Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

Cécile me demanda de rester à poil. Ça ne me dérangeait pas… Et sur ces entrefaites, la femme de ménage arriva.

Elle se prénomme Lucie, c’est une jolie petite femme brune et mûre, un peu boulotte et dotée d’une forte poitrine.

Elle n’est pas sitôt entrée que Cécile la gifle. Et lui crache au visage.

– Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?
– Je ne sais pas Madame, des bêtises, j’en fais souvent !
– A poil, chienne !
– Bien sûr, Madame !
– Qu’est-ce que tu regardes ? La bite d’Olivier, c’est le fils d’Elsa, la salope que tu as léché l’autre fois. Lui c’est un petit soumis que je dresse, pour l’instant ça se passe bien. Ce matin il m’a nettoyé mon cul plein de merde et ensuite je l’ai enculé avec un gode-ceinture.

Que l’on parle de moi ainsi me fit rougir de honte.

La soubrette se déshabilla, puis nous sommes descendus tous les trois à la cave où Cécile attacha Lucie de dos sur une croix de St André.

Ma maîtresse lui cingla fortement le dos et les fesses laissant de larges trainées rougeâtres à l’aide d’une cravache. La soubrette encaissait sans protester. Elle gémissait, criait, pleurait mais semblait se complaire de cette sévère fouettée.

Quand son verso fut assez cinglé, Cécile l’attacha de face et cette fois ce sont ses seins et son ventre qui furent martyrisé.

Cécile finit par lâcher sa cravache et vint rouler une pelle magistrale à sa soubrette.

– Tu as bien supporté, ça m’a terriblement excité, tu as droit à une récompense.

Apparemment, la soubrette savait ce qu’allait être cette récompense, aussi se coucha-t-elle su le dos, la bouche ouverte. Cécile s’accroupit à quelques centimètres de son visage.

– Regarde Olivier, le spectacle devrait te plaire.

Pour l’instant ce qui était fascinant, c’était l’attitude de Lucie, bouche ouverte dans une position quasi extatique attendant le cadeau de sa maîtresse.

C’était la première fois que j’allais voir une femme chier. J’ignorais si j’en supporterais la vue, mais je pourrais toujours fermer les yeux !

L’anus s’ouvre, un petit étron se fraye un chemin, il grossit, l’étron devient boudin et je garde les yeux ouverts, la fascination l’emportant sur la répulsion.

La merde tombe dans la bouche ouverte de Lucie, elle la dégage mais non sans en avoir léché un peu. Les deux femmes se relèvent se roulent de nouveau un patin ! Quelles salopes !

Je n’étais pas esclave à plein temps, cela aurait été lassant aussi bien pour moi que pour elle, elle me laissa donc le champ libre en me demandant de lui apporter le lendemain matin son petit déjeuner au lit comme la veille.

Je redoutais l’épreuve du caca, tout en étant quelque part fasciné. Je me demandais ce qu’elle allait encore aller inventer.

Quand elle eut finit de pisser et que je me fus régalé de son urine que j’apprécias de plus en plus, Cécile se mit à pousser sans que je voie quoi que ce soit mais en glissant sa main sous son anus afin de recueillir l’étron qu’elle chiait.

Ensuite, elle me le présenta avec un étrange sourire, le tenant dans ses mains tel un trophée sans dire un mot.

Je suis troublé, ce qu’elle tient dans sa main ne me dégoute pas mais ce n’est pas non plus une œuvre d’art et en plus l’odeur est loin d’être neutre.

– C’est beau, hein ? finit-elle par dire.
– Euh, oui ! Balbutias-je
– Quelle conviction ! Regarde ce qu’elle fait ta cochonne de maîtresse.

Elle approche l’étron de sa bouche, sort sa langue et le lèche en me narguant. Je sais quelle va me demander de l’imiter. Je suis tétanisé.

Sans un mot elle approche l’étron de ma bouche. Je ne bouge pas.

– Tu attends peut-être un ordre ?
– Oui maîtresse !
– Parce que tu n’es pas capable de prendre une initiative ? T’es vraiment nul comme esclave.

De sa main gauche, elle me gifle et me crache au visage.

– Et maintenant fait ton boulot d’esclave.

Alors j’ai léché la merde de ma maitresse, m’étonnant que l’épreuve soit bien moins difficile que je ne l’imaginais. Après tout j’avais bien léché son cul hier, pourquoi voudriez-vous que le gout soit différent aujourd’hui ?

– Votre merde est délicieuse, maîtresse !
– Je sais, ta mère l’apprécie beaucoup.

J’imagine le tableau, ma mère en train de lécher la merde de Cécile… et ça me fait bander.

Elle se retourna et me demanda de lui nettoyer le cul, je m’acquittais de cette tâche avec dévotion.

Et maintenant je vais te transformer en soubrette !

Une perruque blonde, un collier et des bracelets de cuirs pourvus d’un anneau, des bas résilles noir, un porte jarretelle de dentelle noire, des escarpins à talons aiguilles rouge et un petit tablier blanc de soubrette. Il me fallut plusieurs jours pour marcher ainsi accoutré sans me tordre les chevilles.

Un soir, je reçu l’ordre de mettre le couvert pour quatre, sans oublier deux autres au pied de leur table. En préparant, j’étais terrifié à l’idée que d’autres personnes soient témoins de nos petits jeux. Quand elle revint, sans même me laisser l’honorer de la langue, elle me fit descendre dans la cave pour me préparer. Elle me fit revêtir ma tenue de service, en remplaçant le porte jarretelle par une guêpière de cuir noir, qui laissait nues mes fesses et mes testicules. A peine eut elle finit de m’apprêter qu’on sonna à la porte.

– Va ouvrir, et fait les patienter pendant que je me prépare. Tous leurs désirs seront des ordres, tu as bien compris, esclave de merde ?

Les joues en feu et le sexe tendu qui faisait une bosse sur le devant de mon tablier, je fis entrer un couple d’une cinquantaine d’année, qui se présentèrent comme Odile et Robert. Une très belle femme cette Odile, belle brune à lunettes bien conservée ! Tandis qu’ils me suivaient au salon, Robert demanda à sa compagne :

– Il te plaît, ma chérie? Il a un beau cul, non?
– Oui. Et j’ai hâte de voir sa pine. Elle a l’air grosse.

Quand je leur eu servi un apéritif, Robert me fit mettre debout devant eux, et souleva mon tablier, et me soupesa les bourses de la main.

– Il a une belle queue, ma chérie, et un vrai fion de gonzesse…

Il fut interrompu par la sonnette, et j’allais ouvrir à un autre couple; une jeune femme blonde et souriante qui se prénommait Jessica, tenant en laisse un black, David, lui aussi travesti en femme avec escarpin, porte jarretelle, et un sexe énorme et dressé à l’horizontale, qui rejoignirent les autres au salon.

Odile et Jessica lancèrent l’idée d’un petit concours. Elles écartèrent les cuisses en retroussant leur jupe. Cécile fit agenouiller David devant Odile, et moi devant Jessica.

– Vous allez lécher ! Le premier qui fera jouir sa partenaire aura gagné. Quant au perdant, il sera puni sévèrement.

Je fis de mon mieux pour satisfaire la jeune femme, qui rapidement se mis à haleter, et jouit avec un cri, tandis qu’il fallut encore plusieurs minutes à David pour faire jouir Odile. Furieuse d’avoir perdu, elle insulta l’esclave, le gifla, lui cracha dessus.

Cécile intervint :

– Tu es nul. Puisque tu ne sais pas sucer, tu vas te faire enculer par ton vainqueur. Lopette. Olivier, défonce-lui le cul, à cet incapable.

Je n’avais encore jamais eu de rapport avec un homme, et j’hésitais à lui obéir. David s’était mis à quatre pattes sans un mot, et écartait ses fesses à deux mains.

– Ben alors qu’est-ce tu attends ! M’invectiva Cécile.
– Euh…
– Tu préfères peut-être qu’on inverse les rôles, tapette ? Ne t’inquiète pas ton tour viendra..

Je me mis à genoux derrière David, en enfonçant mon sexe entre ses fesses et commençais à aller et venir dans son cul en douceur. Mais quelque chose ne fonctionnait pas, je bandais mou et avait beau évoquer mes fantasmes les plus secrets, ma bite ne voulait plus rien savoir.

– Je t’ai dit de le défoncer. Si tu en es incapable, tu prends sa place ! Cria Jessica.

C’est Odile qui me sauva la mise, se plaquant tout contre moi par derrière de façon à ce que sente les pointes de ses seins dans mon dos, elle s’empara de mes propres tétons et les tortilla avec vigueur. Miracle, cela me fit rebander !

Cécile, Jessica et Robert s’étaient installés dans le canapé et nous regardaient baiser. David gémissait de plaisir sous mes coups de reins. Emoustillé par le spectacle, Robert se leva, sorti son sexe, et debout devant David se fit sucer. Il ne tarda pas à jouir dans sa bouche, tandis que je continuais à le pistonner, cela, jusqu’à ce qu’il s’effondre sous moi en éjaculant sur la moquette.

Cécile demanda à David de me nettoyer la bite, je n’avais pas joui mais elle était imprégnée du jus de son cul ! Il s’acquitta fort bien de cette tâche, il devait avoir l’habitude.

Ensuite ces braves gens passèrent à table, David et loi mangions par terre dans des écuelles à chien entre deux services.

Les conversations allaient bon train, et les voilà qui parlaient de cinéma, de voyages et d’autres choses encore. Comme dirait ma grand-mère, il n’y a pas que le sexe dans la vie.

Pendant le repas, Odile fut saisie d’une envie pressante de faire pipi, alors qu’elle se levait pour se diriger vers les toilettes, Cécile lui proposa de se soulager sur ma personne. J’ouvris la bouche pour accueillir ce curieux breuvage. Sa pisse était délicieuse.

Ils décidèrent de faire une pause avant le dessert, pour prendre un peu de bon temps. Cécile alla s’empaler l’anus sur la grosse queue de David, tandis que Jessica me fit allonger sur le dos sur la table du séjour, pour me chevaucher à son aise. Comme ma tête tombait en arrière sur le bord de la table, Odile s’approcha et me présenta sa chatte trempée dans laquelle j’enfonçais ma langue, tandis que son mari la sodomisait sans ménagement. Le séjour était rempli de gémissements lascifs et de halètements, jusqu’à ce que David ait le malheur de jouir dans ma maîtresse. Elle se releva, furieuse.

– Mais c’est quoi cet esclave de merde incapable de tenir la distance ?
– Pardon maîtresse !
– Il n’y a pas de pardon qui tienne, tu vas voir ce qu’il va t’arriver !

Quand Jessica eut joui, elles descendirent à la cave avec lui pour le punir, tandis qu’Odile prenait la place de Jessica sur mon sexe et me chevauchait en me griffant la poitrine et en me traitant de tous les noms orduriers de son répertoire. Elle était très endurante, et elle s’activa encore longtemps après que les autres soit remontés de la cave, où elles avaient laissé David écartelé sur une croix, un godemichet vibrant allumé entre les fesses, un autre maintenu par un bâillon dans la bouche. Je leur servi le dessert.

Odile se leva et la bouche encore remplie de sa crème caramel vint rouler un patin à Jessica. Les deux femmes se caressèrent et se plotèrent à qui mieux mieux et finirent par rouler sur la moquette où elle se retrouvèrent en position de soixante-neuf. Cécile s’empressa d’aller quérir deux godemichet qu’elle enfonça dans le trou du cul des deux femelles déchainées.

Nous redescendîmes à la cave. Cécile avec l’aide de Jessica m’attacha à une table basse, sur le ventre, par les chevilles et les poignées. Puis elles entreprirent de me fouetter chacune leur tour, le dos, les fesses, et le sexe qui était toujours dressé, au bord de la table. Robert s’approcha et voulu enfoncer son dard dans ma bouche. Comme je gardais les lèvres serrées, Cécile m’ordonna de le sucer.

– Je vous en supplie, maîtresse. Faites de moi ce que vous voudrez. Je suis votre esclave, mais pas un pédé.
– Tu es un esclave ! Un esclave c’est fait pour obéir, et si je t’ordonne de sucer une bite, tu vas le faire sans rouspéter.

Je la vis avec appréhension libérer David. D’un rapide va-et-vient de la main, elle lui rendit sa vigueur, et lui ordonna de me prendre par-derrière. Je la suppliais en vain
– Tu vas fermer ta gueule, on n’entend que toi ! Tu veux peut-être que je te vire ?
– Pardon, maîtresse, je dirais plus rien, je vais me faire enculer pour vous puisque vous me le demandez !
– D’ailleurs, ne me dit pas que ça ne te plaît pas, tu bandes comme un cheval.

On m’enduisit le trou du cul de gel, puis d’une seule poussée, David me pénétra, m’arrachant un cri, j’avais réellement mal, et m’apprêtais à demander à ce que l’on stoppe cette pratique, quand je senti que la douleur s’estompait et laissait progressivement place à un plaisir trouble. Qui l’aurait cru, je me faisais enculer et me mettais à aimer ça !

Robert s’approche, Cécile me demanda de l’accueillir dans ma bouche ce que je fis. Je fus alors surpris de la texture agréable de cette bite.

Les deux hommes, encouragés par leur compagne, prirent le rythme en cadence. Le premier, Robert explosa, m’inondant de sperme que j’avalais à moitié tandis que David continuait de me pistonner vigoureusement, ce qui, à ma grande surprise, continua à me faire gémir de bonheur. Cécile lui ordonna de s’arrêter un instant.

– Alors, tu n’es pas un pédé? Donc si David arrête, tu seras content, n’est-ce pas ? Répond, esclave. Dis-nous que tu es un pédé et que tu veux qu’il continue !
– Je suis un pédé. Maîtresse. Je veux qu’il continue à m’enculer.

Quand David jouit avec grand bruit, il se retira et me donna sa bite à nettoyer, tâche dont je m’acquittais comme un bon esclave que je suis.

– C’est bon la bite ? Hein esclave ? Me nargua Cécile.
– Délicieux, maîtresse !

Cécile consulta son agenda devant moi

– Demain tu as quartier libre, je serais occupé à l’extérieur, mais après-demain, j’ai rendez-vous avec ta mère. Je veux que tu l’encules devant moi !

Bof, ce ne sera pas une corvée, j’étais vraiment devenu l’esclave de Cécile et j’aimais ça !

Fin (à moins que j’écrive la suite que vous devinez…)

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6 réponses à Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

  1. Muller dit :

    J’adore cette ambiance… et si en plus il y a de la bite à sucer c’est encore meilleur

  2. Rominet dit :

    Moi, j’aimerais bien être l’esclave de la Cécile

  3. Vera44 dit :

    Ambiance de folie !

  4. Melanie dit :

    Une suite logique dans la progression du récit. C’est plutôt bien fait et le chapitre suivant semble prometteur

  5. Robinson dit :

    Quel festival ! Et apparemment ce n’est pas fini !

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