Souvenir d’un singulier et inconvenant fantasme par Patrik

Souvenir d’un singulier et inconvenant fantasme par Patrik


Attention : texte contenant des passages scatos

« Je ne déteste pas écrire sur des pratiques pas très communes, ce qui ne signifie pas fatalement que j’en fasse la promotion.
Ne pas confondre narrateur et auteur (ce qui serait assez difficile, vu le contexte).
Bonne lecture 🙂 « 

Fin du chemin

Je suis arrivé au bout du chemin, ce n’est plus qu’une question de jours, peut-être d’une ou deux semaines dans le meilleur des cas. Allongé sur ce lit d’hôpital, avec plein de tuyaux et de câbles qui me relient à diverses machines blafardes, je passe le temps à me souvenir.

Je n’ai pas à me plaindre de ma vie, elle fut bien remplie, même s’il y a bien des choses que j’aurais aimé faire, et aussi diverses choses que je n’aurais pas dû faire. Il est facile de refaire le chemin parcouru quand on est déjà loin devant.

Je me souviens à présent d’un fantasme que j’ai pu concrétiser. C’était en fin de matinée, je crois… Je me souviens très bien que Valérie était habillée d’un haut noir très collant et luisant, moulant admirablement bien son torse voluptueux. Par devant, la fermeture éclair dorée est largement ouverte sur sa belle poitrine opulente. À son cou, un collier canin tout aussi sombre. Ses jambes sont gainées de bas de même couleur. Entre haut et bas, rien, que sa chair blanche, pour mon plus grand plaisir !

Oui, je me souviens bien, très bien… Je retourne en pensée vers cette belle période qui date de la moitié de ma vie…

Flash-back

Ce dimanche matin de mars, après le petit déj, Valérie (ma femme) et moi vaquons à diverses activités avant d’aller prendre un bon bain chaud. Nous avons nos petites habitudes, et le dimanche matin, quand nous ne sommes pas de sortie, c’est direction la salle de bain pour un bain plein de mousse. Valérie est capable de rester dans l’eau chaude, voire bouillante, à batifoler durant des heures et des heures ; c’est hallucinant, mais si ça lui convient ainsi, pourquoi pas.

Pour l’instant, Valérie s’est enfermée dans la chambre à coucher, et quand la porte est close, ça signifie que je ne dois pas venir pointer le bout de mon nez. Elle essaye peut-être diverses tenues pour la semaine qui vient. Parfois, elle laisse la porte ouverte, pour que je puisse me rincer confortablement et agréablement l’œil. Même si ça fait bien des années qu’elle et moi sommes ensemble, je ne me lasse pas de ses courbes.

Pour ma part, je suis vautré sur un tapis du salon en train de massicoter diverses feuilles bien épaisses, afin de me confectionner un petit prototype de jeu de cartes. Dommage que je n’aie pas de perforeuse à coin arrondi, l’illusion aurait été presque parfaite. Mais j’ai la flemme de découper chaque coin aux ciseaux. Ce proto reste largement jouable ainsi.

J’entends la porte de la chambre s’ouvrir, et Valérie venir vers le salon. Elle ne déteste pas me faire admirer ses diverses tenues afin que je dise mon avis, même s’il paraît que je n’ai pas beaucoup de goût en matière de vêtement, comme la plupart des hommes, dixit ma compagne. J’avoue que, même vêtue d’un sac à patates, je la trouverais très sexy.

Quand je la vois débarquer dans le salon, j’ouvre de grands yeux. Oui, je m’attendais éventuellement à une jolie robe seyante ou à une tenue gentiment sexy, mais absolument pas à ce que je suis en train d’admirer !

– Eh bé ! Que me vaut l’honneur de cette tenue si excitante !
– Pas touche !

Toujours vautré au sol, je proteste à ma façon :

– Ben voyons ! Tu te balades sous mon nez, le cul et la chatte à l’air, dans un top noir ultra-moulant, et les jambes gainées de bas noirs, et il faudrait que je reste de marbre ?
– Pff, je parie que ta zigounette est déjà raide comme le marbre !
– Ah ça, c’est clair ! Et en plus, t’es perchée sur des talons-aiguilles !
– Autant faire pute jusqu’au bout, non ?
– Je ne te contredirai pas, ma belle pute à moi ! Je peux au moins avoir le plaisir de prendre quelques photos ?

Elle me toise, sa chatte dénudée à la hauteur de mes yeux :

– Même si je te disais non, tu en prendrais quand même, je me trompe ?
– En catimini, sans que tu t’en rendes compte… pour respecter les formes…
– Oui, avec ton stylo-espion ou ton porte-clé zéro-zéro-sept ?
– Ce furent des bons achats, ma chérie…
– Je sais… je sais…

Puis elle s’empare d’un journal, et commence à en étaler toutes les feuilles sur le sol, en une double couche. Étonné, je la regarde faire. Je finis par demander :

– Tu as prévu de faire de la peinture ?
– Comme c’est bientôt ta fête, enfin, celui de ton pseudo, j’ai décidé de te faire un petit cadeau. Profites-en bien, car je ne referai pas ça tous les jours, loin de là.
– Je te remercie d’avance pour le petit cadeau, ma chérie. Même si j’ignore toujours de quoi il en retourne.

Elle pose la dernière feuille au milieu du tas, puis elle s’adresse à moi, avec un grand sourire :

– T’inquiète, mon Loulou ! Je crois que tu t’en souviendras toute ta vie !
– Je ne demande qu’à te croire, ma Louloute…

Tandis qu’elle vérifie son assemblage, j’en profite pour saisir mon appareil-photo numérique afin d’immortaliser ce qui va venir dans quelques instants. Ma femme ne déteste pas me faire des surprises, tout comme moi qui ne déteste pas lui en faire souvent. J’en profite pour la shooter sous tous les angles, elle se laisse faire deux minutes, puis elle m’ordonne :

– Bon, maintenant, quoiqu’il arrive, tu ne bouges pas de ton tapis, d’accord ?
– D’accord, ma chérie.

Quoiqu’il arrive ? Elle a prévu de faire quoi ? Pour me donner un début de réponse, Valérie se plante sur le tas de feuilles de papier, jambes en V, mains sur les hanches, dans une position dominatrice qui rendrait fou de bonheur la plupart des soumis et autres lopettes. De ma position assise sur le tapis, j’ai une vue imprenable sur son entre-jambe, et aussi sur les molles masses de ses seins dévoilés par une fermeture-éclair bien abaissée. Bien sûr, je serais un idiot fini de ne pas prendre encore quelques photos !

Puis elle se retourne :

– T’en penses quoi de mon dos, mon Loulou ? Tu aimes mon dos ?
– Hmmm ! Que du bien ! J’adore me vautrer dessus ! Et le lécher de haut en bas !

Je me déchaîne avec mon appareil-photo. Elle caresse légèrement ses jambes :

– Et mes gambettes, tu aimes mes gambettes ?
– Nature ou nylon, j’adore tes gambettes ! Elles sont à croquer !

Je shoote, je shoote, je shoote encore ! J’espère avoir encore assez de mémoire sur la mini-carte. Puis elle désigne son magnifique popotin :

– Et mon cul, tu aimes mon cul ?
– Je vénère ton beau gros cul, j’en suis fou !

À ma grande surprise, elle écarte ses fesses, dévoilant une entrée sombre considérée comme interdite par certains :

– Et mon petit trou, tu aimes ma rondelle ?
– Waow ! J’adore venir l’envahir !
– Tu aimes beaucoup mon petit trou, mon Loulou ?
– Et comment ! Je te le prouve très souvent !

Sans me répondre, elle s’accroupit lentement. Je mitraille son corps, ses fesses surtout. Son entrée des artistes est à présent à la hauteur de mon regard étonné. Je ne comprends pas bien où elle veut en venir. Mais je sais que je ne dois pas bouger, c’est dans le contrat implicite qu’elle et moi avons en ce moment.

Elle reprend la parole :

– Je vais exaucer un de tes fantasmes, mais ne m’en demande pas plus, ok ?
– Compris, ma chérie…

Elle est à présent complétement accroupie, ses talons-aiguilles faisant remonter son cul joufflu de dix centimètres. Valérie s’appuie posément sur ses mains. J’attends la suite. J’ai bien une petite idée mais je n’y crois pas trop, ce serait trop beau !

C’est alors que je vois sa rondelle s’évaser distinctement, petit à petit, pour voir surgir un petit serpent qui passe sa tête puis qui s’extirpe doucement hors de sa cavité. Fébrile, j’immortalise tout ceci. Après quelques torsions à droite et à gauche, comme pour découvrir son nouvel environnement, celui-ci fléchit lentement vers le sol jonché de papier.

Le contraste entre fesses blanches et serpent sombre est surprenant ! Moi, je suis totalement fasciné. Oui, c’est un magnifique cadeau qu’elle me fait. Je n’aurais jamais cru qu’elle ose le faire sous mes yeux, ainsi de la sorte, de façon délibérée.

Puis une fois la queue sortie, le petit serpent s’aplatit sur le papier, se lovant en spirale.

Je suis fébrile, en sueur, rien qu’à cette vue. Il n’y a pas à dire, mais l’interdit, le biscornu, le peu conforme sont très excitants, même s’ils ne sont pas de nature à ce qu’on clame leur adoration sur tous les toits. Ces photos resteront cachées à jamais…

Un peu rougissante, Valérie tourne la tête vers moi :

– Alors, tu aimes, mon gros cochon ?
– Oh que oui ! Je n’aurais jamais cru que…
– Au moins, je suis certaine que mon petit cadeau te plait…
– Ah ça ! Tu peux le dire !

Elle se concentre à nouveau, puis un second serpent plus copieux pointe le bout de son nez ou de sa queue. Avec lenteur, il s’extirpe lui-aussi de sa caverne, descendant majestueusement vers le sol, royal tel un python qui aime se faire admirer et désirer.

Il se love à son tour, écrasant sans pitié le premier arrivé. Admiratif, je m’exclame :

– Oui, ma chérie, tu viens de me faire là un magnifique cadeau !
– Je savais que ça te plairait. Comme tu ne m’as pas trop bassiné avec ton fantasme, j’ai décidé de te faire plaisir, même si je pense que t’as quand même de drôles d’idées !
– Je ne te remercierai jamais assez, ma Louloute !
– Et après, tu te plaindras que je ne suis pas une bonne épouse !

Je souris. Timide, un nouveau petit serpent s’aventure lui-aussi au dehors. Il commence finement, puis soudain, il grossit singulièrement de volume. J’entends distinctement ma femme peiner. Sa rondelle s’agrandit encore plus, nettement plus que quand je m’enfonce en elle. Je me dis alors que cette belle salope pourrait facilement accueillir deux belles verges en elle !

Très lentement mais sûrement, l’anaconda vient prendre l’air au dehors. Une fois de plus, le contraste entre celui-ci et les blanches fesses est prodigieux ! Un beau cul pâle magnifié par les bas noirs ! Vue la grosseur de ce qui sort, j’en viens aussi à penser qu’un fin bras de jeune-fille pourrait aller allègrement fourrager dans les sombres profondeurs de ma dévergondée. C’est une option à laquelle il faudra que je songe…

Un nouveau fantasme semble en chasser un précédent qui s’accomplit…
Au final, on n’en finit jamais…

Comme si le temps était suspendu, l’anaconda semble faire du sur-place. Quasiment à l’horizontale, face à mon visage, il me nargue. Je serais bien tenté de le saisir entre mes mains pour l’extirper définitivement de son refuge, mais je m’abstiens, me souvenant de la consigne de ma femme.

– Aaah ! Enfin !

C’est pratiquement un cri de victoire et de jouissance qui sort de la bouche de Valérie quand le gros serpent continue sa progression hors d’elle. Lourdement, celui-ci chute au sol, se brisant en deux, accompagné de quelques fins rejetons décidés à suivre leur aîné !

J’en attrape des suées chaudes, tandis que ma femme s’exclame :

– Eh bé ! Ça n’a pas été du gâteau, celui-là ! Putain que ça fait du bien !

Elle soupire bruyamment, récupérant de son évident effort. Puis prestement, elle se relève, elle prend ma main et m’entraîne vers la chambre à coucher. Docilement, je la suis. Aussitôt arrivée, elle s’agenouille sur le lit, me présentant son magnifique cul dont la rondelle est restée encore un peu ouverte, puis elle lance d’une voix rauque :

– Baise-moi ! Fais-moi sentir ta putain de bonne gosse bite !

Il est inutile de me le dire deux fois ! C’est rare qu’elle emploie des gros mots, mais je découvre que c’est très excitant de les lui entendre dire ! Après l’avoir basculé en mode vidéo, je pose mon appareil-photo sur la petite commode. Puis, sans préliminaire, j’enfonce ma verge bien raide dans son petit trou qui n’attendait que ça. Valérie pousse un long gémissement de soulagement et d’extase.

Ce n’est pas la première fois que j’ai le bonheur de sodomiser ma femme, j’adore cette pratique, mais c’est la première fois que je sens que c’est différent. La sensation est forte, puissante, extraordinaire ! Je suis calé au chaud dans les entrailles interdites de ma salope adorée, ressentant chaque millimètre de ses profondeurs !

Puis je commence mes va-et-vient. Excitée à fond, Valérie accompagne mes coups de rein par d’amples mouvements de bassin, ce qui ne facilite pas la maîtrise de ma retenue ! Si je ne me contenais pas, j’aurais déjà envoyé la totalité de toutes mes réserves de sperme dans ce magnifique cul dans lequel je suis béatement enfoncé !

– Oh oui !! Vas-y ! Ouiii !

Tu veux en avoir, ma salope ? Tu vas en avoir ! Il n’y a pas à dire, je coulisse avec facilité dans ce rectum bien chaud, allant et venant, occupant tout l’espace que ma femme m’offre, agrippé fermement à ses amples hanches.

Valérie s’effondre un peu plus sur le lit, m’offrant encore plus sa croupe dans laquelle j’arrive pourtant à aller si loin. Je découvre alors qu’il m’est possible de pousser l’exploration plus profondément dans les ténèbres. Je m’y emploie aussitôt !

Soudain, des doigts fébriles effleurent mes testicules. Ma cochonne de Valérie est en train de se masturber goulûment, alors je décide de forcer mon avantage en la pistonnant de plus belle, férocement, cruellement. Elle gémit longuement, mais elle ne se dégage pas pour autant de mon pal d’airain qui la perfore !

– Ah quel pied de t’enculer comme ça !
– T’es qu’un gros salaud !
– Oui mais toi, t’aimes les salauds qui t’enculent !

Quand on se vautre dans la débauche, lorsqu’on est proche de la jouissance, il est rare qu’on invente des phrases immortelles pour la postérité ! Et encore, nous aurons pu être plus cru !

Quelle extase que de plonger dans ce cul incongru ! De coulisser en lui de la sorte ! Je ne sais pas ce que donnera la vidéo, j’espère que j’aurais assez de mémoire pour tout voir du début à la fin, mais j’aurais beau la revoir trente-six fois, jamais ça n’atteindra la dixième de ce que je peux ressentir actuellement. Jamais !

Je plonge en elle comme un forcené, j’en ressors comme un fou ! Je me sens glisser sur la pente de la démesure, vers les bas-fonds de la turpitude, mais je m’en fous ! Je veux m’éclater et je veux aussi éclater ce bon gros cul qui m’a offert un cadeau inestimable que je n’aurais jamais cru recevoir un jour ! C’est ma façon insensée de le récompenser !

Puis j’explose ! Totalement ! Définitivement !

Je pousse un long hululement rauque, auquel répond un profond râle de plaisir féminin. Je me perds, je m’enlise, je sombre dans des ténèbres chaudes et obscures, les yeux dans les étoiles !

Nous sommes tous les deux allongés sur le lit, enchevêtrés l’un dans l’autre. Valérie émerge la première. Elle regarde longuement autour d’elle comme si elle ne savait plus où elle se trouvait, puis elle me dévisage tandis que j’essaye de reprendre mes esprits. Soudain, elle s’exclame :

– Oh putain de putain ! On a fait un truc vraiment dégueulasse !

Puis elle jette un coup d’œil à mon cinquième membre, elle fait sa dégoûtée :

– Oh la vache ! Nettoie-moi tout de suite ta bite ! C’est vraiment pas un spectacle !
– Ok, ok… mais avoue qu’on a aussi fait un truc vraiment jouissif ! Non ?
– Ah ça… j’en ai encore des papillons, c’est dingue ! Je vais finir par croire que plus c’est crade, plus c’est le pied !

C’est souvent une évidence. Tout en m’essuyant consciencieusement avec un essuie-tout, je réponds, cherchant à la dédouaner un peu, car je ne tiens pas qu’elle se mette en tête une fausse honte qui nous serait ensuite préjudiciable :

– Il y a un peu de ça, ma chérie… et puis… dans le feu de l’action…
– En tout cas, je t’interdis de parler de ça et de faire voir ça à quiconque !
– Pas même à toi ?

Elle a un sourire crispé avant de répondre :

– Arrête de jouer les cons ! Bon, on l’a fait, c’est très bien… peut-être qu’on le refera, mais pas tout de suite. Maintenant que j’ai accompli ta petite fantaisie, passons à autre chose, si tu veux bien…
– De pire ?
– Je ne vois pas ce qui pourrait être pire !

Je me penche sur son oreille, et je lui murmure quelques mots. Elle rougit :

– Ah oui… en effet… on peut faire pire…

Je laisse ma petite phrase vagabonder dans sa tête. Peut-être qu’un prochain jour, j’aurais droit à un cadeau tout aussi excitant que celui d’aujourd’hui !

Come-back

Ah quel souvenir ! Mon corps usé en ressent encore toute la jouissance, toute la puissance. Autour de moi, j’entends les machines blafardes qui bruissent. Je veux repartir à nouveau dans le passé, y retrouver ma chère femme, y retrouver celle avec qui j’ai parcouru tant de chemin, main dans la main.

– Ah Valérie, pourquoi es-tu partie sans moi ?

J’ouvre les yeux, je ne vois que du blanc partout, ainsi que des tuyaux et des câbles. J’ai envie d’arracher tout ça, de partir loin d’ici, mais je suis trop faible pour lever la main. Alors, je repars dans mes souvenirs, pour tenter de les revivre encore plus insensément, encore plus, toujours plus, jusqu’à ce que mon corps usagé m’abandonne, jusqu’à ce que je puisse rejoindre ma Valérie, ailleurs, quelque part, je ne sais pas où…

Oui, rejoindre ma chère Valérie dans une nouvelle et éternelle cavalcade effrénée…

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4 réponses à Souvenir d’un singulier et inconvenant fantasme par Patrik

  1. Stablinski dit :

    Intéressant, bien écrit, agréable à lire mais ce récit a toute fois quelque chose de déprimant

  2. Pilouface dit :

    Ce récit est troublant…en un seul mot…quoique…

    • Patrik dit :

      Je ne déteste pas écrire sur les sexualités qui s’éloignent du chemin vanille.
      De plus, entre lire et faire, même s’il y a 3 lettres en commun, il y a une grosse nuance.
      Cordialement 🙂

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