Un congrès surprenant. par Mondoi

Un congrès surprenant.
par Mondoi

Il m’est arrivé une fois une aventure avec un collègue de travail dans des conditions très particulières, nous étions à un congrès, il ne restait qu’une chambre double en rez-de-chaussée donnant sur le parking, en plein mois d’août, une chaleur insupportable, après quelque verres, nous sommes allés pour nous coucher, en tirant les rideaux lumière éteinte à cause des moustiques, nous avons aperçu un couple dans une voiture garée devant la fenêtre, la femme faisait une fellation à l’homme, on voyait sa tête monter et descendre, on est resté à regarder sans rien dire, on voyait tout à cause de l’éclairage du parking, à un moment, j’ai vu que mon collègue avait sortit son sexe et se masturbait, il m’a dit:

– Te gêne pas pour moi, fait pareil

Et j’ai sortis ma queue pour m’astiquer.

La femme est passée à cheval sur le mec et à commencer à se démener sur sa bite, sa jupe remontée sur les hanches, laissait voir de belles fesses blanches que le gars a écarté pour lui doigter l’anus, je ne regardais pas mon collègue se branler, trop captivé par le spectacle gratuit et à un moment, j’ai sentis sa main toucher ma verge, j’allais protester mais il me dit :

– Chut… tais-toi ou ils vont nous voir

Il se mit à me branler en déposant de la salive du bout des doigts sur ma tige, la scène devant nous était très hot, l’homme avait changé d’orifice et sodomisait la femme qu’ont entendait gémir, une belle queue lui fourrait l’anus, elle s’écartait elle-même les fesses pour faciliter la pénétration rectale.

Mon pantalon avait glissé sur mes chevilles et mon collègue baissa mon slip pour me masser le paquet, son autre main passa sur mes fesses et rentra dans ma raie pour me titiller la rondelle, là encore je ne dis rien, je ne suis pas homo mais j’étais tellement fasciné par le spectacle de la sodo dans la voiture que je ne voulais pas que cela s’arrête, un doigt m’a pénétré, il a accéléré le branle et j’ai éjaculé sur les rideaux.

Il s’est tourné vers moi, le sexe gros et bandé, j’ai compris que je devais lui rendre la pareille, la femme hurlait son plaisir dans la bagnole en s’empalant avec fureur sur le dard qu’elle avait dans le cul.

Je lui ai pris la queue, j’ai mis de la salive dessus et je l’ai masturbé, il avait le regard fixé vers le couple sodomites, je lui ai caressé le petit trou, comme il était souple, je lui ai rentré le majeur en faisant des va-et-vient, au bout de deux minutes de masturbe, il a poussé un petit râle et j’ai vu sa semence giclée sur mes cuisses au moment où la femme avait un orgasme bruyant.

Nous sommes allés nous pieuter et nous n’avons pas reparlé de cette soirée pendant la journée, mais le soir en rentrant à notre chambre, je l’ai surpris à regarder dehors plusieurs fois, il était en train de guetter une éventuelle scène identique à celle de la veille mais calme plat, il ne ce passait rien, je l’ai un peu provoqué en lui disant que pour ce soir, il valait mieux se mater un film de boulles sur nos ordis portables s’il avait envie d’un plaisir manuel.

– Pourquoi ?… tu m’en referais un ? demanda-t-il en ricanent mais intéressé.
– Heuuu…pour hier soir, ne vas pas t’imaginer que j’en suis.
– Ah ! Remarque, moi non plus dit-il, le spectacle m’en a donné envie, c’est tout, tu es bi comme moi, sans le savoir.
– Tu as peut-être raison, moi aussi ça m’a donné envie, c’était vraiment trop hot cette nana en train de pomper son mec et de se faire limer le petit trou devant nous sans nous voir la regarder, j’aime bien mater.
– Moi aussi, surtout quand il lui a pris le cul.
– C’est elle qui se l’est mise dans les fesses, je l’ai vue faire.
– Ouiii…qu’elle chienne, elle en voulait à fond.
– J’aime la sodo, surtout quand c’est la femme qui te le demande.
– Hyper rare, les nanas en générale ne te le demandent pas, c’est aux mecs de prendre l’initiative sauf si elles sont très excitées et pour se faire toucher le petit trou, c’est pareil, alors qu’entre mecs, on peut se comprendre.

Tout en discutant, mon collègue s’est déshabillé et il est devant moi en caleçon, je ne sais pas si c’est le sujet de la conversation qui lui fait de l’effet ou si c’est moi mais il bande à moitié, je vois une grosse bosse déformer le devant de son sous-vêtement, il s’aperçoit que je regarde son paquet cadeau et le prend à pleines mains.

– Moi, je me ferais bien sucer ce soir et plus encore, rien que d’en parler cela me fout une gaule d’enfer mais pour trouver une nana à cette heure, faut ressortir pour draguer.

A moi aussi ça fait de l’effet de me remémorer la copulation sodomite nocturne de la veille, j’en ai la queue qui durcit dans le pantalon et je me ferais bien branler et doigter comme hier soir, même sucer mais hier, c’était hier, dans le noir avec un spectacle hétéro, là maintenant c’est différent, j’ai un mec qui bande devant moi, et qui veut se faire faire une pipe et même plus, moi j’ai le bâton prêt à servir mais j’hésite à franchir le pas.

– C’était la première fois que je touchais un homme hier soir lui avouais-je.
– Moi la deuxième, la première c’était en pension, sous la douche, je ne l’ai jamais refais depuis.
– Et tu voudrais que l’on…?
– On peut essayer si tu veux, si ça ne va pas on arrête ? me propose-t-il en sortant sa belle verge de son caleçon.

Je ne sais pas ce qui me prend à ce moment là, peut être le manque de sexe ou l’envie d’une expérience alternative, je me suis assis sur le bord du lit, sans le regarder, aux pieds de son excroissance de chair et je l’ai prise dans les mains dans un geste d’acceptation silencieux, son dard continuait de durcir, relevant la tête vers la turgescence ornée d’un long prépuce, j’ai avancé les lèvres pour téter le replie et le gland sans le décalotter, le phallus a eu un soubresauts réactif et a grossit à l’extrême sous ma caresse, mon collègue a murmuré.

– Hooo…ouiii…comme ça… en posant une main sur mes cheveux.

Je m’étais demandé plusieurs fois au court de ma vie, si je serais capable de bien sucer un homme, toutes les femmes ne savent pas bien le faire mais en prenant exemple sur mes meilleurs souvenirs de fellations, je me suis mis à reproduire les caresses les plus sensitives que j’avais pu recevoir de la part de la gente féminine, je l’ai décalotté avec le bout de mes lèvres en lui caressant les testicules et je l’ai avalé presque jusqu’au pubis en léchant son gros gland parfumé au naturel, il sentait un peu l’urine et la transpiration mais je connaît bien cette odeur et cela ne me gêne pas puis, saisissant son membre bandé entre mes doigts, j’ai entamé un branle langoureux en lui pompant la queue, ma main a quittée ses couilles pour se faufiler dans sa raie poilue à la recherche de l’orifice que j’avais doigté la veille, il était là, palpitant et légèrement humide de sueur, j’en caresse les plis, mon collègue réagis en écartant les jambes pour faciliter l’attouchement, j’avais remarqué hier soir en lui mettant un doigt pendant que je le masturbais, qu’il était assez accueillant du trou de balle, sans doute a-t-il reçu les assauts digitaux de quelques femelles doigteuses d’hommes ou s’adonne t’il aux plaisirs solitaires de l’introduction d’objets divers comme moi, vu qu’il « n’en est pas » apparemment.

En tous cas il aime ça et mon index lubrifié de salive trouve rapidement sa place au milieu du petit cratère de chairs fripées, provoquant chez mon collègue des soupirs de contentement à chaque fois que je le lui enfonce dans le cul, tout cela m’excite terriblement et j’aimerais aussi me faire sucer de la sorte, je lâche la verge, retire mon doigt pour ouvrir mon pantalon et sortir ma bite coincée qui se déplie devant lui, je lui la montre.

– A moi maintenant lui dis-je, fais voir ce que tu sais faire avec ta bouche!
– Pas de problème, donnant, donnant, tu me suces, je te suce, tu me doigtes, je te doigte.
– Et si je te sodomise ?
– Là, tu m’en demande beaucoup, je ne l’ai jamais fait avec un mec.
– Moi, non plus remarque, seule ma femme a eu le privilège de me le faire.
– Pareil pour moi me dit-il, je vois que l’on a les mêmes gouts et les mêmes femmes, la mienne, c’est son fantasme, elle veut me voir me faire prendre par derrière devant elle.

– C’est dingue ce que tu me dis, la mienne aussi, elle me l’a demandée plusieurs fois.

Tout en discutant, je me suis mis nu et me voila debout devant mon collègue de travail, la pine au garde à vous, il fait comme j’ai fait, il s’assoie sur le bord du lit, saisit ma verge entre ses doigts et l’approche de sa bouche, la chaleur de ses lèvres sur mon prépuce m’électrise au plus haut point et les caresses de ses mains sur ma queue et mes bourses me font clore les yeux pour savourer les délices de la fellation qui commence, il est doué pour un homme, autant que moi, il s’applique avec douceur et quand sa bouche enveloppe mon gland pour descendre en anneau le long de ma tige bandée, un plaisant frisson me parcours le paquet jusqu’à la raie, il me saisit par les fesses pour s’enfoncer le sabre de chair au fond du gosier, ses doigts glissent dans mon sillon anal et caressent mon petit orifice, il commencent alors à faire des va-et-vient buccaux sur ma verge tout en me rentrant un doigt couvert de salive dans l’anus, je pousse pour m’ouvrir à la pénétration digitale.

Il va me pomper ainsi pendant cinq bonnes minutes, alternant les caresses de sa bouche avec celles de sa langue, il me gobe aussi les couilles entièrement en faisant remuer son doigt dans mon derrière, je me demande qui de nous deux va passer à la casserole en premier, moi j’en ai envie malgré la taille imposante de son chibre mais je n’ai pas l’audace de le lui dire, je réfléchis à un jeu qui donnerait au gagnant la primauté de se faire le cul du perdant et je lui propose un pile ou face.

– Celui qui perd donne ses fesses à remplir… ok ?
– D’accord, me répond-il mais après il encule le gagnant ?
– Ben oui, donnant, donnant, comme tu l’as dit.

Je prends une pièce dans ma poche de veste et choisis face, je la jette en l’air, la rattrape et la retourne devant lui, c’est face, il semble un peu déçu de ne pas pouvoir me fourrer maintenant mais c’est le jeu, c’est lui qui va y passer en premier, il sort des préservatifs de sa valise et un tube de lubrifiant intime.

– Tiens, tu mets ça pour l’hygiène, je ne suis pas allé aux chiottes depuis ce matin et tu me mets de la pommade aussi, je veux bien me faire casser le cul mais en douceur.
– Tu préfère quoi comme position, à la papa ou comme une chienne ?
– Comme une chienne, me répond-il en se mettant à quatre pattes sur le lit, les fesses tendues vers moi.

Je me place derrière lui, sa croupe est ronde et fendue comme celle d’une femme, seules ses couilles pendantes indiquent que c’est un cul de mec que j’ai devant moi, je dépose un peu de vaseline sur son trou et sur ma verge, le saisit par les hanches pour qu’il se cambre un peu plus dans une position de soumission érotique puis, appuyant mon gland contre sa rosette entre-ouverte, je donne un coup de rein pour le pénétrer, la boule de chair violacée est avalée avec un peu de résistance, moment jouissif du dépucelage anal, le reste de ma queue s’enfonce dans le sphincter.

– Haaa…c’est gros…ça me déchire…haaa…
– Tu veux que j’arrête ?
– Non… continus…n’arrête pas…

Je ressors ma bite au ralentis pour lui mettre un deuxième passage dans l’oignon, ça lui fera un souvenir, je lui branlotte l’ouverture avec mon gland et hop, à fond dedans, il est serré, c’est bon.

De suite, je lui ramone le conduis à petite vitesse, j’ai trop envie de prendre mon pied après le début de fellation qu’il m’a fait, je lui ramone la boîte à chocolat comme je le fais avec ma femme, tantôt sauvagement, tantôt tendrement, je ne suis pas long à venir et je décharge dans la capote en lui disant mon contentement.

– Wouaaa…super bon… ton petit cul

Je me retire après quelques derniers va-et-vient, la capote est un peu souillée à l’extérieur, je la retire aussitôt pour aller la jeter, mon collègue se relève.

– A moi maintenant dit-il, allonge-toi sur le dos, je vais te prendre comme une femme.
– J’aurais préféré en levrette lui dis-je.
– Je te le ferais aussi mais pour l’instant, je veux voir ton visage quand je vais te sodomiser.

Je m’allonge en écartant les jambes, comme une invite à me faire baiser, il se place entre-elles et me les relève, genoux sur le torse, mon anus est ainsi exposé à ses envies, il me gratifie d’un succulent anulingus pour me préparer mais aussi parce qu’il aime faire ça, cela s’entend aux gloussements de dégustation qu’il émet en me bouffant le trou, il me rentre même sa langue dedans puis, il se redresse la queue à la main, il enfile un préservatif sur son terrifiant pieux de viande bandée à l’extrême qu’il masturbe avec du lubrifiant pour obtenir la dureté maximum, je sais à ce moment là que je vais ramasser grave dans le cul, il se positionne entre mes cuisses, je pose mes jambes sur ses épaules, il frotte son gland sur mon ouverture dilatée par ses caresses buccales, je pousse pour détendre mon sphincter au moment où il me rentre son braquemard dans l’anus, la résistance du muscle anal cède d’un coup et je suis envahis, écartelé, remplis comme par un énorme étron mais dans le sens inverse, lui me fixe dans les yeux observant mes réactions à son assaut sodomite.

– Tu as mal ? me demande-t-il.
– Ouiii…c’est gros…
– Je me retire si tu veux ?
– Non…va-y… bourre-mou…j’aime…

Il me sourit et lascivement me ramone le conduis, j’ai eu mal pendant l’introduction de son membre volumineux mais la douleur disparaît petit à petit, je lui donne mes fesses à baiser en profondeur, il ne s’en prive pas et m’encule de toute la longueur de sa queue pendant un long moment puis il se retire.

– Tournes-toi maintenant, m’ordonne t’il, je vais te baiser comme une petite salope.
– Hummm…rentre la moi, lui dis-je en lui présentant mes fesses.

Il ne se fait pas prier et me sabre l’anus d’un coup de rein, m’arrachant un crie rauque de surprise tellement la chose est épaisse et que je la sens passer, il se met à me labourer le cul en me tenant par les hanches, je suis sa salope, son trou à bite, sa chienne sodomite, je suis un enculé.

Il passe à la vitesse au dessus et dans un râle de plaisir, me prévient qu’il va balancer sa purée, dommage qu’il ait une capote, je voudrais bien connaître la sensation que provoque une éjaculation dans les fesses, ma femme aime tellement cela, elle m’en parle à chaque fois que je me vide en elle, ses doigts se crispent sur mon cul au moment où, agité de spasme, il prend son pied en prononçant des mots sans suite.

– Haaa…prends ça…t’es bonne…salope…enculée…

J’ai eu le cul en feu et en choux fleur toute la journée du lendemain, lui aussi d’ailleurs, il me la dit pendant une conférence chiante que nous avons quittés avant la fin pour aller nous sucer dans les toilettes, je lui ai fais une pipe en premier et il m’a déchargé dans la bouche, c’était la première fois que je gouttais à du sperme en direct du producteur, j’ai tout avalé sans dégout puis c’est lui qui m’en a fait une en avalant tout mon foutre avec délectation, nous étions comme un jeune couple qui découvre le sexe, nous laissant aller à tous nos fantasmes et toutes nos envies, pour la dernière soirée ensemble, nous avons fait des choses hors normes comme s’uriner dessus dans la douche et même se regarder faire nos gros besoins mais sans toucher, nous n’étions pas attirés par ça, nous nous sommes promis de nous revoir avec nos épouses pour une soirée chaudes si les femmes étaient d’accord.

Quand je suis rentré à la maison le lendemain, ma femme avait des envies elle aussi et je l’ai excitée en lui racontant mon aventure sodomite à l’hôtel, elle m’en a voulue d’avoir fait ça sans elle, elle aurait tant aimée assister à mon dépucelage anal, je lui ai alors proposé une soirée avec mon collègue et son épouse mais à une condition, c’est que toutes les deux se fassent des câlins un peu poussés entre femmes, en nous regardant nous enculer, mon collègue et moi, elle a peu hésitée, ne connaissant que très peu la femme de mon collègue et n’ayant pas eu de rapports saphique depuis le pensionnat mais son désir de voir des hommes entre eux était tellement fort qu’elle accepta mes conditions, il ne restait plus qu’à voir si mon collègue allait réussir à convaincre son épouse, je lui passais un coup de fil pour qu’il voit ça avec elle de son côté.

Il passa me voir à mon bureau dans la semaine, tout content qu’elle ait acceptée, elle avait eu une aventure avec sa cheftaine scout quand elle était plus jeune et en gardait un souvenir ému avec une envie d’y regoûter, ça tombait bien et la soirée promettait d’être furieuse et nous avons attendus le week-end avec impatience, le samedi soir, mon épouse et moi étions fébriles comme pour une première fois, les attendant au portail de notre propriété.

– Haaa… les voila, dis-je à ma femme en apercevant leur voiture au bout du chemin, elle se colla à moi, chaude et frémissante.
– Je peux aller jusqu’où avec elle ? me demande ma chérie.
– C’est toi qui vois mon amour, tu as des envies spéciales ?
– Peut-être… me répondit-elle mystérieuse.
– Cool …tu me fais bander d’avance.

Mon collègue se gare et descend ouvrir la portière à sa femme, elle émerge du véhicule en nous observant avec un regard légèrement empreint d’inquiétude mais souriante, Paul son mari, refait les présentations, Jade, mon épouse, Christine et Michel mon collègue de la boîte, on se fait la bise, ma femme ouvre déjà le feu en posant une main sur la hanche de Jade en frôlant ses lèvres des siennes, l’épouse de mon collègue est une belle femme à cheveux roux, grande sur des jambes fines, le décolleté de sa robe de soirée laisse apparaître la naissance d’une volumineuse poitrine à la peau clair parsemée de tâche de rousseur, sa pair de fesses captive aussi mon attention, par transparence, j’aperçois sa culotte de dentelles ce qui me fait bander dans le pantalon, Paul a vu le geste de Christine et me fait un clin d’œil, les deux femmes prennent la direction de la maison en se parlant à voies basses, je suppose que la mienne est en train de la mettre en condition, nous suivons nos épouses en les observant, chacun allant de son compliment, mon collègue me met la main au cul.

– Alors…? On remet ça ce soir ?
– Avec plaisir, j’ai cicatrisé depuis l’autre jour, luis dis-je en lui prenant le paquet au niveau de la braguette, il bande à moitié.
– Et nos deux lesbiennes, tu crois que ça va aller ? me demande-t-il.
– Mais ouiii…la mienne est impatiente en tous cas.
– Bien…Jade aussi est prête.

Nous passons à table, les propos sont courtois pendant le diner, les deux femmes font connaissance et paraissent s’entendre, à la deuxième bouteille de vin, quelques propos égrillards apparaissent pendant les conversations, Christine, mine de rien, oriente la suite de la soirée.

– Il parait que se sont les hommes qui font les meilleures fellations…est-ce vrai ? nous demande-t-elle.
– La meilleure suçeuse, c’est toi ma chérie, lui dis-je.
– Moi je pense que Jade est la reine de la pipe surenchérit Paul.
– Il faudrait un point de comparaison pour affirmer cela, rétorque mon épouse, hors je ne vous ai jamais sucé Paul, pas plus que votre épouse n’a fait de fellation à mon mari, à ce que je sache ?
– Je peux lui en faire une si vous y tenez Christine, propose Jade qui n’avait encore rien dit.
– Je pourrais en faire une à Paul aussi si vous pensez être la meilleur, je peux lui prouver le contraire.
– Cela ne prouvera pas que les hommes sucent mieux que les femmes, rétorque Jade.
– Vous avez totalement raison chère amie, suçons les chacune notre tour pour commencer et ils se suceront tous le deux après, ainsi aurons-nous un verdict impartiale ?
– Christine, vous me plaisez, dis Jade, c’est une sacré bonne idée, elle est aussi valable pour les broutes-minous, qu’en pensez-vous ?
– Chaque chose en son temps chère amie, ces messieurs nous montrerons ce qu’ils savent faire aux dames après, pour l’instant, allons dans le salon pour les prendre en bouche, nous serons plus à l’aise.

Et me voila affalé dans le canapé à côté de Paul, les femmes nous ont baissées pantalons et slips et comparent nos attributs d’un œil de connaisseuses, puis ma femme invite Jade à venir me faire voir ce qu’elle sait faire avec sa bouche pendant qu’elle se courbe sur la queue de Paul pour lui prodiguer le divin plaisir, je suis aux anges, Jade est vraiment une bonne tailleuse de plume, aussi bonne que mon épouse que Paul est en train d’apprécier, il me fait un signe pouce en l’air.

Ma femme lui lâche la bite au bout de plusieurs minutes de pompage et décrète que c’est notre tour.

– Michel… à toi, viens donner du plaisir à ton ami qu’il nous dise si tu es meilleur que les femmes!

J’obtempère et viens sucer le membre turgescent, il est chaud et mouillé de salive, je lui fais ce que je lui ai déjà fais pendant le congrès, les femmes, venues sur mes côtés, regarde la scène en gloussant et en se lançant des œillades complices, des mains caressent mes fesses, s’aventurent même dans ma raie pour me toucher l’anus, je ne sais pas à qui sont les doigts qui me titillent la rondelle, cela en rajoute au plaisir de me faire masser le bourrelet, je ne sais pas non plus à qui sont les mains qui me massent les couilles en me masturbant la verge mais ce qui est sur, c’est qu’il y a trop de mains pour une seule femme, hélas, le traitement prend fin au moment où Jade ordonne à son mari de prendre ma place, je m’affale de nouveau dans le canapé pour me faire sucer mais par mon collègue cette fois, pendant qu’il me pompe le dard avec application, les deux femmes lui prodigue les mêmes caresses qu’à moi, je vois ma femme mouiller son index de salive et le lui enfoncer dans le cul en fixant Jade d’un regard provocateur puis elle le ressort et le lui tend à lécher, l’autre détourne le visage, mon épouse la tire par les cheveux pour l’obliger à sucer le doigt à peine souillé.

– Ca te dégoutte… ? Pourtant c’est l’anus de ton mari…! Lèche… !

Jade embouche l’index en minaudant, Christine le lui enlève et le replante dans les fesses de Paul.

– Tout à l’heure je goutterais le tien et toi le mien, tu verras comme c’est bon lui dis t’elle en suçant à son tour le doigt fureteur sortit du cul de mon collègue.

Paul s’applique toujours à prouver qu’il est un bon bouffeur de bite et c’est vrai qu’il est bon mais les femmes veulent autre chose.

– Alors…messieurs ? C’est qui la meilleur ?
– Paul se débrouille bien pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude de faire des pipes dis-je et vous mesdames, vous êtes de super tailleuses de plume, je ne peux pas départager qui que ce soit.
– Oui c’est vrai, dis Paul, tu es un bon suceur mais nos femmes aussi savent y faire.
– Bon, dis Jade, égalité partout, on va voir ce que vous valez au cunnilingus.
– Ce que tu vaux…toi… ma chérie, mon mari me le fait assez souvent pour que je sache l’apprécier mais toi Jade, je n’ai jamais goutté à ta langue. Précise mon épouse en troussant sa robe, viens me montrer ce que tu sais faire, rajoute t’elle en s’affalant cuisses écartées dans le canapé

Le tissu trempé de l’entrejambes de sa culotte lui colle à la motte, moulant les formes de son intimité, Jade, rougissante, s’agenouille alors devant la vulve impudiquement offerte et se met à caresser du bout des ongles la chair sensible de l’intérieur des cuisses en glissant progressivement vers le nid à plaisir de Christine dont les poils follets s’échappent sur les côtés de la culotte, Jade se penche en avant et embrasse la grande tâche de mouille du tissu puis lèche les pourtours de la vulve avec application, mon épouse soupir de satisfaction sous les attouchements buccaux de la femelle en relevant plus encore ses jambes pour lui faire comprendre qu’elle doit aussi descendre butiner sa raie, Jade répond à la silencieuse demande par de grands coups de langue le long du sillon fessier, titillant au passage l’ouverture anale.

– Enlève ma culotte…lui ordonne Christine d’une voix suave.

La femme exécute, tirant vers le bas, l’élastique de la taille, elle abaisse le tissu sur les cuisses, l’entre-jambe reste un moment collé aux plis vulvaires et finit par ce détacher laissant apparaître la beauté rosâtre et brillante du sexe velu de mon épouse, Jade jette la culotte à son mari qui l’attrape et la porte à son nez, pour en humer le parfum délicat.

– Hummm…fait-il…elle sent bon la pisse et la femelle en chaleurs, comme toi ma chérie.
– Ouiii…tu as raison dit Jade, elle sent bon le pipi et la foune en rut.

A ses mots, Jade colle sa bouche sur la vulve dégoulinante pour en aspirer le jus, dans une dégustation gourmande illustrée de petits bruits de succion mouillés puis sa langue entame un ballet virevoltant de léchouilles aux endroits où cela fait du bien, arrachant des râles et des miaulements de plaisir à Christine qui la regarde faire avec émoi en se tenant les jambes levées et largement écartées pour en profiter au maximum.

– Viens sur moi…lui demande ma femme, que je te mange aussi le minou.

Jade se déshabille complètement, un corps superbe avec des seins volumineux et des fesses de déesse, sa peau est blanche, presque laiteuse, recouverte de tâches de rousseur, son pubis bombé est orné d’une toison flamboyante et fournie de la même couleur que ses cheveux, bandante, elle est bandante.

Elle enjambe le corps de Christine qui s’est allongée et tend ses fesses à la bouche de mon épouse qui de suite renifle l’intimité de Jade en le gouttant de la langue.

– Hummm… tu sent fort, c’est donc cela le parfum des rousses ?
– Tu aimes…?
– Ouiii… dit-elle dans un souffle en enfonçant son visage dans l’entrecuisse.

Les deux femmes sont maintenant occupée à se donner du plaisir et nous n’existons plus, ma femme a relevée les jambes sous les bras de Jade qui fait une nouvelle incursion dans la vallée odorante de l’entre-fesses, suçant le bourrelet de l’orifice anal comme une sucrerie, salivant dessus avec, sans doute, des arrières pensées sodomites, puis elle remonte aspirer le capuchon du clitoris qu’elle décalotte ensuite des doigts pour en faire saillir le haricot de chair, Christine lui prodigue des caresses identiques, Jade lui rentre deux doigts profondément dans le vagin en saisissant l’excroissance de chair entre ses lèvres et la suçote, l’effet de la double caresse est immédiat, mon épouse crie son plaisir, Jade alors retire ses deux doigts du vagin et les enfonce dans l’anus de Christine d’un geste rapide et autoritaire, ma femme l’imite mais en laissant ses doigts dans la vulve de Jade, elle lui rajoute juste son pouce dans le trou de balle, nos épouses se lèchent et se doigtent furieusement et sont alors secouées de petits spasmes annonçant la monté du plaisir, au moment de l’orgasme, un jet de liquide arrose le visage de Christine qui ouvre grande la bouche pour se désaltérer à la source de la jouissance, elle-même, en femme fontaine qui s’assume, déverse son liquide dans la bouche de Jade qui ne le refuse pas, leur jouissance est totale et sans pudeur.

Pendant les ébats de nos deux lesbiennes improvisées, nous ne sommes pas restés inactifs devant un tel spectacle, Paul m’a masturbé en me touchant derrière et moi de même, nos dards sont tendus à l’extrême dans l’attente de la suite des évènements, Christine et Jade reprennent leurs esprits.

– Alors ma chérie…? demande Christine, tu as aimé te faire manger la moule par une femme ?
– Hummm…j’ai adoré et toi ?
– Super…tu es une vraie brouteuse.
– Cela vous a plus messieurs, deux femmes entre-elles, demande Christine ?
– Oui, très beau spectacle répond Paul.
– Merci mesdames, rajoutais-je
– Et bien maintenant à votre tour de nous faire plaisir, intime Jade, enculez-vous !
– Ho ouiii…jubile Christine, après se sera notre tour, je veux goutter aux ravages de celle de Paul dans mon cul, mais vous d’abord, n’est-ce pas Jade ?
– Ok, je te le prêterais et le tien viendra dans le mien mais je veux les voir s’enfiler de suite et Messieurs, gardez votre semence pour nous.

Paul m’interroge d’un signe de tête pour savoir qui donne ses fesses en premier, je veux faire plaisir à mon épouse et sans état d’âme, je me met à quatre pattes sur le canapé, tendant mon cul à baiser dans une invitation silencieuse, Paul vient me faire une feuille de rose préparatrice et lubrifiante puis me colle son gland contre la rosette, je pousse pour ouvrir mon sphincter et il me rentre sa queue au ralenti, j’ai moins mal que la première fois où il m’a sodomisé mais je la sens passer quand même, les deux femmes nous entourent, assistant avec excitation et commentaires à la pénétration rectale.

– Wouaaa…regarde comme ça rentre le gros morceau dans son trou, dis Christine.
– Hi hi hi…ricane Jade, il est serré ton petit mari.
– Ben oui, il n’a pas l’habitude de se faire enculer, à part par moi, précise Christine
– C’est comme le mien, puceau des fesses, qu’en je pense à ce qu’ils nous mettent.
– Maintenant qu’ils y ont goûtés, ça va changer, allez Paul, défonce le cul de mon mari, encourage t’elle.
– Ouiii…ressort ta queue et remets la lui, comme tu fais avec moi, ordonne Jade.

Paul obéit, il se retire de mon anus et me la remet, ressort, re-entre, à chaque fois, le passage du gland m’élargit un peu plus la rondelle la rendant accueillante, il me lime le cul agréablement bien, les femmes nous caressent et se touchent tour à tour, une main secourable vient de temps en temps me branler la verge et me masser les couilles puis Jade décide qu’il est temps que son mari se fasse remplir le conduis.

– Allé Paul, à toi de passer à la casserole, donne ton trou à Michel.

Il se retire de moi et prend ma pace sur le canapé , le cul offert à la visite de mon membre, son anus plissé cerné d’une corolle de poils me fait de l’œil, je l’encule après lui avoir craché sur l’ouverture, d’une traite, à la hussarde, je lui sabre l’oignon sans retenue et enfonce mon dard le plus loin possible, son muscle rectal m’enserre la tige comme le vagin d’une pucelle, il proteste un peu.

– Haaa…Salaud…tu me déchire…!
– Vas-y…défonce le, me susurre Jade à l’oreille, ramone le comme une chienne !
– Après ce sera notre tour ma chérie dit Christine en l’enlaçant tendrement, pour l’instant j’ai envie de faire pipi.
– Moi aussi lui confie Jade, je t’accompagne.
– Non…pas aux toilettes…ici…
– Hein…?!
– Oui ici…sur toi…devant les hommes.
– Ben dis donc…tu es une drôle de cochonne toi…!
– Allonge-toi par terre ma chérie et ouvre grande la bouche, tu vas goutter à mon champagne.

Jade se couche sur le sol et Christine l’enjambe, lui présentant ses fesses, quelques secondes d’attente et les premières gouttes perlent de la vulve de mon épouse puis l’écoulement augmente devenant un jet dru qui chuinte au passage du méat urinaire, au début, Jade essaye d’esquiver le liquide mais mon épouse s’assoie carrément sur sa bouche et s’en sert comme d’un w.c, Jade suffoque du trop plein qu’elle emmagasine, elle en avale plusieurs gorgées mais s’étouffe, ma femme finie sa miction sur ses seins, elle se couche à son tour sur le sol et Jade prend la même position qu’aux toilettes au dessus de Christine et commence à se vider la vessie sans retenue, j’ai arrêté de sodomiser Paul pour qu’il profite aussi du spectacle des deux pisseuses, nous masturbons lentement nos sexes pour en préserver l’érection, la scène est torride.

La séance de pipi est finie, les deux femmes nous présentent leurs fessiers en réclament l’enculade, en hommes prévenants, nous les gratifions d’une feuille de rose pour les préparer à la pénétration anale, je mange l’anus de Jade la Rousse qui sent fort pendant que Paul darde sa langue dans le petit trou de ma femme qui, comme elle fait avec moi avant la sodomie, pousse sur son muscle rectal pour s’ouvrir au maximum, ça ne loupe pas, elle lâche un pet au visage de mon collègue qui n’en a pas l’air vexé et qui continue à lui fouiller l’entrée de derrière avec sa baveuse, je m’enhardis malgré le parfum corsé de Jade et lui rentre également ma langue dans le cul, c’est supportable et en plus elle en glousse de plaisir, ma femme réclame maintenant d’être saillie et Paul présente sa verge devant le bourrelet impatient, il prend son temps pour enculer ma femme, jouant avec son gland dans l’entrée du conduis, branlant la rondelle par petits vas et viens, Jade aussi me demande de la fourrer de suite et je lui fais comme j’ai fais à son mari, je la sodomise d’un coup, en une seule fois elle se prend mon gland turgescent et toute la longueur de ma queue, je suis sans pitié et entame immédiatement le ramonage de son cul à grands coups de rein.

– Haaa…c’est trop gros…arrête…non…n’arrête pas…haaa…ouiii…comme ça…

Elle en veut vraiment, elle se cambre au maximum pour en avoir le plus possible dans le cul, à chaque retour, je laisse sortir mon gland de son anus et je le lui enfonce de nouveau, au passage j’ai aperçu des traces brunâtre sur mon sexe, elle est encombrée mais cela m’excite encore plus, je la bourre comme un âne, je lui pousse la crotte, elle m’a baguée le cigare, de son côté, ma femme gémie sous les assauts de Paul et de son imposant braquemard qui m’a dépucelé le fion, elle a pourtant l’habitude de se faire enculer mais là, elle a dû être surprise par la taille du morceau, je vois qu’elle s’astique la moule fébrilement comme fait d’ailleurs Jade, les deux gouines pisseuses sont au diapason du plaisir et c’est presque d’une seule voix qu’elles nous gueulent qu’elles vont jouir, Jade s’empale d’elle-même à fond sur mon dard à grands coups de fesses en resserrant l’anus autour de ma verge, le clapot de sa main dans sa mouille m’indique qu’elle dégouline de la fente, ça miaule, ça couine, ça beugle même, leurs jouissances font monter la mienne, je ne tiens plus et lui lâche la purée dans les intestins, Paul aussi se lâche dans ma femme, il le lui dit.

– Tiens…prends-ça…c’est tout pour toi…
– Ouiii…fais moi dedans…répond-elle.

Nos deux épouses ont gardées le sperme en elles en serrant les fesses pendant un bon quart d’heure puis elles ont filées aux toilettes ensemble, pour « un jeu entre femmes » nous ont-elles dit sans nous inviter, je me suis douté du « genre » de jeu qu’elles allaient pratiquer, comme a dit Paul qui s’en doutait aussi:

– Elles vont faire plus ample connaissance!

Nous avons passés le week-end à baiser tous les quatre, ensemble ou séparément, entre hommes, entre femmes, en couple mixte, tout ce qui pouvait être fait à été fait, même les choses innommables et depuis, comme un rituel, nous remettons ça une fois par mois, nous pensons même initier un jeune couple que nous avons rencontrés lors d’un autre congrès.

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4 réponses à Un congrès surprenant. par Mondoi

  1. Elisabeth Ferrier dit :

    Comment ça, les femmes ne seraient pas demandeuses de sodomie ? Moi je demande, j’en redemande et j’adore qu’on m’encule ! Non mais dès fois !
    A part cette bêtise le texte est bon

  2. Chandernagor dit :

    Quand l’auteur s’applique et se relit ça donne un petit bijou comme ce récit qui m’a bien fait bander

  3. Claire dit :

    Pas trop mal dans l’ensemble même si le déroulé est assez classique pour le thème.
    Cependant je me demande où l’auteur a été chercher cette aberration selon laquelle les femmes ne seraient pas demanderesse de pénétration anale !

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