Souvenir érotique de vacances par Alain0123

Souvenir érotique de vacances
par Alain0123

J’ai eu peu d’expériences en tant que soumis mais l’une d’entre elles m’a retourné et laissé dans un état indescriptible. J’y repense souvent et donnerais beaucoup pour revivre un moment aussi intense.

C’était en août 2007 pendant les vacances, je campais dans le sud de la France (je suis adepte de camping naturiste) et fis la connaissance d’un couple anglais très sympathique, Ben et Mary, qui reconnu très rapidement mes tendances au libertinage. Après avoir beaucoup discuté et un peu bu aussi, ils me firent part de leurs désirs et fantasmes. Ils étaient dominateurs et aimaient s’adonner à l’humiliation envers de jeunes inconnus. Ni une ni deux, j’attrapai la perche qui m’était tendue et nous nous retrouvâmes peu après dans leur chambre d’hôtel.

A peine arrivés sur place Mary, qui était une plantureuse femme de 25 ans aux longues jambes blanches et dont les cuisses et le bassin étaient légèrement potelés, m’ordonna de me déshabiller sans attendre. Mon sexe était déjà bandé d’excitation, il faut noter que je n’avais plus fait l’amour depuis près de deux semaines.

Elle me fit ensuite m’agenouiller et retirer ses shoes dans lesquels ses pieds avaient macérés toute la journée. L’odeur qui émanait de ceux-ci me mirent dans un état d’excitation extrême. J’adore sentir et m’occuper des pieds d’une femme. Ses pieds à elle sentaient très fort et je dû me retenir pour ne pas me jeter dessus pour les lécher. Elle les mit sous mon nez pour que je les sente bien puis me dit de la lécher entre les orteils puis de les frotter tels quels contre mon visage. Elle s’agenouilla ensuite en face de moi et me fit la déshabiller entièrement. Elle sentait fort la transpiration car nous avions passé la journée à trekker dans les sentiers de montagne. Ses aisselles étaient particulièrement odorantes et la saveur de leur duvet naissant plaqué de sueur lorsqu’elle me les fit lécher laissa sur ma langue un goût très fort qui ressemblait assez à du jus de boudin. Mais j’aimais cela car je savais et je voyais que cette femme était excessivement propre en temps normal et que son odeur était naturelle et pas le fruit d’un quelconque manque d’hygiène. Ce qui alors m’aurait coupé tous mes effets !

Ben restait assis dans le sofa à côté de nous et se masturbait en nous regardant mais il ne participait pas et restait silencieux.

Ils semblaient tous deux savoir exactement ce qu’ils voulaient et cela devenait même assez inquiétant. La tension créée par cette situation ajoutait à mon plaisir une dimension supplémentaire.

J’étais comme envoûté par ce jeune couple sympathique avec qui j’avais passé des journées entières à me balader dans la montagne et qui devenait subitement mystérieux.

Lorsqu’elle fut nue et offerte elle me prit par le menton et approcha sa bouche de la mienne. J’entrouvris instinctivement les lèvres pour recevoir les siennes et ne reçu que sa salive qu’elle cracha avec vigueur sur ma langue. La sensation était fraîche et je bus et me pourlécha de celle-ci avec délice. J’apprenais à me découvrir. Je n’étais nullement dégoûté, bien au contraire !

Elle se releva ensuite et approcha sa vulve entrouverte de ma bouche. Ses poils étaient coupés courts et une légère effluve émanant de son sexe non lavé depuis le matin finissait de me mettre dans tous mes états.

Je sortis ma langue et caressa doucement son clitoris. Ce qui lui fit beaucoup d’effet. Elle me dit de la rentrer bien au fond de son vagin et de la nettoyer avec application. Elle n’eut pas à le répéter.

Ma langue fouillait le moindre centimètre carré de peau juteuse qu’elle mettait à ma disposition lorsque je sentis un liquide chaud et abondant envahir ma bouche. Et ce n’était pas de la mouille! Elle m’ordonna de rester ventousé contre son sexe et de tout boire au fur et à mesure que ça coulait. Le goût était âcre et sucré à la fois mais j’obéis de mon mieux. Je ne fus pas capable de tout boire mais une partie tout du moins.

Mon visage et mon corps étaient maculés de pisse ainsi que ses jambes et ses pieds qu’elle me fit lécher soigneusement afin de ne rien gaspiller.

Je n’en pouvais plus tant la situation m’excitait au plus haut point.

Ben se leva alors et se dirigea vers nous. Il pointa sa queue raide juste sous mon nez, et Mary m’ordonna de le nettoyer à son tour, en commençant par les couilles. Je léchai avec application ses attributs aux dimensions plus qu’honorables, remonta vers sa hampe pour lui décalotter le gland qu’il avait très odorant, je lui titillai savamment son frein et les pourtours de son prépuce pour finir par le gober tout entier.

Lorsqu’il fut nettoyé Mary se retourna et demanda à Ben de lui écarter les fesses afin que j’y enfonce ma langue au plus profond. Son cul sentait bon et était très propre malgré que lui aussi n’était plus lavé depuis le matin. Sans doute avait-elle trouvé le temps de faire quelques ablutions pendant la journée.

Elle prit ensuite la queue de son mari et la fourra en elle sans la moindre délicatesse. Elle semblait pressée. Pressée de le faire jouir.

Il la prit en levrette. Tous deux debout au dessus de mon visage. Elle les bras appuyés contre la table du petit salon. Le spectacle de son sexe allant et venant en elle frénétiquement était suffisant pour que je prenne l’initiative de me mettre à les lécher tous les deux pendant leurs transports amoureux.

Au bout de quelques minutes il déversa en elle toute sa semence, et je pouvais admirer les spasmes de sa queue qui se vidait progressivement; c’était magique. Je sentis alors Mary maintenir ma tête contre elle alors que son mari se retirait doucement. Je compris très vite où elle voulait en venir.

Je plaçai ma bouche contre sa vulve et sentis couler tout le sperme de Ben au fond de ma gorge. Je sortais ma langue au maximum pour ne rien perdre de ce liquide chaud et visqueux. Elle me dit de ne pas l’avaler. Trop tard, une partie était déjà dans mon tube digestif mais elle se vida encore et je gardai le reste bien précieusement comme s’il eut s’agit d’un trésor incas.

Je pensai à ce moment que Ben aussi avait dû attendre un sacré moment avant de l’honorer; vu la quantité de sperme qu’il a laissée dans son ventre, j’ai cru un instant que la source ne se tarirait pas.

Ensuite elle se retourna, approcha à nouveau ses lèvres de moi et introduisit sa longue et fine langue comme un serpent dans ma bouche inondée.

Elle m’embrassa très langoureusement et après avoir joués tous deux avec le breuvage, m’invita à tout lui verser dans la bouche afin qu’elle puisse s’en délecter jusqu’au bout puis elle avala le tout sans autre forme de procès. Elle revint ensuite me lécher à nouveau les lèvres puis tout le visage et descendit vers mon sexe bandé à craquer.

Nous nous retrouvâmes en 69 et tandis qu’elle me pompait vigoureusement je profitai du peu de temps qu’il me restait à tenir pour me régaler une dernière fois de sa chatte dont l’entrecuisse sentait encore la sueur et la pisse séchée de tout à l’heure. Il n’en fallut pas plus pour me faire exploser à mon tour.

Je ne me souviens pas avoir joui aussi fort de toute ma vie. Je crus également que je n’en finirais pas de jouir tant la force et la chaleur de sa bouche autour de mon organe enfin libéré étaient enivrants.

Elle ne perdit pas une goutte de ma semence et le suça encore de longues minutes après l’avoir contenté, jusqu’à ce qu’il se retrouve flasque et ramolli contre sa langue. Alors seulement elle daigna le relâcher.

Nous passâmes le reste de la soirée à discuter de tout et de rien mais nous ne refîmes pas l’amour, malgré mon désir qui naissait à nouveau. Elle voulait garder un souvenir intact de ces instants qui furent magiques pour eux aussi. Ils m’avouèrent ne jamais l’avoir fait de cette façon et avec autant de plaisir; et je les crois.

Nous firent nos adieux non sans avoir échangé nos adresses et je reçois encore quelquefois des nouvelles de ce jeune couple charmant. Hélas la vie et les distances font que nous ne nous sommes pas encore revus.

Mais j’espère bien que l’occasion se présentera à nouveau de nous réunir et recréer un contexte aussi envoûtant que celui que nous avons vécus.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Souvenir érotique de vacances par Alain0123

  1. Harivel dit :

    Les pieds sentent fort mais le cul ne sent rien… ça c’est du réalisme ;(

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *