(Presque) à la vue de tous par Christophe01

(Presque) à la vue de tous par Christophe01

J’avais rencontré Claire et Cédric pendant l’été et notre expérience de triolisme avait été chaude… et inoubliable. Malheureusement, il fallait bien reprendre mes chères études et quelques mois avaient passé. Mais le hasard a voulu qu’une manifestation culturelle m’emmène non loin de chez eux, à Annecy, que j’avais eu le plaisir, déjà, de visiter avec Claire. Je m’y étais rendu avec quelques amis et je leur avais présenté le couple comme des amis de longue date.

Tous attablés face au lac, nous en sommes donc à une discussion des plus sages, quand l’un de nous a l’idée d’aller acheter quelques glaces. Tout naturellement, je me propose d’accompagner Claire. Quelques petites centaines de mètres nous séparent du marchand de glaces… et des toilettes publiques. Nous avons plus envie de nous retrouver isolés que de véritablement épancher le désir de friandises de nos amis… Et plus l’approche du lieu magique – dans nos têtes en tout cas – se fait précise, plus je bande… et plus je sens Claire s’émoustiller.

Quelques escaliers à descendre… une odeur quelque peu désagréable mais synonyme de plaisir pour nous deux… et nous voilà face à quatre portes en bois, ajourées par le bas. Juste le temps de vérifier que personne n’a encore investi les lieux – on ne va pas non plus s’amuser à choquer ! – et nous voilà dans un de ces lieux exigus : ces toilettes à la turque, pas très propre mais ô combien excitant. Nous savons que tout un chacun, même si nous jouons la discrétion, pourra forcément voir qu’il n’y a pas une personne à l’intérieur… mais quatre pieds. Mais comme toujours dans ces cas-là, le visiteur, au mieux, ressentira une certaine excitation à imaginer ce qui se passe derrière la porte, au pire préférera quitter la place. Les quelques mètres qui nous séparaient des toilettes ont fait monter la pression. Si bien que nous ne pouvons nous empêcher de nous prendre à bras le corps pour ces retrouvailles – quelques mois de séparation, ne l’oubliez pas ! – et de malaxer nos corps excités. Une main sur la chatte à travers la culotte, une autre sur une queue prête à exploser, des langues qui se nouent nerveusement pour rattraper le temps perdu… Pas de doute, même si le risque est grand d’être découverts, le jeu en vaut largement la chandelle.

Sans nous mettre nus, Claire décide tout de même de sortir ma queue de mon short, alors que ma main est passée sous sa culotte et que je découvre une véritable fontaine. Elle se met accroupie et commence à me sucer comme une folle, m’engloutissant complètement jusqu’au fond de sa gorge. Je me souviens encore de sa jupe écossaise rouge… que je relève dès qu’elle a un peu laissé tomber mon sexe dur. Je commence alors à la sucer à mon tour et recueille cette liqueur qu’elle consent à m’offrir. Alors elle se tourne vers le mur carrelé blanc et me tend son cul. Juste le temps de faire une pause de quelques secondes en attendant le départ d’un visiteur impromptu et me voilà, entrant dans cette grotte plus qu’accueillante, à limer comme un fou pendant quelques courtes minutes, avant de lâcher ma liqueur au fond de sa chatte brûlante. Elle est comme une folle et jouit en quelques secondes. Ce moment intense terminé, il nous revient en mémoire ces petites séances  » pipi  » vécues chez elle quelques mois plus tôt. Mais la situation est quelque peu différente. Alors qu’auparavant, nous  » expérimentions « , bien au chaud, dans le confort de sa salle de bain, nous voilà sur le point de nous prêter à nos jeux cochons presque à la vue de tous. Un ou deux regards complices, un petit coup d’œil vers les toilettes et son sourire devient synonyme d’accord tacite.

Pourtant, nos habits nous obligent à ne pas nous  » lâcher  » comme ce fut le cas la première fois dans sa baignoire. Nous n’avons pas l’intention de laisser transparaître quoi que ce soit auprès de mes amis. Elle retire donc sa jupe, sa culotte et c’est sur sa chatte que je vais envoyer mon liquide chaud… Elle m’avouera plus tard que sentir ma pisse était comme une main qui serait venue la branler. Je lui mouille donc la chatte – et seulement la chatte – jusqu’à me vider complètement. Pour elle, c’est un peu plus compliqué. Elle vient donc s’asseoir sur mes genoux alors que je suis accroupi et commence à pisser sur ma queue qui ne tarde pas à durcir à nouveau. C’est avec sa main qu’elle m’aidera à jouir une seconde fois.

Ensuite, correction oblige, nous nous léchons pour  » sécher  » nos corps encore mouillés de nos pisses respectives. Le temps de vérifier que personne n’est entré dans les WC publics, et nous voilà repartis vers nos amis, non sans avoir pris en passant les quelques glaces tant attendues.

Serez-vous étonnés d’apprendre que Claire et moi avons proposé un bon bain dans le lac pour – version officielle – nous rafraîchir ?

Christophe
rirolarme@voila.fr

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Une réponse à (Presque) à la vue de tous par Christophe01

  1. Claire dit :

    Encore un coquine qui s’appelle Claire et qui fait pipi ! Je vous assure que ce n’est pas moi… mais ça aurait pu ! J’ai beaucoup aimé de petit texte uro qui me semble sentir le vécu !

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