Week-end au château – 2 par Frédérique Wagner

Week-end au château – 2
par Frédérique

Après avoir été dépucelée lors d’un week-end mémorable où je m’étais réveillée, nue, sous les yeux des parents de Françoise et de Marc, mes hôtes et initiateurs à la vie sexuelle, voici ce qui m’arriva ensuite.(voir Week-end au château).

Les parents de Marc et Françoise, pas du tout étonnés, gênés ou courroucés de ma tenue pour le moins inhabituelle, continuaient à me regarder dévorer mes toasts et mes croissants. J’avais une faim de loup que cette nuit de dépucelage et d’extase sexuelle expliquait sans peine et, par dessus tout cela je ressentais une exaltation fabuleuse. J’étais devenue une femme et j’avais adoré ça, j’avais fait l’amour avec un homme et une femme, et j’avais adoré ça, j’avais vu un frère et une sœur faire l’amour et me le faire ensuite et j’avais adoré ça ! J’étais la maîtresse du monde, à tous les sens du terme !

Puis Madame H., la maîtresse, elle, des lieux, me dit soudain ;

 » Vous avez une très jolie poitrine, pas très grande, mais très jolie. J’aime beaucoup la couleur de vos tétons, ils sont roses comme ceux d’un bébé. Je suis sûre que Françoise les a adoré, tout comme Marc.  »

Elle avait dit ça avec tranquillité, comme s’il s’agissait de la chose la plus naturelle du monde !
C’était une ex très jolie femme d’une cinquantaine d’années, à la beauté brune assez piquante. Elle ajouta

 » Et votre cul est très…disons spirituel. Il a beaucoup de charme. Pourriez-vous ouvrir vos jambes que je puisse apprécier le charme de votre sexe ?  »

Eberluée, un toast à la main, la bouche pleine, je me tournai vers elle et j’ouvris tout grand mes cuisses, ce qui entrouvrit mon sexe, je le sus à la fraîcheur qui se fit sentir en lui. Je posai alors ma tartine, me tournai vers son mari, la soixantaine un peu ronde, et lui ouvris les cuisses vers lui et lui demandai, culottée (enfin…ce n’était qu’une expression !),

 » Et vous, monsieur, comment trouvez-vous mon sexe ?  »

Il me répondit sans broncher

 » Charmant, peut-on voir votre petit trou aussi ? « .

Sans barguigner je relevai mon bassin et, me laissant aller en arrière sur mes coudes, levai les jambes, largement ouvertes, et le montrai alors mon cul et ma chatte béante, excitée comme une puce par cet inattendu dialogue avec un magnat de la Banque Genevoise !

 » Vous avez décidément beaucoup plus de qualités que n’a bien voulu nous en dire Françoise, me dit alors Madame H., je pense que nous allons pouvoir arriver à un accord qui devrait tous et toutes nous satisfaire, n’est-ce pas Henri ? « , ajouta-t-elle à l’adresse de son mari .
 » Certainement, ma chérie, mais ne laissons pas Frédérique dans l’ignorance et expliquons lui de quoi il en retourne.  »

J’avais rabaissé mes jambes et m’étais rassise et je les écoutais, interloquée. J’avais voulu jouer les provocatrices, les délurées à qui on ne la fait pas, les filles plus que libérées et voilà qu’on me parlait d’un accord mystérieux.
Les sourcils un peu froncés je les regardais tous deux, me demandant bien à quelle sauce j’allais être croquée, si je devais être croquée, bien sûr !

 » Voilà, Frédérique, me dit Monsieur H., vous l’ignorez sans doute, mais Françoise souffre d’une très grave maladie, cela ne se voit pas mais, et elle ne l’ignore pas, elle a encore peu de temps devant elle. C’est pourquoi nous cédons à tous ses caprices, et Marc également. Elle a fait une fixation sur vous et m’a supplié de vous inviter ici pour passer ce week-end. Elle ne sait pas que nous sommes avec vous et que nous vous le faisons savoir. Je vous supplie de garder le silence et de lui donner tout ce qu’elle vous demandera, sur le plan sexuel, et je crois que vous n’avez pas été cruelle, et sur tout autre plan. Bien sûr il ne s’agit pas de mettre votre santé ou votre sécurité en danger, mais si vous pouviez accéder à toutes ses demandes nous vous en serions éternellement reconnaissants. Je sais que vous êtes amies mais je vous prie de bien vouloir me demander ce que vous voulez, si cela reste possible, je vous l’accorde dès à présent « .

Sa femme acquiesça en silence.

J’étais abasourdie, Françoise, mon amie, mon amante, celle qui m’avait fait découvrir l’amour physique, mourante ! Je restai sans voie. Mon cerveau tournait à toute vitesse, je ne savais plus à quoi me raccrocher, tout ce que je souhaitais ! Mais je ne savais plus où j’en étais et je répondis, un peu balbutiante

 » Je ferai de mon mieux, je ferai…tout ce qu’elle voudra « .

Un soulagement apparut sur leurs visages.

 » Frédérique, ma chère enfant, vous nous faites un plaisir immense, laissez nous vous gâter, vous ne le regretterez pas  »

Sur ces mots il se leva, sa femme l’imita, et, en me souriant, ils s’approchèrent de moi et m’embrassèrent tendrement (je doit à la vérité de dire que la bouche me Madame H. s’attarda un peu au coin de mes lèvres et qu’une main de Monsieur H. frôla, sûrement par mégarde, mon sein gauche) et ils me quittèrent, me laissant dans ce petit salon, toujours nue comme un ver, songeuse et déboussolée.

Sur ces entrefaites apparut une jeune fille qui semblait avoir le même âge que moi (18 ans) et qui me dit

 » Si Mademoiselle veut bien me suivre, je vous conduit à la salle de bains où sont vos vêtements, ils ont été lavés et repassés et vous attendent « .

La classe ! Je suivis donc cette fille qui me conduisit vers une chambre gigantesque au milieu de laquelle trônait un lit énorme comme je n’en avais jamais vu. Rond, d’environ trois mètres de diamètre, il se tenait au milieu de la pièce. Deux grandes portes-fenêtres l’éclairaient et donnaient sur le parc. Elle continua et nous entrâmes dans une salle de bain hollywoodienne.

Ceci est votre chambre, je suis votre camériste et suis à votre disposition, vous pouvez m’appeler à toute heure du jour et de la nuit en tirant sur ce ruban-là dit-elle en me le montant. Je m’appelle Camille, ajouta-t-elle, et elle se retira.

Super ! Une camériste, une chambre et une salle de bains de palace, j’étais loin de ma chambre de jeune fille eu petit lit virginal et de ma salle d’eau de 4m2 !

Je pris un bain somptueux où je jetais des poignées de sels de bain dans l’eau. J’enfilais une robe de bains et fit l’inventaire de cette pièce. Il y avait profusion de gels, de sels, de crèmes, de parfums, tous de marques prestigieuses, tout cela puait le pognon et j’adorais cette odeur !

Ce que je voudrais ! Mon esprit courrait dans tous les sens, j’imaginais des cadeaux, de l’argent, bref, j’étais devenue en quelques instants une pute de luxe et cela ne me troublait pas le moins du monde ! Au contraire j’envisageais avec naïveté une carrière dans la luxure et le luxe, dans le stupre et la fornication chic et chère, avec sérénité !

J’étais perdu dans mes pensées, roulant en rêve dans un cabriolet, quand la voix de Françoise me fit revenir à moi.

 » La chambre te plaît ? Je pense que oui, dit-elle sans attendre ma réponse, je pense que mes parents t’ont proposé monts et merveilles pour satisfaire tous mes caprices de moribonde ? « .

Suffoquée je ne sus que répondre.

 » Bien sûr que je suis au courant, mais tu aurais tort de ne pas en profiter. Je sais que tes parents sont enseignants, ce ne sont pas des situations où on roule sur l’or.  »

Je ne dis rien.

Elle s’approcha de moi, j’étais sortie du bain, je m’étais séchée et j’allais m’habiller et, en conséquence, j’étais encore nue. Elle me caressa la joue, puis sa main glissa vers mon sein gauche (décidemment il a du succès celui-là, me dis-je), glissa vers ma hanche, passa vers ma fesse gauche et elle m’attira vers elle. Nous échangeâmes un long baiser. Sa langue jouait avec la mienne et je ressentit de nouveau dans mon ventre monter la chaleur du désir. Cette fille me bouleversait.

 » Je veux que tu restes nue, il fait beau et chaud, tu n’auras pas froid. Je te veux nue, tout le temps que tu seras dans cette maison oui dans ce jardin. Je veux que tu fasses tout ce que je te dirai ; je dis bien : Tout, sans exception ni réserve, et tu ne le regretteras pas, crois-moi ma chérie.  »

Décidemment tout le monde voulait mon bien ici, à un tel point que je commençais à trouver la mariée un peu trop belle, comme on dit. Qu’est-ce que cela pouvait bien cacher. On sait qu’à cet âge tendre on est naïf, crédule, et je n’échappais pas à cela à cette époque, mais je commençais à avoir des doutes, informulés, certes, mes des doutes quand même. Mais il n’y avait pas le feu au lac, comme nous disons à Genève quand rien ne presse et, ces quelques instants de méfiance passés, je décidais de voir venir.

 » Tu ne dis rien, ma chérie, insista Françoise, je vu tes petits sourcils se froncer, et, entre parenthèse tu es vraiment adorable quand tu prend un air contrarié. Quelque chose te chiffonne ? « .
 » Non, rien, seulement…  »
 » Seulement quoi ? « .
 » Rien, je te dis, ce n’est rien, je pensais à ce qu’allait être cette journée. Tu veux vraiment que je reste toute nue et que je fasse tout ce que tu veux ? Tout ? Qu’est-ce que tu veux dire par tout ?  »
 » Tu le verras bien, c’est la surprise, ne crains rien, je suis certaine que tu aimeras tout ça. Tu n’as pas oublié nos folies d’hier soir, ajouta-t-elle en souriant et en me jetant un regard par en dessous très suggestif, tu m’as paru très…emballée par nos petits jeux et c’est bien toi que j’ai entendu crier de plaisir et en redemander ? « .
 » Oui, c’est vrai, tu m’as fait découvrir des plaisirs que j’ignorais et qui m’ont fait exploser hier soir ; et puis, lui dis-je en me rapprochant d’elle et en posant ma tête sur son épaule, tu m’as fait devenir femme « .

Elle m’entoura les épaules de ses bras et déposa un petit bisou affectueux dans mon cou,

 » Fais moi confiance, je t’aime  » me glissa-t-elle dans l’oreille.

Je fermai alors les yeux et je m’abandonnai en lui soufflant

« Je suis à toi entièrement, nue et consentante, comme tu le veux, fais de moi ce que tu veux, tout ce que tu voudras je le ferai « .

Elle m’embrassa encore dans le cou sans dire un mot, me pressa dans ses bras et, en se reculant, elle me dit d’une voix enjouées

 » Allez, mon petit cœur, viens, je vais te présenter à toute la maison, amis auparavant je vais t’aider à être plus belle, allons dans la salle de bain « .

Alors commença la cérémonie, elle commença par me savonner ma toison intime ;

 » Nous allons raser tous ces poils superflus, ici et ailleurs, pour qu’on puisse apprécier ta jolie peau  » me dit-elle

Et elle me fit asseoir sur le bidet, me fit relever les jambes et elle me rasa habilement le sexe et la périphérie de l’anus, je n’étais pas très fournie, cela se fit facilement ; ensuite elle m’épila les jambes avec de la cire chaude, c’était un peu douloureux mais supportable. Je n’avais jamais pensé à ce genre de choses auparavant. Elle en fit autant sous mes bras, là ce fut un peu plus douloureux

 » Regarde comme tu es douce et belle maintenant  » me dit-elle comme pour me consoler.

Ensuite elle me maquilla le visage avec un peu de fond de teint très fluide, quasi invisible, elle ombra mes paupières, souligna mes sourcils, mit du rimmel sur mes longs cils (ma fierté), souligna mes lèvres et y fit glisser un tube de rouge très sanglant, tressa mes cheveux en une longue natte qui me dégagea le visage et le cou. Puis, à ma grande surprise, appliqua un peu de rouge sur la pointe de mes seins qui se durcirent sous cette application, petits bourgeons devenus grands par le miracle de la décoration. Enfin m’enduisit le corps d’un lait parfumé qui sentait un mélange d’odeurs étourdissantes et discrètes à la fois, enfin, d’un geste décidé, elle m’enduisit d’un doigt adroit et précis, l’anus et le vagin d’un onguent très frais qui me fit frissonner de froid et de plaisir.

 » Regarde toi !  » Ce fut dit d’un ton bref, comme un coup de fouet, un ordre autoritaire.

Ce que je vis me bouleversa, où était passée la petite jeune fille qui venait à une fête d’anniversaire ? Je voyais une femme, belle, mince, aux longues jambes et à la taille mince, au visage hiératique barré par la cicatrice rouge d’une bouche dure, des seins fièrement dressés aux pointes agressives, et enfin et surtout un ventre plat et lisse terminé par la fente étroite d’un sexe dénudé que je voyais apparent pour la première fois de ma vie, un sexe qui avait été la source de temps de plaisirs, donnés et reçus hier soir, un sexe dont je sentais bien qu’il serait un des éléments majeur de ma nouvelle vie, un sexe dont la beauté simple et austère me bouleversa. J’y portai la main et caressai ses lèvres jointes et ourlées, petite bouche d’amour verticale donc la douceur m’émut. Ce sexe que je croyais connaître pour l’avoir caressé maintes fois dans mon lit d’adolescente, que des mains maladroites de copains avaient tenté en vain de forcer de leurs doigts, je le voyais enfin comme une prolongation de mon émoi, comme une prolongation de mon moi.

Elle m’arracha à mes pensées et à mon narcissisme et me dit

 » En route, viens avec moi ! « .

Nous quittâmes ma salle de bains et ma chambre (MA salle de bains et MA chambre ! Quel luxe !) et sortîmes dans un grand couloir baigné de lumière, il était bordé par une série de portes-fenêtres donnant, là aussi, sur le parc, elle en ouvrit une et se pencha pour me donner une paire de petite sandales,

 » Mets ça et viens « ordonna-t-elle.

Je la suivis alors dans le parc, l’air était tiède et je ressentais la tiédeur d’une brise sur des parties de mon corps nouvelles, je fermais les yeux pour en apprécier la douceur et la nouveauté. Je les rouvris pour la suivre et nous arrivâmes dans un petit bosquet que nous traversâmes. Ce parc me paraissait gigantesque, à ma question elle m’indiqua qu’il faisait 12 hectares, en plein Genève (ou presque), cela devait valoir une fortune (ou plusieurs !).

 » Voilà, Frédérique, je veux que tu t’offres à quiconque te désireras, que tu lui accordes tout ce qu’elle ou il te demandera sur le plan sexuel, homme ou femme, sans exception ni réserve, tu exigeras un paiement pour chaque… prestation, paiement que ne saurait être inférieur à 1000 Fr. en espèces ou en nature ! Tu m’as bien comprise ? « .

Tu parles que j’avais compris, elle voulait faire de moi une pute, une prostituée, une call-girl, enfin quelque chose de ce genre et, le plus étonnant, c’est que j’étais d’accord, même excitée par ce défi sexuel, moi qui ne connaissais du sexe que ce que j’avais connu la nuit dernière. A peine dépucelée et déjà pute ! Ah, elle avait effectué un saut qualitatif brusque, la pucelle godiche que je n’étais plus !

Nous continuâmes d’avancer dans le parc et, après avoir traversé un bosquet de chênes, nous arrivâmes dans une clairière au centre de laquelle se dressait un kiosque, semblable à ceux où venaient jouer encore à cette époque les harmonies locales. Là, il n’y avait pas d’harmonie mais un grand divan bas recouvert d’un tissu rose. Un escalier menait à ce kiosque autour duquel une vingtaine de personnes de tous âges se trouvaient, bavardant par petits groupes, qui se turent en nous voyant. Puis les chuchotements reprirent, je me sentais la mire de tous les regards mais, fièrement, je relevais la tête et les ignorais. Ici encore ma nudité ne me gênait pas, au contraire j’en tirais une sorte de fierté.

Je suivis Françoise et montais avec elle sur le kiosque.

 » Mes amis, voici Frédérique, elle est jeune et belle et je l’aime, et elle aimera qui voudra d’elle, demandez lui tout, je dis bien tout, ce qui pourrait satisfaire votre désir, et elle le fera et pour vous en persuader je vais commencer la première !  »

Et Françoise H., issue d’une des plus riches familles de Genève, commença à se déshabiller lentement en me regardant dans les yeux. Elle ôta ses chaussures, remonta sa jupe pour enlever son collant, elle fit passer son pull léger par-dessus sa tête, fit glisser sa minijupe jusqu’à ses pieds. Elle était alors en sous-vêtements. Elle se tourna vers l’assemblée, passa ses deux mains dans son dos et défit son soutien-gorge ; ses deux seins jaillirent tels deux oiseaux effarouchés, elle se retourna vers moi et fit glisser son mini slip au sol. Elle était totalement nue, comme moi. Elle me prit par la main et me conduisit au sofa, elle me fit allonger sur le dos. Ensuite elle m’enjamba et s’accroupit en tendant sa croupe vers mon visage. Je voyais très nettement sa vulve et son anus. Elle s’accroupit un peu plus et d’une voix claire elle me dit, visiblement pour être entendue de tous

 » Mange mon cul, encule moi de ta langue « .

Son petit trou était à quelques centimètres de mon visage, j’en sentait une odeur douceâtre s’en échapper, je soulevais la tête et, du bout des lèvres je déposai un petit baiser du bout des lèvres son cet anneau brun. Je la sentis frémir. Ma bouche alors s’empara de son anus et ma langue vint tourner autour, puis enfin essaya d’y entrer. Son sphincter était refermé et je ne pouvais en forcer le passage. Puis elle poussa et je sentis l’anneau brun se détendre et ma langue put y pénétrer, excitée par ce début prometteur ma langue allait et venait dans son cul dont elle ressentait l’âcreté sans nul dégoût.

Elle se releva alors et dit

 » Tu m’as enculé avec ta langue, tu devras continuer avec tous ceux qui le voudrons ou qui voudrons autre chose !  »

Elle se leva et quitta le kiosque.

Je me relevai et je me tins debout près du divan. Un homme cria

 » Montre nous ta petite chatte bien ouverte « .

Je m’assis et j’écartais mes jambes, de mes deux mains j’écartai alors mon sexe, je le sentis très humide. Je le montai alors à cet homme et je me tournais vers la droite et la gauche pour que chacun le voie bien.

 » Branle toi !  » me dit une femme un peu âgée, ce que je fis aussitôt.

Un homme monta sur la scène improvisée, il ouvrit sa braguette et en sortit son membre qu’il se mit à caresser devant moi, il s’approcha, me prit par la nuque et approcha son sexe de mon visage. Docile je le pris en bouche et me mit à le sucer et à le branler en cadence, sans doute excité par la situation il ne put se retenir et jouit dans ma bouche

 » Avale !  » me dit-il, et j’avalai tout son sperme âcre et chaud, sans grand plaisir cependant.

Une femme le rejoignit, elle releva sa robe, elle ne partait pas de culotte et avait un sexe très poilu, elle en écarta les lèvres et me dit,

 » Viens me brouter le minou, petite salope ! « .

Je m’approchai, me mis à genoux et commençais à lui laper le sexe, elle avait un clitoris énorme, de près de 3 centimètres, une vraie petite queue. Cela m’excita et je me mis à le sucer comme on suce un bonbon. Elle se mit à gémir de plaisir. E son sexe s’échappait une grande quantité de cyprine (j’ai appris le nom depuis) ainsi qu’une odeur forte de mouille et de pisse mélangée. Elle recula d’un pas et me dit :

 » ouvre ta bouche et ferme les yeux ! « .

Docilement je fis ce qu’elle me demandait. Un flot brûlant inonda mon visage et pénétra dans ma bouche, c’était d’un goût indéfinissable ; il dura pendant de longues secondes et commença à diminuer et s’arrêta. J’ouvris les yeux et compris qu’elle venait de me pisser sur le visage. Elle avait toujours sa robe relevée mais celle-ci était un peu mouillée par cette urine. J’en étais couverte des pieds à la tête. Elle approcha encore son sexe de mon visage, posa un pied sur le canapé et, ainsi ouverte, elle me colla son sexe sur la bouche et m’ordonna de boire le complément d’urine quelle avait retenu dans sa vessie. Je bus ainsi à longs traits sa pisse, elle jouit alors dans ma bouche. J’eu un spasme de plaisir et je jouis moi aussi, sans m’être touchée. Ma main alla vers mon ventre pour prolonger mon plaisir. Les gens étaient montés sur scène pour mieux voir tout cela, certains s’étaient déshabillés, d’autres non. Certains se masturbaient ou masturbaient leur voisin. Une femme se faisait enculer en léchant le sexe d’une autre femme. Deux hommes allongés par terre se suçaient mutuellement le sexe avec des grognements porcins. C’était hallucinant et follement excitant !

Durant je ne sais combien de temps je ne sais combien de sexe pénétrèrent mon sexe, ma bouche, mon cul, combien de bites ou de chatte ma bouche alla sucer ou goûter, combien de sexe d’hommes ou de femmes mes mains allèrent caresser. Puis tout ces gens s’en allèrent tout d’un coup, me laissant exténuée sur ce canapé. Françoise, toujours nue, était restée. Elle monta sur scène et vint m’enlacer en me murmurant

 » C’est bien, mon amour, tu m’as obéi, je t’en remercie, demande-moi ce que tu veux, tu l’auras « .

La nuit allait tomber et j’eu soudain froid.

Je ne répondis pas, j’était crevée et ne souhaitais qu’un chose, un long bain brûlant et une grande nuit de sommeil. Elle m’entoura les épaules d’une couverture et m’entraîna vers la maison.
Je n’avais pas vu Marc durant cette orgie très peu romaine mais tout à fait helvétique ! Qu’était-il donc devenu ? Françoise ne me répondit pas quand je le lui demandais.

Le week-end venait se terminer, quelle en serait la suite ? Vous le saurez prochainement (peut-être ?)

Frédérique Wagner

A suivre…

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