En ce beau samedi du mois de juin, ma maîtresse m’interrompt dans
l’exécution de mes tâches ménagères et m’annonce :
– Stéphanie, il faut que tu sortes un peu de la maison; je n’apprécie pas du
tout ton teint blafard. Saches que deux de mes amies jouent au tennis cet
après-midi et je leur ai proposé tes services; tu feras, j’en suis certaine,
une très bonne petite ramasseuse de balles…
Ce disant, elle en profite pour me peloter sans douceur les testicules qui
ballottent sous ma robe noire de soubrette obéissante.
– Allez, au galop, petite garce, va te changer; je t’ai préparé une tenue
adéquate dans la salle de bain.
A quoi pouvais-je m’attendre ? Travesti en femme du matin au soir (et du
soir au matin, d’ailleurs ), je n’imaginais pas trouver à ma disposition un
classique short de tennis. Bien vu !
L’équipement se compose en effet d’une mini jupe de tennis blanche tout ce
qu’il y a de plus classique dans le « circuit ATP féminin », d’une chemise
Lacoste beaucoup trop étroite et même d’un soutien-gorge en dentelle. Les
chaussures à lacet sont roses bonbon, tandis que les chaussettes blanches
arborent un petit pompon sur leur partie arrière. J’ai beau chercher à
gauche et à droite après une petite culotte, je n’en trouve point; j’aurais
pourtant apprécié de pouvoir porter au moins un string… Par contre, une
nouvelle perruque a fait son apparition : la coupe est telle qu’elle me fait
ressembler à Mireille Mathieu ! Enfin, il est inutile de préciser qu’il n’y
a aucune raquette prévue à mon intention, juste deux balles de tennis
destinées à faire office de faux seins.
Ainsi vêtue, je descends au salon où m’attendent déjà mes futures
« partenaires » de jeu…
– Petite pute, viens par ici ! S’exclame ma maîtresse. Présente-toi de suite
à Christine et Clara !
Le regard pointé vers mes baskets roses et les mains croisées dans le dos,
j’effectue alors une belle révérence en soulevant très légèrement les bords
de ma jupette. Cela suffit bien entendu pour dévoiler mon pénis en érection.
La situation m’excite au plus haut point et malgré mes efforts, je ne puis
le dissimuler.
– Fous-toi à quatre pattes, petites insolente !
Je ne me le fais pas dire deux fois, me précipite à leurs pieds et lèche la
semelle de leurs baskets déjà rougies par la terre battue.
– Maintenant, viens par ici, larve, présente-moi ton petit cul de salope !
Me dit ma maîtresse.
Sans aucune précaution du style lubrifiant, elle m’enfonce un plug en
plastique dans le rectum. C’est habituellement une manœuvre que j’apprécie à
sa juste valeur. Mais dans le cas présent, elle a été fort rapide. J’essaie
néanmoins de ne pas crier. J’esquisse quand même un petit gémissement que je
transforme, avant qu’il ne soit trop tard, en remerciements.
Pour le trajet qui dura une bonne demi-heure, je prends place, entre les
sacs de sport, dans le coffre de la RANGE ROVER.
Une fois arrivé à destination, et après avoir déchargé la voiture, j’ai
enfin l’occasion de mieux détailler mes deux nouvelles maîtresses. Christine
arbore de longs cheveux noirs aux reflets cendrés, un sourire carnassier, de
très beaux seins en forme de demi-melons et des fesses rebondies sous sa
jupe. Clara quant à elle, est moins athlétique sans être plus ronde et
possède des cheveux châtains et me donne aussi l’impression d’être très sure
d’elle.
Mon rôle n’est guère original. Je dois en effet ramasser les balles sur le
terrain pendant que ces dames s’amusent sur le court. Je transpire
énormément sous ma perruque. Chaque fois que je me baisse, mes fesses sont
largement exposées et aussi bien Christine que Clara ne se gênent pas me
frapper à coups de raquette. Mon postérieur se trouve ainsi zébré de rouge
et de blanc en moins d’un set !!
Je répète inlassablement « Merci maîtresse » à chaque coup et redoute le
moment où il me sera possible de m’asseoir. Enfin, il n’en est, de toute
façon, pas encore question !! Quoi que durant les échanges, je reste en
position accroupie à côté du filet, les couilles pendantes et le sexe
rigoureusement dressé.
A l’occasion de la pause, je dois servir des boissons rafraîchissantes aux
deux maîtresses.
– Masse-moi les mollets, Stéphanie ! M’ordonne Christine.
Ne faisant ni une ni deux, je me mets à genoux à ses pieds et entreprends de
lui masser les jambes. Dieu qu’elles sont belles ses jambes, effilées,
lisses, douces et longilignes. J’ose alors un regard un peu trop appuyé sous
sa jupe et la réaction ne se fait pas attendre.
– Prend ça, petite vicieuse !
me retrouve alors les quatre fers en l’air ce qui a au moins comme mérite de
les faire se marrer..
– Maintenant, on va vraiment s’occuper de toi ! Ne bouge pas ! Tu veux
vraiment voir ce qui se cache sous nos jupes et bien tu va être servi !
Clara ôte alors sa petite culotte et me l’étale avec complaisance sur le
visage.
– Lèche, je veux qu’elle soit aussi propre que ce matin !
Je m’applique au mieux ! Je n’ai malheureusement pas eu le temps de bien
voir la chatte de Clara, ni l’aspect de la culotte. J’entreprends alors un
léchage systématique à grands coups de langue. L’odeur est fort âcre et, à
ma façon de procéder, les maîtresses se doutent que c’est une activité que
j’apprécie particulièrement.
– Arrête! J’ai mieux à te proposer.
C’est Christine qui a parlé. Elle relève alors sa jupe à hauteur des hanches
et après un bref instant, relâche son sphincter vésical et inonde sa petite
culotte d’urine. Il en sort par tous les côtés. Toujours allongé sur le dos
comme un brave toutou, je ne perds pas une seconde du spectacle; il est déjà
splendide, mais la suite risque de l’être encore plus!
– Notre petite ramasseuse de balles a certainement très soif ! Dit
Christine. Et bien, elle va pouvoir se désaltérer en suçant ma culotte.
En moins de temps qu’il ne faille pour le dire, c’est une culotte gorgée
d’urine concentrée qui emplit ma bouche. Le goût n’est pas désagréable du
tout. L’urine est encore chaude et j’arrive à en extraire bruyamment un
maximum de liquide avant de ma voir priver de l’objet de mes délices.
– Occupe-toi de mes baskets maintenant ! S’exclame Christine
Ces dernières ont effectivement été éclaboussées par son abondante miction.
C’est beaucoup moins agréable, mais je m’exécute de bonne grâce.
Pendant ce temps, Clara ne reste pas inactive. Elle s’occupe du plug
toujours inséré dans mon fondement. Je l’avais presque oublié celui-la ! .
Sans délicatesse, elle l’extrait de mon rectum. Ensuite, elle lubrifie mon
anus avec de la crème solaire (c’est tout ce qu’elle avait trouvé !!) et
m’annonce:
– Tu vas quand même jouer avec une raquette, petite salope !
Sur ces mots, elle m’enfonce le manche de la raquette dans le cul.
Heureusement que le plug avait déjà préparé efficacement le terrain, aussi
non, je ne sais comment j’aurais supporté cette pénétration pour le moins
inhabituelle !!
– Branle-toi avec le marche ! Me gueule Christine.
J’actionne alors la partie du manche en un mouvement de va et vient tandis
que Christine s’assoit littéralement sur mon visage, me forçant à lui
nettoyer la chatte. Ces petits jeux l’ont manifestement excité parce que,
outre l’odeur de son pipi (que j’ai déjà largement apprécié !), je pus aussi
goûter ses sécrétions vaginales. Le mélange de ses odeurs, combiné à cette
sodomie sauvage, m’enivre et je dois faire un effort surhumain pour ne pas
éjaculer sur ce terrain de tennis…
Toutes les bonnes choses ont une fin et après avoir rassemblé toutes les
affaires (souillées et autres..), j’ai réintégré le coffre de la voiture et
rejoint ma maîtresse en chef…
wama4443@wanadoo.be
Première publication sur Vassilia, le 25/11/2001
Oh ! Que c’est excitant, être à la merci des petites salopes qui vont m’humilier en me pissant dessus set me foutant le manche de la raquette dans le cul ! Que c’est bon tout ça !
Très excitant. J’aurais bien pris la place de Stéphanie pour lécher ces petites culottes pleines d’urine et recevoir le manche de la raquette dans mon cul ! Je suis vicieuse, hein ?
Ce serait plutôt un match de pénis
Un peu délirant mais ce n’est pas pour me déplaire