Pour l’achat d’une auto par sexnotaboo

Pour l’achat d’une auto
par sexnotaboo


Je voudrais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a 20 ans, j’avais 23 ans et par l’intermédiaire d’un petit journal local j’ai acheté une voiture d’occasion 25000 francs.

Je me suis présenté chez les vendeurs, qui habitaient une magnifique maison, avec piscine tennis etc… En un mot des gens très aisés.

La voiture est superbe, en excellent état, toutes options. Je la réserve mais demande un délai de 45 jours pour la prendre car je devais vendre la mienne. Les gens sont sympas, et acceptent sous réserve d’un versement de dix pour cent du montant. J’accepte et fais un chèque 2500 francs.

Malheureusement, les choses tournent mal pour moi, je ne suis plus en mesure d’acheter la voiture et je perds mon acompte.

Après plusieurs tentatives d’arrangement au téléphone, je me présente chez les vendeurs pour tenter une dernière négociation, après tout, ils ont toujours leur voiture et pour eux 2500 francs ne représentent pas grand chose comparé à ma situation.

Il est 10H30 la femme est seule chez elle, elle me reçoit en peignoir, je la sens un peu agacée. Je la prie de m’excuser du dérangement mais je veux lui parler pour lui expliquer ma situation. Elle est en peignoir, elle hésite, visiblement contrariée, mais elle ouvre tout de même la grille de sa propriété et sans amabilité, me dit de la suivre. Elle se dirige vers sa piscine et ôte son peignoir, elle est en string, les seins nus. Elle s’allonge sur son transat en disant :

« – Je vous écoute jeune homme ! »

Elle n’a rien d’une beauté top modèle, Elle a 38 ans, mesure 1M65/70 environ, elle est plutôt ronde, une poitrine énorme et une croupe de jument aux fesses rebondies avec des hanches plutôt larges. Cependant elle est très musclée et le tout est vraiment très ferme et néanmoins très agréable à mater.

J’expose mes arguments auxquels elle ne prête apparemment aucune attention. Puis lorsque je suis à court d’argument elle s’assoit en se tournant face à moi. Je remarque que ses gros seins ne tombent pas. Elle sourit, me regarde de la tête aux pieds en disant :

« – bon alors c’est tout ? »
– « Oui madame »

A cet instant, je pense avoir défensivement perdu mes 2500 francs. Elle est face à moi, ses seins nus aux larges auréoles ont les pointes bien dressées, elle a les cuisses légèrement ouvertes, je suis gêné, et très mal à l’aise, je me sens rougir malgré moi car je ne peux m’empêcher de mater, en sachant qu’elle s’en rend bien compte. Cela me provoque une érection que j’ai du mal à dissimuler.

Après un silence qui me paraît interminable elle sourit et me dit

« – 2500 francs, c’est si peu d’argent lorsqu’on les a ! Mais c’est énorme quand on en a besoin et qu’on ne les a pas ! N’est-ce pas ? »

Un peu surpris par cette question, je réponds par l’affirmative,

« – Oui madame effectivement, aujourd’hui, pour moi, cela représente une petite fortune »

En parlant je la détaille, hormis son visage qui est très beau, elle quand même un peu grosse, et pourtant elle me fait bander. Elle reprend

« – Voyons 2500 francs, ça doit pouvoir s’arranger ! Vous m’avez dit que vous ne travaillez pas ! »
« – Oui madame, j’ai perdu mon boulot et c’est pour ça que j’ai des difficultés. »
« – As-tu une amie, ou une fiancée ? »
« – Non, je suis seul en ce moment »

Bien que l’espoir de revoir mon argent naisse en moi, je me sens comme une souris entre les pattes d’un chat (plutôt d’une chatte) et je me demande où est le piège.

« – Donc tu es libre tous les jours ?
« – Oui madame »
« – Très bien je te propose de récupérer tes 2500 francs en 5 jours, mais tu devras rester à ma disposition 24H sur 24 et faire tout ce que je te dirais de faire sans discuter»
« – Je veux bien essayer Madame »
« – Attention si tu t’engages il faudra aller jusqu’au bout si tu veux récupérer ton argent, Le 1° jour tu n’auras rien, le 2° le 3°et le 4°tu récupèreras 500 francs, le 5° 1000 francs Qu’en dis tu ? Je suis assez arrangeante, car je te rappelle que tu m’as fait perdre 2 mois pour la vente de ma voiture et que je l’ai toujours sur les bras ! »

Elle avait durci le ton.

« Oui madame, j’ai bien compris »

Elle me fixe toujours droit dans les yeux, je ne parviens pas à soutenir son regard et lorsque je baisse les yeux c’est pour voir ses énormes seins nus et son petit string rouge au centre de ses grosses cuisses légèrement ouvertes. Je la devine épilée, et malgré moi mon sexe reste dur, dans une érection qui en devient douloureuse. Elle se lève et se dirige vers la piscine. Je regarde ses fesses énormes mais très musclées, entre lesquelles disparaît le petit triangle rouge de son string. Elle est quand même grosse et pas très sexy me dis-je mais elle m’excite malgré tout.

Avant de plonger, elle me dit :

« – Je te laisse 5 minutes pour réfléchir. »

Je reste seul au bord de la piscine, sans pouvoir le définir, je sens un piège infernal dans lequel je suis en train de tomber, mais j’ai besoin de cet argent, et je réalise que je n’ai pas le choix. Après tout, elle ne va pas me tuer, ni me torturer, mon esprit vagabonde, et distille les images de cette grosse salope en string ficelle, qui m’excite terriblement. Elle met fin ma méditation en sortant de l’eau

« – Alors, me dit-elle » en se saisissant de sa serviette et en s’essuyant « Ce n’est pas en hésitant pendant des heures qu’on réussit dans la vie, Il faut trancher ! Ce sont les erreurs qui font avancer ! Tiens me dit-elle essuies moi le dos »

Je lève la tête, elle me regarde droit dans les yeux, le ton est autoritaire, qui n’admet aucun refus. Je tends la main, saisis la serviette et me lève pour l’essuyer, elle est debout devant moi, son corps est très ferme. Lorsqu’elle estime que ça suffit elle se retourne et me reprend la serviette des mains, puis elle me tend un tube de crème et sur le même ton me dit

« – Passe-moi de la crème ! »

Elle s’allonge sur le ventre, j’hésite, elle me rappelle à l’ordre,

« – Alors ! Ça vient ! »

Sa peau est d’une douceur inattendue, elle est fraîche à souhait, je n’arrive pas à débander, la tension de ma queue me fait presque mal. Je commence par les pieds, puis le corps, Par timidité, j’évite ses fesses qui pourtant me tentent et lorsque je pense avoir fini elle me dit

« – et mes fesses ? Elles n’y ont pas droit à la crème ? »
« – Excusez moi madame, je n’osais pas »
« -si c’est mon string qui te gène, je vais l’enlever ! Aide-moi ! »

Je suis très gêné et c’est timidement que je l’aide à le faire glisser jusqu’à ses chevilles pour lui ôter. Lorsque je l’ai enduite sur tout le dos elle se retourne sans aucune gêne exhibant ses grosses mamelles et son pubis totalement épilé. Je commence par les pieds, elle me dit qu’elle apprécie.

Lorsque j’arrive en haut des cuisses, elle écarte les jambes en me disant de bien masser l’intérieur des cuisses ou c’est le plus sensible au soleil. Puis son ventre, elle respire plus vite, j’arrive à ses seins que je prends à pleine main après quelques hésitations. Elle ferme les yeux, en soupirant. Je masse ses énormes mamelles avec douceur, je suis surpris par la dureté et la fermeté de ses gros seins, les tétons se dressent durs comme des petites bites au centre de très larges auréoles brunes. J’arrive aux épaules, pour masser ses bras, je suis à sa droite et lorsque je lâche son bras droit pour masser son bras gauche, sa main glisse en effleurant mon corps, pour s’arrêter sur mon sexe en érection.

Lorsque j’ai terminé, c’est toujours les yeux fermés qu’elle me dit

« Déshabille-toi ! »

Le ton est toujours aussi dur et l’ordre est sans appel. Je me relève, me déshabille et libère ma bite au garde à vous.

« – Pas mal, pas mal ! Alors ? Tu veux récupérer ton argent oui ou non ? »

Sans réfléchir

« – Oui madame, j’en ai vraiment besoin. »
« – Ok tu commences maintenant, rentre ta voiture dans la propriété », et elle m’indique le boîtier d’ouverture automatique.

Je veux me rhabiller mais elle me dit

« – non Prends mon peignoir pour aller la chercher, il n’y a personne ici, c’est la campagne ».

Une demi-heure plus tard j’étais installé dans ma chambre démunis de mes vêtements et doté d’un simple peignoir.

Le soir après le repas je monte me coucher, Je n’arrive pas à m’endormir, je bande en pensant à cet après midi. Je ne parviens à m’assoupir qu’après m’être masturbé. C’est au beau milieu de la nuit qu’elle entre totalement nue dans ma chambre :

– « Debout j’ai besoin de toi ! »

Elle s’installe sur le lit, se couche sur le dos et écarte ses grosses cuisses –

« J’ai envie de me faire lécher la chatte ! Exécution ! »..

Sans hésiter, Je plonge la bouche sur sa grosse moule grasse et trempée, je m’applique à lui lécher la chatte, et lui sucer le clito. Elle est très chaude et elle jouit presque instantanément. Je suis content de la faire jouir aussi vite et je me retire mais cette chienne me dit

« -Non, encore, je veux jouir encore, tu lèches bien petit salaud continue »

Cette grosse salope jouira 3 fois en suivant sous mes caresses buccales en moins d’une demi-heure. J’ai les mâchoires et la langue complètement ankylosées. Mais je bande, surexcité par cette situation inattendue.

Me prenant à deux mains par la tête elle m’attire enfin vers son visage pour m’embrasser goulûment,

« Tu es très doué mon cochon, je crois qu’on va bien s’entendre toi et moi ! Caresse-moi les seins maintenant. »

A mon grand étonnement, elle devient douce et tendre. Je me sens bien contre elle, dans le reflet de la fenêtre, je vois son beau visage éclairé par la lueur de la lune. Elle a l’air radieuse, épanouie, elle a du jouir vraiment très fort. Je prends plaisir à lui caresser les seins, le ventre, et finalement tout son corps que je sens frémir sous mes doigts. M’enhardissant, mes mains glissent petit à petit vers l’intérieur de ses cuisses, trempé de mouille et de salive. Elle soupire

« Tu es aussi doué avec les doigts qu’avec la langue mon cochon, ça promet si tu es aussi doué avec le reste ! »

Ses mains parcourent mon corps, je me laisse aller à ses caresses elle me fait mettre sur le dos, puis à quatre pattes au dessus de moi, elle me caresse le visage avec ses gros seins lourds elle vient m’embrasser tendrement sur la bouche Puis, elle descend tout doucement en faisant traîner ses seins sur mon torse et mon ventre. Sa poitrine est lourde, ferme mais très douce, je sens ses tétons durs qui me donnent des frissons sur tout le corps.

Elle m’écarte les jambes et coince mon sexe bandant entre ses nichons qu’elle écrase et agite de haut en bas pour me masturber, puis descendant davantage, elle me prodigue une merveilleuse fellation.

Très excité, je sens mon plaisir venir très vite, emporté par sa montée inexorable, j’ai juste le temps de lui dire « Attention !je vais jouir » en tentant de me dégager de sa bouche mais elle m’empêche de me retirer, et reçoit tout mon sperme qu’elle avale sans la moindre hésitation.

Je reste tout bête, je savais bien que certaines femmes avalent le sperme en suçant mais je n’y croyais pas vraiment car jamais cela ne m’était arrivé. J’ai finis d’éjaculer mais elle continue à téter ma bite qui perd de sa raideur. Elle remonte lovée contre moi elle m’embrasse avec passion et nous nous endormons tendrement enlacés. Je me sens vraiment bien contre elle.
Le deuxième jour, elle me fait évoluer à poil toute la journée. Elle porte des bas un porte-jarretelle et un string sous une petite robe claire et très moulante qui la boudine et à travers laquelle on voit très bien ses dessous foncés, elle porte des bottes en cuir à hauts talons. Elle ne porte pas de soutien-gorge et on voit bien les pointes durcie de ses tétons, au centre des larges auréoles brunes de ses énormes seins, qui me fascinent.

Elle m’appelle de temps en temps pour que je lui lèche la chatte et ce n’est que le soir qu’elle se met nue devant moi et me demande de la baiser et de bien me vider en elle dans sa chatte. Je la prends en levrette, et je jouis très vite, car elle serre les cuisses sur ma queue elle se plaint de ne pas avoir eu le temps de jouir. Elle me fait allonger sur le dos et s’assoit sur ma bouche. Je suis étouffé, je tente de me dégager, mais cette salope est bien calée sur moi, elle ne me laisse pas le choix, je suis contraint de lécher sa moule gluante, dégoulinante de mon sperme. Elle ne tarde pas à jouir en criant. Mais elle reste sur moi en m’ordonnant de ne pas m’arrêter. Elle jouit ainsi à 4 reprises et à chaque fois elle lâche une quantité impressionnante de mouille qui m’inonde la bouche et que j’avale avec un certain plaisir.

Comme la veille nous finissons la nuit ensemble tendrement enlacés.

Le troisième jour, je suis entièrement nu toute la journée, elle me demande de me mettre à quatre pattes, elle me suce, me caresse, petit à petit, sa langue et ses doigts s’égarent vers mon anus qui devient finalement le seul objet de son attention. Elle me lèche avec ardeur, je sens sa salive inonder mon petit trou, sa langue, puis ses doigts me pénètrent avec douceur. Je me sens envahi par d’un trouble étrange et des par sensations inconnues mais très agréables. Naturellement, je me cambre cherchant à me faire pénétrer plus profondément par cette délicieuse langue et par ses doigts inquisiteurs. Tout à coup, je sens un objet rond plus gros qui se présente à l’entrée de mon petit trou. La salope s’est emparé d’un gode à mon insu et a décidé de me le mettre. Je tente de me dégager, d’y échapper, mais elle ordonne :

– « Ne bouge pas petite salope ! Tu vas aimer ça tu vas voir ma cochonne comme c’est bon de faire la femme »

Je suis trop excité pour me rebeller et je me laisse faire. La sensation est toujours très agréable, puis tout à coup, je sens une douleur vive, intense, mais tout de même supportable lorsqu’elle force pour faire pénétrer le gode, sous la pression, mon anus cède le passage, elle me parle avec douceur,

-« Détends-toi petit chéri laisse toi aller, caresse ta bite, branle toi, tu vas voir comme c’est bon oui comme ça ! Vas y tu vois ta queue se raidit tu aimes ça, hein ! Ma salope ? Oui, comme ça vas y détend toi p’tit pédé, ça m excite de te baiser »

Je sens mon anus se dilater, elle ajoute du gel, et une fois bien enfoncé elle laisse le gode immobile en moi un moment avant de recommencer à le bouger dans mon cul. Rapidement, la douleur fait place à une douce chaleur qui m’envahit, j’accompagne ses mouvements de va-et-vient et adopte son rythme en me cambrant et en poussant de plus en plus vers l’arrière, pour me faire prendre plus profond.

Elle s’en aperçoit,

« -Tu vois, cochon je te l’avais bien dit, Tu aimes ça ma petite salope ! Allez pédale vas y cambre toi bien que je t’encule comme tu mérites ! Que je te défonce le cul ! Petite pute que tu es ! Tu aimes çà hein petite chienne allez pédé va-y oui, comme ça donne le moi ton petit cul de putain ! Tu vois bien que tu aimes ça !»

En effet cette salope a raison, malgré moi je suis bien obligé d’admettre que j’aime ça. De plus ces propos salaces et humiliants m’excitent davantage. Elle me dit de ne pas bouger et de maintenir moi même le gode en place. Elle sort de la chambre et revient quelques minutes plus tard harnachée d’un gode ceinture qu’elle exhibe fièrement en me disant

« Tu vas voir comme c’est bon de se faire vraiment enculer sale petite chienne, je vais de défoncer la rondelle ma salope ! Je vais te prendre comme une chienne, allez ma pute à quatre pattes je vais te faire couiner comme une femelle en chaleur, tu vas en redemander, tu vas bientôt me supplier de t’en donner d’autre sale petite pédale ! Tu es une vraie salope mais tu le sais pas encore »

Je suis à quatre pattes devant elle, avec un gode dans le cul et elle s’apprête à m’enculer comme une vulgaire salope. Je suis au comble de l’excitation lorsqu’elle retire le gode manuel et qu’elle pointe le gode ceinture sur mon cul je ferme les yeux, et je pousse en arrière pour forcer le passage douloureux de mon anus encore serré. Elle m’enfile d’un coup, elle a mis beaucoup de gel et c’est déjà moins douloureux, il faut dire que le gode ceinture est un peu plus gros que le précédent mais je suis tellement excité que j’en oublie la douleur. Elle me tient fermement par les hanches et me lime un bon moment avant que je ne me détende complètement et que je sente monter en moi une sensation inconnue, étrange mais très agréable. Mon sexe se tends et dans une formidable sensation de jouissance je crie « Ouiiiiiii c’est bon ooouuuiiiiii je jouuiiiiis ouiiii hummmmmm ». Et c’est même sans me toucher, que j’éjacule en gémissant mon plaisir.

Le quatrième jour, elle m’impose de porter des dessous sexy féminins Je me masturbe sur ses gros seins qu’elle me fait lécher et téter tous gluants de mon sperme. Un peu plus tard elle me demande de la baiser et me fait lécher sa chatte encore pleine et dégoulinante de foutre. Elle me tient fermement ma tête pendant que je lèche, Je la sens se contracter, forcer, et elle lâche de petits jets d’urine dans ma bouche. D’abord dégoûté, je cherche à me libérer de l’étau de ses cuisses énormes qui deviennent immondes pour moi, mais je n’y parviens pas. Malgré moi, je réalise en même temps qu’elle que mon sexe se redresse doucement. Elle exulte :

« – Aller salope boit tout ! Mais ma parole, tu recommences à bander ma petite cochonne ! Aller boit ton foutre, ma mouille et ma pisse salope, chienne, femelle en chaleur, bande bien et je te ferais jouir avec ma bouche »

Ses propos qu’elle veut humiliants m’excitent et je bande de plus belle Elle me suce et me fait avaler mon sperme en m’embrassant. Durant ce quantième jour, elle me fait jouir et éjaculer 4 fois. Et à chaque fois je léchais, suçais mon sperme soit dans sa bouche, dans sa chatte ou encore répandu sur ses énormes nibards.

J’appréhendais le 5ème jour pour, parce que la dépravation qu’elle me faisait connaître allait en grandissant et que je réalisais que j’aimais ça, mais aussi surtout parce que, c’était le dernier jour et je le regrettais déjà.

La dernière nuit elle me rejoint dans ma chambre où nous faisons l’amour tendrement et nous endormons dans un gros câlin.

Le cinquième jour est différent, elle est habillée très classe mais très sexy, et elle me fait porter à nouveau des dessous sexy de femelle sous un peignoir de femme en satin noir orné de fleurs, long et fendu jusqu’en haut des cuisses.

Je suis vêtu avec une guêpière-porte-jarretelles, d’un string ficelle en dentelle assorti, d’une paire de bas en résille noir, et chaussé d’escarpin verni rouge à talons de 10 centimètres. A dix heures, elle m’ordonne d’aller ouvrir le portail car son mari est arrivé. Je la regarde étonné, interrogateur, elle me toise et aboie de nouveau son ordre

« – Tu es sourde ou quoi salope ? Je t’ai dit d’aller ouvrir le portail ! Tu n’as pas encore récupéré ton pognon petite pute »

Surpris par ce changement de comportement, je m’exécute en pensant que c’est le dernier jour.

La voiture entre dans la propriété et je referme le portail. L’homme que je reconnais pour l’avoir vu le jour de la négociation de la voiture me regarde de haut en disant

« Ha c’est vous ! Ma femme a vraiment un don pour dégoter des petites salopes, personnellement lorsqu’elle m’a dit qu’elle vous aurait je ne l’ai pas cru. Cette chienne a encore gagné son pari, enfin je crois, tout n’est pas encore joué. »

Je restais dubitatif après cette réflexion. Je venais de comprendre que le « pire » ou plutôt le « meilleur » restait à venir.

Lorsque nous entrons dans la maison, elle me dit

« Allez petite cochonne accompagne Monsieur au lieu de rester là à rien faire et tâche de lui obéir »

Docile, je suis Monsieur dans la salle de bains

« Lave moi petite salope ! »

J’hésite mais je m’incline, je le savonne et le rince avec application. Opération pendant laquelle il exhibe une solide érection. Je suis très gêné devant cette bite raide plus grosse que la mienne. Cependant je suis troublé et je ne tarde pas à sentir mon sexe durcir. J’essuie Monsieur, et m’apprête à quitter la salle de bains lorsqu’elle entre et s’adresse à Monsieur d’un air dégagé.

« – Ho Ho Il y a longtemps que je ne vous ai pas vu avec une forme pareille mon cher ! » s’exclame-t-elle devant la verge en érection de Monsieur.
« -Le responsable d’une telle réaction devrait en profiter personnellement ! d’autant plus que notre petite salope a l’air de manifester un certain intérêt pour la chose » conclut-elle en saisissant ma queue raide par le devant du peignoir pour l’exhiber à son mari.

Je regarde la queue de monsieur et la regarde à nouveau d’un air interrogateur.

« – Eh oui, salope tu m’a bien compris, mets toi à genoux et suce ! Un bon conseil salive bien pour la suite car quand elle va te rentrer dans le cul il vaudrait mieux qu’elle soit bien lubrifiée. »

Je venais de comprendre ce qui m’attendait le 5ème jour.

Obéissant, je m’agenouille donc devant Monsieur, et sous les réflexions humiliantes et les moqueries de Madame, après une courte hésitation, alors que mon sexe a perdu toute sa rigidité, c’est très timidement que je prends cet énorme sexe tendu dans ma bouche. Accomplissant cela, je m’aperçois que je réalise un fantasme qui m’occupe l’esprit depuis longtemps et à ma grande surprise, je trouve cela très agréable dans ma bouche. Un déclic se produit en moi, je sens ma bite grossir, malgré moi et je me laisse aller à sucer cette grosse queue en caressant ses couilles, lourdes, pendantes et bien pleines de jus.

Madame commente

« Oui petit pédé suce bien à pleine bouche, tu m’excites ma salope, et je sens que tu aimes ça, hein pédale ? Je le vois ma cochonne ta bite recommence à grossir c’est la preuve que tu es une bonne petite pute, bien salope Je te l’avais bien dit que tu aimerais ça ! Hein petit pédé ? »

Ses commentaires salaces et humiliants me remplissent de honte, mais m’excitent terriblement

Elle me prend la main et la passe entre ses grosses cuisses, en me disant

« – regarde ça salope ! C’est toi qui me fais mouiller comme ça ! Ça m’excite de te voir sucer mon homme ! Tu vas voir tu vas aimer ça, tu vas voir comme c’est bon de pomper bien à fond de sentir le foutre jaillir dans ta bouche de petite pute, et puis d’avaler le sperme chaud et gluant. »

Quelques minutes plus tard je sens Monsieur prêt à jouir Il gémit, s’excite et je sens les contractions de sa queue annonçant l’éjaculation. Je tente de me retirer mais la grosse salope veille au grain et elle me tient la tête sur la bite de son mari pendant qu’il éjacule en râlant pendant qu’elle m’humilie par ses insultes et des mots crus

« Non ! Non ! tu restes là pédale, tu es là pour ça salope, pour vidanger les couilles de mon mari, tu n’es qu’une petite cochonne, une petite salope suceuse et avaleuse de foutre chaud qui gicle des couilles d’un vrai mâle. »

Ses propos m’excitent malgré moi, et je consens à me laisser faire, le Mari éjacule dans ma bouche, j’avale et le tète bien à fond jusqu’à à la dernière goutte ne relâchant son sexe qu’une fois ramolli.

Monsieur me remercie et félicite sa grosse de son choix, en disant il sera au top pour cet après midi ma chérie.

Après le repas, c’est toujours en guêpière-porte-jarretelles, string ficelle rouges assortis, Bas résille noir et botte rouges à talon hauts mais cette fois-ci sans le peignoir, que je suis chargé d’ouvrir le portail aux invités qui arrivent en voiture.
Il s’agit de 5 hommes de 45 à 55 ans, qui me sourient et me complimentent pour ma tenue.

Je me retrouve rapidement à genoux devant les 6 hommes, Monsieur et ses 5 invités. Au centre est une table sur laquelle Madame est attachée, nue couchée sur le dos les cuisses et les bras écartés. Je suis invité à sucer un par un les invités pour les faire bander. Dès qu’ils ont la queue raide, tour à tour, ils se lèvent pour aller se vider les couilles entre les cuisses de la grosse truie attachée sur la table. C’est Monsieur qui passe le dernier. Inutile de vous dire que je bande très fort. Monsieur me fait relever et me conduit jusqu’à sa femme. Il me dit

« Baise là ! Cette grosse pute ! Elle a du t’en faire voir hein ??? Alors vas y petit venge toi défonce lui la chatte vide toi bien les couilles comme nous».

Je n’hésite pas une seconde et j’éjacule en elle au bout de quelques secondes. Lorsque je me retire, je regarde le spectacle. Sa grosse chatte est gluante, débordante de foutre, de mouille, le liquide qui sort de sa moule produit une mousse blanche qui coule sur la table et le long de ses cuisses ouvertes. Je suis là debout entre ses cuisses et je sens le regard de tous les hommes autour de moi qui me fixe. A ce moment là, je ne sais pas ce qui me prend, mais je crois comprendre ce qu’ils attendent. Je regarde encore cette moule béante d’où s’écoule le sperme des 7 hommes qui se sont vidés en elle à tour de rôle et là une force irrésistible me fait m’agenouiller pour poser ma bouche entre ses cuisses et lécher, sucer et avaler le mélange de foutre et de mouille qui s’en écoule sous les applaudissements des hommes présents

Je suis occupé à lécher lorsque je sens qu’elle se contracte et je reçois un jet d’urine en plein visage, j’ai du mal à le contenir et à avaler, le surplus m’inonde le visage et la poitrine.
J’entends des commentaires derrière moi :

« -Putain j’ai jamais vu ça ! Quelle salope, la grosse pisse et l’autre pédale boit tout ce qu’il peut ! Putain je rebande, »
« -Ho oui, moi aussi » et je sens les cuisses de la grosse se fermer sur moi, car elle a été détachée, elle part dans un râle de plaisir et prends son pied en criant. C’est la tête coincée entre les cuisses de la grosse, que j’ai pris 6 coups de bite dans le cul pendant que je léchais la vulve béante et gluante de cette chienne, la faisant jouir à plusieurs reprises,

J’ai quitté la maison avec mes 2500 francs plus une prime de 1000 francs offerte par Monsieur très satisfait.

Je suis revenu plusieurs fois, mais la maison était déserte en vain à l’exception d’une fois où j’ai été reçu par le couple. Nous avons passé l’après midi à faire l’amour, j’ai lécher et baisé madame, j’ai sucé monsieur et me suis fait sodomisé pendant que je léchais la moule souillée de madame qui en profitait pour uriner par petit jets brûlants. Ils m’ont dit qu’ils déménageaient et à mon grand désespoir je ne les ai plus revus

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2 réponses à Pour l’achat d’une auto par sexnotaboo

  1. Valois dit :

    J’lai payé 300 balles
    chez Monsieur Hannibal
    Le marchand d’occasion
    De la rue de Lyon
    Pour l’avoir à ce prix là
    Pas de branle-bas de combat
    Juste une pénétration anale
    Quoi de plus banal.

  2. Jacques André dit :

    Pas mal du tout ce petit texte j’adore les récits ou les mecs se sucent la bite étant moi-même un grand adepte de cette pratique

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