Retour à la terre 5 – La soirée par Lovelace

Retour à la terre
5 – La soirée
par Lovelace


La soirée

Un coup de klaxon, j’ouvre le portail, et accueille nos amis. Ils sont beaux tous les deux; Pierre vêtu d’un costume en lin, Viviane petit chemisier transparent et jupe portefeuille.
Pierre et Viviane, vont bien ensemble. La concernant, ce que l’on remarque avant tout, ce qui attire le regard en dehors de son visage fin, éclairé par de grands yeux verts et rieurs, d’une large bouche aux commissures relevées qui lui donnent un air de satisfaction permanente, c’est sa musculature. Dès le cou aux veines saillantes, ses épaules rondes et fermes, ses bras dessinés au point qu’on pourrait s’en servir pour une leçon d’anatomie. A travers le voile de son chemisier noir, apparaissent ses seins hyper fermes devancés par deux gros tétons; on croirait des faux tant ils paraissent durs et ronds. Elle est attirante et, du reste, les regards mâles et femelles convergent vers elle.

Alice fait les présentations.

– Viviane, voici Lucie et Yann, que nous avons rencontrés à Oléron.
– Enchantée, je vous connais déjà un peu.
– Ha, bon ? Quand nous serions nous vus ?
– Vous, non, moi ! Sur une vidéo.
– Oui, bien sûr ! Vous l’avez déjà visionnée ?
– Eh oui ! Pierre a fait le montage et je l’ai regardée ensuite.
– Tenez, c’est mon cadeau intervient Pierre en tendant aux femmes le fameux enregistrement.
– Merci, Pierre, et Alors ? Demande Lucie, c’est bien ?
– C’est impressionnant ! J’ai eu du mal à rester stoïque et ce, dès le début, d’ailleurs je n’ai pas pu !

Nous sommes directement plongés dans le vif du sujet ! La conversation ne va pas cesser de tourner autour de ce fameux week-end.

– Pierre a l’habitude de filmer ses sorties en mer, lorsque je ne suis pas avec lui. Ça me permet de partager quand même ces moments et de me rendre compte de ce que j’ai raté. Et là, je dois dire que j’ai été gâtée ! Au-delà de l’action, j’ai apprécié les beaux corps d’hommes et de femmes ! Dit-elle avec l’œil pétillant. Quant à l’action, j’ai du mal à dire ce que j’ai le plus apprécié ! Entre les scènes bisexuelles, vos exploits mesdames, car il s’agit bien là d’exploits, ou bien la diversité des arrangements. Je crois que par dessus tout c’est un sentiment de frustration que j’ai vécu !
– Tu aurais aimé partager ces moments avec nous ? Demande Alice.
– Je crois bien que oui ! Mais bon, c’est passé !
– On pourrait essayer de vous faire partager ce que nous avons vécu ? Tente Lucie.
– Pourquoi pas ! Mais y aura-t-il la même spontanéité ?
– Ça n’empêche que ça puisse te plaire. Lui dis-je. En attendant on peut aller prendre l’apéro sur la terrasse ?
– Bonne idée, reprend Pierre, j’ai une petite soif !

Nous nous dirigeons donc au bord de la piscine et, un verre à la main, la discussion continue sur le même thème.

– Tu nous propose quoi pour dîner ? Me demande Pierre, histoire de changer l’orientation du dialogue.
– Des petits homards grillés, on a eu une opportunité.
– Miam, miam ! On va se régaler !

Viviane continue, pour sa part de deviser sur les exploits d’Alice et Lucie et leur demande comment elles ont pu faire, quelle sensations ont-elles vécu,…

Yann se rapproche de nous.

– Qu’est-ce qu’elles sont sexy nos femmes, dit-il. Elles m’excitent.
– Oui, moi aussi dit Pierre, il va falloir tenir !
– Venez m’aider, on va allumer le feu, on pensera à autre chose comme ça !
– Pendant que la braise se fait, vous voulez voir le film du week-end ? Propose Pierre.

Pour penser à autre chose, c’est raté ! Tout le monde acquiesce et nous rentrons au salon pour le regarder.

Je remarque pendant la projection que les conversations se sont éteintes au fur et à mesure et que les uns et les autres sommes allumés par les images qui défilent. Les femmes croisent et décroisent nerveusement les jambes, Yann a posé la main sur son bas ventre, je fume cigarette sur cigarette, bref nous ne sommes de loin pas blasés !

– Hou là ! Mon Dieu ! On a fait tout ça ? S’exclame Lucie à la fin de la projection. C’est monumental, je ne m’en rendais pas compte dans le feu de l’action.
– Quelle salope je fais dit Alice, si je n’avais pas autant pris mon pied, j’aurai honte !

En fait, elles font leurs commentaires pour se donner une contenance et tenter de se décongestionner en tirant des traits d’humour. Il faut dire que le silence rend l’atmosphère encore plus pesante et électrique. Les entre jambes féminins doivent-être bien humides ! Quant à nous, les hommes, si nous nous levons, notre état sera visible à l’œil nu !

– Bon, on termine l’apéro et on mange ? Dis-je à mon tour, d’un ton qui se veut détendu et enjoué. Alice, tu veux bien nous remettre une rince ?

– Quel macho tu fais ! Dit Lucie, ou bien est-ce parce que tu ne veux pas qu’on voit ton érection ? Et oui, elles ne sont pas dupes les guêpes.
– Ok, je veux bien te rendre service; mais tu sais on n’est pas mieux nous, même si ça ne se voit pas !

Les conversations reprennent, le calme revient, en apparence et nous passons à table. Au cours du repas animé, je tends l’oreille vers Viviane pour tenter de saisir ce qui la brancherait après dîner.

Le dessert est pris, le café servi et il est à peine 9h00 du soir. Nous allons pouvoir bien profiter de la soirée qui commence.

Comme il fait encore très chaud, les filles décident de se rafraîchir dans la piscine. Nous trouvons l’idée très bonne et lançons un défi : le dernier à l’eau a un gage ! Tous se dépêchent de retirer leurs vêtements et de se jeter à l’eau. Les deux plus rapides sont Lucie et Alice, qui n’avaient quasiment rien à retirer. Bonne dernière à entrer dans l’eau Viviane, que je soupçonne de l’avoir fait exprès. Elle est doublement sanctionnée, car elle portait un string qu’elle a gardé.

Bien entendu, nous l’obligeons à sortir du bain et revenir nue, comme tout le monde ! Elle ne se fait pas prier, prend appui sur le rebord et sort de l’eau. Quelle vision ! C’est la première fois que je la vois déshabillée et c’est un choc ! Certes elle est musclée, normal pour une adepte du fitness, mais pas « musclor », les cuisses galbées, les mollets ronds, les fesses comme sculptées dans du marbre, quelques jolis plis, au creux des reins et sous les fesses et des hanches généreuses.

Elle retire son string et se retourne : ses seins sont bien comme je les devinais sous son chemisier, son ventre aux abdos bien marqués, et ce clitoris ! Un appel à l’amour. Qu’il est beau ! Saillant le bout dépassant de son enveloppe ressemble à un tout petit gland ! J’adore !
Elle nous rejoint dans un joli plongeon et nous commençons à jouer comme de grands gosses ! Ces jeux, inévitablement provoquent des contacts qui réveillent s’il en était besoin, nos sens exacerbés. Les filles sont les plus enjouées et vicieuses ! Je me fais tirer le sexe par derrière et je bascule en avant dans l’eau sans savoir qui l’a fait et je me retrouve la bouche plaquée sur une paire de fesses qui je mordille au passage ! Au bout de dix minutes de jeux d’eau, nous nous retrouvons presque en cercle au bord du bassin et nous constatons qu’ils ont fait leur effet. Les queues sont à demi rigides et les filles ne peuvent s’empêcher de faire leurs commentaires.

– Les hommes ne sont pas égaux, c’est évident ! Remarque Lucie, dis donc Viviane, tu dois t’éclater comme une malade avec toute cette chair !
– Pour être comblée, je le suis ! Mais au début je n’appréciais pas plus que ça, j’avais du mal à prendre mon pied, mais je me suis adaptée. Cela dit, j’aimerai bien quelque chose de plus raisonnable de temps en temps dit-elle, en lorgnant du côté de Yann et moi.
– On te les prête pour la soirée, dit Alice, tu verras qu’une petite est aussi très bonne ! On n’a qu’à continuer au sec pour profiter de leur forme.
– Oui, ça me fait envie tous ces tuyaux, surenchérit Lucie.
– Moi la Première dit Viviane, j’ai du retard sur vous et le bas ventre en feu !

Nous sortons de l’eau et nous essuyons mutuellement. C’est Lucie qui me sèche de face. Le torse, les bras et, bien sûr, le sexe qu’elle enveloppe et branle dans la serviette.

– C’est pour que tu sois bien sec ! Me dit-elle.

Ma main pendant ce temps s’engouffre entre ses cuisses et je caresse son clitoris du bout du doigt.

– Et moi, c’est pour que tu sois bien mouillée !
– Hummm ! Je sens que ça va partir vite ce soir, on est tous électriques.

Effectivement, c’est parti !

Yann est à genoux, les fesses sur les talons, jambes ouvertes et lèche la vulve et le gros clitoris de Viviane debout devant lui, jambes écartées.

Alice est passée entre les jambes de Viviane et suce Yann, les fesses tendues pour accueillir l’énorme vît de Pierre qui s’enfonce interminablement dans la chatte de ma femme.

Lucie et moi, nous tenons par la taille, échangeons un regard lubrique, mais ne sachant si nous rejoignons l’arrangement ou si nous faisons bande à part. Finalement, nous nous rapprochons d’eux et caressons le beau corps de Viviane, histoire d’accentuer la montée du plaisir.

La première à céder, comme d’habitude est Alice, dans un déferlement de foutre et de mots salaces, ce qui doit déclencher celui de Viviane, que nous entendons crier pour la première fois. Pierre se retire, tout le monde se relève, le visage éclairé par le plaisir.

– Humm ! C’était bon ! Ça fait du bien, mais j’aimerai bien quelque chose de plus consistant, maintenant, dit Viviane en me prenant la queue. Je veux des bites !

Au moins, c’est clair !

Yann s’allonge et Viviane se met à cheval sur lui. Pendant qu’elle se chauffe sur la queue tendue, elle prend en bouche celle qu’elle connaît le mieux. On voit qu’elle en a l’habitude; elle manipule cette poutre avec beaucoup de dextérité. Quant à moi, je lui prodigue une feuille de rose pour lui détendre l’œillet, insérant ma langue pour bien mouiller l’entrée divine. Elle est bien relâchée et son anus s’ouvre largement à mes caresses buccales. Je me place derrière elle, pose mon gland gonflé et pousse.

– Ahan Houuu; c’est bon, ça rentre tout seul !
– Hooo ! Ouiii ! T’as raison, c’est bon. Allez-y les gars, ramonez-moi, hooo ! Deux bites, c’est génial, défoncez-moi bien !

Elle se lâche complet la Viviane ! Plus je m’active, plus j’ai de place ! Son cul se dilate à merveille.

Pierre a rejoint Lucie et Alice qui se gouinent en regardant la scène. Je n’ai pas le temps de voir ce qu’ils font, Viviane explose dans un orgasme énorme, accompagné d’un cri qui finit dans une plainte. Impressionnant !

Je me retire et gifle une fesse de Viviane. Elle bascule sur le côté et assise sur une fesse s’exclame :

– Putain que c’était bon ! Haaaa ! Je me souviendrai de mon premier sandwich mes salauds ! J’ai la chatte en feu et le cul éclaté !

Pour un toubib, tenir des propos aussi orduriers surprend !

Pendant ce temps, Alice et Lucie continuent de se brouter le Minou, et Pierre encule profondément Lucie qui est dessus. On entend claquer ses couilles sur la vulve de Lucie les fesses de cette dernière tremblent à chaque fois que la bite s’enfonce au fond d’elle. Pierre ne tient pas longtemps à ce rythme et sort, vivement, pour lâcher sa purée dans la bouche d’Alice qui recueille la semence avec délectation !

– Tu m’as explosé le cul ! s’exclame Lucie, houaaa ! J’adore !

Petite pause cigarette, ça fait du bien, mais Yann et moi on aimerait bien se lâcher aussi maintenant.

– Alors, Viviane, demande Alice, tu prends ton pied ?
– M’en parle pas, c’est ma première partouze et c’est vraiment éclatant !
– Oui, je trouve aussi. C’est bon d’être entourées de queues !
– C’est clair, mais une chatte c’est bon aussi ! Intervient Lucie.
– Je n’ai jamais eu d’expérience lesbienne, dit Viviane.
– Nous non plus avant ce week-end, répond Alice, tu veux goûter ?

Elle à posé sa question en s’approchant d’elle, et en caressant sa chatte.

– Pourquoi pas, après tout je suis venue pour goûter à tout !

Alice, se place debout au-dessus de sa bouche, jambes écartées et tend sa chatte mouillée à la gourmandise de Viviane, en écartant ses lèvres avec les mains. Elle colle sa bouche aux lèvres offertes et lèche la vulve et le clitoris d’Alice.

– Alors, tu trouves ça comment ?
– Hummm ! C’est bon ! Je me régale.
– Moi aussi, tu fais ça bien ! C’est bon, continue !
– Qu’est-ce que tu mouilles ! J’aime ton foutre !
– Vas-y, vas-y, t’arrêtes pas, c’est bon !

Et c’est ainsi jusqu’à l’orgasme d’Alice qui surprend Viviane par le volume de liquide qui s’épanche de sa chatte.

– Une vrais éjac ! Non de Dieu !

Lucie est assise sur un fauteuil, une jambe ouverte, le pied posé sur la table et se masturbe. Elle appelle au secours et je me fais un plaisir de venir la baiser. Je n’ai pas longtemps à œuvrer pour qu’elle jouisse, elle s’est bien préparée avant ! Je recule et admire Lucie, avachie dans le fauteuil, se laissant aller après le plaisir, les jambes écartées, montrant sa vulve ouverte et luisante de foutre.

Après ces orgasmes en série, nous décidons d’une pause bien méritée. Mais Viviane ne l’entend pas de cette oreille.

– Hé, mais Yann et Bernard n’ont toujours pas donné la moindre goutte ! Au boulot les mecs venez me rincer !

Décidément, Viviane parle vraiment comme un charretier !

Yann s’installe sur un matelas de transat étalé au sol et Viviane entreprend de bien le raidir en position de 69, avec sa bouche experte. Alice vient s’asseoir sur un fauteuil face à Lucie et prend la même position qu’elle, ce qui donne un effet miroir. Elles se masturbent nonchalamment en admirant la scène qui se déroule devant elles.

Viviane quitte sa position, glisse ses fesses vers le bas ventre de Yann et s’empale sur la queue tendue. Elle rejette son buste en arrière et ouvre largement les jambes, ce qui a pour effet d’exposer sa vulve investie par la bite vigoureuse. Je m’approche et je me rends compte que Yann ne remplit pas la chatte de Viviane, un espace s’est créé, du fait de sa position en arrière, entre l’entrée du vagin et le long clitoris. Je ne peux m’empêcher de me pencher dessus et le sucer, tant il est attirant. Il a bon goût, la chatte exhale un merveilleux parfum de foutre, je suis vraiment très excité. Viviane jouis sous l’effet de ma langue; elle est saisie de tremblements dans les cuisses qu’elle referme sur moi violemment m’enserrant la tête. Je les écarte avec les mains, me place et rejoins Yann dans cette vulve offerte.

– Hooo ! Ouiiiiii ! Que c’est bon ça ! Deux bites, j’adore, Humm !

Yann et moi nous activons dans la vulve épanouie; le frottement de nos glands respectifs, légèrement décalés fait monter la jouissance et j’explose juste après lui. Nous inondons la chatte de Viviane de nos décharges. Elle est heureuse la bougresse.

– Haaaa ! Je vous ai fait jouir salopards ! Elle est bonne ma chatte, hein ?

On se retire et admirons le sexe béant de Viviane, laissant s’écouler le sperme abondant. Elle est allongée sur le matelas, bras en croix et jambes écartées, totalement satisfaite, dans un état second.

– Alors, ma grande, tu prends ton pied ? Demande Alice
– Tu ne peux pas savoir !
– Si si ! Je sais, ils sont très bons nos mecs, ils savent nous faire jouir.
– Oui, c’est vrai, ils sont généreux. Et plus ils se donnent, plus ils donnent envie !
– Quoi, tu en veux encore ? Demande Lucie
– J’ai envie de plus encore ! Autre chose, je ne sais pas, ça me démange !

Pour notre part, pour l’instant tout du moins, nous sommes à plat ! Nos queues certes allongées, restent pendantes le long de nos cuisses, les bourses vides !

– Pour nous, les filles ce sera repos quelques instants si vous le voulez bien !
– Oui et d’ailleurs me concernant, je vais me rafraîchir ! Dit Yann en plongeant dans la piscine.

J’ai quant à moi, allumé la terrasse, car la nuit est tombée et j’éclaire la piscine également. Le corps musclé de Yann est enveloppé d’un halo de lumière que brise en partie Pierre qui le rejoint.

– Bon, on va s’occuper toutes seules, si je comprends bien, dit Lucie, la main toujours posée sur son sexe qu’elle n’a pas cessé de caresser tout du long du dernier quart d’heure où nous nous sommes occupés de Viviane.
– Et alors, c’est bien aussi non ? Après tout ils ne sont pas indispensables nos hommes quand ils ont la bite en berne ! Répond Alice.
– Venez, les filles, appelle Viviane, j’ai encore faim !

Elles se retrouvent sur le matelas et commencent à s’embrasser, se caresser, se lécher, dans un enchevêtrement de corps qu’il faut bien regarder, pour retrouver les membres des unes et des autres. Elles ont déchaînées, nos femmes !

Alice entreprend de pénétrer Viviane avec sa main. Elle a récupéré le pot de gel et s’en est enduit les doigts. Deux puis trois disparaissent dans la chatte de Viviane, très vite rejoins par les deux restants. La main passe aisément dans la vulve déjà distendue, jusqu’au poignet. Elle branle Viviane de mouvements de plus en plus amples, jusqu’à y enfoncer une partie de son avant bras. Viviane exulte, remue, s’extasie.

– Hummm ! Ouiii ! Vas-y enfiles moi, c’est bon, c’est gros, j’aime ça !

Lucie ne perd pas le nord, elle non plus.

– Tu en veux, tu vas en avoir, dit-elle.

Elle entreprend de faire la même chose, mais derrière cette fois. Elle détend la rondelle de Viviane, d’abord avec la langue, puis insère ses doigts, jusqu’à la paume de la main. Ça bloque un peu, mais Viviane qui se fait régulièrement enculer pas le gros sexe de Pierre, s’élargit peu à peu et laisse passer la main qui l’assaille. Elle est maintenant investie de deux avant bras, un devant, l’autre derrière.

Lucie et Alice, debout, la branlent activement, d’avant en arrière et en tournant. Viviane, les jambes en l’air écartelées; la scène est d’une obscénité démoniaque.

– Ho, ho, je sens tes doigts, Alice ! S’exclame Lucie
– Oui, moi aussi, tiens je te chatouille la main ! Alors sale garce, tu aimes ça te faire défoncer ?
– Mon dieu ! Houuu là là, c’est trop, j’en peux plus ! Haaaa Putain, c’est fort !
– T’aime te faire ramoner comme une truie sale garce !
– Tu voulais de l’extrême, ben t’en as salope ! Attends je vais faire mieux. Lucie remplace moi !

Alice se dirige vers la table et les vestiges du repas, récupère une bouteille d' »entre deux mers » presque vide et revient avec. Elle en boit une gorgée, vide le reste en l’éparpillant sur l’entre jambe de Viviane, le vin lui coule le long de la raie dans le dos, sur le ventre. Elle saisi la bouteille par le goulot et, l’insérant en biais rempli la chatte de Viviane avec ! Il ne reste de visible que le goulot ! C’est monstrueux !

– Et là, tu en as assez ? Demande Alice en l’astiquant avec la bouteille qu’elle tient par le goulot. Regardes-moi ça, comme cette salope aime se faire déchirer !
– Elle l’a demandé, elle l’a eu !
– Vous êtes bien deux putes, haaaa, mon dieu je vais jouir !

Les trois sont déchaînées, d’une perversité absolue, leurs débordements ont viré à l’extrême, tant dans les gestes que dans les mots !

Viviane explose, mêlant douleur et jouissance, Lucie se retire, Alice tire sur le goulot de la bouteille qui fait un «plop !» en sortant et la laissent, le corps rompu, disloqué, le cul et la fente béants et, pour terminer cette orgie, lui pissent dessus !

Je suis abasourdi par ce à quoi je viens d’assister. D’autant que les trois nanas éclatent de rire, comme si elles venaient de faire une bonne farce !

Alice et Lucie relèvent Viviane en la prenant par les bras; elle a du mal à se relever, et l’emmènent au bord de la piscine dans laquelle elles plongent ensemble.

Je plonge également pour me décongestionner, la scène à laquelle j’ai assisté m’a fait bander !

Après cette baignade bienfaitrice, nous rentrons dans le salon, une petite fraîcheur s’installant à l’extérieur.

– Alors, Viviane, comment te sens-tu ? C’est bien ce que tu voulais ?
– J’en attendais pas moins suite à la vidéo, ça m’avait donné l’envie d’une expérience dans le bizarre, et là, j’ai été servie ! Dommage que je n’aie pas mon film !
– Tu te trompes ! J’ai pris la précaution de placer des caméras au-dessus et en face lui dis-je en lui montrant la fenêtre de notre chambre et la cabane technique de la piscine. Je vais pouvoir te faire chanter !
– Quel salaud ! T’es un beau dégueulasse, toi aussi !
– Bien sûr comme tous ici ! La seule qui ne l’était pas jusqu’à ce soir c’était toi, mais depuis tu t’es bien rattrapée.
– Je me suis mise à niveau !
– Je crois que tu nous dépasse, même Alice, et je suis certain que tu n’as pas livré tout ton potentiel de fantasmes !
– Il est vrai que j’en ai quelques uns dont je ne sais si j’oserai les mettre en œuvre.
– On verra ça plus tard ?

La soirée se continue, beaucoup plus calme. Après s’être douchés et rhabillés. Lucie et Yann nous font part de leurs projets de fin de vacances. Ils nous quitteront demain. Ça va nous faire un vide !

Nous nous séparons dans des effusions buccales en se promettant tous de remettre ça un jour prochain.

Ce récit à eu l’honneur d’être élu meilleure saga pour 2009

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