Séjour aux sports d’hiver La culotte de ma marraine par sexnotaboo

Séjour aux sports d’hiver
La culotte de ma marraine
par sexnotaboo


Cela se passe au sport d’hiver, avec ma cousine Marie, c’est aussi ma marraine. Elle est riche, belle, et m’avait promis, si je réussissais mes examens, de m’offrir deux semaines aux sports d’hiver, elle y va chaque année et sait que j’adore ça.

Dans un hôtel luxueux, dont je tairais le nom, nous partageons le même studio, avec deux lits séparés, une kitchenette et une salle de bain avec toilettes séparés. D’initiative, elle prend le grand lit pour deux personnes me laissant le petit lit.

Nous nous éclatons sur les pistes et rapidement, Marie se fait draguer par les moniteurs, guides et autres skieurs. Il faut dire que moulée dans sa combinaison de ski elle est vraiment superbe ma Marraine, 1m74, 65 kg, 95C 78, 85.

Le soir, quand nous sortons elle est super sexy, mini robe moulante, bas, P.J. String etc… J’avoue que je suis troublé par son corps magnifique. Dans le studio, elle ne se gêne pas pour déambuler en petite tenue ou même nue, elle se déshabille complètement pour se changer, devant moi sans la moindre hésitation. Bien sûr je ne m’en plains pas et me régale de la mater. Ce qui parfois me provoque des érections. Elle s’en rend compte bien sûr, et me fait des remarques complices telles que :

– « Tourne la tête petit vicieux ! Ne regarde pas, ça va t’empêcher de dormir ! Où regarde ailleurs petit salaud ! »

Ou parfois lorsque je suis dans les toilettes :

– « Quand tu auras fini de te masturber en pensant à ce que tu as vu tu me laisseras la place, je dois faire pipi »

…et autres gentillesses du même style.

Un soir, vers minuit, je rentre seul, elle est resté avec le mec qui l’a draguée toute la soirée, un certain Patrick. Je décide de prendre une douche pour me débarrasser de l’odeur de cigarette et de la transpiration d’avoir danser. Je suis crevé et je n’ai qu’une envie c’est d’aller dormir le plus vite possible, mais dans la salle de bain, j’aperçois les dessous de la journée que Marie a laissés. Je les prends, les renifle longuement, et les enfile. En me regardant dans la glace de la chambre, j’ai une superbe érection, je porte son string, et ses collants, j’ai alors l’idée d’aller fouiller dans ses affaires pour essayer d’autres choses. Dans ses affaires propres, je trouve porte-jarretelles, bas, culottes fendues et autres strings tous plus sexy les uns que les autres, j’essaye, j’enfile avidement tout ce que je peux. Je ne tarde pas à me masturber pour éjaculer dans le string qu’elle avait porté dans la journée. Je range soigneusement le tout à l’exception du string souillé que je garde sur moi pour dormir. Je suis couché depuis une bonne demi-heure sans trouver le sommeil, lorsque j’entends chuchoter. La porte de la chambre s’ouvre. J’entends Marie à voix basse :

– « Allez ! Viens ! Il dort, je le connais, à peine est-il couché qu’il s’endort, ça fait plus de deux heures qu’il est remonté »

. L’autre voix :

– « Tu es sûre ? »
– « Oui puisque je te le dis, allez viens quoi !!! »

Ils se couchent en silence puis j’entends des éclats de rires étouffés. Mes yeux s’étaient habitués à la pénombre, je distingue bien le contour de leur corps nus en ombres chinoises. Peu à peu ils s’excitent et oublient ma présence Marie, surexcitée s’éclate :

– « Oui salaud, vas-y bourre moi bien profond, je suis en chaleur baise moi fort »

Lui répond :

– « Tu es une bonne salope toi ! Suce moi la queue, que je me vide les couilles dans ta bouche de pute »

Elle :

– « Oui, oui, je suis ta pute fait de moi ce que tu veux, défonce moi les trois trous, donne moi ton jus de couilles, éjacule moi partout. »

Je bouge dans mon lit pour me branler car je bande comme un fou dans le string de ma marraine qui se fait tirer devant moi. Le mec s’arrête net, en disant :

– « Ecoute il se réveille »

. Elle :

– « Non il se retourne ! »

Elle halète :

– « Baise moi, ne t’occupe pas de lui ! Même s’il se réveille, il n’aura qu’à profiter du spectacle, il a l’âge, d’apprendre, ça l’excitera il n’aura qu’à se branler. »

Quelques minutes plus tard elle criait sa jouissance. Après avoir joui tous les deux, ils se calment et se mettent à parler à voix basse. Le mec n’est pas tranquille, il s’inquiète toujours de savoir si j’ai pu entendre ou voir. Marie rit et l’embrasse :

– « Mais ne t’en fait pas, même si c’était le cas, c’est de son âge d’apprendre, et je suis sûre que çà t’as excité d’y penser, le risque d’être surpris ! Non ? »

Ajoutant :

– « Moi en tout cas, ça m’excite vachement. Imagine qu’il ait tout entendu, demain quand il nous regardera on se posera la question de savoir s’il a entendu ou non ? C’est excitant non ? Mais rassure toi, regarde… »

Elle allume, se dirige vers mon lit totalement nue :

– « Regarde, il dort à poing fermés, et rien ne peut le réveiller, il a toujours été comme çà. »

Là dessus, pour prouver ce qu’elle dit, elle soulève la couverture, me dévoilant nu à l’exception de son mini string ficelle. Je feignais toujours de dormir, elle pouffa de rire, puis s’adressant à son amant.

-« Tu vois, maintenant c’est nous qui avons vu quelque chose qu’il n’aimerait pas qu’on sache. »

Elle me recouvrit et retourna se coucher en gloussant  »

– « Ce cochon quelle petite salope me piquer mes culottes »

Le lendemain matin, Cette salope s’est levée la première et en ouvrant tout grand les rideaux, inondant la pièce de lumière.

 » -Allez, debout fainéant, on y va ! »

J’étais coincé dans mon lit avec son string. Elle se rendit dans la salle de bain, et me demanda :
– « Tu n’as pas vu mon string ? Je suis pourtant sûre de l’avoir laissé là dans la corbeille. »

En ressortant elle parlait seule :

– « Je voulais le laver pour le mettre à sécher avant de sortir »

Et revenant à la charge :

– « Tu ne l’a pas vu ! Ou ramassé avec tes affaires ? »

En fouillant d’autorité le tas de vêtements au pied de mon lit.

– « Non », Répondis-je, « Je ne l’ai pas vu »

Elle reprit :

– « Ce n’est pas grave on verra ça plus tard il ne peut pas avoir disparu tout seul »

Et là dessus, elle s’approche du lit en me disant :

– « Allez, debout fainéant, les pistes n’attendent que nous ! »

Tout en tirant la couverture, me découvrant totalement. Cette salope savourait ma honte :

– « Tiens, tiens, à part çà tu ne sais pas où il est ? Sale petit vicieux ! Tu t‘es bien régalé cette nuit ! tu as tout vu et tout entendu, hein ? Petit salaud ! »

Je tentais de bredouiller une vague excuse :

– « Non, non, je sais pas ce que tu veux dire, je dormais déjà quand vous êtes rentrés, tu sais bien que je dors comme une pierre »
–  » Menteur ! »

Le mot claqua comme un coup de fouet, »

– « Tu me prends pour une idiote, la trique que tu avais cette nuit quand j’ai soulevé ta couverture ne venait pas d’un rêve érotique, Je me demande ce que vont dire tes parents lorsque je vais leur raconter. »

La situation humiliante dans laquelle je me trouvais m’excitait, et mon sexe gonflait malgré moi. Marie s’en amusait :

– « Mais c’est pas vrai ? Je rêve ! Ça l’excite ce cochon, allez sors du lit ! Petit salaud que je te vois bien avec mon string de femelle »

Je ne demandais pas mon reste et me dirigeais vers la salle de bain, je l’entendis s’exclamer :

– « Ça te va bien tu sais, tu as un joli p’tit cul ma salope »

Elle me suivit dans la salle de bain et en me montrant les dessous qu’elle avait portés pendant la soirée, elle me dit :

– « Ça te plairait d’essayer ceux-ci ? »

Je la regardais incrédule, elle me souriait :

– « N’ai pas peur, ça restera entre nous, tu sais tu n’es pas le premier, ni le dernier garçon à aimer les dessous sexy de femme, essaye-les si ça te dit »

Elle me les tendait avec un sourire complice. Il y avait un body-string,-porte-jarretelles, et des bas résilles. J’hésitais, mais en rougissant je tendais la main, elle m’encourageait :

– « Allez, vas y quoi, n’aie pas peur ! Réalise tes fantasmes, y a pas de mal à ça ! Tu sais en réalité, ça me plaît bien de voir un mec en dessous sexy, je t’avoue même que ça m’excite. Allez vas-y enfile les, je t’attends à côté, je prépare le café ! »

J’étais complètement désemparé, entre ses propos menaçants et ses encouragements qui me paraissaient sincères.

– « Allez petite pédale ne fais pas la sainte Nitouche enfile les vite que je te vois avec. »

Elle sort, j’hésite encore un peu mais je meure d’envie de revivre la honte d’être découvert. J’enfile le body, je fixe les bas avant de sortir timidement de la salle de bain. Marie ne cache pas sa satisfaction. »

– « Et bien mon salaud, tu es vraiment sexy la dedans, et tu as l’air d’aimer çà, à en juger ton état. »

En effet je bande comme un âne, elle me dit de venir déjeuner comme ça. Je m’exécute de bonne grâce, ma bite est dure, et bien raide. Après le petit déjeuner, elle me dit de mettre un petit tablier pour l’aider à la vaisselle. Je suis aux anges, mon érection ne faiblit pas. Après la vaisselle, elle me sourit et ôte son peignoir sous lequel elle est totalement nue. Elle se renverse sur le lit et en écartant les cuisses, se met à se masturber devant moi, m’ordonnant d’en faire autant. Je m’exécute sans discuter. Puis elle m’ordonne de m’agenouiller devant elle et de lui lécher la chatte. Je lèche avec gourmandise, en rentrant ma langue le plus profondément possible dans cette moule délicieusement trempée, elle ne tarde à jouir en me pressant la tête entre ses cuisses. Après un instant elle se redresse, et assise au bord du lit elle m’attire vers elle pour prendre ma bite dans sa bouche. Je n’en reviens pas c’était la meilleure pipe de ma vie. Je sens venir mon plaisir et je tente de me dégager pour lui faire comprendre que je vais éjaculer mais elle s’acharne plus encore, lorsque je crie attention je viens, c’est trop tard, j’éjacule abondamment dans sa bouche. A ma grande surprise, elle continue à me sucer avec autant d’ardeur, s’appliquant à tout recevoir en bouche. C’était la première fois que j’éjaculais dans la bouche d’une femme. J’ai vraiment joui plus fort que d’habitude. Marie avait un sourire vicieux dans les yeux, et en se relevant elle vient m’embrasser la bouche pleine de foutre avec les yeux bien ouverts pour observer ma réaction. Je fais la grimace mais je me fais violence, acceptant d’avaler avec elle, ce n’était ni bon ni mauvais. Elle m’embrassa longuement à pleine bouche, jusqu’à ce que le sperme se soit totalement dissous dans notre baiser.

C’est une bonne heure plus tard que nous quittons l’appartement pour les pistes. Marie me confie qu’elle avait été très excitée en découvrant que je portais son string et qu’elle aimerait bien que je continue à le faire devant elle. Très excité moi-même, mais ne voulant pas le lui montrer, je répondais évasivement qu’on verrait ça plus tard.

Le soir en rentrant, elle m’entraîne devant son tiroir et me montre sa collection en insistant pour que je choisisse une tenue sexy. J’opte pour une culotte fendue, un porte-jarretelles et des bas. Elle me dit de m’habiller par dessus car on allait faire des courses en ville. La sensation d’être observé, le risque d’être découvert, et l’humiliation imaginée dans ce cas là m’excitent au plus haut point. Marie me promet une surprise à notre retour. J’espère bien faire l’amour avec elle, mais elle ne l’entend pas tout à fait comme moi. En entrant elle me fait déshabiller, en m’obligeant à ne garder que ses dessous de femelle. Puis elle me dit de m’allonger sur son lit et avec des bas elle m’attache sur le lit, bras et jambes en croix. Je sentais mon sexe qui commençait à gonfler Elle me dit que j’allais adorer la surprise qu’elle me prépare, elle sourit en prenant le téléphone pour annoncer :

– « Une bouteille de champagne pour le studio 19 s’il vous plait ! »

Je proteste et perdant mon érection, je lui demande de me détacher ou de me couvrir avant l’arrivée du service. Elle sourit en disant :

– « Pas question salope ! Tu vas voir, ça va te plaire et je suis sûre que tu vas rebander avant même qu’il arrive »

Cette chienne avait raison, les minutes ressemblaient à une éternité et ma bite gonflait inexorablement en pensant que j’allais être vu dans cette tenue, par celui ou celle qui allait apporter la bouteille. Le service d’étage était assuré par Laeticia la jeune fille de la réception qui avait à peu près mon âge et à qui, depuis notre arrivée, je faisais du charme auquel elle ne semblait pas indifférente. Marie la fait entrer, et, fermant la porte derrière elle, lui indique de laisser la table roulante auprès du lit, et d’ouvrir la bouteille. Laeticia, semble surprise, mais a les yeux rivés sur moi avec un regard moqueur qui me fait bander plus dur encore. Marie lui demande d’attendre et prend tout son temps pour fouiller dans ces affaires et lui donner un pourboire. En lui tendant elle la fixe dans les yeux et lui demande :

– « Il est mignon comme ça hein ? »

La fille pouffe, répond :

– « Oui pas mal ! » en souriant et me fixant dans les yeux d’un air moqueur avant de prendre congé.

Je tentais une crise d’autorité :

– « Marie, détache-moi ! C’est amusant un moment, mais maintenant çà suffit ! »

J’essaye d’être autoritaire et convaincant mais je sais déjà que c’était peine perdue car au fond de moi, la situation me plaît. Elle rit de bon cœur en me disant que la surprise va arriver bientôt. C’est à ce moment qu’on entendit frapper à la porte du studio.

– « Marie, tu es là ? C’est Patrick ! »

Elle me sourit voilà la surprise !

– « Oui ! Entre ! Je suis là »

Je réalisais alors dans le regard de Patrick qu’ils avaient bien manigancé leur coup.

Quelques minutes plus tard elle était à quatre pattes la chatte prise en levrette par Patrick juste au dessus de mon visage. Je voyais le va-et-vient de sa queue dans la moule trempée de Marie, un liquide translucide coulait par intermittence de son sexe et je prenais plaisir à lécher leurs sexes emboîtés. Il ne tarda pas à éjaculer en elle, il se retira et elle posa son sexe gluant de foutre sur ma bouche en m’ordonnant »

– Lèche salope, suce et avale le bon jus de couilles qui coule de ma moule. »

Ce faisant elle me caressait la bite que j’avais toujours raide.

–  » Regarde Patrick, il bande toujours ce salaud, ça le fait triquer ce pédé, de lécher ma chatte gluante de ton jus. Regarde s’il est mignon avec mes dessous de femelle, il fait vraiment pute comme ça non ? Ho la la il me lèche bien ce pédé, il m’excite je vais reprendre mon pied oouiiii c’est bon comme ça oui comme ça encore, ouiiiiii »

Marie se dégagea me libéra de mes liens. Elle m’ordonna de me masturber sur ses seins en me disant que je méritais de jouir. Elle m’ordonna d’éjaculer sur sa poitrine qu’elle me fit ensuite lécher et téter. Patrick avait retrouvé une bonne trique se présentait devant la bouche de Marie qui le suçota avant de diriger sa queue vers ma bouche je tentais d’y échapper mais elle me tenait fermement derrière la nuque et de l’autre main elle guidait la pine gonflée de Patrick suivant ainsi mes mouvements de tête. La distance entre sa bite et ma bouche diminuait rapidement. Maintenant son gland effleurait mes lèvres qui ne tardèrent pas à s’ouvrir, laissant entrer cette colonne de chair chaude et palpitante dans ma bouche. Je découvrais malgré moi que c’était très agréable en bouche et le réflexe de succion s’imposa immédiatement à mon esprit à la grande joie de Marie qui jubilait.

– « Oui, Oui, j’en étais sûre, j’avais raison, il aime ça cette salope, il aime sucer la grosse bite d’un vrai mâle, allez, salope suce bien à fond ! Pompe la bonne bite, qui va te cracher dans la bouche ! »

S’adressant à Patrick :

– « Il suce bien au moins ce pédé ? Vas y baise lui la bouche, vide bien tes couilles dans sa bouche de pute, ça va lui apprendre comment ça fait quand il éjacule dans la bouche d’une fille ! Vas-y remplis sa bouche de foutre à cette petite salope, pousse bien ! Éjacule ! Je lui tiens la tête à cette petite salope »

Quelques instants plus tard, la tête bien maintenue par Marie sur sa queue, je recevais tout le sperme que Patrick éjaculait dans ma bouche.

– « Ne bouge pas disait-elle reste dans sa bouche de pute jusqu’à ce qu’il avale tout ce pédé. Il va aimer ça il le sait pas encore mais il va aimer la salope »

Elle avait raison cette chienne j’aimais sucer, et avaler s’imposait naturellement à moi. Je déglutissais à deux reprises et je fus libéré.

Le reste du séjour, passa très vite entre le ski, la baise, mes exhibitions avec Marie et nos trios d’enfer avec Patrick, à l’occasion desquels je fus sodomisé par Patrick, et par Marie avec un gode ceinture.

Marie adore aussi que je la prenne en levrette et que l’autre me présente sa queue a sucer devant la glace où elle peut me mater la bouche pleine.

J’ai continué à voir Marie pendant plusieurs années, je portais toujours des dessous sexy ou très érotiques de femme sous mes vêtements lorsque je venais la voir. Ses amants appréciaient de se faire sucer par une salope bisexuelle en dessous de femelle. La plupart d’entre eux acceptaient de m’enculer devant Marie qui s’excitait du spectacle.

C’est aussi elle qui m’a fait goûter à l’uro un soir où, après avoir fait l’amour avec son amant puis avec moi, elle m’a donné son sexe dégoulinant de foutre chaud et gluant à lécher et bien accroupie au dessus de ma bouche ouverte elle s’est mise à pousser comme d’habitude pour faire descendre le foutre qu’elle avait reçu de nous deux mais là surprise elle a lâché de petits jets d’urine. Lorsque j’ai compris ce qu’elle faisait, c’était trop tard car en même temps elle posait sa moule sur ma bouche bien que venant de jouir j’eus un nouveau début d’érection et c’est surexcité que j’avalais ce délicieux mélange de mouille, foutre et urine

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6 réponses à Séjour aux sports d’hiver La culotte de ma marraine par sexnotaboo

  1. Verité dit :

    vitesse et précipitation sont dans un bateau….

  2. Bussieres dit :

    Vas doucement 😉

  3. Delonteux dit :

    Ne jamais se presser pour se faire publier, garder le récit au chaud quelques jours, le relire, le corriger, le compléter…

  4. Vantoux dit :

    Dommage que la fin soit bâclé car c’était bein beau

  5. Mikoo dit :

    Si je peux me permettre un conseil, il faut une fois que récit est écrit le laisser de côté pendant 15 jours, puis le relire a froid, Vous vous apercevrez alors que plus votre récit avance plus il va trop vite et devient le reflet de votre propre excitation. Il n’est pas sûr que le lecteur vous suive de cette façon. Il n’est pas exemple nul besoin de mettre tous ses fantasmes dans un récit, surtout en les bâclant comme c’est le cas à la fin de ce présent récit.

  6. Gaston dit :

    ça aurait pu donner quelque chose de pas mal, mais l’auteur s’excite tout seul et va trop vite

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