Sophie une rousse sauvage 2 – Première orgie dans la cuisine par FétichOdeurs
Voici en exclusivité pour ce site la suite de – Sophie une rousse sauvage – Pour les amateurs d’odeurs de femmes rondes rousses et poilues, avec une passion pour les odeurs et le champagne chaud.
A partir de notre première expérience uro dans la baignoire, nous avons décidé avec Sophie qu’à tour de rôle nous devrions obéir au fantasme de l’autre. Je vais donc vous livrer quelques-unes de nos expériences.
1ère orgie dans la cuisine
Un jour que je faisais les courses à CARREFOUR j’ai acheté un tablier de cuisine en plastique transparent. En rentrant à la maison Sophie était dans la cuisine ;
– Sophie ?
– Oui mon amour
– Regarde ce que je t’ai ramené des courses
– Un tablier transparent et je suppose que tu veux que je le mette sans rien en dessous
– Exactement mon petit trésor
Sophie retira son tee-shirt dévoilant ses deux gros nichons prisonniers d’un soutien-gorge à armature Playtex. Elle vint vers moi avec un regard d’allumeuse et me demanda de lui enlever son soutif. Elle se retourna frotta son gros cul sur mon bas ventre et me dit
– Maintenant c’est à moi de décider, tu n’as pas le droit de me toucher sans que je t’y autorise
Je défis son soutien-gorge du bout des doigts libérant sa poitrine 105 d.
– Pour te faire patienter, je t’offre un petit apéritif
Elle mit ses mains derrière sa nuque découvrant ses aisselles fournies de poils roux
– Viens respirer et lécher mes petites touffes mon chéri
Je m’exécutais dégustant ses arômes de la journée
– Mmmm que j’aime ta langue, stop j’ai de l’eau qui bout.
Elle alla vers la cuisine s’arrêta devant la porte, balança son gros cul de gauche à droite puis enleva son pantalon et sa culotte. Et me dit
– Viens dans la cuisine maintenant
Je la rejoignis et elle mit le tablier qui ne cachait rien de ses formes généreuses. Elle mit des spaghettis dans l’eau et enfila des gants de cuisine bleus avant de laver un plat dans l’évier. En frottant, elle faisait vibrer ses fesses et ses cuisses ce qui était très excitant.
– Fous-toi à poil Bertrand
– Tout de suite Sophie
– Ça t’excite de voir mon gros cul se trémousser, hein ?
– Oh oui regarde
– En effet
Elle approcha sa main gantée et pleine de mousse de mon sexe et fit quelques va-et-vient me laissant sur ma faim. Elle égoutta les spaghettis et prépara une sauce crème fraîche sauce tomate.. Je repris l’initiative et lui pris le saladier des mains avant qu’elle ne le remplisse de pattes.
– Monte sur la table et remplie le, il nous faut une boisson pour accompagner les pâtes
Sophie monta sur la table, écarta ses grosses cuisses. Je voyais ses belles mamelles blanches collées au plastique du tablier et avais une vue imprenable sur sa toison rousse abondante et bouclée ainsi que ses deux grosses lèvres roses qui pendaient. Avec ses gants de vaisselle cela donnait un érotisme torride. Je glissais le saladier sous ses fesses et Sophie se soulagea la vessie dans un bruit de jet dru qui m’excita encore plus. Elle avait une grosse envie et le saladier fut rempli à moitié. Je pris une tartine de pain et lui essuya la touffe avec
– Mmm tu fais des mouillettes
– Oui ! Dis-je en dégustant le pain parfumé, tu veux goutter ?
Elle prit un morceau et le trempa carrément dans le saladier avant de l’avaler avec un sourire de vice et cette expression de triomphe qu’on affiche lorsque l’on sait que l’autre est surpris. Sans un mot elle pris un verre dans le placard le remplie à ras bord et me le tendit
– Surtout n’en renverse pas une goutte mon petit cochon
Je lui souris et avalais une première gorgée ;
– Continue dit-elle en riant
Je bus une deuxième gorgée, puis la troisième, mais je dois dire qu’au bout d’une dizaine ça devenait plus dur mais je mis un pont d’honneur à finir.
– Voilà salope j’ai tout bu
Je me léchais les lèvres penchait la tête en arrière et retournait le verre pour récupérer la dernière goutte.
– Bien mon gros pervers, mais on a oublié de trinquer
Elle sortit un deuxième verre, remplit le deuxième, fixa dans les yeux. Je lui souris pris mon verre ; et lui dis
– Ok on fait la course
Elle commença à toute vitesse, mais par chance ou plutôt par inexpérience se mis à tousser à la moitié du verre ce qui me permis de gagner. (Aujourd’hui, nous sommes tous deux capables de boire plusieurs verres de suite sans problèmes, c’est une question d’entraînement). Sophie abandonna à la moitié du verre
– Ok j’ai gagné, ma chérie
– Oui désolée mais là en toussant j’ai avalé de travers je ne peux plus
– On a pas fini, désolé, tu boiras la fin tout à l’heure. Pour l’instant tu as un gage, je veux que tu me branle avec tes gants de vaisselle
– Ok tu as gagné, monte sur la table et met toi accroupi
Je montais avec une trique d’enfer, et Sophie me caressait les fesses d’une main pendant que l’autre astiquait doucement mon dard.
– Mmm elle est bien raide ta grosse queue
– Ta gentille Sophie va te la soulager
– Oh oui salope continue !
– Mmm je vois ton gros gland rouge qui demande qu’à cracher son yaourt bien gras
– Oh salope, je viens recueille mon sperme !
Sophie accéléra son va-et-vient et me fit jouir dans mon verre vide.
– Mmmm c’est bon ma chérie vas-y nettoie-moi le gland
Elle me suça et me donna le verre. Je pris un couteau et fis une tartine au foutre, que je tendis à Sophie. Elle aimait visiblement cette situation et me pris le couteau des mains pour en couper la moitié qu’elle me tendit. C’était un peu fade alors je mis un peu de sel, et mangea ma part. Avec tout cela Sophie qui n’avait pas joui n’en pouvais plus. Mais je menais toujours le bal
– Bon maintenant je te propose une – pipi – spaghetti partie dans la baignoire
– Oui mais viens me soulager d’abord, j’ai la moule en fusion
– Seulement si tu finis ton verre
Elle prit le verre, et bu son urine cette fois tranquillement gorgée après gorgée.
– C’est bien mon trésor, assied-toi sur la table et écarte les cuisses que je te soulage
– Oh oui viens vite bouffe-moi la chatte, elle est toute fondue !
En effet, sa chatte et ses cuisses étaient poisseuses de mouille, et son bouton était très dur. Je lui introduis deux doigts dans la chatte tout en lui léchant et aspirant le clito. Elle était déjà mure et il me fallut seulement 30 secondes pour qu’elle explose sur ma bouche emprisonnant ma tête entre ses grosses cuisses.
– Bon c’est pas tout mais les pâtes ont refroidi; je les mets au micro-onde
– Moi je vais dans la salle de bain, je prends le saladier de champagne et les verres
– Attend moi et enlève ton tablier
– Oui ce sera plus pratique
Arrivé à la salle de bain, je dis à Sophie que j’avais une envie de pisser énorme.
– Viens faire dans le saladier
Sophie pris ma bite et dirigea le jet qui re-remplit le saladier. Elle égoutta les dernières gouttes sur chacun de ses tétons
– Cadeau pour tout à l’heure
Nous rentrâmes dans la baignoire et nous nous assîmes l’un en face de l’autre, le plat de spaghettis entre nous, je pris un spaghetti et la mangea avec mes mains. Le sexe ça creuse et ce n’est qu’au bout de 5 minutes une fois calé, que j’attaquais. Je pris une grosse poignée de spaghettis et la lança sur les gros nibard pendants de Sophie ; Elle ramassa les pattes tombées au sol et se les étala sur les seins. Sophie renversa le plat complet de spaghetti et en pris deux poignées qu’elle vint frotter sur mon visage très vite nous n’étions plus que deux corps glissant l’un sur l’autre dans la sauce tomate et les nouilles. Nous nous léchions, sucions, caressions avec les pâtes. Je finis par la prendre par derrière, nos deux corps glissant l’un sur l’autre dans uns sensations très agréables.
– Allez prend moi fort, oui je sens ton gros mandrin qui me ramone la cheminée
– Oh Sophie ton gros cul de salope il est bon, tu sens comme je te laboure la chatte
– Oh Bertrand je viens !
– Mmmm ohhhh ouii Sophie c’est bon
Nous nous écroulâmes dans la sauce tomate et les nouilles. Après avoir repris nos esprits, Sophie qui ne voulait pas rester sur une défaite nous servit deux verres de liqueur dorée
– Tchin tchin .
Les verres étaient plus petits et Sophie gagna cette fois.
– Bertrand à genoux, les mains dans le dos ; et tu dois manger les spaghettis
Je m’exécutais et lui mangeais les nouilles entre les doigts de pieds. C’est tout pour aujourd’hui
A suivre
marc.marc15@voila.fr
« Nous nous écroulâmes dans la sauce tomate et les nouilles » rien que pour cette pharase, il convient de lire ce texte et pis il ya ça aussi « Je m’exécutais et lui mangeais les nouilles entre les doigts de pieds. » ♥