Florilège de citations mammophiles par Estonius
Marcus Argentarius (1er siècle après JC)
Poitrine collée contre poitrine et sein contre sein, – mes lèvres pressant les douces lèvres d’Antigone et ma peau touchant sa peau… le reste je le tais, il n’y a eu qu’un témoin officiel : la lampe. (Livre IX de l’Anthologie Palatine traduite par Philippe Renault)
Isaac Du Ryer (1568-1634)
Sortir de la maison cinq ou six fois le jour – Montrer votre beau sein, permettre qu’on le touche – Appelez-vous cela être chaste en amour ? (1610)
Molière (1622-1673)
Couvrez ce sein que je ne saurais voir (Tartuffe – 1669)
Madame de Pompadour (1721-1764)
Que de femmes ont de la cervelle plein la poitrine ! (Correspondance)
Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)
L’amour entre les nichons ? – Demandez Fanchon (A l’hôtel des trois michés)
Ah, Charlotte, ma douce soubrette – Aux seins tous ronds et à l’aimable minette. (Madame de Tabarin est une putain)
Marquis de Sade (1740-1814)
La cruauté, bien loin d’être un vice, est le premier sentiment qu’imprime en nous la nature ; l’enfant brise son hochet, mord le téton de sa nourrice, étrangle son oiseau, bien avant que d’avoir l’âge de raison (La philosophie dans le boudoir)
Antoine, dit le chevalier de Bertin (1752-1790)
Lucas cueille un baiser sur le sein d’Egérie, – Qui toujours s’en offense et s’apaise toujours. – Mais sa rougeur lui reste et la rend plus jolie. (Les Amours)
Que j’aime à la presser, quand sa taille légère – Emprunte du sérail les magiques atours ; – Ou qu’à mes sens ravis sa tunique étrangère – D’un sein voluptueux dessine les contours ! (Les Amours)
Charles-Victor Prévot, vicomte d’ Arlincourt (1788-1856)
Sur le sein de l’épouse, il écrasa l’époux ! (Le siège de Paris)
Alfred de Vigny (1797-1863), –
L’Homme a toujours besoin de caresse et d’amour… – Il rêvera partout à la chaleur du sein. (Les Destinées, la Colère de Samson)
Théophile Gautier (1811-1872)
Ses beaux seins effarés, au tic tac de son coeur, – Tremblaient et palpitaient, comme deux tourterelles – Surprises dans le nid, qui font un grand bruit d’ailes – Entre les doigts de l’oiseleur. (Poésies de Théophile Gautier)
Charles Baudelaire (1821-1857)
A travers les rochers pleins d’apparitions, – Où saint Antoine a vu surgir comme des laves – Les seins nus et pourprés de ses tentations (Les Fleurs du Mal, Femmes damnées)
Que des nœuds mal attachés – Dévoilent pour nos péchés – Tes deux beaux seins, radieux – Comme des yeux (Les Fleurs du Mal – A une mendiante rousse)
Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds, – Deux larges médailles de bronze (Les Fleurs du Mal, Les Promesses d’un visage)
Ainsi qu’une beauté, sur de nombreux coussins, – Qui d’une main distraite et légère caresse – Avant de s’endormir le contour de ses seins (Les Fleurs du Mal – Tristesses de la lune)
Dormir nonchalamment à l’ombre de ses seins – Comme un hameau paisible au pied d’une montagne. (Les Fleurs du Mal – La Géante)
Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins, – Elle appelle des yeux la race des humains. (Les Fleurs du Mal – Allégorie)
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne – S’avançaient, plus câlins que les Anges du mal (Les Fleurs du Mal – Les Bijoux)
Louis Bouilhet (1821-1869)
On est plus près du cœur quand la poitrine est plate (Festons et astragales)
Gustave Flaubert (1821-1880)
Garde-côte – Ne jamais employer cette expression au pluriel en parlant des seins d’une femme. (Dictionnaire des idées reçues)
Pierre-Auguste Renoir (1841-1919)
Un sein, c’est rond, c’est chaud. Si Dieu n’avait créé la gorge de la femme, je ne sais si j’aurais été peintre
Paul Verlaine (1844-1896)
Et vos seins, double mont d’orgueil et de luxure – Entre quels mon orgueil viril parfois se guinde – Pour s’y gonfler à l’aise et s’y frotter la hure : – Tel un sanglier ès vaux du Parnasse et du Pinde. (Œuvres libres, Ouverture)
Seins, fins régals des mains qu’ils gorgent de délices. – Seins lourds, puissants, un brin fiers et moqueurs, – Dandinés, balancés, et, se sentant forts et vainqueurs, – Vers nos prosternements comme regardant en coulisse. (Œuvres libres, Partie carrée)
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête – Toute sonore encor de vos derniers baisers ; – Laissez-la s’apaiser de la bonne tempête, – Et que je dorme un peu puisque vous reposez. (Romances sans paroles, Green)
Friedrich Nietzsche (1844-1900)
Et il existe des choses si bien inventées qu’on croirait la poitrine d’une femme: utile et agréable à la fois. (Ainsi parlait Zarathoustra – 1891)
Anatole France (1844-1924)
Une femme sans poitrine c’est comme un lit sans oreiller.
Clovis Hugues (1851-1907)
Pendant que, de ses mains savantes – Il étreint les fesses mouvantes – Ou chatouille le bout des seins, – Et que, la chevelure éparse, L’impétueuse et belle garce- Halète en mordant les coussins
Arthur Rimbaud (1854-1891)
Je regardai, couleur de cire – Un petit rayon buissonnier – Papillonner dans son sourire – Et sur son sein, mouche ou rosier. (Première soirée)
Marie Krysinska (1857-1908)
Les torses, aussi beaux que des ciels d’été – Souplement ondoient. Et les seins lactés – Ainsi que d’ivres nébuleuses – Voguent au gué des danses amoureuses. (Bacchanale)
Havelock Ellis (1859-1939)
Il y a encore une autre région frontière orificielle qui est un foyer sexuel tactile de haute importance : le bout des seins. (La Sélection Sexuelle chez l’Homme : Toucher, odorat, ouïe, vision, 1922)
Jules Renard (1864-1910)
Quand je regarde la poitrine d’une femme, je vois double (Journal, 12 février 1898)
Pierre Louÿs (1870-1925)
C’est la plus jolie des trois. Ses cheveux tombent jusqu’aux talons. Elle a des seins et des fesses de statue. (Trois filles de leur mère, 1926)
Paul Valéry (1871-1945)
Ni vu ni connu – Le temps d’un sein nu – Entre deux chemises ! (Charmes, le Sylphe)
O Soleil – Feu vers qui se soulève une vierge de sang – Sous les espèces d’or d’un sein reconnaissant ! (La Jeune Parque)
Henri Barbusse (1873-1935)
J’examine à la dérobée son sein qui se soulève et qui s’abaisse, et sa figure immobile, et le livre vivant qui est uni à elle.(L’Enfer, 1908)
Victor Méric (1876-1933)
Mais elle reste nature. Ses nichons débordent. Ses fesses sont comme la houle. On ne voit qu’elle. On n’entend qu’Elle.(Les Compagnons de l’Escopette, 1930)
Sacha Guitry (1885-1957)
Tous les seins sont des bijoux. Quand ils sont jeunes, ce sont des cabochons et après ce sont des pendentifs.
Jules Romains (1885-1972)
Autrefois les seins d’une femme servaient à nourrir les enfants, aujourd’hui ils servent à nourrir les cinéastes (Knock)
Louis Jouvet (1887-1951)
Le sein de Dorine est un accessoire métaphysique (Témoignages sur le théâtre)
Maurice Chevalier (1888-1972),:
Elle avait des tout petits tétons. – Que je tâtais à tâtons. (Valentine, 1925)
Groucho Marx (1890-1977)
Je ne vois jamais de film où la poitrine du héros est plus importante que celle de l’héroïne.
Louis-Ferdinand Céline (1894-1961)
Une blonde qui possédait des nichons et une nuque inoubliables a cru bon de venir rompre le silence de l’écran par une chanson où il était question de sa solitude. (Voyage au bout de la nuit, 1932).
Paul Éluard (1895-1952)
Et tu viens t’allonger contre moi, énamourée, et tu me baises les lèvres doucement, très doucement et je caresse sous ta robe tes seins fluides et si vivants. (Lettre à Gala)
Marcel-Etienne Grancher (1897-1976)
La supériorité de l’allaitement au sein sur le biberon réside essentiellement dans le fait que son emballage est plus agréable à l’œil.
Yasunari Kawabata (1899-1972)
La beauté atteinte par les seins de la femme n’était-elle point la gloire la plus resplendissante de l’évolution de l’humanité? (Les belles endormies, 1960)
Alain Granbois (1900-1975)
Avec tes jeunes seins qu’un chant muet soulève pour une vaine allégresse – Et les courbes de ton corps plongeant toutes vers ton frêle secret – Et ce pur mystère que ton sang guette pour des nuits futures (Les Îles de la nuit – Avec ta robe)
Jacques Prévert (1900-1977)
La pointe de ton sein – A tracé tendrement – La ligne de ma chance – Dans le creux de ma main (Sanguine)
Cachez ce sein que je ne saurais voir autrement qu’avec une loupe.
Enrique Jardiel-Poncela (1901-1952)
Les seins sont l’unique constance de l’homme: il les prend à la naissance et ne les lâche qu’à la mort –
Malcolm de Chazal (1902-1981), –
La fleur est en même temps sein, bouche et sexe, femme au complet, sexe-trinité dans l’unité (Sens plastique)
Le sein est une pomme dans une poire où pointe un grain de raisin. Le sein est le maximum du fondu : tous les fruits en un.
Fernandel (1903-1971)
Le pastis, c’est comme les seins. Un c’est pas assez et trois c’est trop
Léo Campion (1905-1992)
Dieu a donné à la femme deux seins parce qu’il a donné à l’homme deux mains (Lexique pour rire)
Pierre Della Faille (1906-1989)
Que d’histoire pour deux petits seins et un bouquet de poils au bas du ventre (Mise à feu)
André Thirion (1907-2001)
Elle avait une poitrine et des fesses à damner le fils de Dieu. (Révolutionnaires sans Révolution)
Ray Ventura (1908-1979)
L’autre jour quelqu’un s’exclame – Mais vous m’attrapez les seins ! – Je lui ai répondu « Madame – Y’a pas de quoi faire de potin. (Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine, 1936)
Robert Merle (1908-2004)
Comment tu la trouves ? – Pas mal. Elle manque peut-être un peu de seins. – Ça, dit Alexandre impartialement, ça m’est égal. Je m’en sers jamais.(Week-end à Zuydcoote, 1949)
Jean Rigaux (1909-1991)
Comme on connaît ses seins, on met un soutien-gorge
Léo Malet (1909-1996)
Une belle poitrine attire. Une belle poitrine retient que de tendres soins elle réclame. (Ne pas voir plus loin que le bout de son sexe)
Paul Guth (1910-1997)
Des imprudentes ont même envoyé paître leur soutien-gorge, en oubliant que les seins aussi obéissent à la pesanteur (Lettres à votre fils qui en a ras le bol)
René Barjavel (1911-1985)
C’est la joie de boire l’univers par tous ses sens, de goûter, sentir, entendre, le soleil et la pluie, le vent et le sang, l’air dans les poumons, le sein dans la main, l’outil dans le poing, dans l’œil, le ciel et la marguerite. (Si j’étais Dieu…)
Le sein était le grand consolateur non seulement par la nourriture qu’il dispensait, mais aussi par son contact chaleureux avec les joues et les petites mains nues qui cherchent le monde. (La charrette bleue)
Claude Robert (1916-2012)
Un homme volage est celui qui ne sait à quels seins se vouer.
Zsa Zsa Gabor (1917-2016),
Il n’y a qu’un décolleté pour pousser un homme à rechercher la profondeur chez une femme.
Boris Vian (1920-1959)
Ne sachant à quel sein me vouer, j’ai choisi le plus confortable, le gauche de Marilyn Monroe (la revue Jazz Hot)
Michel Audiard (1920-1985)
Une fille qui fait 95 de tour de poitrine et 32 de tour de tête ne peut pas vraiment être mauvaise. Elle peut seulement être légèrement sotte. (Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages – 1968)
Charles Bukowski (1920-1994)
On attend une paire de gros nibards dans une chambre d’hôtel, une nuit d’août à Las Vegas.
Francis Blanche (1921-1974)
Mesdames, si votre poitrine tombe… posez-la par terre
Georges Brassens (1921-1981)
Se peut-il qu’on soit si méchante avec de jolis seins ? (Méchante avec de jolis seins)
Quand Margot dégrafait son corsage – Pour donner la gougoutte à son chat – Tous les gars, tous les gars du village – Étaient là, lalala la la la (Brave Margot)
Frédéric Dard (1921-2000)
Je ne sais plus à quels seins me vouer (Les pensées de San-Antonio)
Boby Lapointe (1922-1972)
Avanie et Framboise – Sont les mamelles du destin ! (…) Permets donc que je lutine – Cette poitrine angevine (Framboise)
Antoine Blondin (1922-1991)
La modestie honteuse et la pudeur rougissante sont les mamelles ordinaires d’un pourboire exorbitant
Michel Galabru (1922-2016)
Le soir tombait. Ses seins aussi. (Pensées, répliques et anecdotes de Michel Galabru – 2006)
Jacques Sternberg (1923-2006)
Si on te pelote le sein droit, tends le gauche
François Cavanna (1923-2014)
Certains ont grand appétit : si on leur donne à téter, ils boivent le lait puis dévorent le sein (La hache et la croix)
L’homme est le seul animal adulte qui tète sa femelle. (Le saviez-vous ?)
Anne-Marie Carrière (1925-2006)
Je me serais bien plu sous Louis le quinzième – Même quand on savait le déluge imminent, – Que c’était bon de vivre au siècle intelligent – Quand la France avait de l’esprit – Jusqu’au bout des seins de la Du Barry. (Poèmes à rire et à sourire, La Du Barry, 2001)
Pierre Lucas (1925-2008)
– Ça te choque, ce que je dis ? – Non. Mmmmmpfff. Si tu continues de te tripoter les nichons et la chatte, ça va gicler, je te préviens. (Le Denier du cul – Police des mœurs, n° 159, 2014)
Pierre Bourgeade (1927-2009)
Je ne fume pas, Je me contente de sucer le bout des seins
José Artur (1927-2015)
Un ami de vingt ans tombe parfois mal, les seins… toujours
Serge Gainsbourg (1928-1991)
Elle avait de ces yeux un vrai chat abyssin / Et ses seins deux sphères / Entre lesquelles j’abandonnais deux mois de salaire / Pour y rouler mon pauvre joint (Lola Rastaquouere)
Jean Baudrillard (1929-2007)
Rien n’emplit mieux une main qu’un sein (Cool Memories 1980-1985)
Jean Yanne (1933-2003)
Le monde est ainsi fait, il y a des hommes et des femmes, et on les distingue au fait que les femmes ont des salaires plus faibles que les hommes, et des seins plus gros. (J’me marre)
Le nombre des publicités vantant les produits pour faire grossir les seins est plus important que le nombre de publicités invitant les dames à se cultiver.
Jean-Claude Brialy (1933-2007)
L’idéal eût été que les femmes aient les seins dans le dos : pour danser, c’est quand même plus pratique !
Pierre Belfond (né en 1933)
Chez bien des femmes, les pensées s’élèvent quand les seins tombent
Pierre Desproges (1939-1988)
Pour rester belle. Si vous avez les seins qui tombent, faites-vous refaire le nez, ça détourne l’attention (L’almanach)
Jean Cazalet (1934-2016)
Les seins et les trains électriques sont faits pour les enfants et ce sont les hommes qui jouent avec.
Brigitte Bardot (née en 1934)
Qu’est-ce que tu préfères, mes seins ou la pointe de mes seins ? (Le Mépris de Jean-Luc Godard – 1963)
Pierre Perret (né en 1934)
Tandis que ses seins ronds échappaient à mes mains – Que ses cuisses fuyaient comme deux truites vives – Moi fou déconcerté je n’y comprenais rien (Blanche)
J’ai dit au psychiatre quand il voulut savoir tout – Elle avait des seins partout partout (Les seins)
Jean-Didier Vincent (né en 1935)
Ce sein qui fait rêver la main (La biologie des passions)
Ursula Andress (née en 1936)
– Si je montre toujours mes seins ? C’est eux qui me nourrissent ! (Les tribulations d’un Chinois en Chine, Philippe De Broca – 1965)
Antonio Lobo-Antunes (1942-2007)
Les hommes qui montrent trop leur intelligence sont comme les femmes qui montrent trop leurs seins (Lire, Novembre 1999)
Jean-François Jonvelle (1943-2002)
L’érotisme tient dans ce sein qu’on ne saurait voir
Jean-Pierre-Léaud (né en 1944)
Si j’avais des seins, j’me les caresserai toute la journée. (Domicile Conjugal – François Truffaut – 1970)
Sylviane Agacinski (née en 1945)
A partir du moment où on incarne une idée par une femme, autant qu’elle ait des seins, et de beaux seins ! (Entretien avec Karl Zéro)
Françoise Chandernagor (née en 1945)
Les hommes aiment les gros seins et les gros compliments (La première épouse)
Benoît de Macadamia (né en 1946)
Ne jouez jamais avec le cœur d’une fille, elle n’en a qu’un, jouez plutôt avec ses seins, elle en a deux (Petites réflexions passagères – 1981)
Rosette, la bonne bretonne du bijoutier n’avait de bien que ses seins. Elle se les lavait dans la cuisine et je l’observais grâce à un léger défaut dans le brouillage des vitres de la porte. J’ignorais qu’elle savait que je la regardais et qu’elle en jouait.(Mes transports amoureux, 1985)
Les seins, c’est le paradis terrestre, sous la ceinture ce sont les plaisirs de l’enfer (Carnets de voyages – (Le guide du retors – 2005)
J’avais le choix entre aller m’emmerder à une expo des œuvres de Soulages ou aller mater les seins de Gilberte derrière son comptoir. Vous pensez bien que le choix a été vite fait ! (Les plaisirs du capilotractage – 2020)
N’oublie jamais que les seins sont là pour te protéger (Sous le pseudonyme de Henri de Lubric : Tartuffe – le retour 2015)
La rencontre furtive de deux seins suffit pour attester le bonheur (Sous le pseudonyme de Henri de Lubric : Tartuffe – le retour 2015)
Alain Finkielkraut (né en 1949)
Œdipeux : individu nourri au sein maternel jusqu’à l’âge de sa majorité, et qui garde de ce régime une saine corpulence et un visage joufflu. (Petit fictionnaire illustré)
Vincent Roca (né en 1950)
C’est curieux, se faire refaire les seins, ça coûte la peau des fesses (On n’a jamais vu une banane flamber au casino)
Robert Zemeckis (né en 1951)
J’aurais dû être chirurgien esthétique! 500.000 dollars par an pour m’occuper de nichons et de fesses! (A la recherche du diamant vert – 1984)
Patrick Sébastien (né en 1953)
J’aime tes seins mon amour, tu devrais les mettre plus souvent (Carnet de notes)
Dieu a créé les seins pour nourrir les enfants et on y met des prothèses pour nourrir les docteurs (Carnet de notes)
Michèle Bernier (née en 1956)
Que fait-on des vieux seins quand on s’en fait mettre des neufs ? (Le petit livre de Michèle Bernier)
Jean-Marie Gourio (né en 1956)
Le sein, c’est rien qu’une glande, mais les couilles aussi… (Brèves de comptoir)
La femelle poisson pond ses œufs au fond, et le mâle vient déposer son sperme dessus, il ne sait même pas si la poissonne a des gros nichons. (Brèves de comptoir)
Lionel Chrzanowski (né en 1958)
Il est resté petit, bébé au lieu de téter sa nourrice, il préférait lui caresser les seins
Kate Winslet (née en 1975)
Jouer la comédie me rapporte beaucoup d’argent, je ne vais pas chipoter pour montrer mes seins. (revue Entrevue)
Laetitia Casta (né en 1978)
Je dis aux gens que mes seins ont été fabriqués en Normandie à partir de beurre et de crème fraîche
Bastien Vives (né en 1984)
Vive, vive, vive les gros nichons
Les paires de seins come des ballons
En pommes, en poires, ovales ou rond
Faut du volumes sous les tétons !
Keira Knightley (née en 1985)
Pour avoir de gros seins, je mets du blanc de poulet dans mon soutien-gorge ! Mais je ne vous raconte pas l’odeur… (magazine Gala)
Elmer Food Beat, (groupe fondé en 1986)
J’ai tout oublié, sauf tes gros nénés
Anonymes
– Montre-moi ta poitrine, t’auras du Gin, montre-moi tes seins, t’auras du vin ! (Affichage dans plusieurs bars et discothèques proposant aux clientes une consommation gratuite à condition qu’elles dévoilent leurs seins. Les tartuffes et les néo puritains se sont empressées de crier au sexisme !)
– Cette femme a des yeux qui promettent et des seins qui ne tiennent pas !
– Jayne Mansfield avait une poitrine qui planait, submergeait toutes les autres. Et elle ne demandait qu’à la montrer !
– J’abreuvais les sillons intermamaires de ces deux plantureuses marseillaises.
– Les seins, les fesses et la chatte d’une femme sont bien la preuve que les hommes savent se concentrer sur plusieurs choses à la fois.
– Nichon, nibard, néné, mamelle, sein de femme, c’est-à-dire partie du corps de la femme qui se situe sur le thorax. Les nichons servent notamment à nourrir, à allaiter les nouveau-nés. On utilise généralement ce terme au pluriel, car il y en a deux
Le Coran
Un séjour de bonheur est réservé aux justes, Des jardins et des vignes, Des filles au sein arrondi et d’un âge égal au leur, Des coupes remplies (Sourate LXXVIII 31-34)
Proverbe arabe
Le paradis sur terre se trouve sur le dos d’un cheval, sur les pages d’un livre et entre les seins d’une femme
Comptine
Une bite dans les frites – Une couille dans les nouilles – Un nichon dans les cor-ni-chons.
Si j’ai choisi ces citations pour leur beauté, leur originalité, leur humour, leur pertinence et que sais-je encore, il n’en reste pas moins que certaines citations ne sont là que par souci de diversité.
Que deviendrions-nous, nous les hommes s’il n’y avait pas de nichons ?
Ray Ventura est l’auteur de la musique de « ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine », mais pas des paroles qui sont d’André Hornez
Dont acte et merci de cette précision
Rendons donc à André Homez ce qui appartient à André Hornez
On peut toutefois considérer que ce tube est une création collective de l’orchestre de Ray Ventura
Cordialement
Tous des obsédés, mais on les adore ♥ ♥ ♥
Celle du Vicomte d’Arlincourt est à tomber !
Pour une fois que Fernandel me fait rire !