Alinéa lisse par Pilouface

Alinéa lisse par Pilouface

On m’avait promis une journée inoubliable en me rendant à la fête du crabe dans cette petite commune de la côte Bretonne. Ce le fut au-delà de toute espérance. Un grand chapiteau abritait des alignements de tables. On se bousculait dans une bonne humeur générale pour prendre place à cet autel de la gastronomie marine. Les bénévoles orientaient les arrivants vers les places disponibles en évitant de laisser des creux. J’étais sûrement ce jour-là, béni des dieux. Juste après moi, c’était au tour de deux jolies nanas de prendre place sur le banc. Celle qui s’installa en premier enjamba le banc et me fit ainsi profiter d’un sublime panorama sur les ciseaux ouverts de ses cuisses bronzées. Ayant croisé mon regard malicieux, elle se fendit d’un sourire qui me transperça comme la flèche de Cupidon.

Peut-on tomber amoureux en 2 secondes ? Ce fut ma première pensée. Son sourire espiègle m’avait fait oublier la vision alléchante de son intimité dévoilée. C’est alors que je pris conscience de la présence de sa copine qui me dévisageait fixement.

– Bonjour, je m’appelle Alan, dis-je pour entamer la conversation et dissiper la gêne qui pointait son nez. C’est vraiment sympa ici.
– Moi c’est Aline dit ma plus proche voisine, celle qui avait amené mon cœur à 150 à l’heure.
– Moi c’est Alice, reprit l’autre.
– Quelle étrange coïncidence !
– En effet, nos deux prénoms sont quasiment semblables à une consonne près, et le vôtre n’en est pas très loin non plus.
– Le hasard fait souvent bien les choses, répondis-je. Pour ma part je n’en suis pas fâché. Je vous propose de trinquer à nos similitudes.

Je pris la bouteille de muscadet et servis mes deux compagnes. Nous parlâmes de la fête. Elles m’avouèrent n’être pas au premier verre de la journée et que l’euphorie de l’alcool commençait à se faire sentir. Si le sourire d’Aline avait chamboulé mes sens, celui d’Alice ne me laissait pas non plus indifférent. J’étais en proie à une situation totalement nouvelle pour moi : Être attiré pas deux filles en même temps. Les deux amies ne semblaient pas de leur côté, être embarrassées par la situation. Elles s’amusaient à commenter la perception qu’elles avaient de telle ou telle personne autour de nous.

– As-tu vu le grand maigre, sur la gauche ? me chuchota Alice à l’oreille, en se penchant par-dessus sa copine.
– Oui, il a une drôle de tronche, répondis-je en riant.
– Regarde ses mains, continua-t-elle en se penchant toujours plus.

Je ne regardais pas les mains du grand maigre, mais le décolleté d’Alice qui s’ouvrait effrontément à mon regard avide.

– Oui je vois ses mains, qu’ont-elles de particulier ?
– Il a de très longs doigts. Sais-tu que les doigts d’un homme sont en rapport avec la taille de son sexe, me dit-elle.
– Je ne savais pas, ce sont sans doute des sornettes.

Pour parler doucement, je me suis penché vers elle en posant ma main sur la cuisse d’Aline qui nous séparait mais qui n’eut aucun geste de recul. Sa peau nue était douce et chaude.

– Est-ce pareil pour les femmes ? Leur demandai-je.
– Çà demande à être vérifier dit Aline en riant.
– Alors je suis candidat pour le poste de vérificateur, reprenant son rire à la volée.
– Oh ! Tu as entendu Aline ? Nous faire une telle proposition, et en public en plus !
– Je peux si vous le désirez, la réitérer en privé, répondis-je toujours sur le ton de la plaisanterie.

L’arrivée des plats pantagruéliques interrompit un instant notre conversation un peu leste. Après avoir avalé les premières bouchées, Alice me prit la main en me disant :

– Tu as de longs et jolis doigts, pas démesurés mais élégants. Qu’en penses-tu Aline ?
– La main est douce et virile, répondit-elle en caressant mes doigts.
– La tienne est tendre et féminine répondis-je en prenant sa main.
– Et la mienne ? me demanda Alice.

Je plaçai leurs mains côte à côte sur la table.

– Elles sont tellement semblables et en même temps différentes.
– Tu parles de nos mains ou de nos doigts ?
– De vos doigts. Je ne voudrais pas être indélicat en poussant plus profondément les comparaisons.
– Il est des poussées profondes que nous acceptons suivant les circonstances, dit Alice.

Pendant le repas la conversation se poursuivit sur le même ton de grivoiserie au second degré avec quelques digressions vers le premier. Je fis en sorte qu’Alice ait à se pencher vers moi pour glisser mes yeux dans l’entrebâillement de son tee-shirt. Elle s’en amusait et me laissait voir ses seins ronds et toniques, à peine voilés par un soutien-gorge transparent.

J’en profitais à chaque fois pour placer ma main en appui sur la cuisse d’Aline.

Autour de nous les rires et les conversations montaient graduellement au rythme des bouteilles consommées. Je ne sais si le geste d’Aline fut inopiné mais en se penchant vers moi pour se faire entendre, elle posa elle aussi sa main à l’emplacement de mon sexe. Ma queue réagit aussitôt mais la belle garda sa main sur mon érection, tout en me racontant une anecdote sur un voisin qui les avait surprises toutes les deux, bronzant en tenue d’Eve dans leur jardin. Elle retira sa main quand je lui dis que j’aurais bien aimé être le voisin.

– Tu rigoles, me dit Alice, il est vieux et laid alors que toi tu es jeune et beau. Tu y perdrais au change.
– Dans ce cas, je me serais contenté d’échanger le regard.
– Peut-être que…
– Oui, peut-être que…reprit Aline. Nous sommes là pour quinze jours encore. Tu pourrais venir nous rendre visite.
– Avec plaisir, répondis-je sans réfléchir, aujourd’hui, pourquoi pas ?
– Ok, Alan. Nous t’invitons à dîner ce soir, dans l’intimité de notre modeste demeure.
– Je n’aurai sans doute pas trop faim, mais le plaisir de votre compagnie remplacera le plaisir de la table.

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L’excès d’alcool n’avait pas entamé notre lucidité au point de prendre la voiture et c’est à pied que nous fîmes ensemble les trois kilomètres qui nous menèrent à leur maison de vacances. Nichée près de la côte rocheuse, elle émergeait à peine d’une haute haie de lauriers.

Le voisin voyeur n’était sûrement pas venu les mater par hasard, la maison la plus proche étant à plusieurs centaines de mètres. Nous nous installâmes sur les fauteuils de la terrasse pour l’apéro.

– Avec un verre de plus je ne réponds plus de mon comportement dit Alice.
– Pour moi ça va, dis-je, mais je ne me formaliserai pas des écarts de langage ou de comportement que tu pourrais avoir, au contraire je trouverais cela plutôt excitant.
– Dis-moi Alan, tu as apprécié mon décolleté à la fête du crabe.
– Comment pourrait-il en être autrement. Je suis peut-être indiscret mais je ne suis pas Tartuffe.
– Maintenant que nous sommes entre nous, reprit-elle, la discrétion n’est plus de rigueur, n’est-ce pas Aline ?

En effet, Aline assise en face de moi laissait entrevoir ses cuisses à la limite de la salle de jeu.

– A la fête je n’ai eu qu’un aperçu rapide de tes belles cuisses bronzées, qui m’a laissé sur ma faim. Je te remercie Aline, de compléter la faveur que tu m’as accordée involontairement cet après-midi.
– Les étincelles qui scintillent dans ton regard, sont pour moi une invitation au plaisir de te plaire.

Quelques croisements de jambes plus tard, ma queue était raide et mon sang bouillonnait. Elle se leva soudain et vint se placer derrière Alice, face à moi.

– Tu veux un cadeau, Alan ?
– Oui, je veux bien, quel cadeau ?
– Tout à l’heure tu n’as fait qu’entrevoir le décolleté entrebâillé d’Alice, maintenant je t’offre le reste. En toute amitié bien sûr.

Debout derrière le fauteuil d’Alice, elle laissa ses bras descendre sur les seins de son amie.

– Es-tu excité Alan ?
– Si vous saviez à quel point je le suis, les filles.
– Calme-toi, ce n’est qu’un début. Alice est un peu exhibitionniste pour un peu qu’on l’y pousse. Certes son pantalon ne se prête pas aux plongées dans l’entrecuisse que tu as eu avec moi il y a un instant, mais ses jolis seins compenseront ce manque.
– Tout est beau chez vous et j’apprécie tout ce que vous me laissez entrevoir.
– Tu bandes Alan ? demande Alice en interrompant son amie.
– Oui, je bande très fort.
– Caresse la bosse que fait ton sexe, j’aime voir ça.

Aline avait commencé à relever le tee-shirt d’Alice et le relevant lentement découvrit ses seins. Elle le fit ensuite passer par-dessus sa tête et le jeta sur mes genoux.

– Tu peux le sentir, son odeur est enivrante.
– C’est vrai, dis-je en y plongeant ma tête.
– Tu veux voir mes seins nus maintenant ? me demanda Alice.
– Oui
– Demande le mieux que ça.
– Je veux voir tes seins nus Alice.
– Parfait, Aline dégrafe mon sou-tif !

Aline fit tomber le léger rempart de tissu. Elle laissa glisser doucement ses deux mains des épaules à la naissance des seins de son amie. Elle les empauma à deux mains en me regardant d’un petit air coquin.

– Elle est belle, n’est-ce pas ?
– Oui, elle est très belle.
– Elle t’excite ?
– Je crois que ça se voit, dis-je en montrant du regard la bosse proéminente qui déformait mon jean.

Aline se pencha vers la belle aux seins nus et lui souffla quelques mots à l’oreille.

– Je suis sans doute l’objet de vos connivences. Puis-je en savoir plus ?
– Oui dit Alice, en croisant les mains derrière sa tête et dressant ainsi ses seins arrogants. Nous aimerions Aline et moi, voir au grand jour, le bel organe qui enfle sous ta braguette.
– Aline pourrait peut-être venir libérer elle-même l’objet de votre convoitise.
– Non, fais le toi-même, répondis Aline, en rapprochant son fauteuil de celui d’Alice.

Les deux filles étaient installées côte à côte comme au spectacle dont j’étais à présent l’acteur. Elles me regardaient, complices, l’air amusé et attendaient mon lever de rideau. Alice les seins à l’air, les jambes tendues bien écartées, me laissant distinguer le léger renflement de sa chatte de chaque côté de la couture de l’entrecuisse. Aline dans la même position, maintenait étonnamment ses jambes nues serrées, empêchant toute incursion indiscrète de mon regard.

Je défis ma ceinture, puis le zip de mon jean. Mon sexe dont j’avais dégagé l’étreinte, se redressa pour se mettre bien droit. Le bout de mon gland apparut à la ceinture taille basse de mon boxer. Aline se pencha vers sa copine en disant :

– La vision de ce gland rougeoyant me séduit beaucoup mais n’aimerais-tu pas en voir plus ?
– Oui, comme toi, j’aimerais voir ce vit en entier. Montre-nous cette bite bien raide Alan !
– Vos désirs sont des ordres chères amies, dis-je en exhibant ma queue tendue comme un pieu.
– Quelle beauté ! dit Alice.
– Quelle raideur ! dit Aline.
– Ma raideur serait encore renforcée si vous aussi, vous participiez à cette exhibition…
– Parce que tu considères, m’interrompit Alice que t’exposer mes seins nus aux tétons érigés, n’est pas de l’exhibition ?
– J’en conviens Alice et mon sexe bien raide en est la preuve visible, mais Aline reste un peu sur la réserve, non ?
– Ne t’ai-je point laisser mater mes cuisses, ingrat !
– Oh tellement peu ! Si bien que je ne peux même pas te dire la couleur de ta culotte.
– Peut-être que c’est parce qu’elle n’en porte pas s’esclaffa Alice.
– Tu aurais donc passé toute l’après-midi sans culotte, nue sous ta robe, les fesses à l’air ?
– Peut-être …
– Dans ce cas je ne peux que regretter de n’avoir pas glissé ma main plus haut entre tes cuisses lorsque nous nous amusions mutuellement à chatouiller notre libido.
– Qui sait ?
– Attends un peu me dit Alice, je vais glisser ma main entre ses cuisses et à l’expression de mon visage tu devrais pouvoir deviner si mes doigts rencontrent une barrière de tissu ou une belle chatte trempée et accueillante.

Alice la perverse n’attendit pas une seconde de plus pour glisser sa main sous la robe de son amie tout en soutenant mon regard. Mes yeux faisaient le va et vient entre les beaux yeux d’Alice et l’intromission de son bras entre les cuisses bronzée, toujours bien serrées.
Un sourire d’étonnement apparut soudain sur le visage d’Alice alors que Aline gardait les yeux fixés sur ma queue toujours raide.

– J’aimerais te voir la masturber, me dit-elle sans quitter ma queue des yeux.
– Tu ne préfères pas le faire toi-même belle voyeuse ?
– Pas pour l’instant, car je trouve très excitant de voir un homme se branler la queue.

J’amorçai donc un lent geste de branle sur ma bite turgescente, quand Alice retirant sa main du lieu de son exploration, me dit :

– Alors ta réponse, culotte ou pas culotte ?
– Pas culotte ?
– Pour vérifier par toi-même, dit Alice tu vas t’allonger sur le dos devant nous et Aline passera au-dessus de toi en écartant les jambes. Tu auras ainsi la réponse.
– L’idée m’émoustille carrément, dis-je en m’allongeant sur le dos.
– Dégage bien ta queue dit Aline, je veux aussi voir tes couilles.
– Comme cela, ça te convient ?
– Non, mets-toi complètement à poil, ce sera esthétiquement plus sexy.

Les deux filles confortablement installées dans leur fauteuil, me regardaient baisser mon jean, mon boxer, apparaître cul nu devant leur regard que je jugeai comme appréciateur. Je fis voler ma chemise et c’est à poil, cul nu que je m’allongeai sur le sol. Aline tendit la jambe et du bout de son pied tâta mon sexe dressé. La vue que j’avais en contre-plongée ne me permettait pas encore de voir sous sa robe mais la situation m’excitait au plus haut point. Aline me faisait penser à une baigneuse qui, allant se baigner, pointait un pied dans l’eau pour avant de lancer un traditionnel  » Elle est froide ! »

– Elle est bonne, dit-elle en riant.

Telle la baigneuse avançant prudemment dans l’eau froide, elle s’avança vers moi. Elle m’enjamba en me tournant le dos. Elle écarta outrageusement les jambes et j’eus le panorama exquis d’une petite culotte de dentelle blanche galbant à merveille ses petites fesses rondes. Sous le coup de l’émotion, je remarquais quand même que le fond en était bien mouillé.

– Tu as perdu Alan, dit Aline.
– On devrait lui donner un gage, dit Alice.
– Ou une compensation à sa déception ?
– Oui, lui donner ta culotte par exemple ?
– Très bonne idée, j’adhère.

Sans quitter sa position dominante, jambes écartées au-dessus de moi, Aline remonta sa robe en découvrant ses fesses et ses hanches. Elle fit glisser sa culotte sur ses cuisses, livrant à mon regard avide, les lèvres de sa chatte toute lisse. Elle quitta la position pour faire passer le tissu de dentelle à ses pieds puis reprit sa position au-dessus de moi, exhibée, offerte.

Ne pouvant plus supporter un tel degré d’excitation, je pris ma bite en main et la branlai furieusement, voulant par un orgasme rapide faire baisser cette excitation qui me submergeait. Je jouis en longs jets saccadés, le corps agité de convulsions répétées.

Retombant enfin sur terre, j’entendis Alice soupirer d’aise, la main plongée sous la ceinture de son jean.

– Je te remercie pour le spectacle, me dit Aline.
– Je te retourne le compliment, brûlante amie.
– J’ai failli jouir, rien qu’en te regardant, dit Alice, j’étais à deux doigts d’y arriver.
– Tu veux le mien en guise de troisième doigt, belle Alice lui répondis-je.
– Non, je trouve qu’il vaut mieux laisser refroidir nos sens pour faire plus ample connaissance.
– Tiens Alan, prends ma culotte pour essuyer ta jouissance, dit Aline en me passant son cache sexe de dentelle.

oooOooo

Quelques instants plus tard, nous étions à nouveau dans une tenue convenable, j’avais remis mon pantalon, Alice son tee-shirt mais par contre Aline était restée sans culotte sous sa robe. Elle l ‘avait gardée au creux de sa main en la reniflant entre deux verres de vin cuit. Devant mon air perplexe elle me dit :

– Je n’aime pas le goût du sperme dans ma bouche, mais j’aime son odeur. Mélangée à la mienne c’est un cocktail enivrant.
– J’aurais aimé dis-je, pouvoir goûter à ton sexe.
– Chaque chose en son temps, bel ami. Si la langue te démange, Alice te quémandera peut-être une friandise dont elle est très gourmande.
– Laquelle ?
– Une feuille de rose répondit spontanément Alice à la place de sa copine.
– Avec vous deux, je suis partant pour toutes les excentricités.
– Ce n’est pas une excentricité, mais une normalité. C’est très doux, nous en raffolons l’une comme l’autre.
– Il me semble que vous vous vous connaissez très bien.
– Nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre.
– Et… vous l’avez pratiqué ensemble ?
– Si Aline et moi nous ne nous cachons rien, nous gardons pour toi, certains aspects de notre jardin secret, inaccessibles…enfin pour l’instant.
– C’est dommage, pour une fois que je rencontre des filles complètement libérées des convenances, j’aurais aimé bousculer un peu plus les principes.
– Tu peux bousculer nos pudeurs ou nos féminités mais pas nos principes.
– On peut les résumer à quoi vos principes ?
– Résume-nous, les tiens d’abord, on prendra la suite.
– Heu…ce n’est pas facile. Il me semble que je n’ai pas de principes.
– On va bien voir, dit Aline. Nous allons essayer de les débusquer là où ils se terrent.
– Allez-y, je suis prêt.
– Tu accepterais que l’on te rase le sexe.
– Je n’y ai jamais songé, mais pourquoi pas.
– Même le corps, les jambes et entre les fesses ?
– Si vous réalisez l’opération vous-même, je veux bien que vous disposiez de mon corps tout entier.
– Ça me tente de le faire tout de suite dit Alice.
– D’autant plus que, venant d’éjaculer, nous serons tranquilles en ce qui concerne une érection éventuelle.
– En quoi une érection pourrait vous gêner en me rasant ?
– Parce que nous serions déviées de notre tâche.
– Comment ?
– Nous aurions sans doute, l’une comme l’autre l’envie de saisir ta belle queue pour autre chose que lui enlever ses poils disgracieux.
– Je n’en serais pas outré.
– Et si, à l’ouvrage entre tes fesses, nous avions dans l’idée de te planter un doigt, juste pour le fun, tu bondirais loin de nos mains ?
– Je ne sais pas, on ne me l’a jamais fait.
– Alice, dit Aline, on va le soumettre à cette pratique. Ça te tente ?
– Avec joie, cela va nous pimenter la soirée. Baisses ton pantalon Alan et laisse-nous faire. Tu es d’accord ?
– Oui mes chères maîtresses perverses.

Je m’agenouillai après avoir enlevé mon pantalon, et présentai mon cul à mes deux diablesses. Je me sentais un peu humilié mais excité à la fois. Ces deux nanas allaient m’enculer, n’ayons pas peur des mots. Elles étaient toutes les deux à mes côtés. Aline ne faisait plus d’effort pour me cacher son intimité. Accroupie cuisses ouvertes elle me laissait voir sa chatte humide et luisante. Leurs mains m’écartèrent les fesses. Je ne savais pas laquelle écartait et laquelle poussait son doigt tout contre mon trou serré.

– Il est un peu trop sec dit Alice, tu devrais prendre un peu de ta mouille pour le lubrifier.
– Pourquoi pas la tienne, répondit-elle.
– J’ai un pantalon alors que toi tu as le cul à l’air. Tu es plus accessible.
– Tu peux le baisser en trois secondes.
– Oui mais, je n’ai pas envie de lui montrer mon cul tout de suite, je préfère attendre.

Je me retournai pour voir Aline plonger ses doigts dans sa chatte pour en récupérer le jus de son excitation bien visible. Elle me l’étala entre les fesses et s’y reprit à plusieurs fois pour rendre mon trou du cul aussi juteux que son minou. Je sentis soudain un doigt me perforer. Je ne pus refréner un sursaut réflexe qui fit rire mes deux complices.

– Ça surprend, hein ? Me dit Alice qui était l’auteure de la perforation.
– Oui un peu.
– Imagine que nous les femmes, nous avons à subir de grosses bites et sans broncher.
– Oui mais ce n’est pas pareil.
– Comment ça, pas pareil ? Un trou du cul, c’est un trou du cul, qu’il soit mâle ou femelle.
– Vous êtes plus habituées à la pénétration.
– Peut-être intervint Aline, mais je peux t’assurer que si nous sommes constituées pour engloutir de gros mandrins dans nos vagins, il n’en est pas de même pour nos petits trous fragiles. Tiens je rajoute mon doigt à celui d’Alice.
– Aie !
– Eh oui ! C’est un peu douloureux au début. Pourtant deux doigts ce n’est rien par rapport à une grosse bite.

J’avais deux doigts dans le cul, celui d’Alice et celui d’Aline qui étroitement liés l’un à l’autre me fourrageaient le derrière. Je m’étais habitué à cette présence et mon muscle anal s’assouplissait au fur et à mesure de leur enculage. Elles semblaient s’amuser follement à me transpercer le cul, jouant de leurs doigts à l’intérieur, les retirant, et les replantant aussitôt.

– Tu vois dit Alice à son acolyte, il se referme déjà moins vite quand on se retire. Nous allons pouvoir en ajouter un autre.
– Trois doigts ? Interrogeai-je ça risque de faire beaucoup.
– Un autre chacune ça fait quatre en tout, dit Aline. Serre les dents Alan tu sauras ainsi l’effet produit par une bonne bite dans le fondement d’une femme.

Elles l’ont fait les garces. Pas longtemps, mais elles l’ont fait. Elles se sont ensuite retirées en me gratifiant d’une bonne claque sur les fesses.

– Ça s’arrose, non clama Alice en prenant une bouteille de vin blanc.
– Oui dit la belle Aline, ce n’est pas tous les jours que l’on dépucelle un homme.
– Dois-je vous en tenir rigueur ou vous remercier ? Demandai-je.
– Nous en tenir rigueur minauda Aline, alors que nous ne sommes que tendresse, douceur, prévenance et amour envers toi. Viens m’embrasser mon bel Anal…heu ! Excuse-moi, ma langue a fourché, je voulais dire : Alan.
– Je n’y avais pas pensé à ce jeu de mot dit Alice. Notre ami vient donc de faire connaissance avec l’essence de son nom. Les noms sont souvent révélateurs d’une spécificité.
– Prenant la balle au bond, je renchéris : Oui comme Aline qui rime avec pine et Alice avec…avec pisse, oui pourquoi pas ?
– Ou lisse, les rimes ne suffisent pas dit Aline, les vers qui les hébergent sont bien plus important.
– Si Alice a la chatte aussi lisse que le sera bientôt ma pine, je veux bien concocter un joli blason en l’honneur de vos cons mes chéries.
– Quel vilain mot pour une si jolie chose dit Aline. Trouve lui un joli nom et le « con » d’Alice viendra te saluer.
– Montre-moi ta petite chatte Alice, celle qui reste bien caché à mes yeux énamourés.
– Non Alan, ce nom est trop commun.
– Je voudrais belle Alice déposer des bisous sur ton joli minou.
– C’est mignon, mais j’aurais préféré un autre nom.
– Me laisseras tu belle princesse, noyer de mes bécots ton joli coquelicot ?
– Là, je me laisserais bien tenter, mais encore un effort. Je ne veux pas me contenter de poésie de pacotille.

A bout d’argument je me suis adressé à Aline en arborant ma queue qui avait retrouvé toute sa vigueur.

– Dis-le lui, toi Aline que l’hommage de ma queue à nouveau redressée est une plus belle image que mes vers un peu niais.
– Acceptes-tu, Alice ?
– Oui, Alan regarde mon con, ma chatte, mon coquelicot, mon minou ma foufoune à laquelle tu aurais dû penser aussi.

Ce disant, la belle Alice fit descendre doucement le zip de son pantalon. Puis son petit slip noir suivi le pantalon en bas de ses jambes. D’un petit pas leste elle se débarrassa de l’ensemble et j’eus devant les yeux le minou tout lisse d’Alice. Je fus en quelques secondes à genoux devant la belle, la bouche sur le renflement de son mont de Vénus. Alice n’en attendait pas moins. Elle écarta largement ses cuisses tout en restant debout jambes tendues devant moi.

– Dis-moi Alice demande Aline, est-ce qu’il se sert bien de sa langue notre invité ?
– Pour l’instant il tâtonne, répondit Alice.
– Tu as entendu me dit Aline, mon amie veut que tu enfonces profondément ta langue dans sa chatte.

La bouche obstruée par le bâillon de chair, je ne pus qu’opiner de la tête en regardant Aline dans le bleu de ses yeux. Jamais je n’avais obéi à un ordre avec autant d’empressement. Je faisais frétiller ma langue dans les moindres replis de sa fleur dégoulinante. Je revenais vers le clito en le titillant de quelques coups de langue pour replonger à nouveau dans son sexe béant.

– Hum ! Là c’est déjà mieux lance Alice à son amie. Je crois que s’il continue de la sorte le coquin va me faire jouir rapidement. Je coule tellement que je sens que je vais gicler.
– Attention ! Me lance Aline en riant tu vas avoir le droit à la fontaine de jouvence. Si tu acceptes sa cascade sans retirer ta bouche, tu auras en récompense le droit de faire de nous deux ce que tu désireras. Tu acceptes ?

Je fis oui de la tête à la belle perverse.

Aline vint tout contre moi aux pieds de son amie restée, debout les jambes en « V ». En s’accroupissant elle laissa sa robe remonter sur ses cuisses ouvertes. Mon excitation était à son paroxysme. Je n’avais encore jamais expérimenté l’assaut d’un jet doré, mais j’en eus soudain une envie irrésistible. J’agaçai même du bout de la langue le petit trou qui devait gicler d’une seconde à l’autre.

– Oh ! S’exclama Alice ça vient, ça vient ! Je vais jouir et gicler en même temps. Le petit chéri, c’est un vrai démon, il fait frétiller le bout de sa langue dans mon trou à pipi.
– Si tu savais ce qu’il fait avec sa main.
– Non ma chérie, dis-moi !
– Il m’a plongé un doigt entre mes fesses, directement dans mon trou du cul.
– Oh le vicieux ! S’exclama Alice dans un râle de jouissance. Fais-moi la même chose Aline, je vais jouir !
– Mais j’ai déjà ma main sur sa bite et je le branle.
– Avec ton autre main alors, comme au piano, la main gauche pour les basses et la droite pour les aigus.

Alice n’en pouvait plus de se retenir, sous ma langue je sentais son clito érigé et des frissons secouaient son ventre spasmodiquement. Elle projetait son pubis contre ma bouche ? Au même rythme que le doigt d’Aline dans son cul. Je sentis quelques gouttes légèrement salées sur le bout de ma langue…

Elle serrait fortement ma tête entre ses cuisses… De mon côté je faisais coulisser mon doigt dans les profondeurs de l’anus d’Aline… Son jet jaillit sur ma langue, mais je restai la bouche collée à sa cascade brûlante… Aline qui avait accordé le rythme de son branle sur ma queue à la montée du plaisir collectif, reçut ma giclée de sperme en pleine main…

Alice se laissa tomber sur nous… Nous nous enlaçâmes tous les trois pour laisser le calme revenir sur notre champ de bataille.

– Moi je n’ai pas joui, dit Aline tout aussi dégoulinante que moi de la cascade Alicienne.
– Ce n’est que partie remise lui dit son amie, encore sous l’emprise de son orgasme violent.
– Moi j’ai pris un pied fantastique dis-je en regardant d’œil amusé le doigt d’Aline légèrement souillé par le ramonage endiablé du cul d’Alice.
– Je n’ai rien contre le fait d’être parfumée au N° 5 d’Alice dit-elle. Alan tu vas me lécher le doigt afin de le nettoyer. Suce-le à fond comme si tu suçais une bite.
– Je n’ai jamais sucé de bites.
– Tu ne perds rien pour attendre, mon cochon. J’en ai une superbe en silicone, plus vraie que nature. Je te la ferai connaître. En attendant, je trouve qu’une petite douche à l’unisson serait fort bénéfique.

oooOooo

La séance de douche fut un pur ravissement. Nous avons frotté nos corps nus, enduits d’huile parfumée, chacun contre les deux autres. J’ai léché avidement le clito d’Aline sous le jet de la douche tandis qu’Alice lui caressait les seins. Nous voulions Alice et moi lui offrir l’orgasme dont elle avait été frustrée. N’obtenant pas ainsi la jouissance espérée, Alice me persuada qu’elle saurait mieux que moi faire jouir sa copine par son bouton d’amour.

– Lèche-lui le trou du cul pendant ce temps, elle adore ça « . Je ne lui donne pas trois minutes pour grimper aux rideaux.

En effet la coquine savait y faire dans l’art du broute minou et Aline, emportée par nos deux langues comme un trimaran par ses deux flotteurs sur une déferlante, jouit en s’agrippant à nos cheveux.

A la sortie de la salle de bain, Aline me dit :

– J’aimerais maintenant Alan, que tu me fasses l’amour tendrement, à la missionnaire.
– Je le voudrais bien aussi, mais j’ai joui deux fois déjà et je ne suis pas sûr d’être à la hauteur de tes ambitions.
– Alice nous aidera si le besoin se fait sentir, me répondit-elle confiante.
– Comment, le pourrait-elle ?
– Elle a ses secrets qu’elle te révélera dans le feu de l’action.

J’ai un peu honte, mais les secrets d’Alice n’ont pas fonctionné.

Aline était étendue sur le dos cuisses ouvertes et la chatte accueillante. Je me suis allongé sur elle, savourant le contact de sa peau douce et tiède contre mon ventre et mon sexe malheureusement mou. Nous nous sommes embrassés, sans que ma queue ne réagisse. Alice s’est alors glissée derrière nous et en me palpant les couilles. Elle ramena mon sexe en arrière, le coinça entre deux doigts qui agissants comme des attelles maintinrent mon sexe pour le faire pénétrer sa copine.
J’étais planté en elle et je sentais contre ma bite, les doigts d’Alice qui masturbaient mon gland dans le vagin d’Aline. Elle me planta ensuite le doigt de son autre main dans l’anus. Elle le poussa très profond et vint en pressant sur la cloison de chair sensible, à la rescousse de ses deux autres doigts pour me branler la queue. J’entamai un lent mouvement de coït. Les doigts d’Alice ne quittaient pas ma queue dans ce mouvement copulatif. Je me demandais qui de nous deux baisait Aline. J’en fit part à Aline en lui chuchotant à l’oreille :

– C’est elle ou moi qui te baise ?
– La fin justifie les moyens, me répondit Alice dans un souffle.

La représentation dans mon esprit de la prouesse que les deux amies réalisaient, me fit bander suffisamment pour me maintenir sans les attelles improvisées.

– Je bande Alice, tu peux retirer tes doigts
– Lesquels ? Ceux qui t’ont servi de tuteur dans la chatte d’Aline ou celui qui t’a ramoné le trou du cul ? Je peux aussi les mettre ensemble pour assouplir ton anus encore un peu trop serré.
– Elle veut m’enculer encore dis-je à Aline.
– J’ai l’impression que oui, mais reste en moi. Jouir des deux côtés ensemble n’est pas donné à tout le monde.

Planté dans son ventre chaud, j’ai fait l’amour à Aline lentement et profondément. Alice n’eut aucun mal à écarter mes fesses pour y loger deux doigts supplémentaires et nous accompagner de son impudique complicité. J’ai joui doucement et Aline aussi.
Nous étions tous les trois enlacés sur le grand lit de leur chambre. Nous nous sommes endormis nus, sans parler, en échangeant simplement nos sourires et quelques chastes baisers.

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Au matin, Alice sonna le réveil en fanfare en criant haut et fort :

– J’ai envie de faire pipi, qui veut en profiter ?

Il me fallut quelques secondes pour émerger et réagir à cette étonnante proposition.

– Comment ça, en profiter ?
– Tout simplement en matant mon jet dru du matin giclant d’entre mes cuisses ouvertes.
– Je peux me joindre à elle pour t’offrir un supplément, renchérit Aline, car j’ai moi aussi les dents du fond qui baignent.
– Tu pourras aussi te joindre à nous, reprit Alice pour une symphonie en jets dorés.

Quelques minutes après, nous étions tous les trois dans un coin abrité du jardin prêts à inaugurer dans une ronde pittoresque, notre miction ubuesque. Je ne pus m’empêcher de flatter leurs jolies fesses, ce qui me valut une réaction outrée de la belle Aline.

– Alan, on est là pour pisser et pas pour se faire peloter. Tu aimerais qu’on te tripote la queue alors que tu es sur le point de pisser ?
– Oui, Oui, j’aimerais.
– Dommage, pas nous. Chaque chose en son temps. Le matin à jeun, j’ai envie d’avaler autre chose qu’un doigt inquisiteur entre les cuisses ou pire encore entre les fesses.
– A trois on y va, dit Alice, un, deux, trois…

Comme un seul homme ! dit l’expression populaire. Ce fut ensemble comme deux filles et un garçon. Je fis monter mon jet qui amorça sa parabole inversée juste devant Aline. Celle-ci, tirant sur ses petites lèvres réussit à livrer une trajectoire admirable à son jet doré. Alice de mon côté, me proposa sa cascade de pipi en guise de rince doigts.

– Tout le monde à la douche, lança Aline dans un rire éclatant. Je m’occupe ensuite du p’tit déj.
– Il faudra aussi récupérer nos voitures qui sont restées sur le parking, rajoutai-je.
– Tu crois qu’on a plus d’alcool dans le sang ? demanda Aline. Avec ce que l’on a éclusé hier soir on ne doit pas être très nets. Imagine que les magasins bleus soient encore à l’affût ce matin. J’aime autant qu’on attende un peu et qu’aujourd’hui ce soit eau minérale pour tout le monde.

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Fin

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4 réponses à Alinéa lisse par Pilouface

  1. Lucky dit :

    Bon récit malgré une certaine faiblesse dans l’écriture des dialogues

  2. Pilouface dit :

    Merci pour les compliments qui devraient m’inciter à terminer ceux qui dorment dans mon HD.

  3. Dorine dit :

    Je me suis délectée à cette lecture

  4. Claire dit :

    Bien écrit et j’y ai retrouvé beaucoup de mes fantasmes. Bravo à l’auteur

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