Sylvette sur le Green par Justin2

Sylvette sur le Green par Justin

Je viens de lire sur Revebebe, une histoire qui se passe sur un golf. Golfeur passionné moi-même, il m’est arrivé à mes débuts, il n’y a pas si longtemps, une aventure similaire tout au moins dans certaines phases du jeu. Malheureusement, n’ayant sans doute pas la même prestance que l’auteur de cette histoire, je n’ai pas eu droit à un final aussi grandiose. D’autre part, j’estime qu’un récit qui tiendrais sur une seule page A4 ne fait pas sérieux, ce qui explique que je n’ai pas écris mon aventure jusqu’à présent.

Si je me décide à l’écrire maintenant, c’est que j’ai été effaré par les préjugés et la ténacité des idées reçues sur ce sport (oui, c’est un sport !). Etant partie prenante, amis lecteurs, vous excuserez ma partialité.

Le week-end, comme dans d’autres loisirs, il y a en général beaucoup de monde sur les parcours et le choix du ou des partenaires est souvent le fruit du hasard. Il y a quelques jeunes, beaucoup de vieux (plus de 30 ans, dixit Nora), en général, les gens sont là pour se détendre et sont plutôt charmants, quelques-uns uns sont réservés, d’autres plus expansifs, j’ai aussi rencontré des snobs sur un golf d’une station balnéaire réputée (oui, c’est vrai Eddy, il en a aussi, mais ils ne constituent pas la majorité du genre)

Ce dimanche donc, je fais connaissance avec mes partenaires au départ du 1 ( pour ceux qui ne le sauraient pas, je précise qu’un parcours de golf comporte en général 18 trous, du 1 au 18. (Tiens, comme c’est curieux !).

Lui, une quarantaine d’année, 1,80 mètre, costaud, genre cadre moyen guetté par la brioche, bronzé parce qu’il joue souvent, poignée de main franche. Je n’ai pas retenu son prénom.

Elle, nettement plus jeune, couleur des îles, se prénomme Sylvette. Taille très fine, poitrine prometteuse nichée dans une chemisette BCBG, short genre campeuse des années soixante, c’est à dire les manches (sic) retroussées au maximum, mettant ainsi en valeur une paire de longues jambes magnifiquement galbées. Ces dernières, accrochées à une paire de fesses à faire bander un régiment de p..ardon, d’homos.

Ceux, qui par hasard ont lu mes autres récits savent que je fantasme beaucoup sur les femmes avec un cul ferme, bien relevés, des hanches étroites et le creux des reins bien marqués, ce qui est le cas de Sylvette (sinon, cette histoire ne serait tout simplement pas).

La partie commence, le mari de Sylvette se révèle un redoutable joueur, il cogne et à l’engagement, propulse régulièrement la balle à 250 mètres droit sur le fairway (fairway :zone tondue ras et qui sépare le départ et le Green d’arrivée). Je suis beaucoup plus modeste en distance et de surcroît je ne suis pas très droit, je fréquente assidûment le rough (rough : zone bordant les fairway et où l’herbe n’est pas tondue. Bon, je ne vais pas vous expliquer tous les termes, on ne s’en sortirait pas). Heureusement, en amical, chacun joue contre soi-même et je ne fais pas trop de complexes. (un peu quand même)

J’entends les chœurs des lecteurs qui grondent : « Et le cul là-dedans, quand est-ce qu’on parle de cul ? »

Si vous m’avez lu jusque là, c’est que vous êtes tenace. Du calme, Eddy, encore un peu de patience et on y arrive au cul. Juste quelques petites précisions absolument nécessaires.

Au golf, les partenaires jouent chacun leur tour, lorsque l’un joue, les autres regardent et surveillent la trajectoire de la balle du joueur.

Juste avant le swing, le joueur se met à l’adresse, et essaie d’adopter la position adéquate. Cette position adéquate consiste à pencher légèrement le buste vers l’avant, à essayer d’avoir le dos plat et de ressortir les fesses le plus possible (tilt, vous commencez à comprendre).

Bien entendu, lorsque c’est à Sylvette de jouer et que je me trouve derrière elle, ce n’est pas la balle que je regarde. A ces moments de la partie, je dois ressembler au loup de Tex Avery. Mes yeux s’échappant de leur orbite, la langue dégoulinante qui se déroule en direction de ce que vous imaginez.

En tous cas, moi, avec mon imagination, je n’avais pas besoin de jouer au golf dans un club de naturiste, je la vois nue la dame et je fais des efforts incroyables pour ne pas aller vérifier manuellement sa position.

Pendant ce temps là, le mari semble indifférent (ben oui, il avait l’habitude, lui) et me fait la conversation. Il est passionné par la petite balle blanche et me raconte ses dernières parties depuis des temps lointains. Il est sympa mais j’ai du mal à m’intéresser à ce qu’il dit.

D’autres fois, toujours lorsque c’est à Sylvette de jouer, je me mets face à elle m’efforçant de minimiser la bosse sur mon pantalon. Malheureusement (façon de parler) la situation est tout aussi excitante. Tenant son club de manière académique, c’est à dire, buste penché en avant, les deux mains sur le grip, la poitrine coincée entre ses bras tendus, j’ai l’impression qu’elle me fait une offrande et j’ai toujours la même envie d’aller triturer tout ça. Evidemment, à force, ça déforme un pantalon.

Dans ces conditions, tenir pendant 18 trous sans sauter sur la jeune femme relève de l’exploit, cette partie était un enfer délicieux. J’ai pu y réussir parce que le mari me semblait très costaud (vous conviendrez avec moi qu’il s’agit d’une excuse plausible). D’ailleurs, je le soupçonne d’amener son épouse sur le terrain uniquement pour lui démontrer qu’il est le meilleur et de ridiculiser ainsi les autres hommes.

Dans la semaine qui suivi, j’ai pris un jour de congé, reliquat que je risquais de perdre si je ne le prenais pas. N’ayant pas de projet précis, je décidais de faire un parcours (j’entends l’autre : Mazette, qu’est-ce qu’il est riche celui-là, deux parcours de golf dans la même semaine ! ) Ben oui, les gars, je dois être riche parce que j’arrive à payer une cotisation annuelle de 3 500 euros pour jouer autant de fois que j’en ai envie. L’équivalent d’un paquet de cigarettes par jour pendant un an, mais je relativise en pensant aux milliers de lycéens qui fument et qui donc, sont aussi riches que moi. C’est vrai que, moi je triche, j’économise sur la Porsche en roulant dans une Clio.

Trêve de diversion, revenons à nos moutons. Heu, à notre histoire.

Au départ du 1, heureuse surprise (surprise pour moi, mais le lecteur, lui, s’en doutait déjà), Sylvette était là, SEULE ! Elle me minauda.

– Justement, en m’inscrivant pour ce parcours au club-house, j’ai vu votre nom sur la feuille des départs et j’ai demandé à l’accueil de prendre le départ en même temps que vous, cela ne vous ennuie pas j’espère ?

Pardi ! Bien sûr que non, que ça ne m’ennuyait pas, au contraire, j’étais ravi, je n’aurais même osé en rêver.

Je commençais la partie. Les hommes prennent toujours les départs en premiers (Ce n’est pas du machisme, simplement les départs masculins sont plus éloignés des greens que les départs féminins, et donc pour des raisons de sécurité, c’est toujours les joueurs les plus éloignés qui jouent en premier). Coup magnifique, je bombais le torse.

Sylvette joua à son tour, pas terrible, elle prit un petit air de petite fille malheureuse qui la rendait craquante, après tout, plus elle devra taper dans la balle, plus elle devra prendre ces positions qui me mettent dans tous mes états.

Ce jour là pourtant, le temps n’était pas de la partie. Il ne faisait pas froid mais il y a de gros nuages menaçants, il y avait aussi beaucoup de vent. L’avantage de ces mauvaises conditions météorologiques, c’est qu’il n’y a pas beaucoup de monde sur les fairways. Nous avions donc tout notre temps.

La partie se déroulait bien, sur les quatre premiers trous, je jouais comme un dieu, elle, comme elle pouvait. Sur le green du 5, je réussis un put difficile de trois mètres, elle rata le sien d’un mètre. N’acceptant pas son échec, elle remit une balle, raté, trois fois elle recommença, trois fois elle rata. Timidement, je proposais de lui montrer le bon mouvement, elle accepta et après ma démonstration, essaya encore, nouvel échec. Je proposais alors de l’accompagner dans son mouvement. Avec son accord, je mis derrière elle tout en l’enveloppant dans mes bras, mes mains sur ses mains. Sans prévenir, elle se mit à l’adresse, se penchant en avant tout en cambrant son popotin, celui-ci entra donc en contact étroit avec mon bas ventre. Réaction immédiate et naturelle, ma queue se met au garde à vous. Il me fallut plusieurs minutes pour revenir au golf mais, après une intense concentration, croyez-le ou pas, c’est bien la petite balle blanche nous réussîmes à propulser dans le trou. Coquine, elle demanda à remettre une balle pour bien s’imprégner du mouvement.

Ensuite, tout en rejoignant ensemble le départ du 6, le sourire moqueur, elle me dit :

– Je constate que vous jouez avec des manches « stiff » !

Pour comprendre cette allusion il faut savoir que les manches des clubs de golf sont plus ou moins rigides, cela va du plus souple « lady » ensuite « senior » en passant par le « régular » pour finir par le « stiff » qui est le manche le plus raide.

Comment voulez-vous que je me concentre ensuite pour jouer correctement ? D’autant plus qu’il commençait à pleuvoir. Il arriva ce qui devait arriver, après un swing désastreux, ma balle atterrit dans les sous-bois.

Sylvette joua ensuite. Joli coup !

Arrivés à l’endroit où se trouvait théoriquement ma balle, je m’enfonçais dans les sous-bois à sa recherche. La pluie se faisant plus drue, je pris le parapluie que tout golfeur à toujours avec lui. Comme il est d’usage, Sylvette vint m’aider dans ma recherche. La pluie se transforma en averse et les arbres ne suffisaient plus à nous protéger, j’ouvris donc mon parapluie et invitais Sylvette à venir s’abriter. Un petit coin de parapluie contre…. Vous connaissez la chanson !

La pluie avait amené la fraîcheur et l’humidité, et tout le monde sait que ces conditions atmosphériques ont parfois des conséquences sur les humains. C’est ce qui arriva à Sylvette. Mettant sa main droite entre ses cuisses, elle m’informa d’une grosse envie de faire pipi. La pluie étant toujours aussi intense, je lui dis de faire sur place et que je tournerais la tête. (Je sais Léna, si elle avait été vieille, grosse et moche, je lui aurais dit de patienter ou alors, je l’aurais envoyée vider sa vessie ailleurs. Par contre, si cela avait été Jeannette, je lui aurais demandé d’essayer le truc de l’autre amateur de cannes à trous, se pincer les petites lèvres et de secouer ensuite).

– Ne prenez pas cette peine, ça ne me dérange pas, vous pouvez regarder, ce ne sera pas la première fois que vous aurez vu une femme se soulager n’est-ce pas ?

Ma salive se bloqua dans ma gorge, c’était vrai bien sûr, si le sol n’avait pas été aussi humide et si j’avais été plus intime avec elle et si… je lui aurais proposé de m’allonger sous elle afin de voir de plus prés la source merveilleuse au moment ou jaillirait son champagne, et pourquoi pas, le goûter.

Sylvette baissa son short, sa petite culotte en dentelle, et s’accroupit. Presque aussitôt, j’entendis le jet frappant violemment le sol. J’étais trop prés pour voir mais j’imaginais facilement le petit cratère fumant entouré de mousse. Mon sexe, qui, depuis que nous étions dans le sous-bois avait repris un peu de vigueur, se remit instantanément à la position « stiff ».

Sylvette, qui avait le visage à vingt centimètres de ma braguette ne pouvait manquer de le remarquer. Et elle le remarqua.

Dans un mouvement gracieux elle remonta sa culotte et son short, c’est sa culotte qui bénéficia de la dernière goutte que j’aurais tant aimé lécher. Elle descendit le zip de ma braguette, tira sur mon slip pour le faire descendre (eh oui, je porte un slip ! et alors !) Et sortit une bite violacée. Elle l’emboucha, enfin mis le gland dans sa bouche parce que même si ma queue est d’un modèle standard, toute déployée comme ça, ça fait quand même un morceau respectable. Elle avait laissé l’élastique de mon slip en travers de mes testicules, et tous les hommes savent combien cela peut être douloureux (je vois d’ici Niko, se les prendre dans la main pour se protéger). Je m’empressais donc de baisser mon pantalon et mon slip ensuite.

Imaginez la scène, moi, la bite au vent, le pantalon sur les chevilles, le slip au niveau des genoux, tenant un parapluie pour protéger de la pluie la dame qui lui prodiguait ses bontés. Je devais avoir l’air d’un major Thomson, il ne me restait plus qu’à lever le petit doigt de la main tenant le parapluie et un photographe passant par-là pour donner raison à Eddy.

Brusquement, je reçus un violent coup sur le nez (je vois les ricanements sur vos visages). Eh bien non, ce n’était pas le mari cocu qui venait venger son honneur. Tout simplement ma femme qui, en voulant se mettre en position de 69, m’a réveillé en me donnant un coup de genou involontaire.

J’ouvre les yeux, je n’y vois rien, il fait nuit noire, enfin presque, la chambre est juste éclairée par le cadran lumineux du radio réveil. Je distingue, je sens, ça sent la femme, la chatte de mon épouse est à cinq centimètres de mon nez. Elle me fait une superbe pipe comme elle seule sait les faire, elle aspire le gland tout en me branlant sachant très bien que mon pénis réagit positivement si on le serre à sa base.

J’essaie de lui rendre la pareille en lui titillant le clitoris du bout de ma langue. Ce traitement ne dure pas longtemps, et ma femme, sentant ma délivrance proche, se relève pour ne pas être éclaboussée par le liquide séminal. (comme c’est bien dit !) Je ne tarde pas à jouir. Elle s’assied alors sur mon visage et frotte ses petites lèvres sur les miennes. Elle ne tarde pas elle non plus, après plusieurs spasmes, à déverser une quantité impressionnante de cyprine qui me lubrifie la gorge.

Comme dans beaucoup de couple où la découverte n’est plus d’actualité, dix minutes plus tard nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre et je peux tranquillement terminer mon parcours. Je crois n’avoir jamais si bien joué, j’ai même réussi un trou en 1 sur le 17.

Justin

Note du webmaster : Ce texte n’est pas nouveau, puisqu’il date de 2001 ! Il avait mystérieusement disparu de notre base de données. Nous le republions donc..

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3 réponses à Sylvette sur le Green par Justin2

  1. Thomas78 dit :

    Marrant ces histoires de golf, j’avais bien aimé aussi celui de Frédérique
    Il y en a d’autres ?

  2. Biquet dit :

    J’ignorais que le golf était un sport propice aux rencontres coquines !

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