Week-end nature en Ille et Vilaine par Pierre02

Week-end nature en Ille et Vilaine par Pierre02

Voilà, nous sommes un couple, début de la cinquantaine, nous vivons ensemble depuis presque 34 ans. Notre amour est indéfectible et, comme tout couple, nous avons dû passer quelques crises qui se sont  » apaisées  » grâce à un vrai dialogue et une grande complicité.

Il va sans dire que côté sexe, c’est la même chose, il y a eu des périodes fastes et d’autres moins. Depuis que nous nous sommes retrouvés seuls, nos enfants ayant quitté le cocon familial, les choses ont changé, se sont apaisées, nous n’avons presque plus jamais de disputes et nous nous retrouvons un peu comme un jeune couple, profitant de la vie comme bon nous semble.

Nous sommes très actifs sexuellement et il est rare qu’il ne se passe un jour sans aucun échange sensuel ou sexuel.

Bref pour résumer sans me vanter, nous faisons l’amour de 4 à 5 fois par semaine et les autres jours nous avons de longs moments de plaisir par des caresses ou autres  » gâteries « …sans oublier la masturbation à deux ou seuls.

L’an dernier, nous avons fait l’acquisition d’un petit camping-car et souvent nous nous évadons en week-end un peu à  » l’arrache  » comme disent les jeunes.

Vendredi dernier, vers 17 heures, nous avons décidé de partir nous aérer du côté de la baie du Mont St Michel.

Après une douche, le chargement  » illico-presto  » du camping-car en victuailles, nous avons pris la route vers 17 h 30…direction  » la bas  » avec l’intention de nous arrêter pour dormir en rase campagne, ce que nous aimons tous les deux.

Inutile de préciser, que j’avais pris les précautions d’usage en me munissant d’un  » gel lubrifiant  » et de serviettes éponges afin de pouvoir nous aimer en toute quiétude…hé oui, le fait d’anticiper permet d’être serein et évide des  » freins  » à l’action.

Notre trajet, Angers- Le Vivier sur Mer passant près de la demeure d’un couple d’amis, nous nous sommes arrêtés chez eux. Nous y avons pris un verre et sommes partis à la tombée de la nuit vers un endroit que nous avions repéré l’an dernier lors d’une ballade. Cet endroit est situé sur une petite commune sur la Vilaine au sud de Rennes, il s’agit d’une aire de pique-nique juste au bord du fleuve.

En y arrivant, celle-ci était libre de tout occupant hormis un pêcheur  » carpiste  » à une cinquantaine de mètres.

Nous avons dînés en tête à tête, en amoureux comme nous aimons le faire c’est-à-dire en parlant de nous, de nos désirs et envies.

Ce genre de discussion où nous avons des mots très tendres, mais aussi très crus et directs.

Je me souviens avoir dit à ma douce, que j’avais envie de lui faire l’amour, que j’allais la caresser longuement comme elle aime en lui réservant une petite surprise. Je lui ai également dit que ma queue était déjà grosse, dure et que elle ne demandait qu’à être à l’air, caressée sucée et branlée…Je lui parle ainsi car je sais que cela à des effets très excitant pour elle.

A la fin de notre repas, il était environ 22 heures, bien sûr la nuit était noire et nous apercevions à peine notre voisin carpiste, qui lui semblait n’avoir d’intérêt que pour ses cannes.

Nous avons donc baissés les stores, déplié le lit, nous nous sommes mis nus et allongés côte à côte.

Ma douce, m’avait dit en enlevant son soutien-gorge qu’elle avait les seins  » gonflés  » et sensibles je la cite : j’ai les hormones qui me travaille et si tu veux me les caresser va y  » mollo « .

Tout en la couvrant de baisers sur le visage et le cou, je lui ai donc demandé comment je devais m’y prendre.

Elle m’avait dit que, lorsqu’elle avait enlevé son sous tif qu’elle avait eu l’impression que ceux-ci étaient lourds et qu’ils tiraient sur les muscles  » suspenseurs « …

J’ai donc pris pour parti de me mettre derrière elle, assis tous les deux, et de mes mains (grandes, je taille du 11 en gants) je lui ai fait un soutien-gorge. Elle a soupiré en me disant doucement…

– C’est très agréable comme sensation mais vas-y doucement… surtout que je sens ta bite bien dure derrière moi.

J’ai donc continué à lui faire des bisous, à lui dire que ses seins me remplissaient bien les mains et que je les aime encore plus depuis que la pré-ménopause leur a fait gagner une bonne taille de bonnet en passant du 90 B au 95 C !

Puis petit à petit, tout doucement j’ai commencé à bouger mes mains de façon quasi imperceptible en lui faisant  » ballotter  » ceux-ci… Au bout d’un long moment, elle m’a demandé d’amplifier le mouvement en faisant surtout remonter ses nichons (ce sont ses mots) et en les appuyant sur son buste, toujours aussi lentement mais de plus en plus fort !
Vous pensez bien que je me suis  » exécuté  » avec plaisir, application et délectation : les remonter progressivement jusqu’au maximum, puis dans un second mouvement les appuyer sur ses côtes en tirant mes mains vers moi…avant de relâcher la pressions et de  » redescendre  » jusqu’à sentir qu’ils tenaient seuls…sans montre, donc aucun repère de temps, je pense que le rythme, lent, devait se situer entre 2 et 3 fois par minute. Nos deux respirations se sont synchronisées et sont devenues profondes et de plus en plus amples jusqu’à devenir fortes, saccadées et bruyantes…Le plus difficile pour moi a été de tenir ce rythme lent pendant au moins ¼ d’heure….plusieurs fois, ma femme m’a demandé d’arrêter pour passer à autre chose, elle me disait : je mouille tellement que je  » coule « , j’ai l’impression d’être ouverte, humide et de me  » répandre  » sur le drap.

Ses propos m’ont excité au plus haut point et tout en prodiguant mon massage, je bougeais mon bassin afin de frotter ma pine sur son dos, je sentais mon gland appuyé contre mon nombril et j’ai dû à plusieurs reprises, arrêter pour ne pas éjaculer.

Ma femme s’est mise à gémir, elle parlait de plus en plus fort et réclamait que je la prenne…

J’ai donc arrêté mon massage des seins, je me suis allongé près d’elle restée assise.

Je lui ai demandé de me masser le sexe, les couilles, l’intérieur des cuisses et le périnée en prolongeant sur mon anus.

Ma femme m’a prodigué un massage  » inspiré  » du mien au niveau rythme, tout en le faisant de manière de plus en plus  » appuyée « …j’y ai pris beaucoup de plaisir notamment quand elle tenait mes couilles, son poignet appuyant sur la base de ma bite et qu’elle faisait un tout petit mouvement circulaire, lent et plus en plus fort…pour s’arrêter et me dire :

– Chéri, j’aime te tenir par les couilles, et je sais que cela te fait du bien…

Elle diminuait la pression, puis l’accentuait après me l’avoir dit et ça c’est super bon !

A la fin de ce moment, une voiture est passée lentement près de notre camping-car et s’est arrêtée plus loin, nous avons entendu deux portières se fermer puis plus rien.

Suite à ce petit dérangement, j’ai dit à ma belle de se mettre sur le dos, j’ai mis ma tête entre ses jambes bien écartées et je lui ai léché la chatte : je l’ai trouvée  » trempée  » ouverte en grand presque béante d’attente, je l’ai sucée, je lui ai léché le bouton longtemps, elle me réclamait ma bite, elle me disait :

– Baise-moi salaud, je veux que tu me baise.

Et moi, régulièrement, je venais faire glisser ma queue sur sa chatte béante : doucement sur toute la longueur de sa fente, puis par petits coups rapides sur le clito…puis à chaque fois que je sentais le sperme commencer à monter…je reprenais mes caresses buccales…

Ensuite, j’ai décidé de lui masser la chatte, je lui ai  » malaxé  » les grandes lèvres jusqu’à ce qu’elles soient bien gonflées, ensuite j’ai fait de même avec ses petites lèvres et l’entrée de son vagin j’ai introduit quatre doigts de ma main droite dans son con tout doucement et très très lentement.. Puis j’ai cessé de bouger cette main, je lui ai dit de laisser sa chatte s’y habituer et son plaisir monter…

Cela a duré très longtemps également, elle haletait, soupirait son plaisir et moi, j’écoutais ce doux chant…

J’ai entendu quelques pas, dans les feuilles près de notre camping-car, ceux-ci se sont arrêtés juste de l’autre côté de la porte arrière, soit à 70 centimètres de nous…j’ai compris que nos  » voisins  » étaient venus écouter discrètement ce qui se passait sans doute prévenus par quelques soubresauts du camion et les bruits de ma belle.

Cette situation m’a bien entendu, une fois sûr de n’être pas plus dérangé, excité : pensez, faire l’amour, baiser ma femme près de plusieurs personnes anonymes et quelque part complices a dopé ma libido déjà bien active.

Tout en laissant ma main au plus profond de l’intimité de Clara (c’est son prénom d’emprunt pour cette fois-ci) je lui ai dit, doucement : chérie, laisse toi aller, dis-moi que ça te fait du bien, lâche toi, j’ai envie de t’entendre jouir avant de te baiser, de te monter comme une belle salope.

Elle a alors pris les chose  » en main « , me guidant dans les mouvements de ma main (plus vite, plus fort, plus doucement, juste à l’entrée, à fond…) Bref elle m’a guidé jusqu’à son premier orgasme dont les contractions vaginales ont réjoui ma main plus de 20 fois avec une belle force !!!

Je l’ai laissée reprendre ses esprits, toujours ma main en elle…elle est  » redescendue  » en douceur, m’a demandé d’enlever mes doigts de sa chatte, m’a fait mettre à quatre patte de chaque côté de ses épaules au-dessus de sa tête, le bout de ma pine vers ses seins donc mes couilles juste au-dessus de sa bouche. Elle aime beaucoup cette position pour me sucer la bite, les couilles et m’introduite un doigt par mon petit trou…J’ai eu droit à un festival : suce du gland, massage  » coullier  » doigt dans le cul venant frotter ma prostate en petit cercles divins…

Au bout d’un long temps, elle s’est mise à parler très fort :

Elle : chéri, crois-tu que le pêcheur et les personnes qui l’ont rejoint nous entendent ?

Moi : je ne sais pas ma chérie,

Elle : menteur, ils sont juste de l’autre côté de la porte…je les entends bouger…

Toujours elle : crois-tu qu’ils se branlent ?

Devant ces propos, j’avoue être resté muet un petit moment, ne sachant pas quelle serait sa réaction et surtout surpris pas ses propos, son ton et la force avec lesquels elle le disait.

C’est à ce moment qu’elle s’est mise à parler très fort, elle a dit ceci :

– Qui que vous êtes, je sais que vous nous écoutez, ça me plaît, ça m’excite même et je vais demander à mon mec de ma baiser maintenant…tout ce que je vous demande, c’est de poser votre main sur le camion et de le faire bouger très fort ! Ne parlez pas et quand je serais pleine de sperme, je vous demanderais de partir, alors faites-le doucement….

Pas un bruit, seulement trois mains qui se sont posées sur le côté du camion et qui ont commencé à le faire bouger en rythme !

Clara s’est allongée sur le dos, jambes écartées et m’a donné l’ordre de la prendre ainsi…a peine commencé, elle s’est mise (comme nous le faisons souvent) à me commenter mes actes et ses sensations …à haute voix.

Elle parlait de plus en plus fort, disant :

– Vas-y enfonce-moi ta queue dans mon con, reste au fond, retires-la, donne-moi de petits coups….

Bref toute la  » panoplie  » technique y est passée…

Puis soudainement, elle m’a dit :

– Baises moi par derrière, encules moi…j’ai tellement mouillé que mon cul est bien lubrifié.

J’ai posé mon gland tout doucement, sur sa rosette, je l’ai massée doucement avec mon gland, et je me suis introduit doucement, en une seule poussée, jusqu’à la garde. Contrairement aux autres fois, ou je dois attendre sans bouger qu’elle  » reprenne  » son souffle elle m’a ordonné (toujours à haute voix) :

– Pistonne moi, salaud casse moi le cul, encules moi bien à fond…Putain que c’est bon ce lit qui bouges…les gars vous me faites jouir…allez plus fort !-

Notre camping-car bougeait vraiment très fort, on entendait les suspensions grincer et les hommes souffler…

Cette petite garce m’a excité un tel point que là je n’ai pas pu me retenir (d’ailleurs en avais -je envie ?), elle  » feulait  » sous mes coups de pine criant, que dis-je hurlant sa jouissance tout en invectivant nos spectateur  » audio  »

– Ça vous excite mes salauds, vous vous branlez bien, astiquez vous la pine…

Et j’en oublie sans doute et j’ai joui dans son cul en criant mon orgasme !!!!

Je suis resté planté dans son cul, bien à fond, mes couilles frottant sa rosette, elle m’a dit :

– Putain que c’est bon (et aux autres)…allez, vous pouvez arrêter de pousser et vous masturber…parlez-moi, criez votre plaisir…je vous écoute et je continue à prendre beaucoup de plaisir…

S’en est suivi beaucoup de confusion, nos compères ont commencé à parler, à rire, j’ai perçu un :  » je vais enlever mon pantalon et mon slip « …

Je me suis retiré et je suis venu poser ma tête sur le ventre de Clara pour lui donner les coups de grâce : la main droite qui lui caressait toute la vulve en s’arrêtant pour des caresses circulaires sur le clito en même temps (ou de façon alternée) que mon pouce droit enfoncé à fond dans son sexe et caressant son point G (ça aussi je le lui fais souvent, elle adore). Le résultat ne s’est pas fait attendre : elle a recommencé à jouir 1, 2,3 …10, 20 fois un long orgasme (plusieurs minutes) qui va ondulant et qui, à chaque montée provoque plusieurs contractions de son vagin.

Nos trois compères n’ont pas résisté et nous les avons entendu jouir (pas assez bruyamment à notre goût) les uns après les autres….

Puis, ils sont partis en nous disant : merci pour ce moment et bonne nuit.

Le silence s’est installé, nous avons repris nos esprits et nous  » câlinant  » et en nous disant tendrement ce qui nous avait fait tant de bien.

Nous nous sommes endormis ainsi, moi la tête sur son ventre, elle les jambes écartées, mon sperme coulant doucement entre ses fesses sur la fameuse serviette que j’ai toujours à portée de main…

Nous nous sommes réveillés tous les deux vers 8 heures…heureux, complice et repus.

Nous avons pris notre petit déjeuner et, ce n’est qu’après que je suis sortis… Notre carpiste était toujours là. J’ai donc décidé d’aller lui parler, à quelques mètres de lui, il m’a dit bonjour et l’air de rien m’a posé la question : c’est vous qui dormiez dans le camping-car…j’espère que les deux copains qui m’ont rejoint cette nuit n’ont pas fait de bruit et ne vous ont pas gênés ?

Je lui ai rendu son bonjour, lui ai serré la main, et décidant de jouer le jeu, je l’ai rassuré sur le bruit, et lui ai demandé si la pèche était bonne.

Il m’a répondu, non, je me suis laissé distraire par mes potes jusqu’à 2 heures du matin heure à laquelle ils sont partis.

C’est à ce moment, suite à ses propos que je me suis rendu compte que notre  » partie  » avait bien du durer 2 h 30 ou 3 heures car j’avais entendu la voiture repartir alors que je sombrais dans les limbes…

Le jeune homme, il doit avoir environ 30 ans, m’a demandé si je pouvais lui donner de l’eau chaude moyennant quelques euros car ses potes avaient vidé son thermos. Je l’ai invité à venir prendre un café avec nous avant que nous partions. C’est donc tous les trois autour de notre table, devant un café que nous avons parlé pêche …

Le moment de partir est venu, il est descendu et juste quand il a tendu la main à Clara, celle-ci lui a demandé : alors c’était si bon hier soir, ce n’est quand même pas à la pêche que vous avez attrapé cet air si fatigué ?

Sa réponse s’est fait attendre, il m’a regardé, puis, se sentant sans doute en confiance (je mesure 1.87 et pèse 95 kg) il nous a dit :

– Oui, bien sûr c’était bon, très bon même, je me suis masturbé toute la nuit après vos folies. Je vous admire vraiment c’était génial, si seulement je pouvais en faire autant avec ma femme ! Imaginez, vous avez baisé sans arrêt de minuit à 2 heures et demi.

(C’est à ce moment que j’ai compris que nos préliminaires de massages avaient duré plus d’une heure !)

– Vous savez, si je viens pêcher la nuit, c’est plus pour oublier ma vie de m…, me faire du bien dans mon coin que par passion…si seulement tous les week-ends des gens comme vous s’arrêtaient ici…

Dans un élan de sympathie non feinte (je la connais) Clara lui a fait la bise, puis, se ravisant, a posé sa bouche sur celle de notre jeune ami qui n’en menait visiblement pas large à la façon dont il me regardait. Je l’ai rassuré par un clin d’œil et j’ai murmuré :

– Allez-y ne vous gênez pas tous les deux…

Clara, dans un premier temps lui a roulé un patin d’enfer, puis a posé sa main sur la bosse qui venait de se faire dans son pantalon. Je l’ai regardée, à la fois amusé et intéressé par la suite….

Justement, la suite au prochain épisode.

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4 réponses à Week-end nature en Ille et Vilaine par Pierre02

  1. Vicaire dit :

    N’y a-t-il pas dans chacun de nous un petit voyeur qui sommeille ?

  2. Muller dit :

    C’est bien, mais la suite est encore mieux !

  3. Audel dit :

    le fantasme est particulier, mais l’auteur a (presque) réussi à le faire partager.

  4. alain dit :

    Bonjour à vous chers Brétiliens :)) un plaisir d’avoir lu votre petite escapade …j’aurais aimé être voyeur de vos ébats et de vos râles respectifs. Merci pour cette histoire fort excitante.

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