Le fantasme d’Aurore par Ollo

Le fantasme d’Aurore par Ollo

Aurore Fontaine, Parisienne vivant le plus souvent en Province, fille de Marquis, depuis sa jeunesse, était aise de ses mouvements, de ses libertés, d’apparence elle était respectable, convenable et propre, selon les moeurs bourgeoise, ses qualités (au sens futile), comme plusieurs de ses compagnons, n’était qu’artifice. Elle croyait avoir une belle et digne âme, ne ressentait aucun regret, n’avait aucune honte d’elle-même, pourtant elle eut mille raisons de ressentir ses émotions. La luxure, les soirées stupres, la lubricité l’enchantait plus que tout, elle ne voyait aucune limite dans se domaine qu’il n’était impossible de franchir, et en vérité c’était juste, seul l’esprit humain peut nous interdire une envie ou un fantasme.

Approuvant avec discrétion les libertins, elle refusait cependant toute avance de ses fouteurs, non qu’elle les abhorrât, mais elle n’éprouvait aucune attirance, aucun amour pour ces êtres qu’elle trouvait sans grâce, sans douceur ni délicatesse. Elle trouvait leurs corps et leurs formes rustres et grossières, et souvent sévères. Cependant les femmes, à l’inverse, étaient délicates, douces et poétiques, et de plus grande importance, elle étaient belles, très belles.

Rares étaient les parties qu’elle n’aimait pas chez elle, elle pouvait énumérer mille membres du corps humain sans en trouver une qui lui déplut en cette gente. Jeune, lorsqu’elle découvrit ses envies, une angoisse la tourmenta sans cesse, elle paraissait être la seule fille à aimer, à adorer les femmes de cette façon. Rien ne lui plaisait d’avantage que les baisers de salutation qu’elle recevait des autres femmes dans les boudoirs, mais il lui fallait être impassible sur se sentiment pour les raisons évidentes.

Mais vite elle trouva d’autres femmes tribades. Agée de dix-neuf ans, elle accompagna son père chez un ami de la famille. Là-bas, cet homme qu’elle connaissait peu lui présenta sa fille, Claudine Janssen, dès le premier regard elle vit qu’il y avait quelque chose, un je ne sais quoi, une chose d’inné qui lui fit voir en elle les mêmes goûts lesbiens, sans en être certaine. Janssen avait les cheveux brun et très long, les pointes frottaient la moitié du ventre, ses yeux, de même couleur que sa toison, était candidement jolis, bref il était impossible de lui trouver un défaut, soit dans le visage soit sur son corps.

Les deux allèrent ensuite dehors et s’éloignèrent de la demeure, elles n’osèrent se demander des intimes renseignements, mais, avec une grande prudence, les deux badinaient avec de tacites expressions, mais les subtilités qui ne cessait point, finirent, suite à un long moment, à devenir une évidence. Assises sur un roc, sous les dernières minutes du jours avant que le soleil s’agonisât, sans pudeur aucune Claudine l’embrassa en la serrant entre ses bras. Aurore ne savait comment réagir, se geste fut si prompt et si agréable qu’elle restait inerte, malgré cela Claudine ne cessait de l’embrasser passionnément.

Après quelques secondes Aurore commença à son tour à offrir des baisers à sa compagne. Claudine voyant la positive réaction d’Aurore, elle débuta quelque hardis touchers qui ne la mit point dans un état de stupéfaction. Vitement, sachant bien qu’Aurore partait la nuit même, Claudine, très audacieusement, glissa ses doigts sous sa robe, et les monta jusqu’à la cuisse où, regardant la réaction de sa voisine, elle décida de les aventurer jusqu’au con. Se vagin qui jamais n’avait reçu une visite se fit caresser puis pénétrer. Aurore découvrait sans trêve, à la bouche de sa complice, les charnelles plaisirs du saphisme. Son entrejambe devenait humide et chaud et Claudine le remarqua, alors, doucement, elle cessa les baisers et alla porter son visage au sexe extasié.

Elle se glissa sous sa robe et avec sa langue elle poursuivit, faisant un cunnilinctus, les divines sensations qu’elle engendrait dans le ventre de vierge d’Aurore. Celle-ci, subitement se mit à trembler et quelques larmes coulèrent des yeux, ses jambes frémissaient fortement, et son souffle haletait fortement. Claudine alors se retira de sous la robe et vint s’asseoir au flanc de l’intime inconnue qui souriait bellement. Mais Claudine prit avec délicatesse la tête d’Aurore, qui ignare et profane se laissait faire, et la conduisit sous sa robe. Sachant, dû à sa retenu, qu’elle ignorait quoi faire, Claudine dirigeait les doigts et la bouche de sa bienfaitrice, et leur dictait leurs gestes. Aurore, fut d’abord surprise de la très forte odeur du divin con qui était béant devant elle, mais suite à sa surprise elle le huma et apprécia, plus que tout autre parfum, cette odeur.

Quand sa langue se posa sur la volupté rosée où quelques hirsutes poils se dressaient, elle eut une autre surprise, le goût. C’était une savoureuse et puissante sensation pour ses sens voguant dans la béatitude. Aurore s’affairait à son agréable tâche, aidée par la main de Claudine. La langue, qui au départ, léchait un terrain sec et aride se trouva rapidement submergée d’un fluide visqueux. Abondamment il coulait jusque dans la gorge d’Aurore, mais d’un coup, au moment même où Claudine eut l’orgasme, ce léger ruisseau devint un fort torrent couvrant sa figure et mouillant sa chevelure. Sa bouche qui ne s’était éloignée durant les flots, se remplit de ce liquide; Claudine fit sortir Aurore qui avala le vaginal produit. La voyant trempée, elle ne put résister de l’embrasser sur la bouche et sur le visage, Aurore se laissa faire, bien soumise, dégustant chaque moment.

Quand le soir les força à partir, Claudine essuya la face et les cheveux de sa compagne. Elle retournèrent à la demeure où le père d’Aurore attendait son retour pour partir. Les filles se saluèrent innocemment, comme deux simples amies. Aurore, de retour chez elle, alla dans sa chambre et songea aux actes licencieux qui venaient de se faire. L’angoisse la saisit, elle avait une indélébile envie de retourner chez son amante, elle ne pouvait concevoir qu’un si fort plaisir ne durait que si peu longtemps, mais elle s’abstint de partir. Elle parcoura la maison en entier cherchant vainement à oublier ses pulsions. Heureusement le sommeil la saisit et vint endormir son anxiété en même temps qu’elle.

Elle rêva à Claudine toute la nuit, sa rêverie semblait si véridique que le lendemain matin sa vulve et tout son corps était humide. Pour une des premières fois, elle était la première à être debout, nulle personne n’était éveillée dans la demeure, alors elle attendit à sa porte qu’un bruit se fasse ouïr. Finalement, environ quinze minutes plus tard, un craquement de plancher vint à la faire sortir de sa chambre. Elle parcoura le couloir cherchant de quelle pièce venait le son. Elle s’arrêta devant celle de la domestique, cette servante était de tous les employées la seule à dormir entre ses murs, elle était fort jolie, rousse, svelte et elle avait un teint de peau laiteux se qui était franchement charmant. Elle frappa à sa porte mais n’eut immédiatement l’autorisation de rentrer.

Une minute plus tard la porte s’ouvrit, la domestique la fit entrer. La première chose qu’elle remarqua fut le pot de chambre sur le côté du lit, elle le fixait du regard se remémorant la précédente soirée. La domestique voyant sa maîtresse regarder dans cette direction lui dit, en le levant entre ses mains, qu’elle allait le vider sur-le-champ. Aurore lui dit de ne pas le jeter immédiatement puisqu’elle avait quelque chose à lui demander. Elle inventa une histoire, elle lui dit d’aller tout de suite dehors voir si son collier, qu’elle avait mit la journée précédente, ne serait pas tombé sur le sol devant la maison. La domestique cacha le pot de chambre sous le lit et sorti d’un pas leste de la chambre.

Aurore se souvenant avec bonheur du fluide lui ayant couvert le visage, elle prit le pot dégageant une légère chaleur mais elle fut déçue de ne point retrouver la même substance de l’ébat passé. Elle sentit l’urine jaunâtre et y pénétra une de ses mains mais n’y trouva non plus le même plaisir. Et au lèchement des ses doigts ce fut encore la déception qui la marqua. Elle porta le pot à sa bouche pour du moins y goûter, elle avala goulûment quelque gorgées, qui sans transcender l’autre fluide n’était point à dédaigner, mais alors qu’elle buvait l’urine salée la porte s’ouvrit et la domestique la vit non sans stupeur en action, Aurore échappa le pot qui se déversa sur elle mais le rattrapa avant qu’il se fracassât sur la sol. Aurore cherchant, en balbutiant d’épars mots, une raison à se bizarre tableau se mit à sangloter. La domestique s’approcha d’elle, regrettant d’être la cause de se chagrin, avec commisération elle la serra entre ses bras. Aurore osa la regarder dans les yeux et vit qu’elle n’était nullement offusquée de son geste. La domestique donna même un baiser à Aurore pour lui signifier son amitié. Ensuite elle la pria de venir avec elle pour prendre un bain avant que son père se lève, puisque l’odeur était très forte.

Aurore la suivit et pénétra dans le bain, une fois celui-ci coulé, avant de se laver la face, elle se sentit aidée de sa main, les yeux fermés et la respiration inégale. La domestique la voyant faire lui demanda crûment si cela était son fantasme, ébaubie Aurore nia disant malencontreusement que son seul fantasme était les femmes. La domestique eut un sourire puis lui dit :

– Cela est une préférence, un fantasme c’est ce que tu veux faire avec la femme. Moi personnellement j’aime me faire lécher la figure par une femme, donc ne soit point honteuse. Toi, tu dois également aimer une chose en particulier en faisant l’amour ? Est-ce ce que j’ai vu ?

Aurore lui dit que non, elle lui raconta, non sans timidité, sa libertine soirée. Elle lui expliqua la douce et chaude sensation qu’elle avait ressenti lorsqu’elle fit un cunnilingus à Claudine, elle lui expliqua qu’elle espérait retrouver cette sensation en buvant le pot.

– Et là tu retrouvée ? demanda la domestique.

Aurore lui dit que, bien qu’attrayant, cela n’était nullement comme la chute qui l’avait masquée. Aurore se lava en entier sous le regard pervers de sa voisine. Naïvement elle ne remarqua rien, alors la domestique, juste avant qu’Aurore sortit, la saisit par le bras et lui donna un long baiser pour qu’elle comprenne ses pensées. Aurore trama, avec sa future et nouvelle amante, un moyen de partir seules, tous les deux, sans accompagnement. Elles sortirent prête à plaider, mais le maître dormait encore, alors les deux sortirent silencieusement et partirent dans les bois. Elles trouvèrent un endroit où les arbres étaient plus rares pour pouvoir étendre par terre leurs couverture. Prestement la domestique enleva sa culotte et la donna à Aurore qui la mit sur son visage. Une pâle tâche dorée souillai le devant de celle-ci, de sa langue elle la lécha à quelques reprises puis la fit choir à terre.

La domestique se réjouissait de sa passion. Aurore voulait être d’avantage l’instigatrice que la soumise glissa sa main dans l’entrecuisse de sa comparse. Celle-ci, étonnée de sa soudaine audace, se laissa faire et embrassa Aurore. Quand le plaisir devint plus intense elle demanda à Aurore de la lécher au visage ce qu’elle fit. Sa langue passait de la joue au front, du menton au joue, du haut du cou à la bouche. La domestique demanda que sa langue aille au même lieu que ses doigts. Aurore devinant l’orgasme proche, y alla espérant que le divin fluide vint s’étaler sur elle. À l’approche du con elle eut sa première déception, l’odeur y était douce et légère, alors elle dit :

– Ton sexe ne sent point fort !
– C’est normal je me suis lavé ! répliqua l’autre.
– Enfin, l’autre jour, le vagin de Claudine, peut-être parce qu’il était sale et malpropre fleurait une forte odeur. Cela peut paraître étrange, mais j’ai adoré ça et le goût qu’il avait… je n’ai de mot pour dire ô comment je m’en suis délecté.

Aurore lécha ensuite cette fente entourée de roux et de rares poils, effectivement le goût était différent, mais bien qu’elle préférât l’autre, elle n’osa critiquer celui-ci qui était merveilleux. Lors de l’orgasme très peu de fluide s’écoula pour rassasier Aurore mais elle s’en contenta. La domestique ensuite commença ses massages sur le clitoris et à l’intérieur du vagin. Mais au lieu d’embrasser celle à qui elle offrait ses dons, elle commença à lui prodiguer son propre fantasme. Elle la lécha frénétiquement avec beaucoup de salive, Aurore aimait cela, mais elle faillit se pâmer lorsque la langue de son amante passa sous son nez. L’odeur était si intense, si délicieuse, si émoustillante que le fluide de l’orgasme et l’urine devinrent secondaire. La domestique remarqua la positive réaction d’Aurore et décida de ne point lécher le sexe mais de lâcher la face. La jouissance physique, les spasmes singuliers revinrent rapidement et fortement à Aurore grâce au savoir de sa complice.

Suite à ces lubriques badineries, les deux femmes s’étendirent sur le sol en contemplant l’azur. Elle revinrent à la demeure où le maître, debout près d’un arbre, coupait des troncs pour alimenter l’âtre. Les deux le saluèrent comme à l’habitude et allèrent ensemble deviser, dans le boudoir, de leurs secrets qui étaient peu nombreux. Durant quatre jours elles ne purent se revoir intimement, alors chacune, le soir, sur leurs couches, se masturbèrent en songeant à l’autre. Enfin, un matin le père annonça à Aurore qu’il devait partir immédiatement pour Paris, la jeune femme mima le regret, puis alla annoncer gaiement la nouvelle à la domestique. Celle-ci se précipita à la fenêtre et voyant son maître partir, elle se déshabilla et se coucha sur le lit tirant sur Aurore pour qu’elle l’accompagnât.

Promptement, avant même de l’avoir embrassé, la domestique incita Aurore à lécher son con. Sachant qu’elles avaient toute la journée, Aurore lui demanda pourquoi elle était si pressée. Mais lorsqu’elle arriva au sexe elle comprit pourquoi. La domestique avait fait une courte cessation de nettoyage, ayant retenue la préférence qu’elle s’eut fait confier lorsqu’elles faisaient l’amour quelque jours plus tôt. Aurore sentant le sublime et capiteux parfum, se dirigea directement à la source. La saveur, l’odeur était encore plus prononcée chez elle que chez Claudine. Passionnément elle lécha, elle baisa se majestueux con s’offrant à elle, il était plus magnifique et parfait qu’elle ne put se l’imaginer, chaque respiration, chaque lèchement était exceptionnellement agréable. Les mouvements de celle qui était étendue devenaient lent et irrégulier, elle soufflait et son ventre laissait voir son bonheur.

D’un coup elle se redressa et regarda Aurore, puis le divin orgasme vint la faire trembler, palpiter véhémentement. Son corps devint très rapidement moue et atone, le visage qui était encore devant le con, se fit asperger, se fit arroser comme si cela eut été le liquide de Claudine. Mais Aurore vit rapidement la différence entre les deux substances, sortant de l’urètre, l’urine trempait sa face. Aurore compris le geste de la domestique, elle voulait la leurrer espérant qu’elle croit que cela était le même élément que celui Claudine. Aurore pour ne point attrister la domestique, et de surcroît elle aimait la sensation, ne dit mot. Le fluide coula sur son visage, dans sa bouche et sur son corps, il était bien plus chaud et exquis que celui qu’elle bu dans le pot de chambre. Durant près d’une minute elle resta là, mouillée par le large jet continu. Quand celui-ci s’apaisa et s’arrêta, elle alla aux lèvres de la domestique y porter plusieurs baisers.

Aurore s’étendit ensuite sur la couche, la literie était moite et inondée dû à l’immense quantité d’urine qui y fut déversée. Les vapeurs émanant du lit étaient chaudes et humides, Aurore se laissait choir dans cette étang impudique. La domestique commença à lui masser les mamelles et elle descendit jusqu’à la vulve qui l’attendait impatiemment. Elle la lécha et Aurore ressentit un orgasme presque immédiatement alors la domestique continua à la lécher, l’excitation, l’ambiance, le lit humide… ce florilège de choses fit que les déraisons venaient à foison envahir son corps jusqu’à ce qu’elle soit épuisée. Ensuite la domestique vint se coucher à l’endroit où Aurore était, cette dernière se leva, roidit et étira ses membres, puis elle revint se coucher sur le lit.

Elle s’étendit de façon à ce que sa tête arrive à la hauteur du con odorant. Elle appuya son nez contre celui-ci et sa joue sur le lit couvert d’urine, les deux parfums se mélangeaient harmonieusement. Elles restèrent étendues ainsi jusqu’à ce que le lit fût sec. Il fallut qu’elles retirent les ragoûtants draps souillés du lit pour les laver avant l’arrivée du père.

Le père d’Aurore arriva dans la nuit, tout était propre et lavé, il ne remarqua rien et alla se coucher. Le lendemain matin, Aurore alla sans bruit jusque dans la chambre de son amante, elle la réveilla et lui proposa de rencontrer la fameuse Claudine. Elle accepta joyeusement. La domestique demanda à Aurore si elle savait maintenant son fantasme. Aurore répondis timidement :

– Peut-être, l’autre jour quand tu m’as léché le visage, j’ai indiciblement adorer la salive que tu as posé sur moi, plus que le fluide de Claudine ou que ton urine dorée. Je crois que cela est mon fantasme, la salive.

La domestique lui fit un large sourire et lui promit, lui jura de réaliser cette envie. Lorsque le père se leva, Aurore et son amante allèrent sur-le-champ lui demander la permission de partir chez Claudine, il leur donna sans opposition. Les deux attelèrent les chevaux et partirent avec célérité. La maison de Claudine apparu rapidement à l’horizon, deux heures suffirent à s’y rendre. Aurore fit des heurts à la porte et Claudine lui ouvrit. Elle était seule pour trois jours, son père était parti pour un réunion à Paris. Elle les fit entrer et s’asseoir, Aurore lui expliqua la situation avec sa domestique alors Claudine les amena prestement dans sa chambre. La méfiance qu’elle eut à la première vue de la domestique se dissipa totalement. Aurore fut l’élu des deux pour être la première à être massée, cajolée, minaudée, léchée. Les deux l’embrassaient lorsque la domestique osa lui dire :

– Veux-tu que nous réalisions ton fantasme?

Sans mot dire Aurore fit un signe approbateur de la tête. La domestique expliqua à Claudine en quoi consistait cette envie. Elle commencèrent à la lécher au visage avec une langue grandement humide. Aurore, sans pudeur ou retenue, dit accidentellement, poussée par l’excitation, qu’elle aimerait se faire couvrir la face de leurs salive, de leurs crachats. Avec fougue, ardeur et entrain les deux complices accomplirent sa demande. Elles ramassaient, elles entassaient en leurs bouches le plus de salive possible puis elles la firent soit couler sur le front, alors le mollard ruisselait jusqu’aux bas du visage ou dans la bouche, soit elles le crachèrent avec force et celui-ci s’écrasait sur quelconque partie du visage. Après une dizaine de crachement, Aurore tendit ses deux mains en formant une coupe, alors les deux femmes déduisirent qu’elle voulait y amasser la bave. Alors elles commencèrent à saliver, à cracher, à baver entre ses mains qui s’emplirent étonnement vite du fluide diaphane et blanchâtre.

Remplie jusqu’au bord de bave, elle porta ses mains avec précaution, pour ne point en perdre, jusqu’à sa bouche. Là, elle y trempa les lèvres puis elle se mit à déglutir le visqueux breuvage, elle se concentrait sur ses charmes, ses séductions pour en savourer la qualité et la délicatesse. Ses mains vides de salive, elle étendit celle qu’elle avait déjà au visage. Il y en avait sous le nez donc elle pouvait sans pause humer son enivrant arome, et elle en avait tant ingurgité que l’ineffable goût lui resta dans la bouche. Ses deux amantes entreprirent les massages vers le con. Aurore s’agitait, frissonnait à ces touchers, les deux travailleuses, dont la première fut la domestique, recommencèrent à cracher sur le visage d’Aurore. Quand elle eut son orgasme, elles avaient tellement craché sur elle qu’il était difficile de distinguer ses traits camouflés sous les crachats. Ensuite, Claudine demanda d’être la seconde, l’image d’Aurore la stimulait et l’exaltait mais elle ne dit quelle était son fantasme disant que c’est se qui se réalisait.

Les deux complices allèrent porter leurs bouches au sexe odoriférant, la domestique regarda Aurore comprenant maintenant pourquoi elle s’était plainte de son con inodore. Elles le léchèrent avec un enthousiasme ardent, le flux, le déluge volumineux se fit expulser du vagin lors de l’orgasme si fortement qu’il nettoya presque en entier la face d’Aurore. L’impétueuse domestique vint s’asseoir sur le lit et demanda de seulement lui lécher le sexe puisque son coeur s’ébattait trop pour qu’elle patiente à nouveau. Elles obéirent donc, le premier orgasme vint si vite qu’elles décidèrent de lui en offrir un autre. Elles s’ébattirent ainsi dans la moiteur, la sueur et les fluides. Après qu’elles eurent terminées leur lesbienne orgie, Claudine et la domestique vinrent s’étendre chacune sur un flanc de d’Aurore, les deux l’embrassaient puis, sans avoir l’intention de recommencer les ébats mais pour le simple plaisir pervers, les deux femmes, les lèvres entrouvertes, laissèrent s’écouler de légers filaments, de fins ruisseaux de salives dans le bouche d’Aurore qui avalait tout avec plaisir. Ainsi se termina leurs premiers ébats, couchées sur le lit en s’embrassant.

fin

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4 réponses à Le fantasme d’Aurore par Ollo

  1. Voisin dit :

    Chaud, troublant, insolite, excitant…

  2. Carl-Albert dit :

    Vous avez dit » bizarre » ?

  3. Chastaing dit :

    En voilà un fantasme qui est insolite !

  4. Pilouface dit :

    C’est tendre comme un jus de fruit sucré. Délicieuses coquines.

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