Souvenirs de Débauche « bonnes feuilles » par Phil Hirst

 

Souvenirs de Débauche
« bonnes feuilles »
par Phil Hirst

Ces  » bonnes feuilles  » sont une fiction, extraite du livre de Phil Hirst  » Souvenirs de débauche « , disponible aux éditions Média 1000 (La Musardine)

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Un jour, alors que je rentrais du travail, je surpris ma femme dans une tenue qu’elle avait l’habitude de porter au Jardin des Délices. Un short de caoutchouc moulant et fendu, un bustier de la même matière, troué exactement pour laisser passer ses seins. Elle s’admirait dans le grand miroir du salon, se caressait, faisait des exercices.

Je fis mine de ne pas être rentré. Je restai debout dans le vestibule. Elle faisait vraiment comme si elle était seule, alors que je savais pertinemment qu’elle avait entendu la porte, mes bruits de clés ou d’autre chose qui accompagnait mon arrivée.

Elle observait sa fente dans le miroir, avançait son bassin, s’accroupissait, s’asseyait et écartait bien ses jambes. Elle se caressait, se doigtait. Pour mon plaisir et sûrement pour le sien, elle prenait toutes sortes de positions. J’avais sorti ma bite et me branlais, constatais qu’elle ne prenait pas des cours de stretching pour rien. J’aurais voulu être à la place du miroir ou derrière elle pour l’observer, pour voir de quelle façon elle était en train de se faire jouir, triturant alternativement sa chatte et son cul. Mais je me gardais bien de briser le charme de cette surprise. Je restais silencieux, calmement assis sur le tabouret de l’entrée, à me branler et à prendre mon pied en tant que un voyeur.

Elle devait s’écarter de plus en plus maintenant, à la façon qu’elle avait de coller sa cuisse sur sa poitrine, de presser son sexe de haut en bas avec sa main libre et de remonter. Elle m’étonnait. Elle me plaisait vraiment. Je me déplaçai un peu pour apercevoir l’image dans le miroir. Sa main essayait d’entrer en elle, elle s’élargissait la chatte.

Les jambes écartées, penchée en avant, tournant maintenant le dos au miroir, elle poursuivait son jeu en gémissant. Elle s’écartait largement les fesses, se tordait le cou comme un animal étrange pour s’admirer, plantait ses mains en elle pour les y enfoncer, variant les positions de contorsionniste, se décrochant la tête. De temps en temps elle s’arrêtait, écartait ses fesses à se les arracher. Elle s’admirait la salope. Elle se faisait bander. J’aurais préféré être à ses côtés pour voir sa rosette distendue, sa chatte torturée mais je restai calme, en retrait.

Accroupie, la main pointée sous elle, elle s’ouvrait le trou.

– Louise, viens m’aider ! Louise ! Je crois que j’ai envie de chier !

Je faillis défaillir. Je ne m’appelais pas Louise mais connaissais très bien une Louise, la meilleure amie de ma femme. Je fus très jaloux une seconde, une demi-seconde jusqu’à ce que Louise apparaisse dans mon champ de vision. Elle était belle, cette salope de Louise. Terriblement bandante, excitante. Un corps parfait, de la maturité et une beauté singulière, et habillée faut voir comment : de hauts talons, des bas noirs, une culotte fendue et un soutien-gorge de dentelle soutenant ses seins lourds. Elle tenait à la main un bassin, un truc ancien en faïence que je ne connaissais pas. Je pensai qu’elles avaient fait les antiquaires, s’étaient promenées en délirant, en se parlant du plaisir de déféquer dans un tel objet. Aucune d’elles ne m’a jeté le moindre regard. Mon rôle semblait défini. Invisible. Voyeur.

Pour me faire plaisir, probablement, elle se mit de trois quarts par rapport à l’entrée. Louise tenait le bassin derrière elle. Mon amour s’écartait les fesses. Je voyais son petit trou gonfler, pousser, tenter de faire son œuvre et renter à l’intérieur. Alice gémissait, soufflait. Une petite merde sortit. Je ne tenais plus en place. Sans un mot, comme si j’étais toujours absent, je m’approchai. Debout, le pantalon aux chevilles, je me branlai en regardant ma femme pousser, essayer de faire sortir quelque chose encore. En regardant les formes généreuses de Louise aussi.

Comme cela semblait plus difficile que prévu, Louise se mit à l’aider. Affectueusement, en l’encourageant, en la réconfortant, en lui mettant un doigt dans le cul.

– Laisse-toi faire… ne bouge pas… détends-toi…

Louise enfonçait son doigt dans l’intimité d’Alice, le faisait tourner, et, en tournant, tirait de plus en plus fort sur le cul d’Alice, l’élargissait, le détendait, le massait à l’intérieur. Elle retira son doigt dont le bout était souillé, l’essuya entre ses fesses de ma femme, laissant une trace brune de sa chatte à son dos.

Elle lui tenait les fesses largement écartées et lui disait de pousser, que sa merde était là, qu’elle la sentait, qu’elle ne demandait qu’à sortir. Alice gémissait, pissait, éclaboussait le bassin et son trou s’ouvrait. Un gros rondin de merde bien dure l’ouvrait. De la taille d’un beau god, plus gros qu’une bite. Et Louise ne résista pas au plaisir de le caresser.

– Ne pousse plus maintenant.

Louise semblait experte en jeux scatologiques. Elle empêchait la grosse merde de sortir et de tomber dans la vasque.

– C’est bon te de voir enculée par cette grosse merde. Elargie. On dirait qu’un gros gode te défonce…

Louise semblait très excitée.

– C’est aussi une belle bite que je peux lécher, une bite qui t’encule et que je peux lécher.

Et, joignant le geste à la parole, elle se mit à passer sa langue autour de la grosse merde. Remontant vers son trou, passant sa langue autour du cul dilaté d’Alice, autour du rondin de merde qu’elle retenait avec sa main.

– Si ton petit mari était là, je suis sûr que ça l’exciterait, que ça lui plairait de te voir comme ça !

Elle n’avait pas tord. J’avais arrêté de me branler pour ne pas jouir.

La merde sortait doucement, sans effort, et Louise la récupérait dans sa main.

– Ne bouge pas…

Louise alla déposer la merde aux toilettes. Je continuais de ne pas exister, de prendre mon pied de voyeur.

– Tu m’as offert un beau spectacle tout à l’heure, chuchota Louise à Alice, mais tu peinais, tu me faisais souffrir. Me permets-tu d’arranger ça ?

Louise avait à la main un gros flacon de crème pour le corps. Elle le pointa à l’entrée du cul d’Alice, bascula l’objet la tête en bas et appuya, remplit Alice. Cette dernière gémit de plaisir. Elle devait sentir le liquide froid couler en elle, à l’intérieur, cela semblait beaucoup lui plaire, ou est-ce que c’est la suite qu’elle imaginait déjà ?

– Garde-le bien.

Une goutte blanche perlait à l’entrée de son cul.

Louise l’étala, massa son sillon fessier puis entra un doigt, un autre. Elle allait et venait, entrait profondément. Du liquide s’écoulait. Elle en étalait partout sur le superbe cul d’Alice. Elle était propre maintenant, le liquide était à peine beige. Louise reprenait. Alice gémissait, se faisait travailler le cul et adorait ça. Louise avait quatre de ses doigts enfoncés dans le cul d’Alice et elle poussait encore, et elle s’enfonçait, tournait. Le cul de ma femme était énorme et cela me plaisait. Louise était belle, excitante, toute à son affaire. Elle prenait son pied elle aussi. La pièce était remplie de plaisir, de bonheur. C’était sain et pas sulfureux pour deux sous, nous étions bien tous les trois, enveloppés dans ce nuage cotonneux, capiteux, apaisant.

Ma femme avait le poing de Louise planté dans le cul. Elle se frottait la chatte avec ses mains et prenait son pied, à genoux, s’enfonçant sur le poing de Louise, s’écartant la chatte. Louise ressortait, entrait, élargissait le cul d’Alice au maximum, puis restait tout au fond, bien au fond, lui repoussait doucement les chairs à l’intérieur, les massait, les réveillait. Alice prenait son pied, vraiment, pleinement, autant qu’avec moi et j’étais à nouveau jaloux.

Louise lui pilonnait le fond du cul, tournait son bras pour le chauffer encore plus, et Alice se secouait, s’enfonçait en criant, tournait elle aussi pour se faire reluire sur ce gode énorme et merveilleux.

– Tu aimerais bien que ton petit mari soit là, hein ? Tu aimerais bien sucer sa grosse queue pendant que ton cul est en train de jouir ?
– Oui… gémit Alice.

On m’appelait.

Alice me suçait avec avidité. Elle bavait. Elle était complètement excitée. J’étouffais ses cris avec ma queue, l’étouffais à la faire suffoquer. Je la tenais par les cheveux et lui baisais la bouche. La tension montait. Nous étions tous les trois en train de gémir, de souffler, de perdre la tête. Louise s’acharnait au fond du cul d’Alice et suait. Le nuage cotonneux nous enveloppait, nous harmonisait dans la jouissance. Nous nous mîmes à jouir à perdre haleine, en gueulant comme des animaux sous les encouragements de Louise.

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6 réponses à Souvenirs de Débauche « bonnes feuilles » par Phil Hirst

  1. Honorine dit :

    Extrême mais redoutablement excitant

  2. Mathilda Stenberg dit :

    « Et, joignant le geste à la parole, elle se mit à passer sa langue autour de la grosse merde. »
    Et ce n’est qu’un exemple ! Le pouvoir évocateur de ce texte est diabolique. Du coup ça donne envie de faire pareil ♥

  3. Muller dit :

    Uniquement pour amateur, mais j’en suis (pas tout le temps)

  4. Polka dit :

    Qui a dit que la scato devait toujours être vulgaire ?

  5. David dit :

    Comme quoi tout est question de talent, quand il est là, la scato extrême passe sans problème et se révele même très excitante. Longtemps après une première lecture le geste fabuleux de Louise léchant la merde d’Alice à hanté mes nuits.

    • Claire dit :

      Effectivement le passage que tu évoques à une force érotique extraordinaire, en le lisant je m’identifais à Louise, evidemment

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