sur mes tarifs pour une heure ou le reste de la nuit, j’ai froid aux fesses et une forte envie de me réchauffer dans ses bras alors je lui dit que je serai heureuse de passer le reste de la nuit avec lui sans contrepartie s’il m’accepte telle que je suis avec mon clito et mes faux seins.
Je lis la surprise dans son regard, puis il me prend par la taille et m’embrasse fougueusement, nos langues s’entremêlent, nos corps s’entrelacent et nous décidons d’aller nous aimer chez moi.
Le métro est fermé, j’habite à environ 500 mètres que nous décidons de faire à pied, je redescend ma jupe pour cacher mes fesses je referme un peu mon blouson, j’ai trouvé mon homme, je ne veux pas être sa pute je veux être sa femme, je veux qu’il soit fier de marcher aux cotés d’une jolie fille hyper sexy mais pas provocante comme une pute.
Nous marchons tendrement enlacés, sa main serre ma hanche, nous échangeons quelques baisers furtifs, je suis femme, je sens un homme amoureux contre moi, mes lèvres se tendent vers les siennes dés qu’il le souhaite, ma bouche s’ouvre accueille sa langue, mes fesses sont ouvertes, qu’il sera bon d’y accueillir dans quelques minutes un sexe tout chaud que je prendrai le temps de bien travailler entre mes lèvres et dans ma bouche pour le sentir gonfler et durcir.
Arrivés à la maison nous nous embrassons longuement et fougueusement, je sens déjà son sexe durcir, nous nous asseyons à mon bar côte à côte sur les tabourets, j’ai servi un peu de champagne que nous sirotons les yeux dans les yeux, sa main caresse mon bas, se glisse sous ma jupe pour caresser mon clito qu’elle ne trouve pas, je m’absente un instant retire mon string, mon faux vagin, libère mon clito et débarrasse mon petit trou du faux sexe qui le remplissait pour aller retrouver mon ami que j’embrasse, je lui glisse la main sous ma jupe ou il peut prendre en main l’objet de ses précédentes recherche, sa main me réchauffe et redonne quelque volume à mon sexe.
J’ai ouvert son pantalon, baissé un mini slip laissant apparaître un beau sexe noir de belle dimension déjà gonflé, je le caresse délicatement entre mes doigts, pendant quelques minutes nous nous caressons mutuellement en sirotant notre champagne, en nous embrassant de temps en temps.
Son sexe est maintenant gonflé, je me baisse pour le prendre goulûment entre mes lèvres et le faire glisser au fond de ma bouche, de multiples va et vient pleins de délicatesse et je sens que mes lèvres sont de plus en plus écartées par ce sexe turgescent devenu énorme.
Je sors une capote que je fais glisser sur l’objet de mes désirs, je pose ma poitrine sur le tabouret du bar et présente mes fesses devant ce sexe que je désire de toute ma
féminité, je soulève ma jupe et présente mon trou encore tout mouillé par le gel et le désir.
Mon ami se frotte contre mon intimité, commence à me pénétrer avec douceur, je suis femme, je m’ouvre, je suis heureuse, son sexe énorme entre de plus en plus en moi, j’ai un peu mal, mais je suis si heureuse que je m’ouvre de plus en plus pour accueillir complètement mon homme en moi.
Ce sexe est maintenant entièrement en moi, je me donne complètement faisant aller et venir ma croupe, mon homme est heureux, il donne des coups violents, ses testicules me tapent sur les fesses, il râle de plaisir, il me prend les hanches pour me pénétrer encore plus loin, je sens qu’il va jouir, alors d’un coup de rein je fais sortir son sexe de mon intimité, retire la capote et engloutit son pénis gonflé dans ma bouche, 2 ou 3 caresses supplémentaires et ma bouche se remplit de longs jets de sperme saccadés que j’avale goulûment.
Quelle belle soirée j’ai passé, je renfile mon string, me recoiffe, j’ai envie de rester fille de ne pas me déshabiller, je vais m’asseoir dans un fauteuil pour admirer à nouveau mes longues
jambes soyeuses et ma mini jupe qui les recouvre si partiellement, mon amant s’est assis à coté de moi nous buvons du champagne entrecoupés de quelques baisers.
Vers une heure après un dernier baiser fougueux mon amant s’en va après m’avoir promis d’autres soirées similaires.
Je suis seule, je suis belle, je suis femme, je suis comblée, ma chatte est grande ouverte insatiable d’amour.
Malgré ma fatigue, je remets mon blouson et ressort dans un froid de plus en plus vif, j’arpente le trottoir de mon quartier depuis 10 minutes j’ai envie d’être aimée, dés que je croise un homme qui me tente je le provoque, j’ouvre mon blouson pour lui montrer mes seins, je soulève ma jupe, les hommes regardent et intimidés par une attaque aussi directe passent leur chemin, une voiture s’arrête avec 4 jeunes à bord, le conducteur me propose de monter, je préfère rester prés de mon domicile et invite ces 4 hommes à venir prendre un verre chez moi, ils m’ont vu montrer mes seins, soulever ma jupe pour exposer mes fesses et je ne me fais guère d’illusion sur la suite de la soirée, mais j’ai envie d’être femme et quoi de plus excitant que de devenir la femme de ces 4 jeunes.
Nous sommes à la maison, des mains baladeuses ont vite fait de repérer mon clito encore tout rabougri par le froid mais cela ne gêne personne, les pantalons sont déjà tombés les sexes sont à l’air, l’un devant ma bouche, un autre dans chaque main et la quatrième déjà gonflé à l’entrée de ma chatte encore toute mouillée et ouverte.
Je donne tout le plaisir que je peux avec mes mains avec ma bouche avec ma chatte, je suis leur femelle ouverte de tous les cotés et ils en profitent tour à tour m’emplissant la bouche et la chatte de jets de spermes, quelle bonheur d’être défoncée sans relâche de sentir la virilité des ces hommes, une expérience de femme inoubliable.
Ils sont tous fatigués, les sexes sont retombés mollement, un long baiser sur la bouche à chacun pour le remercier et nous nous séparons avec la promesse de revire prochainement des
moments semblables.
Cette soirée m’a comblée de bonheur, je me suis recoiffée, remaquillée, j’ai réajusté mes bas, ma jupe, mes seins, je me suis assise sur le fauteuil et me suis endormie.
Au réveil j’étais encore femme et heureuse de l’être pour déjeuner, c’est dimanche, je vais me refaire une beauté pour aller vers d’autres aventures car cette première sortie m’a donné l’envie irrésistible de devenir femme ouverte et accueillante à l’amour.
En femme la ville est belle
Martina
L’auteur nous décrit très bien sa préparation en femme…. Mais pour le reste sa méconnaissance du sujet est totale !