Histoires de bons plaisirs – 17- La Culotte… par Verdon
– En passant par Marseille, va donc voir l’oncle et Lucile ils seront heureux de te recevoir… Lulu, tu l’embrasseras bien pour moi, elle est charmante.
Petite maison cossue. Accueil gentillet. Tonton Fernand un peu brute de décaissage, mais très cordial. Lulu est très charmante, en effet comme le dit mon père.
Soirée de retrouvailles. Des discussions, des patati, des patata… Le régiment, le bled… on refait la famille… Tu as une petite amie… Ah non pas encore… alors les p’tites femmes… Hi, hi !…Charmante et espiègle la Tata !
Aller un bon dîner et au pieu… demain je travaille très tôt, nous dit l’aïeul…
Une bise bien appuyée, de la tantine qui me serre contre ses seins avant de me souhaiter une bonne nuit. Ah la chipie elle porte un sacré décolleté à me faire bander !
Elle va rejoindre son mari qui grogne apparemment d’impatience…
Oh mais ça fait bien du bruit dans leur chambre ! C’est qu’ils seraient encore amoureux ? (ben pourquoi pas, l’amour n’a pas d’âge.
Pas très discrets les amoureux ?….Ils en font du raffut !
– Aïe… Tu me fais mal !…Un peu de douceur !…
– Chut !… Soulève-toi, bon dieu !…Je ne trouve pas le trou !
– Non pas par-là !….
– Comment … par pas là ?…
Pif !…Paf… (deux claques sur les fesses… .)
– Ah ! Quand même !…Voilà… Oui, comme ça…
– Ouah… pff… .Oouh… .ça y est tu me l’as mise… .Pousse un peu !
– Clap… clap… .- Putain ! T’es bonne !…Salope !…Clap… Clap.
– Ouille !….Humm !!!
Bon, j’ai compris… il ne faut pas me faire un dessin !
Des petits cris, des gémissements… des bruits de baisers…
Putain… Ils ont laissé la porte entrebâillée !
Curieux, je me lève, me glisse dans le couloir. Je risque un coup d’œil dans la chambre…
Trop tard ! L’affaire est emballée. Mais j’ai le temps de voir avant qu’ils n’éteignent la lumière, la jolie queue de mon tonton qui fait la fière, au-dessus du cul de Lulu !
Ensuite, ça papote un peu. Ça se bise et puis plus rien.
Il ronfle le tonton.
Je vais discrètement me recoucher, déçu mais pas fâché et bandant… évidemment, et non sans m’accorder une petite branlette.
Le lendemain, odeurs de café. Six heures j’entends la porte d’entrée qui claque. C’est l’oncle qui s’en va.
Je somnole
On entre dans ma chambre. Très lentement… C’est éclairé dans le couloir.
Dans l’embrasure de la porte je distingue quelqu’un qui entre. Bon sang ! C’est Lulu… Qu’est-ce qu’elle cherche ?…Bonté divine… elle est nue !
Je fais semblant de rien.
Elle s’assoit délicatement sur le bord de mon lit. Je suis nu aussi. Je sens la chaleur et l’odeur de son corps contre le mien, cuisse contre cuisse C’est ce parfum ineffable qu’exhale le corps d’une femme mûre. Parfum que j’ai souvent ressenti entre deux pas de danse, à l’occasion de bals populaires, le nez dans le poitrail de quelque Dame heureuse de danser dans les bras d’un jeune homme.
Elle pose une main sur ma poitrine. Batifole au milieu de mon épaisse toison. Taquine mes tétons. Puis glisse sur mes lèvres un index humide qu’elle vient de retirer de sa bouche.
Je sens dans le bas de mon ventre une émotion grandir. Je fais semblant de m’éveiller…
Dans la demi-obscurité, je glisse une main sur une fesse Je la tapote, comme on flatte une bonne jument. Un geste d’acquiescement, de bienvenue.
Soudain elle se penche, me saisit la tête de ses deux mains et m’embrasse à pleine bouche en forçant sa langue entre mes lèvres, gloutonnement, violemment, pleinement…
J’étouffe !…Elle me lâche… Me regarde !…Me sourit merveilleusement.
Je suis éberlué. C’est la première fois qu’on me fait cela !…Je respire et souri à mon tour. Je l’enserre de mes bras.
De sa main droite elle saisit mon sexe qui n’a pas attendu pour se dresser et commence à bander dur sous la bonne surprise
.
Penchée, maintenant sur mon ventre, elle prend en bouche mon vireton et boulotte doucement mon gland, comme un bonbon à la guimauve… Putain elle fait ça bien !
Je profite de sa position allongée, pour lui ôter sa culotte que je fais glisser jusqu’au sol.
Elle apprécie. Mais comme elle est mal à l’aise, elle soulève sa jambe gauche, la remonte au-dessus de moi et me chevauche, allongée sur mon ventre, en tête à queue et le cul grand ouvert posé sur mon buste.
La situation est des meilleures !
Tandis qu’elle se lance dans une pipe d’enfer sur mon mât de misaine…
J’ai, sous mes yeux et au bout de mon nez un des plus beaux présents qu’une femme puisse offrir à un gars de mon âge.
Je découvre la vue, la douceur, la chaleur et l’odeur de son sublime postérieur.
Mes mains sur ses fesses, je les pétri, je les ouvre, je les tapote et je me régale de ces effluves chatoyantes, de cet arôme délicat, de ces relents insidieux, qu’exhalent entre minou et trou du cul, l’exubérance de ses humeurs.
Senteurs de mouille, de transpiration, saveurs pisseuses et brises fécales, le tout mélangé dans un puissant parfum aphrodisiaque. L’ensemble agrémenté d’un sublime bouquet final d’essences masculines accompagnées c’est sûr des séquelles charmantes d’un petit trou malpropre que Dame a négligé.
Il ne m’en faut pas plus pour chercher à baiser la tantine aux abois qui déguste ma pine.
J’essaie de la soulever. Elle ne veut rien lâcher. Alors j’enfoui ma tête au fond de son entrecuisse (dans le triangle des perditions, comme disait ma mère !) et je me la dévore comme chiens sur le gibier.
Je lape ses trésors, de la chatte à l’anus y faisant pénétrer ma langue tant et plus et je me gargarise de la crue de sa mouille.
Elle s’envole, elle explose, tape des mains sur le matelas, pousse des cris et colle son cul contre ma bouche. Elle en demande plus mais en oublie ma pine.
De bonnes tapes sur son joufflu et la voilà qui se remet à la tâche en absorbant de nouveau mon pierrot qui explose à son tour et inonde son palais, de mon épais bouillon qu’elle avale la gourmande comme de la chantilly.
Elle s’étouffe, mais la potion avalée, lève la tête et reprend sa respiration.
Elle vient se coucher amoureusement sur moi.
Allongée, ses deux gros seins sur ma poitrine, soutenue par ses bras elle sourit, fière et amusée par ce que nous venons de faire, elle me regarde… quelques gouttes de sperme qu’elle n’a pas complétement avalé s’écoulent comme des perles au bout de son nez. Je les lape en faisant la grimace… Elle m’embrasse.
On se cajole pendant un moment. Il est temps maintenant de se préparer à partir car j’embarque à midi pour l’autre côté de la Méditerranée.
– Viens mon chéri, viens prendre la douche tu ne vas pas partir comme ça !
Arrivés dans la baignoire, elle me dit :
– Couches-toi, je vais te faire un shampoing.
Elle se met au-dessus de moi, les jambes écartées et elle me pisse sur la tête la cochonne, et partout sur le corps en riant aux éclats.
C’est une grosse surprise pour moi qui n’ai jamais reçu une douche pareille.
C’est chaud, c’est doux, c’est bruyant et c’est coloré et odorant ! Bon sang, que c’est agréable et quelle pisseuse elle me fait là, la coquine !
Du coup, je vais lui en faire autant.
Je me relève, elle s’agenouille à mes pieds et je pisse… putain que je pisse fort… sur ses seins, dans sa bouche… sur ses dents… elle adore, elle boit et elle se tourne pour que je lui pisse au cul.
Comme des fous on nage dans nos urines !
Mais on ne s’arrête pas là. On se retrouve debout tous les deux et elle entreprend de nous savonner de haut en bas.
Et quand je dis : ‘en bas’… .elle tombe fatalement sur mon boute joie qui veut effectivement lui aussi participer à la joie (comme son nom l’indique).
Devant la prestance de ma belle gaillardise, elle me la savonne bien, l’insolente, me tourne le dos et me dit :
– Encule-moi !
Ben, vous pensez bien que je ne vais pas faire le grincheux devant ce croque-bite… Alors je me l’encule …
Oh ! Oui, et bien à fond et d’un coup d’un seul, comme elle le désire…
Elle crie, la garce… et c’est normal… c’est du dur mais du bon… Alors il faut y aller et elle ne se refuse pas… .au contraire, elle pousse son cul contre moi pour que j’y pénètre profond !
Je vais, je viens et j’y retourne et je l’enfile le rosbif… Il est à point, nom de dieu !
Elle le remue son popotin ! En voilà des bonnes manières ! Je sens que le tonton ne doit pas s’ennuyer avec elle… Il l’a bien dressée sa femelle !
Je remarque au fond de sa raie du cul, que sa marguerite a belle allure, légèrement rosée et entourée d’une aréole brune, ce n’est sûrement pas la première fois qu’elle se la fait attendrir la rosette.
Chaque fois que je sors du petit trou, il reste ouvert, un peu comme s’il balbutiait, pressé de se faire de nouveau enfiler.
Ma pine ayant repris une bonne vigueur après toutes ces bonnes caresses de la tantine, je m’applique à lui rendre au centuple ses bontés. C’est si beau de la saisir par les hanches et de lui fendre ainsi le derrière en lui écartant la raie du cul pour admirer ma bite qui plonge dans son petit trou !
Elle aime ça. Elle gigote. J’ai rarement trouvé depuis, une Nana aussi chaude de ce côté-là (Oh ! sûrement que parmi mes lectrices… .ha !…des lecteurs, peut-être ?… Hum !).
Bon, malheureusement, tout a une fin…
Je me retire. J’admire le flot de mes humeurs que déballe son trou du cul. Je lui tapote un peu le cuir (of course !)
… elle se redresse, me bouffe encore une fois la pine (pour la route ! comme on dit.)
, et on saute de la baignoire en se congratulant et en se séchant.
J’enfile ma tenue de trouffion.
– que tu es beau avec ton béret rouge !
Je ramasse instinctivement la culotte par terre et l’enfourne dans mon paquetage… (elle n’est pas prête de la retrouver… hi !, hi !)
Et hop ! Je déboule l’escalier, après avoir bécotée une dernière fois la Tantine et essuyé sa larme à l’œil…
– tu viendras nous voir à ton retour…
Ben oui que je reviendrai… C’est sûr…
… … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … ..
35° à l’ombre !
On est une petite troupe… .
Il fait chaud. On n’en peut plus. On crapahute dans ce djebel avec armes et barda, depuis ce matin.
Enfin, une pause.
On s’affale sous l’ombre maigrichonne d’un pin tout rabougris.
On tire des galettes et un peu d’eau de notre sac de survie.
Je sue.
Instinctivement je sors de mon barda un chiffon pour m’essuyer le front…
Waouh !
Bon sang ! Cet arôme ! Ce bouquet ! Ce Parfum … … … ..
Mais … OUI ! … Ce chiffon… .C’est la culotte de Tantine !!!! Je bande !
… … … … … … … … … … … … … … .
.Au secours Lulu ! … … … … ..
Je bande pour toi !… … … … .
Au milieu du désert !!!!………..
12/05/2024
Quand l’auteur se déchaîne…
Un bel hommage très… culotté !