Rendez-vous au bar
3. UN CONCOURS TRÈS SPÉCIAL
par Vivien
Résumé de l’épisode 2 : Sandra a été mise « à l’essai » par la patronne du bar. Elle s’est fait fesser, uriner dessus, sodomiser.
L’essai a été concluant…
Quelques jours plus tard, vous recevez un mail vous indiquant :
« Viens faire la pute et participer au concours d’arrosage de foutre à mon club, ce soir à 20 h. Habille-toi et maquille-toi en pute : rouge à lèvre vif, robe noire légère, courte et très décolletée, nue dessous, porte-jarretelles et bas noir et les chaussures de l’autre jour. Il vaut mieux que tu sois pile à l’heure… »
A 19 h 57, vous êtes en tenue demandée devant la porte du bar. Les rideaux métalliques des vitrines sont fermés. Vous poussez la porte, il est 20 h pile. Votre regard fait le tour de la salle. Rien à voir avec l’autre jour. Aujourd’hui, plein de monde, une douzaine d’hommes et six femmes de tous âges qui sont en train de boire. Vous voyez plusieurs affiches collées sur les murs : » Aujourd’hui à 20 h, concours d’arrosage de foutre et de douche dorée.
Ouvert à toutes et à tous. Inscription : **** € »
La patronne vous aperçoit. Elle est au bar avec une autre femme. Elle va descendre le rideau de la porte d’entrée.
» Mesdames, messieurs, je vous présente la salope qui va vous servir ce soir à concourir. Afin que vous puissiez juger que je ne me moque pas de vous, elle va vous montrer ce qu’elle cache pour l’instant et que vous aurez tout loisir de voir et de toucher et plus, toute la soirée.
Allez, monte sur le billard, mets toi à poil et montre à tous mes clients que tu es une véritable salope »
Vous montez d’abord sur une chaise, puis vous montez sur le billard. Avec votre petite robe, vous avez déjà presque l’impression d’être nue. Les clients vous regardent tous envieux et envieuses.
Vous faites glisser les brides de votre robe et la laissez tomber sur le billard. Vous voilà en porte-jarretelles, bas et chaussures, surplombant la salle et montrant votre anatomie à une vingtaine de personnes. Vous mettez les mains sous vos seins pour les rapprocher et les faire un peu gonfler, vous écartez les jambes et mettez en valeur votre cul en appuyant un bras sur votre cuisse et en le pointant en arrière.Les commentaires fusent, tous admiratifs de votre corps, les femmes vous envient, les hommes se régalent d’avance.
» Voyez, je ne vous avais pas menti, dit la patronne. C’est un beau morceau. Je vous l’ai choisi avec tout ce qu’il faut. Pour l’avoir essayée, je peux vous dire qu’elle saura vous satisfaire, aussi bien vous messieurs, que vous mesdames. »
S’adressant à vous, elle vous lance :
» Pour mettre le jus à la bouche de mes clientes et mes clients, fais leur voir comme tu te branles bien et comme tu jouis en véritable salope »
Toujours debout, vous écartez un peu plus les jambes et commencez de vous branler en fermant les yeux. De voir tous ces regards sur vous, vous excite. Vous sentez déjà votre con tout mouillé sous vos doigts qui vont et viennent du clito au trou, maintenant de plus en plus vite. Vous sentez que la montée ne sera pas longue, tellement cette situation vous excite. En effet, votre orgasme éclate rapidement, vos jambes vous lâchent et vous vous retrouvez à genoux, les cuisses largement ouvertes et la main dans votre con.
Vous sentez quelques mains qui tentent de frôler vos cuisses et vos nichons. Une plus hardie, se faufile dans votre raie du cul et vous sentez un doigt qui tente de s’introduire dans votre petit trou. Vous ouvrez les yeux. Vous voyez quelques hommes autour de vous qui vous pelotent et le doigt dans le cul appartient à une belle blonde aux cheveux mi-longs, assez jeune qui vous sourie et vous dépose un baiser sur les lèvres.
« Ça à l’air d’être bon et je pense qu’on va bien s’amuser avec toi » vous dit-elle dans un grand sourire.
Vous n’avez pas le temps de déguster ces moments de plaisirs intenses et la patronne vous fait descendre du billard.
» La suite se passe dans l’arrière salle. Ceux et celles qui veulent participer doivent payer leur cotisation en entrant. Toi ma petite garce, vas rejoindre ma collègue qui va te préparer »
Vous arrivez dans l’arrière salle. L’éclairage est différent, moins cru, en indirect au plafond et sur les murs.
La femme qui était au bar tout à l’heure vous fait signe d’entrer.
» Bien ta branlette tout à l’heure, tu m’as fait mouiller, salope. Je m’appelle Judith et j’aide Irène dans ses concours »
Judith est assez grande, bien proportionnée, environ votre âge. Elle se trouve à peu près dans la même tenue que vous, sauf qu’elle porte en plus un string bordeaux qui lui monte très haut sur les hanches et lui dessine un joli triangle au dessus de la raie des fesses. Une particularité de ce string est que la ficelle qui lui passe entre les fesses remonte également entre les lèvres de la chatte et ce n’est qu’après le con que le triangle de dentelle s’élargie. Elle a les nichons libres, mais un peu moins gros que les vôtres.
» Pour la première épreuve, je vais te bander les yeux. Tu vas faire ça « à l’aveugle »
Elle vous attache un bandeau large et noir sur les yeux. Les hommes et les femmes commencent à rentrer. Certains vous touchent, vous pelotent. Vous sentez déjà des mains un peu partout.
Soudain la voix de la patronne retentit :
» La première étape du concours est ouverte à six hommes. Cette petite salope au gros cul (elle vous envie votre cul) va vous sucer tous les six. Vous allez rester debout. Elle passera à genoux devant chacun d’entre vous. Elle doit en quinze minutes maximum vous faire décharger tous les six et tout avaler. Vous n’avez pas le droit de vous branler. Si elle dépasse le temps, elle recevra autant de coup de fouet que de minutes dépassées, multipliées par quatre. Messieurs, si vous avez envie de voir ce gros cul se trémousser sous les coups de fouet que nous lui donnerons avec ma copine, retenez-vous et balancez lui votre foutre dans sa bouche de pute quand vous ne pourrez plus tenir. Les six autres hommes et les six femmes doivent rester spectateurs et ne pas gêner le bon déroulement du premier arrosage »
Les hommes se mettent en ligne face aux spectateurs et commencent de sortir leurs bites des pantalons. Il y a pas mal de modèles différents. Ça va de la bite assez petite et large en passant par la bite très longue et plus fine. Certaines sont décalottées, d’autres pas.Vous pensez dans votre tête : pourvu qu’ils soit longs à gicler, ça me fera quelques coups de fouet en plus.
Judith vous attrape par un téton et vous tire pour vous amener vers le premier homme.
» Mets toi à genoux et attrape la queue qui est devant toi, tu peux bien sur y mettre les mains. Mais le doigt au cul des mecs t’est interdit. Le concours est ouvert et les quinze minutes commencent »
Vous vous jetez sur la première bite bien raide et l’avalez en entier. Simultanément vous la branlez et attrapez les couilles du mec. Vous décidez de faire un premier passage sur les six bites pour les mettre toutes en forme et en état d’attente. Quand vous arrivez à la troisième vous la prenez en bouche, lui faites quelques va-et-vient et vous sentez le liquide annonciateur du foutre sur votre langue. Le mec ne tarde pas à tout vous envoyer. Il n’aura pas été long celui-là. Un précoce ! Vous le laissez bien se vider, avalez tout son foutre en le nettoyant bien, comme vous faites d’habitude. Vous n’aimez pas en perdre.
Vous finissez votre premier passage et commencez un deuxième dans l’espoir de vider quelques paires de couilles.
Les spectateurs ne perdent pas une miette de ce que vous faites. On voit les pantalons des autres hommes gonfler sous l’excitation. Les bites sont de plus en plus raides ! Les femmes croisent les jambes et se branlent le con sans y mettre les mains pour l’instant. Simplement en bougeant leurs cuisses. Les culottes doivent être bien trempées. Judith met carrément les doigts de chaque cotés de sa ficelle, y tire un peu dessus. On voit bien sa chatte toute brillante.
La quatrième bite vous éclate en bouche après trente secondes de pompage. Vous passez à la cinquième et à la sixième qui tardent à gicler. Vous revenez à la première et reprenez vos pipes, en essayant de les finir. Ça y est, le premier commence à râler et vous éclate au fond de la gorge. Il y a peu de volume mais vous vous attardez quand même. Vous passez au deuxième, toujours les yeux bandés et à genoux. Vous écartez inconsciemment les cuisses, car cette situation vous excite énormément. Vous le branlez avec les mains énergiquement et recevez son foutre sur les lèvres avant de le prendre en bouche. Vous lapez le maximum afin de ne pas en perdre une goutte. Vous vous déplacez à quatre pattes jusqu’au cinquième. Le salaud a débandé. Vous êtes obligés de le reprendre presque du début. II va vous faire perdre du temps celui-là, mais vous aurez quelques coups en plus. Vous le branlez, le sucer énergiquement, il rebande, vous continuez de le pomper, vous l’astiquez et le faites enfin gicler. Vous avez eu le temps d’enfourner sa bite dans la bouche, ce qui fait que vous avalez tout et rapidement.
Vous passez au sixième. Il a encore une bonne trique, bien dure, bien raide. Vous n’avez pas trop à en faire, mais il vous décharge son foutre trop rapidement. Vous l’attrapez sur le nez, le menton et le cou. Vous êtes obligée de vous nettoyer avec les doigts et de les lécher pour bien vous nettoyer.
» La première étape est terminée, dit la patronne, quel est le temps Judith ? »
» Notre petite pute a mis exactement 29 minutes pour recevoir le foutre de ces six messieurs. Suivant le règlement, elle a dépassé de 14 minutes le temps réglementaire. Elle recevra donc 56 coups de fouet sur son gros cul de petite salope. Mais avant de se faire fouetter, elle va permettre à nos six spectatrices de se soulager sur elle. Mesdames, vous allez chacune à votre tour venir vous branler au-dessus de cette garce qui sera couchée par terre. Vous pouvez pisser sur elle où vous voulez. Je vais demander à quatre messieurs de tenir cette salope les bras écartés et les jambes écartées. N’hésitez pas à la remplir dans tous les trous »
La patronne vous enlève le bandeau des yeux et vous oblige à vous coucher par terre. Quatre hommes vous attrape les bras et les jambes et vous écartèlent. Votre con juteux s’ouvre en grand.
Une première femme s’avance. La trentaine, brune, un peu pulpeuse. Elle est entièrement nue, juste avec ses chaussures. Elle vous enjambe et se place au-dessus de vos seins, commence à se branler en bougeant les fesses de gauche à droite et d’avant en arrière. Elle ferme les yeux, se jette la tête en arrière. En écartant les lèvres de sa chatte et en avançant le bassin, elle vous envoie un jet d’urine d’abord sur vos nichons et votre ventre et continue sur le cou. En même temps qu’elle pisse, elle jouit fort et longtemps.
Elle est aussitôt remplacée par deux autres femmes. L’une a gardé sa robe et la soulève jusqu’à la taille, l’autre a enlevé son pantalon et se trouve cul nu. Elles se font face au-dessus de vous et tout en se roulant une pelle commencent à se peloter le con l’une de l’autre. Elles s’accroupissent sur votre ventre et se frottent la chatte, l’une sur votre pubis, l’autre sur vos nichons.
Elles ne sont pas longues à vous pisser dessus, tout en restant accroupies et continuant de se frotter sur vous. Ces deux femmes n’ont pas fini d’uriner qu’une autre vient prendre place juste au-dessus de votre figure. Vous ne voyez pour l’instant que son cul et ses mains qui écartent sa chatte.
» Ouvre la bouche et bois tout petite pute »
Vous reconnaissez la voix de la blonde qui vous a embrassé tout à l’heure sur le billard. A peine vous a-t-elle ordonné d’ouvrir la bouche qu’elle vous envoie son jet entre les lèvres. Vous avalez au fur et à mesure mais le jet est puissant. Ça déborde de votre bouche et vous manquez de vous étouffer, mais la fille continue de vous pisser sur la figure.
En même temps, vous sentez qu’on vous écarte encore un peu plus les cuisses. Vous sentez presque instantanément un liquide chaud vous remplir le con. Très vite la pisse de cette femme qui est en train de vous inonder la chatte vous dégouline dans la raie des fesses. La petite blonde a fini de vous inonder le visage, elle en profite pour se frotter la chatte contre votre bouche et votre nez. L’air vous manque, vous lui aspirez le clito et le sucez frénétiquement. En quelques secondes elle part dans un orgasme très bruyant et se retrouve vite à quatre pattes au-dessus de vous.
La sixième femme, que vous ne voyez pas parce que vous fermez les yeux de bonheur et de plaisir, vous arrose par petits jets de la tête au pieds, elle s’arrête et reprend pendant de longues secondes.
La patronne vous sort de votre rêve;
Judith a pris en main le fouet à 12 lanières, tandis que la patronne attrape une cravache en cuir. Le premier coup de fouet retentit dans la pièce. C’est votre cul qui l’a reçu. Vos fesses ont été ébranlées sous le coup. Sans attendre, c’est la cravache qui prend le relais, toujours sur le cul. Vous sentez que la peau commence de vous cuire. Le fouet se déplace un peu plus haut sur le dos, la cravache descend un peu plus sur les cuisses. La bouche pleine de bites bandée à mort ne vous empêche pas de crier sous les coups qui sont de plus en plus forts.
La cravache et le fouet s’abattent en alternance du dos à vos cuisses et vous mordent la peau cruellement. Des marques rouges commencent à apparaître.Deux hommes en ont déjà profité pour vous décharger dans la bouche pendant ces 22 premiers coups de fouet. Vous ne tenez
plus à genoux que par les bras vigoureux des deux hommes qui vous maintiennent par les bras. Ils en profitent pour vous peloter les nichons.
» Retournez-la qu’on s’occupe un peu des mamelles de cette salope et écartez lui comme il faut les cuisses »
Le premier coup de fouet sur votre nichon droit vous fait tressauter. Pourtant vous aviez vu Judith lever le bras. La violence vous a surprise. La cravache s’abat alors sur le devant de vos cuisses. Le fouet vient cingler votre sein gauche. Les hommes ont du mal à vous tenir tellement vous bougez, mais vous résistez quand même pas mal. Chaque coup vous fait crier.Maintenant il n’y a plus d’alternance, le fouet et la cravache vous frappent en même temps le ventre, les cuisses, les nichons. Les trois derniers coups sont pour votre con. Deux coups de fouet bien placés entre les cuisses viennent cingler votre chatte et l’intérieur des cuisses. Le dernier coup de cravache est donné bien dans l’axe de votre entrecuisse et s’abat sur votre clito. Vous criez de douleur, mais vous vous effondrez en même temps prise d’un violent orgasme.
» Elle est résistante la garce. On l’a même fait jouir comme une chienne. Quelle salope ! On passe à la dernière étape du concours. Je vais demander à tous les mecs qui veulent gicler de venir se positionner au-dessus de cette femelle. Mesdames et mesdemoiselles, vous aurez le grand avantage de venir branler les bites de ces messieurs jusqu’à ce qu’ils arrosent de leur foutre cette pute »
Judith vous a aidé à vous coucher sur le dos par terre. Le contact du sol contre votre peau meurtrie vous surprend, mais vous fait presque du bien. Elle vous écarte les cuisses en grand et pendant que la patronne continue d’expliquer le déroulement, elle vient s’accroupir contre votre bouche et, tout en écartant son string bordeaux, vous plaque sa chatte contre votre bouche. Vous introduisez votre langue le plus loin possible dans son con, vous lui aspirez le clito et l’étirez le plus possible. En quelques secondes, vous la faites monter et éclater. Elle vous inonde le visage de son jus.
Sept hommes se mettent autours de vous et sortent leurs bites. Certaines sont bien molles, d’autres encore sont déjà toutes raides. Les femmes se mettent à genoux à côté d’eux et commencent leurs branlettes. Certaines y vont tout de suite à la pipe, d’autres préfèrent l’action manuelle. Leurs mains de libres s’insinuent entre leurs cuisses écartées ou au contraire bien serrées. Les gémissements de plaisir sortent des gorges autant masculines que féminines. C’est troublant et très excitant de vous voir par terre en train de vous branler d’une main et de vous pincer un nichon de l’autre alors que treize personnes sont en train de prendre leur pied au-dessus de vous.
La première giclette de foutre vient de côté et vous arrive sur le ventre et sur votre bras. Les femmes gémissent de plaisir. On sent les orgasmes à fleur de doigts. L’ambiance dans cette arrière salle de ce bar est électrique et très chaude. Vous fermez les yeux pour ne plus sentir que cette impression du foutre qui vous éclabousse. Vous le sentez partout. Vos nichons sont souvent la destination de ces bites en pleine jouissance, votre con en reçoit aussi pas mal. Vous sentez des mains de femmes qui vous caressent le ventre, les seins et vous étalent tout ce jus reçu. Une main se glisse dans votre chatte, la pénètre tout de suite avec ses cinq doigts, tandis que le foutre continue de vous tomber dessus et que les mains vous l’étalent. Ce n’est plus que râles de plaisir, de jouissance, de cris d’orgasmes mélangés des hommes et des femmes et du votre qui n’en pouvez plus.
Petit à petit, les hommes s’éloignent. Heureusement que quelques femmes vous maintiennent dans cet état d’excitation qui vous fait oublier vos douleurs du fouet et de la cravache.Pendant que vous sentez des bouches, des langues et des mains sur vos seins, votre chatte, votre bouche et même votre cul, vous vous dites intérieurement « vivement le prochain concours ! »
FIN
Dommage que le récit soit rédigé dans un style assez particulier, sinon, quelle belle orgie, mes amis !
J’ai assisté a un truc dans le même genre à Barcelone près de la Ramblas.
Deux nanas qui étaient volontaires pour qu’on leur fasse tout ou presque
C’était impressionnant d’autant que les filles étaient dans un état quasi extatique
Pour ma part je n’ai pas pu faire grand chose tellement il y avait de mecs, juste deux ou trois caresses.
C’est donc un mec qui a le fantasme d’être une femme dominée et humiliée !
Pourquoi pas même si ça donne un peu le tournis ?
Pas d’accord avec le commentaire de Valentin
Le style on s’y habitue..
Quant au scénario on y croit ou on n’y croit pas, mais où serait le problème, la littérature érotique n’est pas une tranche de vie, mais une tranche de rêve !
En fait pour avoir trainé mes cuisses dans quelques soirées SM, je peux assurer qu’on y voit des choses un peu de ce genre.
En ce qui me concerne l’érotisme à fonctionné, et pas qu’un peu !!!
Et puis cette illustration, ce magnifique cul rougit par la badine !
C’est vraiment n’importe quoi !
Déjà le style à la deuxième personne du pluriel est abominable
Ensuite c’est tellement énorme que ça en devient incroyable et que l’érotisme ne fonctionne pas
Aucun sentiment, aucun humour, aucun décalage, du gonzo de bas étage.