Première aventure érotique d’un puceau. 4 – Un amant soumis par Paulino

Première aventure érotique d’un puceau
4 – Un amant soumis
par Paulino


Je me retrouve dans la rue, j’ai descendu les escaliers un peu comme un voleur, à peine elle m’a embrassé sur la joue avant de me mettre dehors, est ce cela l’amour ? Non, évidemment j’en suis conscient, elle ne m’aime pas elle n’aime que le sexe et cet apprentissage qu’elle prétend faire, c’est ma maladresse et mon inexpérience, je pense qui l’excite ; mais cela aussi m’excite car tout idiot que je suis, je m’émerveille en pensant que je viens de faire l’amour avec une telle femme.

Mais pourquoi cette brusquerie, pourquoi ces mots de commandement, elle prend plaisir c’est certain à m’humilier et me corriger avec son martinet, et pourquoi a-t-elle plusieurs fois pissé sur moi et dans ma bouche. C’est même bizarre quand j’y repense ce n’était pas déplaisant de recevoir son urine chaude et d’être obligé de la boire, je suis surpris de n’en être pas humilié, et je peux peut-être même avoir aimé.

Cette femme n’est peut être pas une prostituée mais elle est bien étrange, quels sont donc les ressorts de son plaisir ? Oui j’étais puceau, je suis un jeune homme peu dégourdi, cela l’excite, et ces prétentions à faire de moi un amant soumis un esclave sexuel, est ce là son but ?

Me voila de retour dans ma piaule, la tête pleine de questions, je n’ai même pas très faim je me fais un sandwich au fromage puis je me couche; je ne trouve pas le sommeil, je ne vais peut être pas tout raconter à mon copain Julien, je ne lui parlerai pas du martinet, ni de la pisse que j’ai avalée, il se moquerait de moi.

J’ai quand même dormi, c’est une nouvelle journée ; ce soir, est-ce que j’irai revoir cette femme ? Oh oui sans doute ; la nuit porte conseil dit-on, alors je me sens bien et j’ai envie de faire d’autres découvertes érotiques elle m’a promis des choses savoureuses, quelles sortes de choses ? Ah !

Le soir est arrivé, je suis à nouveau devant sa porte, elle m’ouvre, elle est habillée d’une veste de cuir noir, d’une jupe de même matière, et des bottes cuissardes noires aussi, le zip de sa veste n’est pas totalement fermé, dessous elle ne porte pas cette fois de soutien-gorge ses seins sont quand même bien arrogants.

Au poignet de sa main droite est passé la cordelette de suspension d’un martinet, j’ai un petit mouvement de recul.

« – Allons approche me dit-elle n’aie pas peur, je n’ai encore mangé personne, mais tu m’as promis d’être soumis n’est-ce pas, le martinet ne me sera utile que si tu n’es pas un bon élève, que dit-on quand on entre chez sa maîtresse ?
– Bonjour Svetlana, je dis, mais un petit coup de martinet fouette mon mollet.
– Que t’avais-je dit, appelle moi maîtresse, dit-le !
– Oui, bonjour maîtresse.
– Voila c’est mieux as-tu beaucoup pensé à moi depuis hier soir, tu t’es peut être masturbé petit cochon, répond !
– Non maîtresse je n’ai fait que dormir j’étais un peu fatigué et aujourd’hui j’ai travaillé.
– Il était fatigué mon bébé, je t’ai donc fatigué ? Un bon amant n’est jamais fatigué, que penses-tu de moi ? Dit le que je suis un peu salope, peut être que tu le pense.
– Oh non maîtresse je ne pense pas cela.
– Ah tu ne pense pas cela, tu as donc aimé boire ma pisse et lécher ton sperme dans ma chatte.

Et dans un éclat de rire elle ajoute :

– Tu comprends mon chéri ma pisse est bonne pour ta santé j’en suis certaine, tu auras avec moi bien d’autres surprises. »

Nous voila donc dans sa chambre où elle m’a ordonné de la suivre.

« Tu es mieux habillé qu’hier je vois, tu porte une chemise et un pantalon, ces fringues de surplus américains ou similaire, que vous les jeunes vous portez, n’ont rien de chic, de même que ces habits ressemblant à des tenues de camouflage militaire, c’est d’un manque de goût, de s’habiller comme pour la guerre, personne n’aime la guerre ; non c’est la sexualité qui convient à la vie.

– Pour le moment je veux rester habillée comme tu me vois, mais met toi nu tout de suite, je veux regarder ton corps de jeune garçon, mais tu ne bande pas, est ce qu’encore je t’intimide, n’as-tu donc pas envie de me baiser ? Oh je suis vulgaire peut être, mais sache mon grand que la vulgarité est un piment pour l’amour. Tu as un joli petit cul, approche, couche toi en travers de mes genoux, oui il faut faire circuler le sang dans ces petites fesses bien musclées. »

Cela étant elle me couche sur le ventre et commence à me frapper les fesses de petits coups de martinet, pas très violents, mais répétés à cadence rapide.

« Tu est mignon bébé vu de ce coté là et tes fesses sont plus jolies quand elles rosissent. »

Maintenant elle abandonne le martinet mais continue en me donnant sur les fesses des claques à paume ouverte de la main, puis elle attrape mes testicules et les presse un peu trop fort en refermant sa main ongles plantés, je crie.

« Ne soit pas donc pas aussi fragile, bébé, il faut souffrir un peu pour bien jouir après. »

Et toujours couché en travers de ses genoux, je sens une brève douleur entre mes fesses, elle a, il me semble introduit brusquement son doigt dans mon anus en appuyant sur ma prostate, je suppose ; mais cette douleur s’estompe rapidement pendant quelle bouge son doigt dans mon fondement, maintenant je bande ; c’est en effet curieux comme ces petits supplices sont agréables, mon sexe tendu est prisonnier des cuisses de Svetlana qu’elle a serré autour, la chaleur de ses cuisses l’agitation de son doigt dans mon rectum et les mouvements involontaires de mon bassin font que rapidement je jouis et j’éjacule entre ses cuisses.

« Mais il a jouit le cochon, attention n’épuise pas trop vite tes réserves, car tu devras me satisfaire aussi, et mon doigt maintenant, que tu as eu la malhonnêteté de prendre entre tes fesses, je veux que tu le lèche, allez lèche mon doigt, nettoie le et puis tu vas aussi nettoyer mes cuisses que tu as souillé, petit cochon. »

Cela étant je suis surpris de n’être pas dégoûté et de lui obéir, mais elle ne prolonge pas l’obligation qu’elle vient d’exiger de moi, et me faisant asseoir sur le canapé elle me dit d’attendre pendant qu’elle se rafraîchit dans sa salle de bain, puis revenir et dire :

– C’est bien à nous deux maintenant je veux jouir moi aussi.

Prochainement les plaisirs vont de surprise en surprise.

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